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Naissance d’une s….. – 1 –

Naissance d’une s….. – 1 –



« Tu n’as qu’à prendre un amant !! » M’avait lancé, presque jeté à la figure, mon mari en réponse à mes reproches sur son manque d’attention à mon égard.
Mon air renfrogné, mes yeux lançant des éclairs lui avaient tout de suite, fait regretter ses propos.
Avant de claquer la porte de l’appartement derrière moi, j’avais tout juste eu le temps d’entendre ses excuses.

Une heure plus tard, j’avais les jambes écartées et, au milieu d’elles, un inconnu me besognait.
En dix ans de mariage, c’était ma première entorse au contrat et je ne la regrettait pas…..!!

A peine installée au comptoir de ce bar de quartier dans lequel j’avais échoué , furieuse, malheureuse que mon amour ait pu me traiter comme ça , qu’un dom Juan de banlieue, tout juste post achnéique, touchant de maladresse m’avait abordée.

Ses 2 copains installés au fond de la salle nous regardaient en rigolant connement , comme les ados retardés qu’ils étaient restés.
Mon dragueur avait du perdre un pari, ou peut être , étais je l’enjeu d’un concours pour savoir qui avait la plus longue… Quoi qu’il en soit, il n’était pas désagréable à regarder, pas vraiment mon genre mais plutôt attirant.

J’avais eu envie de m’amuser.
A peine avait il fini son compliment malhabile sur « mes yeux d’un bleu aussi profond que le bleu de l’océan » que je l’avais attiré vers moi pour lui coller un patin mémorable.
Ses amis en étaient restés bouche ouverte…
– « Rejoins moi dans les toilettes des femmes . J’espère que tu as une capote . » Lui avais je susurré l’oreille …
Il ne s’était pas fait prier et, quelques instants après, assise sur la cuvette, je baissais la braguette du jeune homme tout en le regardant dans les yeux.
J’avais extirpé de son caleçon un joli engin, assez long mais un peu moins large que le calibre de mon mari.
Il sentait un fort mais , excitée comme une puce, je n’avais pas hésité à le prendre en bouche et à entamer une , j’espère pour lui, savoureuse fellation.

Pendant que ma bouche allait et venait sur son sexe, ma main fouillait ma fente trempée, mes doigts trouvaient mon clitoris et me procuraient un plaisir grandissant.
J’avais vite senti que mon amant ne supporterait plus bien longtemps mon traitement et j’avais envie de plus.
Passe moi la capote, j’ai envie de me faire mettre !! Avais je presque crié d’un ton volontairement vulgaire.

Il avait fouillé sa poche et m’avait tendu le sachet que j’avais ouvert , puis j’avais déroulé le plastique sur son membre tendu à l’extrême.
Je m’étais ensuite relevée, j’avais enlevé mon string noir, avais pris appui contre le mur, le cul tourné vers le jeune homme et j’avais relevé ma robe en une explicite invite à me baiser.
J’avais senti sa main guider sa bite vers mes parties intimes, trouver l’entrée et , ses mains posées sur mes hanches, mon amant avait commencé à me troncher.

Un bruit dans la cabine voisine avait attiré mon attention et, relevant la tête, j’avais aperçu les trombines de ses copains entrain de nous matter par dessus la cloison.
Loin de m’effrayer, me sentir ainsi exhibée avait eu le don de m’émoustiller davantage.
Mes fesses étaient venues plus violemment cogner le pubis de l’homme et , alors que ma jouissance arrivait, j’avais nettement perçu grossir en moi le vit et, en un grognement étouffé, mon amant jouir.

A peine s’était il retiré que j’avais ôté la capote du sexe redevenant flasque, y avais fait un noeud et jeté dans la cuvette. J’étais pressée…
J’avais relevé les yeux. Nos voyeurs étaient toujours là. D’un signe de tête je les avais invités.
J’avais presque mis dehors mon galant et ses potes s’étaient empressés de prendre sa place.

Je m’étais assise sur l’abattant , j’avais écarté les cuisses et demandé à l’un d’eux de me lécher. Il s’était précipité et , un peu rudement , j’en conviens, il avait commencé à me gamahucher .
J’avais prié le second de baisser son pantalon et j’avais découvert une queue vraiment grosse, aux veines bien apparentes, circoncise, avec un gland pareil à un champignon.
J’avais eu envie d’elle…

– Tu veux m’enfiler ? Avais je demandé ?
– Oh oui Madame ! . M’avait répondu le jeune homme rouge de timidité.
Les mains tremblantes, il avait eu du mal à enfiler le préservatif et , une fois protégé, je l’avais fait prendre ma place.
J’avais empoigné son mandrin et m’étais laissée tomber sur lui.
J’avais immédiatement ressenti un profond bien-être à emmanché par cet organe et , mon lécheur se sentant délaissé, j’avais décidé de le prendre en bouche.

J’étais tellement émoustillée que ma jouissance était vite arrivée, mon vagin se contractant avait fait venir mon amant et le 3 eme larron avait déversé ,en suivant, son sperme dans ma bouche alors que sa bite étouffait mes râles de plaisir.

J’avais à peine fait attention, prise que j’étais, à la sonnerie incessante de mon portable. J’y jetais un oeil : 10 appels en absence de mon mari, autant de messages . Je le coupais.

