L’ascenseur s’arrête, un homme entre, appuie sur le bouton. L’ascenseur repart vers les étages.
23 ans, jeune et jolie femme aux longs cheveux bruns et yeux noisette, Mélanie le regarde sans appréhension. Elle a le visage d’un ange, le sourire radieux, les yeux pétillants de bonheur. Elle a les mains posées sur son petit ventre rond. Cela donne un air épanoui à sa silhouette de future maman.
L’ascenseur n’a parcouru que quelques mètres, quand le nouveau venu appuie sur le bouton rouge. L’appareil s’arrête, le bouton clignote. L’ascenseur est arrêté entre deux étages. Mélanie le détaille, amusée, gardant sur son visage son sourire presque enfantin. Elle est belle, très belle, et l’homme en convient. Elle lui sourit, sans comprendre pourquoi il a arrêté la cage.
La cinquantaine, bien mis, très distingué, tempes grisonnantes, cet homme mur respire la tranquillité et la sagesse. Il ressemble à son père, d’ailleurs, elle le trouve beau, séduisant en tout cas, comme son père. L’homme s’avance, s’approche d’elle. Mélanie le regarde avancer, faire les deux pas qui le sépare d’elle. Elle tressaille mais ne bronche pas. Elle est contre la paroi de la cabine. Il est devant elle, presque à la toucher. Que lui veut-il ? Elle n’a pas peur, n’est pas anxieuse, juste intriguée. Elle a en elle une sorte de … sérénité. Son état la rend forte, elle se dit qu’elle est heureuse, invulnérable, que la vie est belle. Elle n’a pas de raison d’avoir peur, cet homme ne peut pas lui vouloir de mal.
La main se pose sur son ventre, le caresse un instant, elle est troublée par cette caresse inattendue. La main remonte plus haut, en direction de sa poitrine. Mélanie ne bouge pas, ne dit rien, elle reste adossée à la paroi de la cabine et regarde cette main qui se promène sur elle, caresse son corps. Elle respire plus vite, son cœur s’emballe, mais elle n’a pas peur, c’est l’émotion, simplement. Il la caresse, s’approprie son sein. Elle regarde cette main qui se referme sur son sein gauche, le pelote. Elle ressent dans sa chair cette émotion, ce toucher. Instantanément, elle sent son bout durcir. Elle ferme les yeux un instant, submergée par l’émotion. Elle flotte, c’est étrange. Elle ne s’était jamais trouvée dans pareille situation et n’avait jamais ressenti une pareille émotion sous les caresses d’un homme. Elle est comme … anesthésiée. Elle ne peut se soustraire à ses caresses. Elle devrait fuir, crier, tenter de se débattre, mais, étrangement, elle reste passive, laissant l’homme disposer d’elle, de ses seins. Elle rouvre les yeux, regarde à nouveau cette main qui la touche. Elle ne peut détourner son regard de ce qu’il est entrain de lui faire, passive. Il lui prend le sein, le presse fermement, comme pour juger de sa fermeté, elle ne dit rien, étrangement passive, ressentant dans son corps cette incroyable émotion des caresses d’un homme qui pourrait être son père. Elle ne réagit pas d’avantage en voyant l’autre main se poser sur son sein droit. La main se referme dessus, le presse à son tour, puis cherche le bout au travers du tissu. Mélanie a un spasme, ses paupières se ferment à nouveau une fraction de seconde. Elle souffle d’émotion mais reste toujours aussi passive, totalement incapable de se soustraire aux caresses de cet homme. Elle est forcée, mais elle ne semble pas en avoir conscience, vaincue par un étrange état de torpeur qui gagne tout son corps. Elle ne se sent pourtant pas en danger, n’a pas peur, se laisse aller, se laisser peloter contre la paroi de l’ascenseur.
Une main abandonne son sein, descend sur son ventre, le caresse à nouveau. Mélanie aime cette caresse sur son ventre, tandis qu’il lui malaxe toujours la poitrine. Puis, lentement, la main descend vers le bas du ventre, sans rencontrer la moindre résistance.
