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Le journal d’une salope

Le journal d’une salope



Ceci est une totale fiction ou presque.
Comment une salope pense?
Qu’est-ce qui se passe dans sa tête lorsqu’elle est en action?
Comment on devient une salope, premièrement?
Et jusqu’où peut-on être cochonne?
Ça vous intéresse? Lisez le journal d’une salope, ouvert à vous pour votre plus grand plaisir sexuel.
Je suis en train d’étudier pour mon examen de géographie et je m’ennuie. Il n’est que 19h30, mais j’ai l’impression qu’il est déjà passé minuit tellement je m’emmerde! Bon… alors les séismes sont causés par les frottements de plaques tectoniques qui …..TOC! TOC! Quelqu’un pour me sauver d’une soirée horrible? Je l’espère! La porte s’ouvre et le visage de mon ami apparaît. Il m’embrasse et me demande ce que je fais de beau.
« Rien de bien spécial, je m’emmerdes à étudier ma géographie pour mon examen. »
Il me répond :
« Pas super pour un vendredi soir ! »
« Non! Pas du tout même! Qu’est-ce qui t’amènes? »
« Je m’disais que ça te dirais peut-être de sortir en boite. »
Je lui réponds :
« Hmmm… et bien, j’ai mon examen à étudier, mais c’est vrai que ce n’est que pour lundi. Mais j’ai pas envie de sortir. Reste ici avec moi ? »
« Ok, ici juste toi et moi ? »
Je réponds jovialement :
« Super ! Tu vas m’aider à passer une soirée agréable au lieu de me faire chier sur la géo. »
« De rien, ça me fait plaisir! Et puis moi aussi tu vas m’aider à passer une belle soirée! »
Je suis contente qu’il ait pensé à moi. Je le pousse et il tombe assis sur le divan, puis je lui dis :
« Attends, je mets en route un DVD ! »
Je me penche un peu par en avant et il peut voir que je n’ai pas de culotte.
Je démarre le lecteur et je vais m’asseoir près de lui.
Il me demande :
« C’est quoi le film que tu as mis? »
« Je n’en sais rien, Alain était tout seul cet après-midi et il m’a dit qu’il a regardé ce film toute l’après-midi. Voilà que ça commence, mais ! C’est étrange comme titre, non? Drill My Ass & Cum Shot. »
Je suis gênée.
Mon ami est un peu perplexe et me dit :
« Est-ce que c’est un film porno? »
«  Je heu.. Oui…. J’en ai comme l’impression. »
Je suis furieuse et vexée.
Il tente de me rassurer en me disant :
« Mais c’est peut-être quelqu’un d’autre qui a… »
Je le coupe sec et lui dis :
« Non ce n’est pas quelqu’un d’autre, il n’y avait personne d’autre aujourd’hui, il était tout seul ! »
Après un court silence, il me dit :
« Veux-tu que j’aille l’arrêter? »
Je dis alors :
« Non. J’ai envie de voir ce que ce vicieux regarde. Et puis ça va être drôle d’en regarder un avec toi! Juste pour en être certaine, « drill my ass », est-ce que ça veut dire « ramone-moi le cul » ou quelque chose comme ça? »
Il répond qu’il pense que oui, semblant un peu mal à l’aise, et voilà qu’à la télé, la fille se fait déjà sodomiser profondément par un mec avec une canette de bière.
« Au fait en voyant cette bière, peut-être en veux-tu une ? »
Max bredouille un semblant de oui.
Je lui sers sa bière et à la télé, Le mec décapsule la bouteille qui lui a fourré dans le cul pour se servir un verre. La scène est aussi troublante qu’insolite  « Max ! T’as vu ce qu’elle prend ??? Je pourrais j’amais faire un truc pareil moi ! »
Il lui présente ensuite sa queue qu’elle suce avec gourmandise.
Après quelques minutes, l’acteur lui jute tout son sperme dans sa bouche, qu’elle recrache sur ses seins. Je suis subjuguée par le film. Bizarrement, je suis excitée par le film. Et la présence de mon ami près de moi?…. Peu importe, ce n’est même pas une possibilité de toute façon! Dans tous les cas, j’ai toujours été réticente à la sodomie, sans trop savoir pourquoi, je dois bien l’admettre. Je demande alors à mon ami, après la première scène :
« Qu’est-ce que tu en penses toi de se mettre comme çà des objets dans le cul? »
Je suis moi-même étonnée par ma franchise! Il me répond, un peu moins franchement :
« Euh… qu’est-ce que tu veux dire? »
Je lui reformule aussitôt ma question :
« Et bien, admettons que je te dirais de me mettre des trucs dans les fesses, est-ce que ça t’exciterait? »
Il me répond :
« Probablement, mais ta question est super gênante et pour être tout à fait honnête çà m’excite de t’entendre demander çà. »
Je suis consternée par sa réponse, j’ai l’impression d’entendre Alain parler.
