Parfois il m’arrive de me sentir impuissant. Je parle sexuellement. Lorsqu’un moment j’arrête le sport ou que je me branle trop, ma libido dégringole. Toutes les délicieuses choses du monde actuel concourent à ramollir les hommes. C’est ce que je crois : dans deux siècles nous serons tous des tatas !
Je m’appelle M, dans la quarantaine, pilote d’avion, depuis une demi-douzaine de printemps uni à F, la quarantaine elle aussi. Nous habitons une villa dans une métropole au bord d’une jetée. Une place paradisiaque mais la plupart du temps à cause de mon emploi j’en profite pas assez. Comme de ma femme. Pourtant notre couple roule : économiquement parlant à l’abri du besoin, tous deux légataires de familles nanties, physiquement en parfaite condition, sexuellement, ça va, non, pas vraiment, ça va mais j’éjacule vite, j’arrive pas à me contenir. Peut-être ma continuelle position assise, peut-être ce que la compagnie dilue en douce dans notre bouffe pour pas qu’on partouse les hôtesses ou qu’on s’encule dans la cabine à dix milles mètres d’altitude ? Nonobstant, je crache trop vite. Au début elle simulait mon épouse. Oui la plupart des femmes simulent les gars ! Puis au fils de mes éjaculations précoces elle s’est mise de moins en moins à feindre la jouisseuse, jusqu’au jour où elle en a carrément parlé : « j’en ai marre de faire semblant… Il faut qu’on aille voir un sexologue !… »
Le rendez-vous avec ce soi-disant meilleur sexologue de la ville ne m’enchanta pas. J’appréciai pas sa façon de parcourir du regard les seins de ma femme et la façon qu’ils se souriaient comme s’ils se connaissaient déjà. Le sexologue nous vendit différents conseils. Je fit vérifier mon taux de testostérone. Ils me trouvèrent le même taux qu’une salade ! Je me remis au sport mais courir en rat de laboratoire, non pas pour moi ! Je faillis m’injecter de la testostérone synthétique mais la crainte qu’une troisième testicule pousse entre mes couilles m’arrêta. Finalement, la meilleur solution, à mes yeux, je la trouvai chez mon copilote, qui m’injecta sa testostérone cent pour cent bio dans le fion ! Alors que nous reprenions notre second souffle, je l’informai.
-T, ça fait plus d’un mois que j’ai plus baisé ma femme.
-Elle te trompe avec quelqu’un d’autre.
-J’y ai vraiment pas pensé.
-Peut-être parce que tu la trompes avec moi.
-Non. C’est différent. T’es du même sexe que moi.
-C’est la même chose ! Vous êtes tous les deux cocus !
J’imaginais mal F infidèle. Tous les cocus du monde partagent cette impression jusqu’au jour où ils se retrouvent devant le lit adultérin. Je pris le pari contre T : si ma femme me trompait, pendant une demi-heure je lui sucerais la bite ; si au contraire elle m’était fidèle c’est lui qui me fellationnerait.
Ce matin-là la houle souffla fort sur notre couple alors que nous déjeunions assis l’un face à l’autre.
-Va travailler ça te changera les idées !
-Difficile de me changer les idées quand ça fait plus…
-T’as qu’à penser à autre chose !
-… d’un mois que je n’ai plus touché ma femme !
Je me suis levé puis je suis sorti. Je suis entré dans la voiture. J’ai démarré. J’ai roulé. Je me suis garé quelques rues plus loin. J’ai sorti mon Smartphone. J’ai affiché les différents micro-caméras espions de notre villa. Résolu, j’ai attendu.
Plus tard dans l’après-midi à travers mon Smartphone je découvris ma femme assise dans le grand fauteuil de notre salon en compagnie d’un type noir. Tous les deux ne se doutaient pas que je pouvais les entendre et les voir.
-Non.
-J’ai cru que ça irait mieux mais ça ne va pas.
-Qu’est-ce-qui ne va pas ?
-C’est un éjaculateur précoce (la salope!).
-C’est vrai ?
-Au bout de trente secondes il éjacule !
-C’est triste pour lui (aarh!).
-Ça l’est encore plus pour moi. Je mérite d’avoir du plaisir.
-Tout le monde mérite le plaisir ! (enfoiré!).
