Je m’appelle Karim, j’ai décidé de prendre quelques jours de vacance en solitaire dans le sud du Maroc. Il doit être minuit quand je rentre un peu bourré à mon hôtel. Quand je rentre dans le hall, je vois un mec assis à l’entrée. Je me demande qui est assez con pour rester assis là, aussi tard dans la nuit…
Fatigué, je monte dans ma chambre, après avoir essayé de taper le code 5 fois, cela ne marche toujours pas…J’ai du mal à voir les touches. Soudain, je vois le mec qui était assis en bas.
– Vous n’arrivez pas à rentrer dans votre chambre ? Me demande-t-il
– Non…je suis un peu bourré, j’ai du mal à voir les touches du clavier. Répondais-je, assez confus
– C’est quoi votre code, je vais le faire pour vous. Ajoute-t-il
– 0487 je crois…oui 4078.
Il essaie les deux, cela ne marche pas…en essaie un autre, 4087, ça marche. Ouf, je vais finalement pouvoir aller dormir !
– Merci beaucoup, sans vous, j’étais bloqué là.
– Mais de rien mon mignon, me répond-il en me mettant une petite tape aux fesses.
Gêné, je réponds par un sourire et un « bonne nuit ». Bordel, je suis mort et complètement dans le mal ! J’ai vraiment besoin d’une douche, je rentre dans la chambre, pose ma veste dans le placard à droite de l’entrée, je balance mes fringues un par un, prends une serviette…Les douches sont dans le couloir…Bon…Ce n’est pas grave.
Après une bonne douche de 15 minutes, je sors donc en serviette dans le couloir de l’hôtel et me dirige dans ma chambre. Encore complètement bourré, je me rends compte que la porte est ouverte, j’ai dû oublier de la fermer. Pas grave, personne n’est debout à cette heure-là, je rentre dans la chambre, je ferme la porte quand, soudain, quelqu’un me plaque contre le mur.
– Hé ! Que faites-vous ? Qui êtes-vous ?
– Tu crois que je n’ai pas remarqué ton manège, allumeuse ?
– Pardon ?
– Tu m’as allumé avec ton cul de pute en me demandant de t’aider à rentrer dans la chambre. Tu m’as invité, maintenant, tu assumes !
– Mais non…Je n’ai rien fait…répondais-je en balbutiant difficilement
– Je suis sûr que t’es un petit suceur de queues, allez avoue-le !
– Je…oui…enfin non…stop !!!
– Tu vois, je le savais ! Dit-il en se collant à moi et en frottant sa bite contre ma raie.
Pourquoi ai-je répondu ? J’ai déjà sucé une bite une fois…Une autre fois, un travesti m’a enculé…Des fantasmes plus qu’autre chose…mais il est en train d’abuser de moi et je ne me débats pas vraiment…Qu’est-ce qui m’arrive ?
Il se recule un peu, prend un de mes bras et pose ma main sur sa bite…De façon incontrôlée, je commence à la serrer à travers son pantalon…et faire des mouvements…
– Ben tu vois, salope…T’es assez docile finalement !
Je reprends alors mes esprits et lui demande de me relâcher, tout en arrêtant mes mouvements, je me débats mais je suis sous les effets de l’alcool, il est bien trop fort pour moi !
– Oh, tu crois que j’en ai fini avec toi ? Je n’ai même pas commencé à m’amuser ma petite salope ! T’es un petit pédé, je suis sûr que ton cul est habitué !
Sur ces mots, il a enlevé son pantalon et commence à se frotter à moi. Je pousse des petits gémissements de protestation mais le cœur n’y est plus. Le plaisir a pris la place de la protestation et mes gémissements ressemblent plus à des cris de plaisir. Mon esprit est sans dessus dessous, l’alcool aidant l’excitation mais avec un sentiment de peur qui m’empêche de faire quoi que ce soit. Je suis là, plaqué contre le mur, avec pour seule réaction, face à mon agresseur, que de respirer de plus en plus vite et d’avoir une érection de dingue…Et il le voit, je ne fais plus rien. Je me laisse abuser dans le noir, dans une chambre d’hôtel, par un parfait inconnu…Il se recule à nouveau, il prend mon cul avec ses mains, l’écarte un peu et crache dessus, je sens sa langue me parcourir la rondelle. Je pousse un véritable gémissement de salope qui le convainc de passer à l’acte.