Je continue :
« Et supposons que la sodomie ça m’écœure et que jamais je n’oserais avaler ton sperme, ni me faire éjaculer dans la bouche ou même sur le visage. Comment est-ce que tu me décrirais d’un point de vue de mec? »
Il me répond très mal à l’aise par mon attitude agressive :
« Eh bien, je dirais que cela ne concerne que toi et Alain. Si à un moment donné, tu viens à en avoir envie, par contre ne te retient surtout pas! »
Je dis aussitôt :
« Là, tout de suite, j’en ai envie! Encule moi et éjacule dans ma bouche ! »
Max ne répond pas, éberlué par mon comportement. Il me fixe longuement la bouche entre-ouverte.
Je lui dis alors :
« Regarde cette scène-là! C’est une petite blondasse comme moi ça! [Dis-je d’un ton ironique] »
La fille dans le film baisse les pantalons du mec et le suce sans plus attendre en entrant sa queue profondément dans sa gorge, jusqu’à en avoir des larmes!
« Max est-ce là l’image que mon petit ami a de moi lorsqu’il me baise?  Et voilà, il… il met sa bite dans le cul de la fille! Et en plus, elle me ressemble! Tu ne trouves pas? »
Mon ami me regarde et me répond que c’est vrai qu’elle me ressemble. Son regard a changé et dans mon délire, je rajoute :
« Est-ce que ça t’excite, le fait qu’elle me ressemble, et que je suis là, juste à côté de toi? »
« Un peu, c’est certain… ce n’est pas comme… si tu étais n’importe qui non plus. »
Que peut-il bien vouloir dire par là? Mon cœur palpite de plus en plus fort à mesure que je commence à comprendre que mon ami m’avoue présentement qu’il me trouve excitante sexuellement!
Je lui dis alors, très excitée :
« Si j’étais une actrice porno, est-ce que tu te branlerais en me regardant? »
Il me répond, avec maintenant plus d’assurance :
« Hum… Qu’est-ce que c’est que cette question-là? »
Ça veut dire que oui, il se branlerait en me regardant faire! J’ai eu ma réponse et je n’ai pas à le forcer.
J’ajoute :
« Admettons que tu sois seul et que la blondasse du film se soit moi, te branlerais-tu? »
Il me regarde, cette fois ci droit dans les yeux, et me dit :
« C’est certain que si je te voyais te faire enculer devant moi… Oui, je crois que je me branlerais. »
Cette conversation m’excite décidément de plus en plus! Il me répond avec une telle franchise! Je regarde alors entre les jambes de mon ami, et sans même lever les yeux pour lui adresser la parole, je lui dis, en fixant la région de son pénis :
« Et là, es-tu…? »
Il me dit simplement :
« oui.. ».
Je frissonne aussitôt d’excitation. Je me demande ce que je suis bien en train de faire. Je ne peux quand même pas tromper mon petit Alain pour la seule raison qu’il a regardé un film porno? Je dois trouver une façon! Je dis alors, sans même réfléchir, en murmurant :
« Qu’est-ce que tu penserais si je te demandais de te branler devant moi… en regardant le film? Pourrais-tu faire ça pour moi? »
Je m’approche alors de lui. Ma cuisse collée à la sienne, et je baisse la fermeture éclair de son pantalon en le suppliant :
« S’il te plaît. J’en ai envie »
Il dit aussitôt un « Ok ». Il sort sa queue, que je n’aurais jamais imaginée si grosse! Il la regarde comme s’il ne savait pas quoi faire avec.
Je lui dis donc :
« Vas y, branles toi ! Fais comme si je n’étais pas là ! Imagine moi en train de me faire défoncer le cul à la télé et astique-toi ! »
Je lui parle alors qu’il se masturbe et je trouve ça trop excitant.