Elle embrasse l’homme sur la bouche. Il dépose sa main sur la cuisse nue de mon épouse. Les doigts noirs explorent le sous-vêtement blanc de ma femme. Putain ils masturbent son vagin !
-Ton mari te touche souvent comme ça (l’enculé !) ?
-Non. Il ne me touche jamais comme ça.
-Pourquoi ?
-Il sait pas comment me donner du plaisir.
(attendez que j’arrive!)
Il la pénètre de ses deux doigts titille son vagin pendant qu’elle l’embrasse et crie de plaisir tout ça dans mon salon ! Pouvais pas fuir ça. En trombe j’ai démarré puis je me suis garé en douceur loin de la villa. J’ai continué à pattes pour pas les prévenir. J’ai escaladé la barrière. Ils me le paieront !
Soudain j’entrai dans le salon. Ils continuèrent leur fornication. Je voulais tout détruire à l’instant, mais c’est fou comment peuvent paraitre les gens plus petits qu’ils ne le sont réellement à travers les écrans : l’amant mesurait dans les deux mètres et quelques, tout en muscles, moi et ma bedaine, nous ne rivalisions pas.
-Qu’est-ce-qui se passe ici ?!
On m’a pas répondu. J’ai insisté.
-C’est qui lui ?
-C’est mon amant J !… J, je te présente mon mari.
Je me suis assis face au couple illégitime. Entre nous la table basse faisait office de frontière. Mon épouse continuait de prendre dans sa bouche la bouche de son amant comme si j’existait pas, lui continuait d’atteindre par les doigts son vagin.
-Nous sommes mariés F ! Que fait-il ici ? !
-Il est là pour me donner ce que tu ne peux plus me donner.
-Que t’ai-je fais pour que tu me fasses ça ?
-T’éjacule trop vite ! J’suis une femme qui a des…
-C’est pas de ma faute !
-… besoins sexuelles que t’arrives plus à satisfaire.
-C’est comme ça que je suis !
-Prends tes affaires et sorts ! Tu nous emmerdes !
-Je ne veux pas sortir.
-Alors tu dois accepter que je baise mon amant ici…
-C’est injuste !
-… que tu sois d’accord ou pas je baiserai mon amant !».
Elle demeura obtuse. Elle nous recommanda le divorce. Je refusai. Nous nous accordâmes finalement : les relations homosexuelles que j’avais avec T ne la vexèrent pas. Dorénavant chacun de nous pouvait entretenir des relations extraconjugales à condition de tout dire à l’autre et de nous prémunir des MST.
Tous les trois nous pénétrâmes dans notre chambre. Les deux amants s’assirent sur le lit, moi, sur une chaise qui les regardait. En souriant ma femme ôta sa robe puis me balança son string. En le reniflant je devins étroit dans mon pantalon. Elle déshabilla l’amant. Il possédait un corps d’athlète. Sa main claire aux ongles rouges caressa ses pectoraux obscurs, ses abdos sombres, sa noirceur de pénis tendu au rougeâtre gland, le tout contrastait pornologiquement. Je me branle souvent devant les scènes où de virils noirs baisent des blanches fragiles férocement ; il s’en dégage toujours une esthétique pulsion sexuelle enivrante qui pour d’aveugles raisons m’émoustille ; je n’aurais jamais cru que ce genre de porno se réaliserait dans notre chambre conjugale, encore moins que mon épouse en serait l’héroïne principale.
Les lèvres de ma femme et celles de son amant s’entremêlent debout. L’amant introduit un doigt dans la fente de mon épouse. Il caresse son clitoris pendant qu’elle ferme les yeux puis souffle. Ma femme s’allonge sur le matelas. La tête de son amant se dépose au centre de ses cuisses. Avec sa bouche il lui prodigue un humide et bruyant cunnilingus. Ça démange ma bite. L’amant s’allonge à son tour. Mon épouse saisit son braquemart qu’elle branle. Ses lubriques lèvres rouges tour à tour avalent puis vomissent successivement le pénis sombre qui luit sous la salive. « Viens chéri ! Tu vas nous donner un coup de main. Je veux que t’enfonce la bite de mon amant dans ma chatte ».Je quitte mon siège puis les rejoins sur le lit. Tandis que ma main gauche écarte les lèvres vaginales chaudes de mon épouse ma main droite se pose sur le braquemart glissant de l’amant. Des veines en tonnerres gonflent la verge sombre que mes doigts introduisent dans l’entrecuisse humide.
