J’étais arrivé en retard dans ce cour à la fac et j’avais trouvé une place à côté de cette fille. Tout le monde était fasciné par ce que disait la prof et tous les regards étaient tournée vers elle mais elle commençait à me fatiguer par son discours et je me suis mis à regarder ma voisine.
Elle aussi avait l’air fascinée par la prof. A la fin du cour, elle a ramassé ses affaires et elle est sortie de l’amphi. Je l’ai rattrapée un peu plus tard. Elle était en train de discuter avec une de ses copines. Je me suis mis de l’autre côté de l’angle du mur pour les écouter ;
-Non, je ne peux pas sortir ce soir ! J’ai du travail ! Déjà que je n’ai pas gagné beaucoup d’argent !
– Mais tu y passes des heures, lui a répondu une autre fille ! Ils sont vraiment radins !
– Se rincer l’œil, c’est tout, a fait une autre ! Tu n’en n’as pas marre de faire ce genre de job !
– Et faire quoi, lui a répondu la fille ? Je n’ai jamais trouvé rien d’autre et puis on m’a avancé le matériel ! L’ordi et les webcam ! Il faut que je rembourse !
– Tu peux pas faire des rencontres, lui a demandé une des filles ?
– Non, c’est interdit et je n’ai pas envie de me faire virer !
– Je me demande si je pourrais faire ce que tu fais, a demandé une autre !
– C’est ce que je me suis dite au début puis j’ai pris le pli !
– Quand même, se mettre à poil et se masturber devant des gens que tu ne connais pas, a fait une autre des filles !
– Oh, tu sais, quand on a besoin d’argent, lui a répondu la fille ! Je vais quand même pas me prostituer ?
– Moi, je l’ai fait pendant six mois, a avoué une autre ! J’avais honte mais je le faisais quand même ! Tu peux pas imaginer ce que j’ai dû faire ! Vous accepteriez de vous faire enculer même pour de l’argent ?
– Moi, je l’ai fait, a rajouté une autre fille ! Après qu’il m’a enculé, je lui ai réclamé du fric ! Il a raqué mais après tout, c’était dans l’anus ! Y’avait aucun risque !
Tout à coup, le groupe s’est dispersé et le hasard a fait que la fille de l’amphi est passée devant moi puis elle s’est arrêtée.
– Tu écoutais, m’a-t-elle demandé ?
J’étais paralysé.
– C’est des histoires de filles, a continué la fille puis elle a continué son chemin.
Je n’en revenais pas qu’elle m’ait adressé la parole pour me dire ça. Je l’ai suivie. En sortant de la fac, elle a ralenti puis elle s’est retournée pour me demander ce que je veux.
– Heu ! C’est vrai ? Tu travailles pour ce genre de site, ai-je bafouillé ?
Elle m’a répondu que quand on n’a pas de fric, il n’y a pas de sot métier ?
Je pouvais comparer avec ma situation. Mes grands-parents m’avaient laissé pas mal d’argent pour mes études et je n’en n’avais pas besoin d’autant si bien que j’en gâchais beaucoup pour des conneries. La fille a repris son chemin. J’ai fini par la ratt****r.
– Attends, je peux peut-être t’aider, lui ai-je dit pendant qu’elle continuait sa route ! Tu n’as pas de fric et j’en ai trop !
– Tu me propose de baiser pour du fric, m’a répondu la fille ?
J’ai bafouillé que non. J’étais mal à l’aise et je réalisais que je l’avais été beaucoup moins quand j’étais allé voir une pute avec mes potes. Elle s’était laissée faire et on l’avais baisée tous les trois, tour à tour dans chacun de ses trous. Ça n’avait pas eu l’air de la gêner.
– Non, ai-je continué à bafouiller ! Je veux juste t’aider, que tu arrêtes…
Elle m’a répondu qu’elle a un contrat et encore un mois à faire avant de pouvoir s’arrêter sinon, elle perdra tous ses gains et elle devrai rembourser pour le matériel.
Elle a quand même ralenti le pas.
– Tu aurais une chambre pour moi ?
– Oui, j’ai un trois pièces !
– Tu viendras pas m’embêter ?
– Non ! Pourquoi ?