« Est-ce que tu aimerais ça si j’étais une actrice porno? Tu pourrais te branler en me regardant, en t’imaginant que je sucerais ta grosse queue… et je lècherais tes couilles… et pour me punir tu me baiserais les fesses si fort que je hurlerais que je suis ta salope. »
Je le vois qui accélère soudainement son mouvement
« Ca t’excite de savoir que je te regarde te branler en mourant d’envie de te voir éjaculer? Quand tu seras sur le point de jouir, je veux que tu me le dises, d’accord? Je ne voudrais surtout pas rater ça! Je veux voir le sperme jaillir de ton pénis. »
Je m’approche alors le visage du sien, et je lui chuchote à l’oreille : « T’es-tu déjà branlé en pensant à moi? »
« Oui salope ! »
Petit pervers! Je n’aurais jamais cru qu’il aurait fait ça! Alors je l’excite vraiment! Ça devient encore plus difficile pour moi de ne pas mettre sa grosse queue dans ma bouche! Je vais devenir folle! J’ajoute, hors de moi :
« Il y en a beaucoup de sperme qui a jailli de ta queue quand tu penses à moi? »
De plus en plus excitée de jouer la salope avec lui pour l’exciter encore plus, je lui mets ma main sur sa cuisse en le caressant doucement pendant qu’il se branle et je lui chuchote à l’oreille, en le frôlant avec mes lèvres :
« Branle-toi plus vite, je veux du sperme, je veux que ça explose partout »
Alors que l’intensité semble à son maximum, il me crie, les deux yeux fermés, qu’il va bientôt éjaculer.
Il me demande aussitôt, ralentissant son mouvement :
« Mais il n’y a pas de mouchoirs, je vais jouir partout!. »
Je réponds instantanément :
« Viens partout, ce n’est pas grave! Je nettoierai ensuite! »
Je penche alors ma tête près de sa queue et fixant son gland mon cœur s’emballe.
Je suis extrêmement excitée à l’idée qu’il s’apprête à éjaculer et que je pourrais placer ma bouche ouverte près de sa queue. J’ai une envie irrémissible d’être la plus salope possible! D’un seul coup une grosse giclée de sperme blanc est propulsée avec force dans ma bouche. Une deuxième giclée jaillit dans ma bouche. À peine quelques centièmes de seconde séparent la deuxième giclée de la troisième, qui rejoint les deux autres en virevoltant jusqu’au fond de ma bouche avant que je n’aie le temps de réagir. Je ferme aussitôt la bouche. J’essaie d’éloigner vite ma tête de là, alors que je reçois un autre jet de sperme au visage. De retour en position assise, je le regarde finir de se vider les couilles, alors qu’une giclée atterrit sur le plancher et que le reste du sperme sort doucement en coulant le long de sa queue. Je me demande sérieusement quoi faire avec tout ce sperme dans ma bouche et sur mon visage. Je ne peux pas vraiment me lever pour aller recracher, car je ne voudrais pas le vexer et ce n’est pas du tout l’image que j’ai envie qu’il se fasse de moi. Je dois tout avaler. Après quelques instants d’hésitation, j’avale d’un trait tout ce sperme et j’en ai les larmes aux yeux. Je passe mon doigt au visage et recueille le sperme qui dégouline sur le côté de mon œil jusqu’à mes lèvres.. Je mets le tout dans ma bouche, et j’avale très rapidement cette sauce acide et salée. À peine une seconde après, il ouvre les yeux en ma direction et me dis, exténué :
« Je vais aller chercher quelque chose pour essuyer ça. »
« Non, reste assis là et laisse-moi faire, d’accord? »
Je surmonte mon dégoût, je me glisse entre ses jambes, à genoux et Je contemple son gland, toujours aussi gonflé, gluant de sperme, qui malgré ce qui vient d’arriver, tente ma bouche incroyablement. Je me sens encore plus salope et j’entreprends de nettoyer sa queue avec ma langue et ma bouche.