Sans même m’avoir demandé, il prend son zob en main et pousse en avant. J’ai mal, je hurle mais il me met la main sur la bouche pour étouffer mon cri.
– Ta gueule salope, je vais te défoncer comme tu aimes l’être !
Et là, tout bascule, la douleur est présente mais je me sens emporté par un esprit second. Est-ce mon taux d’alcool qui me transforme ou est-ce qu’il y a quelque chose d’autre ? La douleur laisse peu à peu place au plaisir et je commence à pousser des cris.
– Han, han, s’il vous plait… han… stop…
Il me met alors une claque.
– Ta gueule grosse pute, je sais que t’aimes ça ! Supplie-moi de te baiser encore et encore ! Me dit-il en me baisant et en me mettant une bruyante claque sur le cul.
– Pitié st…han…stop…oui, continuez…Continuez de me b…Pitié, maître…Baisez-moi comme une chienne…J’aime le zob !!!
Je suis en train de me fais violer par un homme et j’aime ça ! Je suis devenu une salope…J’en rêvais, ça y est ! Avec de telles demandes, le message est clair et il commence alors à me limer le cul sauvagement.
– Ah ouais salope, t’aimes ça, hein ? T’es une vraie pute, tu voulais te prendre une bite ce soir, hein ? Me dit-il en me mettant plusieurs claques sur les fesses.
Complètement hors de moi, je ne réponds que par des gémissements qui lui font comprendre ma réponse, mais il veut visiblement me l’entendre dire puisqu’il me tire par les cheveux et me repose la même question :
– Je n’ai pas compris grosse chienne. Réponds-moi !
– Oh oui, j’aime ça, encore, encore !!! Faites de moi votre pute, j’aime me faire violer en étant bourré. Utilisez-moi comme vous voulez, je suis une chienne !
– Oh, tu veux te faire violer ? Parfait, grosse pute car c’est ce que je fais ! Je vais te démonter le cul dans toutes les positions, te détruire la bouche et tu finiras par tout prendre dans la bouche !
– Tout ce que vous voudrez !
Sur ces mots, il me prend à nouveau par les cheveux et me baise en me tenant ainsi. Après plusieurs minutes, mes jambes commencent à fléchir et il le sent. Il enlève alors complètement son pantalon, retire sa ceinture et me l’attache autour du cou.
– Voilà une laisse pour une salope ! A genoux et marche le cul en l’air jusqu’au lit !
Je m’exécute en m’appliquant à faire remuer mon cul en signe de soumission. J’arrive jusqu’au lit quand il m’arrête. Il me met alors 5 claques sur les fesses en comptant et je dois l’en remercier.
1…merci maître, 2…merci maître, 3…merci maître, 4…merci maître, 5…merci maître.
Quelques larmes coulent de mes yeux, j’ai le cul brûlant. Il se met alors devant moi et me baise la bouche en me tenant la tête pendant plusieurs minutes. Je ne peux absolument pas bouger la tête et je sens son gland taper à chaque fois au fond de ma gorge, j’ai des relents à chaque fois. Il s’arrête et m’ordonne :
– Sur le lit, allonge-toi sur le dos la tête au bord !
Il se met alors au-dessus de moi et continue de me baiser la bouche, je suis un véritable sac à bite pour lui. Sa bite rentre de plus en plus profondément dans cette position et j’ai le visage couvert de bave et de crachat. Après environ 10 minutes ainsi, il s’arrête pour me donner de nouveaux ordres.
– Dans la position de vraies chiennes !
Je me mets en levrette, le cul prêt. Je reçois une nouvelle claque sur les fesses. Il m’insulte et m’ordonne à nouveau de me mettre dans la position des chiennes à bites. J’hésite un peu, ne sachant pas quoi faire. Je recule alors et descends du lit, me mets face au lit, les jambes tendues et je pose le haut de mon corps contre le lit, j’écarte mes fesses avec mes mains et présente mon cul ouvert à mon baiseur. Il me demande alors mon nom. Étonné, je lui réponds « Karim » et c’est alors qu’il me compliment avec une phrase qui résonne dans mon esprit.