L’homme à l’impression que la jeune femme attendait cette caresse. Mélanie le sent glisser sur son bas ventre, les doigts la touchent, les doigts s’incrustent, les doigts la palpent. Elle souffle à présent, gémit à nouveau mais se laisse faire. Enfin, elle réagit. Son corps bouge, ses lèvres s’ouvrent, elle souffle, le regard agrandi par la surprise et l’émotion.
– Je … je suis enceinte !
– Hum, je sais, j’ai vu ! C’est pour çà que je t’ai choisie !
– Ha ! Mais … mais … pourquoi … qu’est-ce que vous faites !?
– Je te caresse Mélanie. Rassure toi … je ne vous ferai aucun mal, ni à toi … ni à lui … Vous avez besoin de caresses, tous les deux. Vous avez besoin qu’on vous fasse du bien. Tu en as envie, toi aussi. Tu aimes ce que je te fais, çà se voit ! Je te touche … et tu aimes çà. Tu en as envie Mélanie, ton corps le réclame … sens mes doigts!
– Huummmpppffff !
Sur cette affirmation, les doigts crochètent son sexe, s’enfoncent entre ses jambes, la forcent à écarter les cuisses. A travers le tissu, elle sent ces doigts prendre possession de son sexe, le masser entre les cuisses. Elle se pose des questions, mais ne peut se résoudre à fuir cet homme, à se débattre.
– Tu vois … tu aimes çà Mélanie. Tu aimes que je te touche là !
– Ohh! Vous … vous connaissez mon nom ?
– Je sais tout de toi Mélanie, tout ! Même tes désirs et tes envies …
– Oh, pourquoi ?
– Parce que … tu es belle Mélanie. Tu es jeune, et … tu es enceinte. C’est beau un corps de femme enceinte. C’est rond, c’est plein, c’est tendre. Les seins sont tendus, gonflés de vie, faits pour l’amour. Les tiens sont parfaits, si j’en juge, bien pleins, bien fermes et bien remplis. Je les ai sentis … bander sous mes doigts. C’est la preuve qu’ils apprécient mes caresses. Et la chatte d’une femme enceinte … tu sais que c’est très beau ? Le mont de vénus gonflé, les lèvres enflées, et cette liqueur abondante … le sexe d’une femme enceinte est fait pour être caressé, et ne demande qu’à être enfilé !
– Ummpppfff ! Nooonn!
– Tu vois, tu t’ouvres à mes caresses, oui, c’est çà … écartes les cuisses Mélanie. Ouaiiisss !!!!
Mélanie suffoque à moitié sous l’émotion ressentie. Ses cuisses se séparent malgré elle. Elle ne comprend pas pourquoi, elle ne comprend pas comment, mais elle continue de se rendre, elle s’ouvre même aux caresses. Elle ressent dans son corps et dans son ventre les doigts qui jouent à présent avec son sexe. Il lui caresse la vulve à pleine main, une main passée à plat sur sa culotte. Il lui a retroussé la robe sur le devant. Ses cuisses sont découvertes, on voit la main masser son pubis, glisser sur sa fente, s’incruster entre ses lèvres en s’insinuant dans le tissu. Mélanie a un nouveau spasme sous la caresse précise. Elle plaque ses mains de chaque côté, contre la paroi, s’abandonnant définitivement aux caresses. Ses yeux se ferment par intermittence, selon la pression des doigts sur son sexe. Mélanie se rend, se laisse aller, sa tête fait non mais son corps se donne.
– Nooon … oh noonnn ! Qu’est-ce que vous faites !?
– Je te caresse Mélanie, et t’aime çà ! Tu coules, ta chatte se donne, sens mes doigts sur toi !
– Oh noonn !!!
– Ouais ! C’est çà. C’est bon, hein ? Ouvre toi Mélanie. Donne moi ta chatte. Laisse moi la prendre, je sais que tu en as envie Mélanie … tu as envie que je te l’enfile !
– Je … je suis mariée …
– Oui, je sais ! Et il te fait l’amour, mais tu as besoin de plus, Mélanie. Tu as besoin de jouir d’un autre. Tu as besoin de jouir de moi, de me sentir en toi, dans ton ventre. Prends moi en toi Mélanie !
– Ummmppfff ! Non … ohhh!