Tenant par la base sa queue molissante, en m’approchant le visage de son gland, je nettoie minutieusement le chibre. Je presse délicatement sur la base de sa queue en remontant vers le gland pour faire sortir ce qui pourrait rester de sperme, ce qui fait sortir une grosse goutte blanche qui reste bien en place sur le bout de son pénis. Je souris à la vue de son sperme et je sors la langue en le regardant dans les yeux, puis, je lèche sa goutte de sperme du bout de ma langue. Je l’avale pour son grand plaisir après lui avoir montré que j’avais bien son sperme dans la bouche. Une petite goutte comme ça, ce n’est pas mauvais. La sensation d’être une véritable salope qui avale du sperme juste parce qu’elle est une vilaine petite cochonne, ça n’a pas de prix!. La récompense a alors bien meilleur goût, même si dans ce cas-ci, le goût se résume à avoir du liquide visqueux, collant, blanchâtre, salé et même amer dans la bouche. Pourquoi donc le fait d’avaler le sperme de mon ami me fait me sentir aussi bien? Comment est-ce que je pourrai le regarder en face en sachant très bien que j’ai avalé tout son sperme..? Il doit être environ 11h alors que je me réveille de cette bonne nuit de sommeil. Max est parti, je suis seule à l’appartement et je ne sais vraiment pas quoi faire. Je vais dans la salle de bain et je me regarde dans le miroir Je me glisse sous la douche. Ensuite je me maquille. J’ai alors mis de la musique pour me motiver! Ensuite, j’ai commencé par me raser partout en dansant au rythme de la musique. Les jambes, les aisselles et la chatte sans oublier mon petit trou dans les fesses. Très satisfaite du travail que je venais d’accomplir, je me regardais mes jambes, puis mes fesses dans le miroir en me retournant, voyant qu’il ne restait pas la trace d’aucun poil. Mon cul… pourquoi est-ce que je n’ai jamais osé l’explorer? Est-ce un tabou qui m’a été imposé par la famille? En regardant mon trou du cul, je me dis à moi-même que ça doit pourtant être super de se faire enculer. J’adorerais voir ce petit trou se faire défoncer par une grosse queue comme celle qui m’a nourrie la semaine dernière. J’aurais bien envie de m’y aventurer, mais c’est comme si quelque chose m’en empêchait. Juste une petite promesse à moi-même, je veux qu’un un mec m’encule en profondeur, et je n’en ai rien à faire de ce que les autres pourront bien en penser! Bon! Je vais continuer à me préparer. Je mets du rouge sur mes lèvres pour qu’elles aient l’air d’être faites pour traire des glands! Comment en suis-je venue à vivre pour le sexe de la sorte? Le pire, c’est que j’adore ça! Tout d’un coup, alors que je me croyais seule, j’ai aperçu mon Max se pointer près de la porte de la salle de bain. Aussitôt je le vois comme le mecs à qui j’ai avalé la semence. Qu’est-ce qu’il peut bien avoir en tête? Comment dois-je le regarder? Pourquoi il est là? Il prétexte qu’il veut parler à Alain. Mais il semble qu’il y a un malaise par rapport à mon comportement de la dernière foi. Je ne me pardonnerais jamais de ne pas tout faire pour que notre amitié perdure! Alors qu’il va partir, je lui propose de rester un peu! J’avais encore envie de mon copain quitte à tromper Alain. He bien quoi, Je me suis faite belle c’est bien pour me faire admirer ! J’éprouve le besoin incontrôlable de m’exhiber le plus possible devant mon ami Max. J’aurais aimé qu’il arrive un peu avant alors que j’étais sous la douche ou quand je me rasais entre le trou du cul à quatre pattes dans la salle de bain. J’aurais alors fait semblant de ne pas savoir qu’il était là, et qu’il me regarde en douce. Je lui aurais montré mon désir d’être enculée.Max me sort de mes fantasmes alors qu’il accepte ma proposition de rester un peu! Je le regarde avec envie et je trouve qu’il est exceptionnellement beau aujourd’hui. Il ressort de son être une sensualité de mâle qui me trouble.
« Pourquoi ta voiture n’est pas là ? »
« Alain était en panne de voiture ce matin alors je lui ai laissé la mienne. »
Moi qui croyais qu’il venait pour me sauter. En fait, il voulait voir Alain. Malgré la séance de la dernière fois, il ne semble pas profiter de la situation et je suis un peu déçu. Attend-il peut-être que je fasse ma salope ?
Il me demande :
« Tu fais quoi cette aujourd’hui ? »
Me remémorant son éjaculation :
« Je ne sais pas trop. Probablement allez me faire bronzer à la plage naturiste. Si tu ne fais rien de spécial, tu peux m’accompagner ! Alain est en déplacement pour plusieurs jours. »
Après une brève hésitation :
« Oui pourquoi pas, ça marche ! »
Je me dis que je suis vraiment une sacré salope et que je devrais respecter certaines règles comme :
– Numéro 1 :
Ne pas parler à un mec en vous imaginant en train de le sucer et d’avaler son sperme!