– Attends, faut que je réfléchisse, m’a encore dit la fille ! On va s’arrêter sur un banc !
Nous sommes entrés dans le par cet on s’est assis côte à côte.
– Je te plais, m’a demandé la fille ?
– Je ne sais pas, lui ai-je répondu ! Tout à l’heure j’ai bandé à cause de ce que vous disiez avec les autres filles !
– Tu nous espionnais ?
– Non, c’est comme ça, par hasard, ai-je répondu à la fille mais je voyais bien que j’allais m’enferré.
– Tu fais vraiment toutes ces choses, lui ai-je demandé ?
Elle m’a avoué tout. Ses mamelons qu’elle tète, la masturbation avec ses doigts jusqu’à l’orgasme et le godemiché dans l’anus.
– J’avais honte de faire ça au début mais maintenant, c’est plus pareil et je crois que j’aime faire ça !
Je devais être rouge comme une tomate. Elle m’a demandé si je suis encore puceau.
– Tu as eu beaucoup de filles, a insisté la fille ?
– Non, une fois, une pute ! Je me masturbe ! Et toi ?
– Moi, tu vois, théoriquement je suis encore vierge même si je me suis servi de tous mes trous ! Tu penses que je suis une pute ?
Je ne pensais pas à ça.
– Tu as des gros seins !
– Je vois, m’a répondu la fille ! Ce soir je travaille ! Si tu veux, je t’invite à regarder et comme ça tu verras ce que je fais !
Je l’ai emmenée au McDo du coin puis je l’ai suivie chez elle. J’aurais bien voulu avoir du matos comme le sien. C’était fou et elle manipulait tout ça sans hésiter. Je l’ai vue montrer ses seins et se masturber puis s’enfoncer un godemiché énorme dans le vagin avant de l’enfiler dans son anus. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire qu’elle est une vraie pro et elle m’a dit de me déshabiller pour qu’on le fasse ensemble. Elle a insisté et j’ai fini par le faire. Elle ma sucé la bite devant la caméra puis je lui ai léché la chatte et elle m’a mis le godemiché dans l’anus. Je lui ai demandé si je peux la voir sur mon ordi mais elle m’a répondu qu’à moins de me servir d’un proxy. Elle m’a expliqué comment faire mais je n’ai rien compris. Elle s’est arrêtée à sept heures du matin puis je l’ai emmenée chez moi pour lui faire visiter l’appartement. La deuxième chambre me servait de débarras et j’y mettais mon vélo.
– Faudra un lit et une armoire, m’a dit la fille ! Un bureau aussi !
Je lui ai demandé si elle allait continué son job chez moi.
– Non ! Dans un mois j’arrête, m’a-t-elle répondu ! On est d’accord ?
Elle m’a tendu la main et j’ai topé. Elle s’est mise à rire.
– Bon, a-t-elle ajouté, maintenant, on baise ?
– Euh, oui !
J’étais paralysé. Elle a ajouté que je serai son premier mec et je lui ai répondu qu’elle sera ma seconde femme puis nous avons fait l’amour. Enfin, ce n’était pas très réussi. Je n’arriais pas à bander et elle m’a proposé de me branler pour m’aider mais j’ai joui dans ses doigts et elle m’a dit que ce sera mieux la prochaine fois.
– Et maintenant, fais-moi ce que tu veux, m’a-t-elle proposé ensuite !
Je lui ai demandé si je peux lui mettre mes doigts. Elle a ouvert les cuisses et j’ai enfoncé trois doigts dans son vagin.
– Oh, oui, m’a fait la fille ! Un fist ! Je n’ai jamais fait ça !
Elle m’a serré le pouce avec mes autres doigts puis elle m’a attrapé par le poignet et elle m’a forcé à enfoncer la main dans son vagin.
– T’as peur, m’a-t-elle encore demandé ? C’est amusant d’essayer ça ! On va y arriver ! Je me suis tellement masturbée avec le gode…
Elle avait raison et trois minutes après, ma main avait disparu dans son ventre.
– Tu vois ce que je t’ai dit, a-t-elle insisté ! Maintenant, fais-moi jouir !