– Non, tu t’appelles Nadia, je vais te détruire le cul, tu vas entrer en transe tellement tu vas aimer ça ! Et tu sais pourquoi ? Parce que les salopes comme toi ont besoin d’aide pour découvrir qui elles sont, mais après, c’est les pires des putes !
– Qu’attendez-vous pour trouer le cul de votre chienne ? J’ai faim de bite, tu me viole ou pas ? Je suis là pour être prise bien comme une salope, défonce-moi, je veux ta bite ! Répondis-je de ma voix la plus chienne que je puisse faire, en le regardant dans les yeux.
Il me cracha un grand coup au visage puis me gifle, entra sa main si profonde dans ma gorge que j’ai cru vomir. Puis il utilisa la salive qu’il avait sur sa main pour me lubrifier rapidement en entra sa bite directement au fond de mon cul.
– AAAHHHHHH !!!
– Je vais te faire crier, grosse chienne !
– Ah oui, vas-y, baise-moi, han oui, c’est bon, j’aime la bite, je suis ta pute !!!
– C’est ça Nadia, t’es une bonne salope, t’encaisses bien pour une petite pucelle de 32 ans !
– Oui maître, encore, plus fort, je suis une pute, j’aime me faire défoncer, je t’appartiens ! Fais tout ce que tu veux de moi !
– Tiens, prends ça dans ton cul, grosse pute ! T’as un petit cul de salope, t’es bonne qu’à te faire baiser ! Ah putain, tu vas me faire jouir salope !!!
– Vas-y, tu voulais gicler dans ma bouche ? Vas-y, je suis ton vide couille !
– Trop tard, je vais t’engrosser comme une pute, oui je viens !!!
– Oh oui, vas-y, décharge-toi dans mon cul, c’est trop bon, c’est chaud !
Je sens alors mon baiseur qui se vide en moi et qui m’envoie un nombre incalculable de jets de foutre dans mes entrailles, je sens ce mélange chaud à l’intérieur de mon cul. Il reste dos sur moi, la bite dans mon cul quelques minutes avant de sortir et de me dire de rester ainsi, il va alors chercher un gobelet en plastique posé sur la table de nuit et me dit :
– Vide ton cul dans ce gobelet grosse pute !
Je m’exécute, je colle le gobelet à mon cul avant de le basculer haut en bas pour recracher le foutre. Je sens alors le liquide visqueux sortir de mon cul et la quantité que je recrache est impressionnante ! Je remplis 1/3 d’un gobelet normal. Encore très excité, mon violeur m’ordonne de me branler et de jouir à l’intérieur. Je n’ai aucun problème à jouir en quelques secondes et j’ajoute donc mon foutre au sien.
– Ferme les yeux, sac à foutre et ouvre la bouche ! Me dit-il sur un ton très autoritaire.
Je m’exécute et m’attends donc à recevoir le foutre du gobelet dans ma bouche. Jusqu’au moment où il le déverse en rigolant sur mon visage.
– Voilà une bonne salope ! Une pute comme toi mérite de se faire jouir dans le cul, d’avoir du foutre sur le visage mais également de le boire ! Ajoute-t-il en me donnant des coups de bite sur le visage et en s’amusant à étaler le foutre partout.
J’ai honte mais je suis excité, je ne bouge toujours pas, les yeux fermés, puis il ajoute à nouveau :
– Maintenant, tu vas récupérer tout ce bon foutre avec tes doigts et le boire !
J’obéis tant bien que mal, j’essaie de récupérer le foutre pendant plusieurs minutes puis il me dit d’arrêter… Pendant ce temps, il se rhabille et avant de repartir, il me dit :
– Va prendre une douche et va dormir grosse pute, mais surtout ne ferme pas ta porte, ma salope cette nuit…De toute façon, j’ai le code !
Puis il s’en va d’un rire moqueur…
FIN
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