Pour la règle 2, je verrais plus tard. Quoiqu’il en soit, maintenant que c’est fait, je n’y peux plus rien, il ne reste plus qu’à espérer que ça lui sorte de l’esprit.
Je lui dis :
« Ok! Attend un petit peu, je termine de me préparer et je suis toute à toi ! »
Je le regarde dans le miroir en me faisant belle. Je remarque qu’il me dévore des yeux. J’ai la sensation qu’il me déshabille tant son regard est intense.
Règle Numéro 2 :
Ne pas penser à sa belle grosse queue en érection. Oui! Loin de moi le désir de vouloir le faire bander. Quelle menteuse je fais ! Continue de te préparer salope et arrête de le regarder et de penser à sa queue en érection! Mon Dieu, c’est d’autant plus difficile que son regard est arrêté sur mes fesses. Petit pervers! Alors que j’arrive finalement à me concentrer, il me demande :
«  Je peux le laisser aller aux toilettes ? J’ai une grosse envie de pisser. »
Un petit sourire espiègle se dresse sur mes lèvres.
« Oui bien sûr ! Mais ça te dérange pas si je continue à me préparer en même temps pendant que tu éjacu… Euh! Pendant que tu ….enfin que voilà quoi. »
Que je peux être conne! Je pense tellement à sa queue que j’en fais de lapsus.
Il me répond en riant :
« Pas de soucis. »
Il sort sa queue et j’entends le bruit caractéristique dans les toilettes. Je le regarde et devine sa belle queue au repos entrain de pisser.
Mon ventre ne me trouve et je trouve du plaisir à regarder Max dans un moment aussi intime. Je sens mon cœur battre, je suis excitée. C’est à n’y rien comprendre, il n’y a pourtant rien d’excitant, non? Je me remets à penser à sa queue bandée près de mon visage! J’ai des réminiscences de ma douche et du jet d’eau chaude que je prenais dans la bouche pour avaler, mais c’est le pénis de mon ami qui est là dans mon esprit et non la pomme de douche et ça me donne des frissons d’excitation incroyables! Il tourne alors la tête vers moi et me vis le regarder pisser. Je deviens rouge de confusion.
« Alors Michèle ! Çà ne te gêne pas de regarder ma queue et me mater entrain de pisser salope ? »
Je suis totalement excitée de l’entendre me parler cru avec sa queue à la main et sans m’en rendre vraiment compte, je fais ma salope en me cambrant comme une chatte en chaleur qui n’attend que la queue du mâle pour se faire saillir. Je ne réponds pas et il rigole.
« Hahaha! Oui c’est quand même assez drôle comme situation, il faut que tu l’admettes ! »
J’ouvre grand la bouche, en admirant son appareil génital et jouant la fille inexpérimentée qui n’en revient pas de ce qu’elle voit. Sa bite et ses couilles rasées sont parfaites. Ses grosses couilles pleines de sperme ont l’air douces et fermes. Sa queue est faite pour éjaculer du sperme, et j’aimerais tant être faite pour l’avaler. Sa verge maintenant bandée m’arrive à quelques centimètres de la bouche. Un million de pensées sexuelles me traversent alors l’esprit. Mes yeux sont grands ouverts, tout comme ma bouche, lorsque j’aspire une gigantesque bouffée d’air qui laisse sortir un Wahooo !. Je suis si proche que je sens la chaleur de son gland sur mon visage! Je regarde mon ami, puis sa queue mais suis comme aimantée par son pénis. J’empoigne son pénis près de son gland et lui donne une claque en disant :
« Si tu penses t’en tirer ainsi ! »
Je tiens fermement sa grosse queue dans ma main. Je ne peux pas m’empêcher de faire un petit mouvement de va et vient. C’est d’autant plus excitant que je suis avec Alain et que Max est avec Solène. Je me plais à croire que je n’ai toujours pas trompé Alain. En fait, tout en me mentant, je n’ai fait qu’avaler son sperme la semaine dernière. Disons donc que c’était comme une petite collation qui sort de l’ordinaire ! Mais maintenant, j’ai la main fermée sur sa queue. Quoiqu’il en soit, j’ai une envie incontrôlable de montrer à mon ami à quel point je peux être une cochonne.