Alors qu’il la labourait sous ses reins brutaux une mousse blanche se formait puis s’accumulaient le long de sa bite sombre ensuite dégoulinait autour du vagin quand le pénis y pénétrait puis s’étirait le long du braquemart quand il sortait enfin s’égouttait en pluie obscène sur les draps. Les coups de reins accélérèrent puis la verge ténébreuse éjacula dans le vagin de ma femme qui débordait de sperme. Sous leurs deux corps raidis par la jouissance à travers les draps s’expandait une flaque obscène.
L’illégitime duo s’assit sur le lit. Ma femme entre ses doigts manucurés de rouge saisit le pénis de son amant qui brillait de ses secrétions vaginales. « Regarde sa bite ! Toute la mouille de ma chatte se trouve encore sur sa bite. Tu va la nettoyer. Tu va la sucer comme la bite de T. Viens ici M ! » L’entendre me soumettre de la sorte fit bondir ma bite dans mon slip. Je me rapprochai d’eux alors qu’elle tenait toujours le pénis de son amant entre ses doigts rouges. Je recueillis dans ma bouche de suceuse la verge venant juste de sortir des profondeurs interdites du vagin de ma femme. Je suçai, léchai, fellationnai, délicieusement, cette sombrenorme au glucidique sperme.
« Bon travail M ! Maintenant tu vas nettoyer ma chatte. Tu vas la vider du sperme de J ».L’amant sort du lit. Mon dos s’allonge sur le matelas. Mon épouse demande si j’ai aimé la voir baiser avec son amant. Je réponds oui. Elle rigole. Elle est trop jolie quand elle rigole. Elle s’accroupit à quelque centimètre de mon visage. Son rose vagin ouvert secrète une forte odeur de sperme. « Je veux que tu vois à quel point j’ai été une mauvaise épouse aujourd’hui ! ». Elle introduit deux doigts dans son vagin profondément. Elle les enfonce dans ma bouche. Ils sont légèrement sucrés. « Nettoie ma chatte ! ». Ma cocue langue s’enfonce dans les entrailles du vagin de ma femme infidèle où elle se charge des spermatozoïdes de son amant et de ses secrétions vaginales. Elle s’assoit sur mon pauvre visage qu’elle bâillonne, sur mon nez qu’elle étouffe, m’obligeant à respirer l’intérieur de son vagin.
Elle s’assoit sur ma poitrine. Me regardant de là haut, elle me dit que j’ai du sperme sur le visage. Je demande si c’est vrai. Elle répond oui puis rigole. Elle me demande qui de moi ou de T fait la femme lors de nos rapports homosexuels. Je réponds que c’est moi qui me fait enculer par T. Elle répond qu’elle le savait. Elle me demande si je veux la baiser. Je réponds oui. Elle m’ordonne de mettre un préservatif. Une fois de plus je suis humilié de devoir baiser ma femme avec un préservatif alors qu’elle vient de ce taper son amant devant moi sans condom. Etrangement cette humiliation m’excite. Elle s’allongea sur le dos puis écarta les cuisses. « Baise-moi maintenant ! »
Je ne saurais vous dire si c’est à cause du ton autoritaire de sa voix ou à cause de la présence de son amant viril toujours est-il que dans la capote au milieu de ses lèvres intimes j’ai bandé mou. « Vas’y bande ! Je ne te sent pas. J nous regarde et il a une grosse érection. C’est pourquoi je ne couche plus avec toi ! À chaque fois tu me fais perdre mon temps ! Maintenant dégage ! Baise-moi J ! »
Je me sentis une fois de plus avili. Mais ça me fit mouiller de l’anustoris. Je voulais sur l’instant que le viril amant noir de ma femme m’encule ! Mais je ne savais pas s’il accepterait de m’enculer. Alors je me suis rapidement éclipsé. J’ai rejoint T à l’hôtel. Il a violé mon petite cul de salope. Pendant qu’il me sodomisait j’imaginais que c’était J l’amant de ma femme qui me la mettait par le cul. J’ai jouis comme une pute ! Et au final j’ai sucé la bite de T jusqu’à la crampe à la mandibule.
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