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Esclave sexuelle 5

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La petite rosace

Comme Eric l’avait annoncé, on partit une semaine dans les Antilles. Ce n’était pas un voyage d’affaire comme il l’avait annoncé, mais plutôt un voyage fait pour me récompenser de mon travail et de mon obéissance. Bien qu’il n’y eu aucun rapport sexuelle entre nous, je goûtais au plaisir du soleil. Je dormais tard le matin et faisait du shopping en début d’après midi. A partir de quinze heures, j’enfilais le minuscule bikini qu’il m’avait demander de porter tout le long de notre séjour et m’installais dans un hamac au soleil. Il avait loué une résidence au bord de la plage de tel sorte que nous étions seuls. C’était des vacances de repos tant intellectuel que physique. On avait un employé qui s’occupait très bien de nous.

Mon amant, quand à lui, s’occupait à me passer de l’huile solaire sur mon corps, me provoquant à chaque fois des frissons. Pas une parcelle de ma peau n’était omise. Je me retournais afin qu’il délie la ficelle de mon soutien-gorge, et laissais courir ses doigt huileux sur ma peau. Ces légers attouchements, permettaient de conserver le désir en moi.

Le soir, après le dîné, on allait sur la plage et on se promenait un peu sous la lune flirtant comme deux jeunes mariés. Je me déshabillais ensuite et allais plonger nue dans la mer chaude. C’était très agréable de se sentir dans la nature toute nue.

Un jour, alors que je somnolais dans mon hamac, il vint à nouveau passer de l’huile solaire. J’aurais pu faire de l’intégrale mais il adorait voir des marque de maillot sur une peau bronzée. Je gémis à nouveau lorsqu’il commença à huiler mon corps. Cette fois là, il retira mon brésilien et apprécia la marque du maillot. Je m’écartais de moi même afin qu’il enduise mes cuisses et mon pubis. Il alla même sur mes lèvres les lissant doucement ce qui provoquait invariablement mon plaisir. L’huile se mélangea avec mes liqueurs. J’aimais lui montrer le résultat de ses caresses. Il savait qu’à force de me caresser ainsi, il me faisait approcher de l’orgasme.

Je sentis le hamac bouger alors qu’il grimpait avec moi. Il était nue. J’écartais mes cuisses afin de l’accueillir en moi. Après quatre jours d’abstinences mise à part les caresse afin d’entretenir mon plaisir, j’étais contente de faire l’amour. Je remarquais que l’employé nous regardait, et cela accentua mon plaisir. Il plongea dans mon sexe et on fit l’amour sauvagement. Heureusement que le hamac était de bonne qualité. Je me demandais si il existait des tests de résistance avec un couple faisant l’amour.

Je remarquais que pour la première fois, il semblait s’intéresser à mon anus. Il savait que j’aimais qu’on me le lèche, où qu’on y plonge deux doigts, mais là il semblait qu’il désirait un peu plus. Il s’aida de l’huile solaire afin de lubrifier les parois.

Je protestais sentant l’échéance arriver. Je lui dis que j’étais vierge de ce côté là. J’aurais du m’abstenir de dire cela car cela le poussa encore plus dans ses convictions. Il sortit alors son sexe gluant de ma chatte et le présenta à l’entrée de mon anus. J’essayais de m’en extraire, mais il était plus fort que moi. Je fus surprise de voir avec quel facilité il entra en moi. J’eus mal au début, cherchant de l’air tellement j’avais crié lors de son introduction, mais petit à petit je me mis à apprécier cette nouvelle sorte de plaisir. Je sentais que j’allais bientôt en demander un peu plus souvent. On jouit ensemble, lui m’inondant le cul à grosse giclée.

Il vint alors m’embrasser me remerciant de lui avoir offert le dernier rempart de ma virginité.

Mon mari m’avait souvent demandé de pratiquer la sodomie, et je lui avais toujours refusé de peur d’avoir mal. J’étais un peu honteuse, que ce ne soit pas lui qui m’ai déflorée.

Eric descendit et m’aida à descendre à mon tour. Le corps luisant de sueur on entra dans la maison, bras dessus, bras dessous. Je revis l’employé et lui adressais un clin d’œil complice. Le savoir présent, m’avait donné encore plus de plaisir. Il me laissa ensuite seule dans ma chambre où je m’allongeais sur le lit afin de récupérer un peu. Je somnolais, nue, les jambes écartées. Une douce caresse buccale sur mon intimité me réveilla. Le jeune employé s’occupait de moi avec douceur. Je fermais les yeux et gouttais à la douce caresse. Je jouis avant de me rendormir.

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