Je ne peux pas m’empêcher de lui dire :
« Tu as vraiment un pénis énorme et il est si dur! »
Bêtement je rajoute :
«  Est-ce que c’est moi qui t’as fait bander comme ça? Es-tu sûr que ce n’est pas une envie d’éjaculer dans ma bouche que tu avais et non une envie de pisser? »
Il me répond en riant :
« Eh bien, j’avais vraiment envie de pisser. C’est juste que tu as fini par me donner beaucoup d’idées ma petite salope ! »
Ça m’excite au plus haut point, surtout que Max, mon ami depuis toujours, bande pour moi tout près de ma bouche qui est prête pour sa queue et de ma langue, qui rêve de son sperme!
Je le fixe alors dans les yeux, en me rapprochant légèrement de son pénis, pour l’exciter encore plus. Mes lèvres maquillées effleurent son gland luisant. Je l’entends soupirer. Je me retiens de toutes mes forces pour ne pas sucer sa grosse queue d’un seul coup.
Je lui dis alors, jouant la salope provocatrice :
« Est-ce qu’il y a beaucoup de sperme là-dedans? »
« Quoi? Quelle question, j’vais t’étouffer avec mon jus ! »
Un frisson me parcoure le corps en imaginant un flot de semence sortir de cette grosse bite et inonder ma gorge et mon visage.
Trop excitée, je lui dis :
« Tu n’auras pas besoin de toilettes. »
« Quoi? Qu’est-ce que tu veux dire? »
Je lui réponds, en lui attrapant doucement son sac à couilles avec ma main gauche :
« C’est parce que je vais être ton vide couille. Tes toilettes vivantes. »
Je n’en revins pas d’avoir dit ça! Je viens de lui laisser penser que j’aimerais bien qu’il me pisse dans la bouche ! Cette salope à l’intérieur de moi devrait se calmer avant que je me retrouve dans une situation où je serai obligée d’avaler de la pisse. J’ai même du mal à comprendre ce qui m’arrive. N’y a-t-il pas des limites à être cochonne? Ce qui m’excite par-dessus tout, pour l’instant, c’est de penser qu’il croit que je suis prête à avaler tout ce qui pourrait sortir de sa belle queue. Il doit me voir comme une sacrée salope, et j’adore ça.
Il me dit alors :
« Il faut que tu me vide les couilles car je ne pourrais jamais te pisser dans la gueule avec une érection pareille. »
Je lui réponds instantanément très espiègle :
« Si je te suce, que tu jouis dans ma bouche et que j’avale tout comme une salope? Tu me pisseras dessus? »
Il me répond surpris et fébrile, sa queue semblant plus grosse :
«  He bien ! Bouffe là ma queue que je t’en mette plein la gorge putain ! »
Sans plus attendre, je me mets à branler sa queue dure comme de la pierre.
Il râle aussitôt :
« Ah… Salope…C’est bon !! ».
Aussitôt, je pose gourmande mes lèvres sur son gland, que je me mets à sucer, à téter, en continuant de le branler. Je suce son gland si fort que quand la peau de son prépuce entre et sort de ma bouche pendant que je le branle, ça laisse échapper un bruit de succion! Ça m’excite énormément sa grosse queue qui baise ma bouche. Je goute sa queue alors qu’elle verse une goutte de sperme sur ma langue de salope! Je regarde sa queue en la suçant me pénétrer la bouche de plus en plus vite. Je vois ses couilles si fermes bouger au rythme de cette pipe. J’entends les bruits de succion qui me rendent comme une chienne sauvages. Il me baiser la bouche et sa queue s’enfonce dans ma bouche jusqu’à l’entrée de ma gorge sans que je ne puisse m’empêcher d’aspirer pour avoir le jus de ce gland dans la bouche. Je n’ai qu’un seul but ; faire atteindre l’orgasme à mon ami Max pour qu’il éjacule tout son sperme au fond de ma gorge. Je veux qu’il sache que je suis capable de m’empiffrer de tout ce qu’il me donne, d’avaler tout ce qui gicle de son pénis! Rien qu’en y pensant, j’ai presque un orgasme. Un seul objectif m’habite ; avaler tout son jus. Je sors sa queue de ma bouche et je branle Max intensément en lui disant :
« Je veux tout avaler! Viens dans ma bouche, j’veux tout ton foutre. J’veux avaler du sperme. J’veux avaler TON sperme ! »
Aussitôt, je gobe à nouveau son gland avec mes lèvres pendant que mon ami râle de bonheur. Je sens alors sa queue devenir encore plus dure. Des spasmes annonciateurs lui font palpiter la queue.