Elle m’a donné le rythme puis elle ma laissé faire. Elle a fini par tomber en arrière sur le lit. Elle n’a plus arrêté de dire que c’est bon puis elle a eu son orgasme. Après, elle m’a demandé si je veux qu’elle reste dormir avec moi.
– Tu ne vas pas faire de bêtise, m’a encore dit la fille ?
Je me suis endormi avec elle et je ne me suis réveillé qu’à trois heures de l’après-midi. La fille était déjà sortie du lit. Elle m’a dit qu’elle doit aller à un cours et je l’ai laissée partir.
J’ai encore assisté à plusieurs de ses séances et j’ai même encore participé puis elle est venue habiter chez moi. A part la bouffe, ça ne faisait pas vraiment beaucoup de dépenses en plus. Je sortais avec elle et je lui donnais le surplus puis un jour, elle a voulu qu’on aille chez mes parents et je l’y ai emmenée.
– On parle pas de sexe, m’a-t-elle demandé en arrivant à la maison de mes parents. Ce que je ne savais pas c’est qu’il y aurait mon cousin qui n’a rien trouvé de mieux que de raconter qu’il lui arrive d’aller sur un site pour voir des filles. Il a même ajouté que ces « salopes » devraient avoir honte et mon père lui a dit qu’il les regarde quand même.
En arrivant à l’appartement mon amie a dit qu’elle doit m’emmener chez ses parents. On a fait ça un mois plus tard. Là, ça c’est quand même mieux passé. Personne n’a parlé de cul parce que ses parents étaient plutôt calotins. J’ai fini par dire à mon amie qu’heureusement elle n’est pas comme eux. Ça l’a fait rire et elle m’a avouer que jusqu’avant d’aller à la fac, elle ne connaissait que les écoles religieuses.
– J’aime bien quand tu me sautes, a-t-elle ajouté ! J’aime bien aussi quand tu m’encules ! Je fais tout ce qui te plaît !
Moi, ça m’allait. Ça s’est gâté quand je lui ai demandé de faire l’amour avec une femme. Elle m’a répondu qu’elle veut bien mais qu’elle n’est pas encore prête.
– Je ne veux pas faire de toi une lesbienne, ai-je insisté ! Je veux seulement que tu t’amuses !
– Tu appelles ça un amusement, m’a répondu mon amie ? Disons que je fais ça pour te faire plaisir !
Elle l’a fait. L’autre fille était une de ses copines qui a tiqué quand elle a su que j’allais les regarder. Elle a même dit que je ne devrais pas filmer mais dans la bataille, c’est ce que j’ai fait puis nous avons regardé le film sur la télé. Les deux filles n’ont pas arrêté de glousser.
– J’ai fait ça, disait l’une !
– J’ai fait ça, disait l’autre !
A la fin du film, elles m’ont piqué mon potable et elles ont effacé le film tout en ne sachant pas qu’il était déjà sauvegardé sur mon cloud. Une fois sa copine partie, j’ai remis le film sur la télé. Mon amie a semblé fascinée.
– Tu aimes ça, ma salope, lui ai-je lancé ! Tu aimes ça !
C’était à un moment où elle se faisait lécher la chatte par son amie.
– Tu aimes ça !
J’ai baissé sa petite culotte sur ses genoux et je l’ai enculée.
– Ah, mon dieu, a fait mon amie, tout en passant sa main droite sous son ventre ! Ah, mon dieu !
Elle ne quittait pas l’écran d’une seconde et elle se masturbait et moi je l’enculais.
– Ah, mon dieu, a encore fait ma copine !
Il était temps de s’endormir. J’avais joui dans son anus. Elle a pris un bout de papier qu’elle a froissé et elle se l’est mis comme un bouchon puis on s’est endormis. Le lendemain matin, c’est moi qui lui ai dit que quand on aura fini nos études on se mariera.
-Ah, mon dieu ! Tu as vu comment je suis, m’a-t-elle répondu ?
Elle se regardait dans le miroir de l’armoire et ses seins étaient tout raplatis. Je lui ai dit que j’ai encore envie. Elle m’a dit de me dépêcher et cette fois, je l’ai prise dans la bouche où j’ai joui. Elle a avalé mon foutre. Maintenant, il était temps de se préparer pour aller au mariage de ma cousine mais c’est une autre histoire.
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