Mains plaquées contre la paroi de la cabine, Mélanie ressent fortement les caresses. L’homme la branle maintenant, deux doigts passés dans l’élastique de sa culotte. Elle tremble d’émotion: un homme la touche, un homme la branle … et il lui fait du bien. Son ventre se donne, son ventre s’ouvre. Elle sent sa chatte gonfler et elle mouille en abondance. Elle ne peut cacher son état. Cet homme est diabolique. Elle ne le connaît pas, pourtant, il la touche, la pelote et lui branle le sexe. Il prend peu à peu possession de son corps et elle se sent bien, étrangement bien sous ses doigts.
L’homme continue de la caresser et de la peloter. Les doigts glissent entre les lèvres de sa chatte, l’autre main lui pelote doucement le sein gauche. Soudain, il s’arrête et entreprend de déboutonner le haut de la robe. Mélanie regarde sans protester, sans réagir autrement que par des gémissements, cette main qui la déboutonne. Il écarte le haut de la robe, faisant saillir une poitrine fabuleuse, tendue sous un soutien gorge de dentelle noire. Gentiment, mais fermement, il fait glisser le haut de la robe sur ses épaules. Mélanie ne proteste pas, décolle même son dos de la paroi, lui facilitant le travail. Il ne lui laisse pas le temps de réfléchir, passe ses mains dans son dos et se saisit de l’attache du soutien gorge. Mélanie le regarde, les yeux troubles, il est entrain de la dénuder et elle se laisse faire.
– Ouais ! C’est bien Mélanie. Tu es belle, tu as envie d’être caressée. Montre moi tes seins, tes seins merveilleux, remplis d’amour … fais les voire … montre les …donnes moi les !
– Oh! Noonnn!
A nouveau, Mélanie dodeline de la tête. Son regard se trouble encore plus tandis qu’elle sent son soutien gorge se relâcher. L’homme tire à lui le sous vêtement, l’entraînant dans son mouvement. Mélanie se retrouve seins à l’air, souffle bruyamment, regarde cet homme qui la pelote, regarde la main qui s’approche à nouveau de son sein et qui va la toucher. Les doigts prennent possession de son bourgeon et le font rouler délicatement. Mélanie en a un spasme.
– Ouuuaahhh! Noonnn!
– Ouaiisss ! C’est bon hein ? T’aimes çà hein ? Laisse toi aller Mélanie. Laisse moi prendre tes seins … et les goûter …
L’homme approche sa bouche du téton durci et le gobe. Mélanie rue sous la caresse, se trémousse mais ne se dérobe pas. Elle se fait sucer les seins et en gémit de plaisir. L’émotion la secoue. Son ventre se noue, son ventre sur lequel la main parcourt toujours sa nudité, deux doigts glissant entre ses cuisses ouvertes. Son ventre se donne, ses cuisses s’écartent encore, les sensations sont incroyables. Les doigts écartent ses lèvres humides et courent sur son clitoris. Un nouveau spasme lui traverse le ventre, elle écarte les genoux provoquant un léger tassement du bassin, elle va au devant des doigts qui l’explorent, au devant de la pénétration qu’elle désire maintenant, qu’elle réclame avec impatience.
Elle veut cet homme en elle, elle veut sentir ses doigts la visiter, pénétrer son ventre, ce ventre qu’elle a toujours réservé à un seul homme.
Inconsciemment, elle se donne à cet inconnu. Et soudain, elle crie, un cri de plaisir malgré ses dénégations. Un doigt s’enfonce dans son ventre, lui enfile la chatte:
– Oôôôôaaaaahhhhh! Nooooonnnnn ! Qu’est-ce que vous faites … Vous êtes … dans moi ! Oooohhhh!
– Je t’enfile la chatte Mélanie … je sais que tu aimes. Je sais que c’est çà que tu veux ! N’est-ce pas Mélanie ?
– Oohh! Ouaiiiss! C’est … c’est fort !!!
– Je vais t’en mettre un autre Mélanie … dedans … bien au fond …
– Huuummmppfff!
Mélanie souffle, donne du ventre, se laisse doigter par cet inconnu. La sensation dans son ventre est trop forte, trop bonne, trop excitante. Elle ne peut résister. Elle s’ouvre encore, pour se sentir remplie.