A l’étroit dans la cabine nous nous étions rhabillés à la va vite et , les garçons m’avaient devancés au bar.
Tandis que je les rejoignais sous le regard égrillard du patron qui n’avait pas été dupe de notre manège, j’avais soudain eu honte de ma conduite.
Comment moi, une femme mariée, fidèle à son époux avait elle pu se conduire comme la dernière des salopes ?
Je dois avouer que ce moment passa vite, très vite, tant les contractions de mon bas ventre me rappelaient mes fabuleux derniers instants.
Je sus alors que rien ne serait plus jamais comme avant.
Pandore avait ouvert la boîte, qui saurait la refermer ?

Mes nouveaux amis m’avaient à boire et , un peu décoincés, leurs mains s’étaient égarées à tour de rôle sous ma robe. Mon string, sagement placé dans mon sac à main, n’avait pu les empêcher de me fouiller. J’avais même écarté les cuisses pour leur faciliter la tâche.
Et puis ils avaient dû partir rejoindre leurs copines. Ils avaient insisté pour avoir mon 06, je n’avais consenti qu’à prendre le leur.
Peut être les rappèlerai je , surtout celui qui m’avait procuré la plus grande émotion ?

Je commençais à envisager le départ moi aussi, quand alors que son bar s’était vidé, ne restant qu’un vieux monsieur perdu dans ses pensées , le patron s’était approché de moi.
«-  Puis je vous offrir un verre ?
Je le regardai plus attentivement. Brun, la cinquantaine, un léger embonpoint naissant , une petite calvitie , l’air sympa, il inspirait confiance.
– Pourquoi pas. Un doigt de whisky, s’il vous plaît, avec juste un glaçon.
– Tout de suite. Cela vous ennuie t il si je baisse le rideau ?
– Non , du tout . 
La présence du dernier client me rassurait.

Nous avions trinqué et il avait repris :
– Puis je vous poser une question indiscrète ?
J’acquiesçais en haussant les épaules .
– Vous avez l’air d’une sage bourgeoise , que vous est il arrivé ?
– Une simple dispute avec mon mari, un désir de vengeance, que sais je .
– Vous regrettez ?
– Non, j’ai aimé ça…

Croyant ne plus avoir affaire à lui à l’avenir, je me lâchais complètement. Peut être avais je besoin de verbaliser ? Bref, je lui avouais que j’avais adoré me conduire en salope, que j’avais eu quelques instants de gêne, un relent sans doute de tant d’années d’éducation stricte , mais qu’au fond de moi, je savais que ce ne serait pas la dernière fois.

Ses yeux gris étaient plongés dans les miens et j’avais du mal à soutenir son regard .
Il était passé subitement au tutoiement :
– Veux tu que te t’aide à assouvir tes fantasmes ? Que je te protège dans tes aventures ?
Il avait senti que j’étais prête….
Une énorme chaleur était montée à ma tête, j’avais baissé les yeux et j’avais murmuré un petit « oui »
– Je ne veux rien savoir de toi. Tu es libre. Voici mon téléphone. Tu m’appelleras quand tu en auras envie… Mais je sais que tu ne tarderas pas !!

L’idée m’avait faite fondre , mon excitation était remontée d’un cran, mes mains s’étaient mises à trembler, mon regard s’était voilé…
Il s’était rendu compte de mon émoi..
– Ça te fait de l’effet dis donc..!

Je n’avais pu que lui sourire….
– Tu vois pépère là bas ? M’avait il demandé en désignant le vieux monsieur perdu dans son verre de bière .
Il aurait besoin de réconfort …

Je le regardais interdite, n’osant comprendre son allusion.
– Ne te fais pas prier, vas t’occuper de lui . Tu vas voir il bande bien pour son âge.
L’esprit confus, je ne m’étais pas demandée comment il pouvait bien le savoir. Tel un automate, je m’étais levée et m’étais approchée du vieil homme.
Mes talons claquant sur le carrelage lui avaient fait lever la tête. Il avait un joli visage , le front un peu ridé encadré d’épais cheveux blancs.
Je m’étais forcée à lui parler un peu fort, en souriant:
– Vous avez l’air triste Monsieur, puis je vous apporter un peu de plaisir?

Bien entendu il n’avait pas eu l’air de comprendre . Je m’étais alors glissée sous la table et avait caressé son entrejambe. Il n’avait pas esquissé le moindre geste.
Alors que je commençais tout juste à baisser la braguette, j’avais entendu le patron des lieux lui dire :
– Laisse toi faire ,Papa, c’est une bonne pute !

J’en avais été toute à la fois humiliée et excitée.
Fièrement j’avais été au bout de ma fellation, faisant raidir le membre du papy et le branlant pour le terminer dans ma bouche.
Il avait éjaculé un petit peu de sperme que j’avais avalé devant son fils . Puis, impertinente jusqu’au bout, j’avais embrassé le paternel , ma langue se mêlant à la sienne.

J’avais repris mon sac à main et m’étais dirigée vers la sortie..
– Au revoir Florence. A bientôt…
Ce n’ètait pas une question, c’était une affirmation …Mais , comment connaissait il mon prénom ?

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