Je vais vous raconter ma première fois, avec une fille nommée Elodie.
J’avais 19 ans et elle 18, et nous n’étions pas du même lycée. C’était une fille blonde aux yeux bleus, de ma taille et avec une poitrine que j’estimerais à 80D ; Un couple d’amis qui nous avait présenté, dans un bar.
Au début, nous nous voyons régulièrement dans ce même bar, et, discrètement, la plupart des fois ou nous étions que tous les deux, je passais ma main sous son t-shirt pour lui caresser les seins, tout en l’embrassant. Elle était très timide et elle ne voulait pas qu’on aille plus loin que ce que je lui faisais avec ses seins.
Puis, vint un jour, dans un autre bar, où je décidais de prendre les devants. Nous nous étions installé à l’étage de ce bar, isolé des autres personnes qu’il pouvait y avoir.
Comme à chaque rendez-vous, je lui caresser les seins, passait la main sous son soutif pour bien toucher le mamelon, tout en l’embrassant. Puis je décidai de commencer à lui caresser la cuisse. Elle se mit à trembler de plaisir, au fur et à mesure que ma main remontait sur son jean. J’arrivai alors à la fin de mon parcours, et je commençai à lui caresser les lèvres à travers le jean. Elle me repoussa avec sa main, pour se donner le temps de réfléchir si elle était prête, mais, me voyant insister, me laissa continuer.
Alors que j’essayer de contourner subtilement son jean pour passer ma main au-delà du jean, elle me repoussa brusquement : une personne venait de débarquer dans la pièce. Celle-ci n’avait rien vu mais il s’en était fallu de peu. La journée passait peu à peu et nous dûmes rentrer chez nous. Je la raccompagnai chez elle et c’est là qu’elle m’a dit qu’elle était prête à aller plus loin.
Je l’invitai donc chez moi la semaine suivante, durant les vacances de février. Je l’invitai à monter dans ma chambre, et nous nous assîmes sur le lit. Je lui ai dit :
« – Bon, et bien, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? », tout en me levant pour aller fermer la porte de ma chambre. Elle me répondit
« – J’ai un peu peur…
– De quoi donc ?
– J’ai peur que tu me trouve moche toute nue…
– Tu es magnifique mon ange, ne t’inquiète pas, tu veux que je tire le rideau ?
– Oui »
Je m’exécuta et me rassis à côté d’elle. Nous nous embrassions puis elle s’allongea sur le lit, tout en m’embrassant. Je commençais à la déshabiller. Je commença par son pantalon, puis son t-shirt. Elle était désormais en sous vêtements, et elle m’enleva mon t-shirt à son tour. Je l’embrassais de partout où je pouvais ; et je passais mes mains en dessous de son soutif. Puis, d’une main dans son dos, je lui dégrafais le soutif, et commença à sucer ses seins. Elle semblait adorer, de part les tremblements et les soupirs qu’elle adorait. Puis, je commençais à descendre, progressivement, bisous après bisous sur son ventre jusqu’à arriver au niveau de l’entrejambe. J’étais alors encore que torse nu, et je marqua une pause pour enlever mon pantalon, et me repositionna face à son entrejambe, caressant de mes doigts son sexe à travers sa culotte noire en dentelle. Je devinais à travers qu’elle s’était entièrement épilée pour l’occasion. Je continua mes caresses, à travers sa culotte, je remontais et redescendait le long des lèvres, puis entre ses lèvres. De mon autre main, je lui caressait ses seins, ainsi que sa bouche, où elle ne pris pas longtemps avant de me sucer le doigt.
Je passais alors ma main dans sa culotte et remontais pour l’embrasser. Pour la première fois je touchais un sexe féminin. Puis elle commença à enlever sa culotte que je fini d’enlever moi-même.
J’approchais donc ma tête de son sexe encore vierge et commença à le lécher. Le goût ? Salé ! Ca répondait à une question que je m’étais souvent posée.
Je continua à la lécher, entre ses lèvres, tandis qu’elle passait sa main dans mes cheveux, ce qui me motiva encore plus. Puis, je commençais à essayer de faire rentrer un doigt, l’index. Je la sentis frissonner à ce moment là. Elle sentait que je n’allait pas tarder à y introduire mon sexe, alors, elle me dit « Fait doucement, je ne veux pas avoir trop mal » et je lui ai répondu « Ne t’inquiète pas mon ange, je ferais tout pour que tu ai le moins mal possible » [C’était sa première fois pour elle aussi].
Je me mettais à genou sur le lit et j’enlevais mon caleçon. Elle, couchée sur le dos, je me positionna, et commença à rentrer un doigt, puis deux. Je décidai alors d’introduire mon sexe dans le sien. Au début, je n’y arrivai pas, elle dut orienter mon sexe avec ça main pour le positionner correctement. Son trou était assez étroit, et je me souviens que les premières introductions étaient dures de par son étroitesse.
Tout en l’embrassant langoureusement, j’essayais doucement de rentrer mon sexe jusqu’au bout dans sa chatte. Je sentais mon gland découvrir de nouvelles contrées. Ma verge découvrait doucement la gentillesse de ses lèvres.
Il y avait là deux introductions dans elle : ma langue, et mon pénis.
Puis j’accélérais le mouvement, alternant ses seins et sa bouche. Tandis que ma main continuait à se balader. J’arrivais vers son anus, où je m’arrêta un instant pour lui caresser. J’ai a nouveau senti un de ses frissons à ce moment-là, mais je décidais que les sensations d’aujourd’hui était suffisante, d’autant plus qu’on avait déjà discuté de la sodomie ensemble et elle n’était pas d’accord, du moins, à ce moment-là [NDR : j’aurais du tenter].
Et puis, à force de soupirs et de tremblements, je me lâcha en elle.
Côte à côte sur le lit, nus, nous nous embrassions. Puis elle se releva, s’attacha les cheveux.
Nous descendions pour aller manger un petit peu puis nous recommencions l’affaire.
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