L’homme sort de son vagin mouillé puis s’enfonce à nouveau en elle. Elle rue à nouveau, râle de plaisir sous la poussée.
– Huuummmppfff! Oouuaaahhh !
Deux doigts la pénètrent à présent, tout au fond de son ventre, tout au fond de sa chatte. Ils glissent en elle et la fouillent dans son intimité. L’homme la regarde ruer de plaisir, souffler sous l’excitation croissante. Son ventre rond est pris de spasmes.
– Tu as déjà eu un amant Mélanie ?
– Hofffcchhh ! Non …
Puis regardant le ventre rond:
– Le papa … c’est ton mari ?
– Ouaiiis ! Oh … ouiiiiii !
– Et avant lui … t’as eu … d’autres hommes ?
– Oh! Un … un seul …
Toute à ses sensations, Mélanie répond machinalement aux questions de l’inconnu, sans se soucier de son indiscrétion. Elle lui répond comme à un confesseur, sans tabou, sans se poser de question, sans savoir pourquoi elle le fait, excitée par ces questions, excitée d’y répondre sans détour.
– Donc, tu as déjà eu un amant ! Avant ! Et … c’est … celui là, qui t’a … baisée le premier ?
– Ouaiisss! Oh ouais !
– Et depuis, tu n’as jamais eu d’amant Mélanie … pourtant, je sais que t’en as envie maintenant ! Regarde, ton ventre se donne. Ta chatte le réclame. Sens ! Sens mon doigt dans ton ventre. Et tes seins qui gonflent. Ta chatte, ta petite chatte le réclame Mélanie. Elle coule, elle a envie de se faire enfiler … sens moi… dans ton ventre …
– Ouaaahhh ! Ouaiiiisss ! C’est … fort !!!
– Je vais te prendre, Mélanie. Je vais venir en toi ! Je vais te prendre ta chatte, profond … et te faire mienne !!!
– Ohhh! Ohh ! Oui !
– Tu vas te donner, tu vas me sentir Mélanie !
– Oui ! oui !
– Dis-le ! Je veux que tu me le dises Mélanie
Mélanie donne du ventre, s’empale elle-même sur les doigts qui la forent en profondeur. Elle s’ouvre, et elle sait qu’il a raison, qu’il dit vrai, que son corps le réclame, qu’elle se donne et qu’elle veut le sentir.
– Dis-le Mélanie, que tu veux me sentir en toi, que tu as besoin que je te prenne. Dis-le !
– Oui ! Oui … Oh ! Prenez … prenez moi !!!
Dans un réflexe nerveux, il att**** sa culotte sur le côté, d’une main, tente de la faire glisser sur ses cuisses. Elle ne résiste même pas. L’homme abandonne son vagin. Il sait qu’il a gagné, qu’il l’a amenée elle-même à se donner, à offrir son corps. Il tire sur le slip vers le bas et la déculotte, puis la prend dans ses bras, la force à se tourner et la fait pencher en avant.
Mélanie pose ses bras sur la rampe de maintien. Courbée, croupe offerte, elle écarte les cuisses sans qu’il lui demande. Il lui relève la robe sur le dos et s’agrippe à ses hanches. Mélanie tressaille: une queue raide et chaude se promène entre ses lèvres humides. Elle est fébrile. Il va la prendre, cet homme va lui enfoncer sa queue dans la chatte et la faire sienne. Elle le sent bien, tout contre son sexe, elle est à présent impatiente d’être pénétrée, de sentir cet inconnu s’enfoncer dans son ventre de femme. Elle pose sa tête comme elle peut sur ses bras et ferme les yeux, goûtant l’instant ultime de la pénétration. Se donnant sans réserve.
L’homme s’accroche à ses hanches et pousse. Elle le sent pénétrer son ventre. Sa chatte s’ouvre, gonfle sous la poussée. Une queue gigantesque la pénètre toute, se propulse en elle et la remplit. Elle se sent baisée, remplie totalement. Elle est prise, enfilée par un homme, et c’est incroyablement bon , incroyablement fort ! Elle en a un vertige.
Immédiatement, il la lime en profondeur. Immédiatement, elle se met à crier. Elle n’en peut plus. La future maman, jusqu’ici fidèle, se laisse baiser et crie son plaisir !
