Il est 19h, je sors du bureau. Direction un sex-shop avec glory-hole.
Les rues sont désertes, ce sex-shop à l’avantage d’être discret car ils se trouvent dans une ZAC. A 18h déjà il n’y a presque plus personnes à part les patrons et certains cadres dans cette zone d’activité.
Je me gare sur le parking, j’entre directement. Je commence à flâner dans les coursives, rayon des sous-vêtements, accessoires, vidéos. Je commence à regarder un peu les derniers titres.
Au bout de 20 minutes à faire du « lèche-vitrines » je prends la direction du glory-hole.
Lieux assez sombre, plusieurs box particuliers permettent à tout à chacun d’assouvir ses envies.
Je me dirige vers le dernier à gauche, j’entre et ferme derrière moi la porte. Une lumière tamisée rouge ambiance assez sécurisante, je commence par regarder par un trou, hummm, j’aperçois une bouche ouverte avec une belle langue.
A première vue il s’agit d’une femme, dans la quarantaine.
Je sors ma queue (petite description 1,85M pour 90 KG, black et convenablement membré) et tend le gland à cette bouche accueillante. Elle commence par me happer le gland, elle apprivoise ce dernier en le gardant en bouche sans bouger. Mon gland prends tranquillement la température de cette femme, sa bouche est chaude, humide, et sa langue légèrement râpeuse. Elle commence à jouer de sa langue. Elle connait bien l’anatomie masculine, sa langue joue avec les terminaisons nerveuses, des frissons me parcourent l’échine, et je râle tout doucement de bonheur.
Soudain, elle engloutit ma queue d’un coup. Je me retrouve au fond de sa gorge, oh mon dieu, c’est divin. Cette femme qui, jusqu’à y a moins de 10 min m’était inconnue, à maintenant au fond de sa gorge ma queue fièrement dressée et se charge de la faire reluire. Elle alterne succion, léchage, branlette pour mon plus grand bonheur et ma plus grande frustration. Moi qui étais venu pour me faire purger les couilles, je me retrouve prisonnier de cette bouche à en devenir fou. Mes couilles sont en feu, je veux décharger, mais cette diablesse prend soin de ne pas me faire venir, elle alterne mes plaisirs et les font varier pour me faire tenir.
J’en peux plus, je râle comme un bœuf et tout à coup cette salope s’arrête. J’entends sa voix, elle me dit « écoute mon cochon, si tu veux jouir rejoins moi ! ». J’étais venu pour me purger les couilles, je vais finir en baisant, que demander de mieux !
Elle ouvre la séparation, ce qui me permet d’entrer. Elle me saute dessus m’embrasse, je mets une capote et entre en elle sans demander mon reste. Elle est totalement ouverte, à croire qu’elle a jouit plusieurs fois en me suçant ! Je la besogne comme si j’allais mourir à la fin, elle jouit d’une force, merde c’est une femme fontaine, elle vient de me décharger sa cyprine sur les couilles, hummm c’est chaud c’est bon, cette pièce étroite nous rends fou tous les deux !
Je la retourne, hop en levrette, une petite glace face à elle me permet de voir ses yeux révulsés, elle murmure « stop, plus par la chatte », je souris et je lui chuchote à l’oreille « t’inquiète, je vais te sodomiser ! »
Un sourire de sa part m’encourage, je commence par humidifier son œillet avec son lubrifiant naturel et deux de mes doigts. Le passage se fait facilement, son cul est souple, je présente ma queue ! Elle s’empale d’elle-même dessus ! Mes couilles frottent son cul, je sais que la dernière charge va pouvoir commencer. Mes coups de reins se font de plus en plus forts, à chaque fois elle m’encourage à continuer ! « Oui, oui encore, va y, éclate moi le fion… » J’en peux plus, mes couilles font finir par exploser, je la retourne, sort ma bite de son capuchon, cette furie saute dessus et me suce à fond ! Dans un râle, je lâche tout ! J’ai joui ! Ma purée est partie directement au fond de sa gorge, cette salope a pris le soin de tout avaler, et de me nettoyer la queue. On se regarde, elle me sourit, et commence à me nettoyer l’entrejambe de sa jouissance personnelle.
On se rhabille, je regarde ma montre 20h30. J’étais venu pour une purge rapide, j’ai pris plus de temps.
On sort tous les deux, personne à part le mec de l’accueil ! Il nous regarde, nous prenons la direction du parking ! En arrivant à sa voiture, son estomac crie comme le mien ! On rigole, je l’invite à manger…
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