– Oôôôôaaaahhhh ! Noonnn! Oh noonnn ! Elle est … dedans …Ouiiii! Oh oui ! C’est bon … encore, encore … baise moi, baise moi ! Enfonce !
– Ouais ! C’est bon. Tiens … prends moi. Je suis ton amant Mélanie !
– Oh ! Oh non ! C’est bon !
– Je vais te la remplir Mélanie ! Je vais te faire ce cadeau … et venir en toi … profond …
– Oh! Oh oui … oui … c’est bon !
– Oh tiens … enfile … prends là … profond !
– Oh non ! Oh non !!!
– Je viens Mélanie … je viens !!!
– Ouuuuaaaahhhh ! C’est … fort … Je sens … c’est fort !!!
Mélanie reçoit la première giclée au fond de son ventre. Elle a senti la queue gonfler au fond d’elle, se raidir dans son sexe. Il s’est planté rudement, tout au fond, et elle s’est laissée investir, consciente qu’il allait exploser en elle, la remplir de sa semence, consciente qu’elle allait le sentir décharger dans sa chatte. Complètement submergée par le plaisir d’être prise par cet homme, incapable de lui résister, elle s’est laissée prendre sans résister, s’abandonnant au plaisir de se sentir investie par sa queue, offrant son corps et son ventre en se laissant remplir par cet inconnu qui ressemblait tant à son père. La jouissance la submerge. Il y a longtemps qu’elle n’avait pas joui aussi fort.
Lui aussi a fini de jouir en elle, râlant et soufflant des mots sans suite. Mélanie s’est laissée enfiler et remplir sans protester, jouissant sous les assauts de cet homme, se laissant même caresser le ventre tandis qu’il lui remplissait la chatte. L’adultère est consommé, mais elle n’en est pas encore consciente, envahie par le plaisir et la torpeur qui gagne peu à peu son corps de future maman.
L’homme se retire du vagin brûlant, l’homme se rajuste, puis l’homme appuie sur le bouton, libérant l’ascenseur. Le départ de la cage est les vibrations de l’appareil réveillent Mélanie de sa torpeur. L’homme lui rabat la robe sur ses cuisses. Elle se redresse, difficilement, alanguie par cette séance inattendue et incroyable. Elle se retourne. L’homme lui sourit. Elle le regarde, le dévisage. Un frisson la parcourt des pieds à la tête, parcourt son échine. Elle émerge peu à peu.
– Qui êtes vous ?
– Chut … je suis ton amant Mélanie !
La jeune femme reste incrédule devant la réponse. Elle réalise qu’elle vient de faire l’amour avec un parfait inconnu et qu’elle ne sait toujours pas qui il est. La porte s’ouvre, l’homme dépose un baiser sur ses lèvres. Elle ne réagit pas, n’essaie pas de le repousser. Il sort à reculons, lui fait un petit signe de la main:
– A vendredi Mélanie !
Puis il disparaît, la laissant seule avec ses pensées, interloquée qu’il puisse lui donner un nouveau rendez-vous après ce qui vient de se passer.
L’ascenseur repart pour l’étage supérieur, le sien, la laissant avec ses pensées, ses frissons, ses questions. Qui est-il ? Pourquoi s’est-elle laissée faire ? Comment et où la connaît-il ? Et maintenant ?
Elle est fébrile quand elle glisse la clef de son appartement dans la serrure. Son mari est là, il l’attend, va-t-elle lui dire, lui avouer ce qui vient de se passer ? Va-t-elle oser lui avouer qu’elle vient de faire l’amour avec un inconnu ou … garder ce secret pour elle ? ……….
Un baiser sur la bouche et Mélanie se dérobe, gênée. Elle ne veut pas qu’il lui pose de question, qu’il la voie dans cet état d’excitation, les joues rouges, les cheveux défaits, le regard trouble.
Elle se réfugie à la salle de bains. J-Paul la regarde s’échapper sans comprendre: allez comprendre les femmes enceintes ! Il n’a pas eu le temps de remarquer son trouble, tout juste son essoufflement, qu’il met sur le compte de son statut de femme enceinte.
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