Il me crie soudainement :
« Aaaahhh!!! Tu suces vraiment trop bien ! AAAHH!!!! J’vais jouiiirr !! »
Je continue encore plus ardemment à le sucer en prenant bien soin de ne pas le sucer trop profondément! Je veux sentir chaque jet qui sort de son gland m’éclabousser sur la langue et dans ma bouche. J’agrippe alors fermement ses couilles. Max hurle et me balance tout. Les lèvres bien refermées autour du gland je reçois la première giclée de sperme, accompagnée en bonus du hurlement de mon ami. Il m’a littéralement repeint l’intérieur de la bouche en éclaboussant sur mon palais.
C’est comme une explosion de crème salée qui virevolte dans ma bouche au rythme de cette grosse éjac. Je veux, présomptueuse qu’il ait la jouissance de sa vie. La deuxième giclée me frappe avec force encore une fois le palais, alors que j’ai son gland bien en bouche. Je jouis avec lui. Je sens alors un troisième trait de sperme me remplir la gorge en frappant ma glotte. Je dégluti et avale sa crème chaude et gluante. A peine ai-je dégluti qu’une quatrième giclée de sperme explose dans ma gorge.
Max crie sans se retenir :
« AhAHH! T’es vraiment une PUTE ! Une petite salope ! Avale mon foutre vide couille ! »
Je ne peux pas lui parler car j’essaye d’avaler tout ce sperme qui gicle dans la gorge. La quantité est trop importante et le trop plein dégouline sur mon menton. Une incroyable envie de vomir survient avec une nausée indescriptible dont Max ne s’aperçoit pas tout à sa jouissance. J’ai avalé tout le sperme balancé dans ma bouche par cette grosse queue que j’aime tant. Une cinquième giclée frappe ma gorge trop occupée à avaler cette avalanche de sperme. Le jet éclabousse et se répand sur ma langue. J’adore à ce moment précis penser que je suis une grosse salope avaleuse de sperme, une vraie cochonne, une véritable chienne et que je ne suis plus la seule à le savoir. je tète alors doucement son gland pour l’aider à terminer son orgasme et le vider jusqu’à la dernière goutte. Je le branle doucement en laissant son gland décalotté dans ma bouche. Ses couilles sont vidées, serrées entre mes doigts dont les ongles doivent presque lui faire mal tellement je les ai serrées pendant qu’il se vidait dans ma gorge. C’est étrange comment ça peut me rendre à la fois agressive et excitée. Je me retrouve hors de contrôle quoi! Max me regarde avec un sourire béat. Il semble heureux que sa meilleure amie soit cette petite salope avaleuse de sperme. Qu’est-ce que j’adore ça! Je sors sa bite de ma bouche, encore pleine de sperme.
Je lui dis avec difficulté :
« Mmm…. ch’ais trop bro..ch chais. aimé cha que tu te chois achperché ma boche.. »
Je caresse doucement ses couilles avec le bout de mes doigts, et je murmure à son pénis, en le caressant des lèvres entre mes mots :
« En achs-tu encore? Pacherce que chen veux encore pluche. »
Sur ces mots, je dégluti et je sors ma langue pour montrer à Max que j’ai apprécié son jus et que j’ai tout avalé. Le sperme descend dans ma gorge.
Je supplie sa bite en la frappant sur ma langue :
« Allez…J’en veux encore ! »
J’ai l’impression d’être totalement salope, mais aussi de n’être qu’un objet sexuel et, bien que ça me dérange, ça m’excite énormément!
J’att**** férocement sa queue et j’aspire tout ce qui se trouve dessus sans dire un seul mot. Je me sens plus salope que jamais, presque hystérique.
« Ça t’excites que je sois ta pute, pas vrai? Qu’est-ce que tu veux que je te fasse ?»
« Ouvre la bouche salope. Tu m’as dit tout à l’heure, que tu serais mes toilettes et que tu boirais tout ce qui sort de ma queue. He bien c’est le moment de monter que que t’es une grosse pute ! »
J’ai peur de ce qui va se passer. Il me prend par les cheveux et mettant sa bite ramollissante au dessus de ma bouche, il se met à pisser. J’ai aussitôt un mouvement de recul et je ferme la bouche mais il me tient fermement et je ne peux me dégager de ce jet chaud.
Il m’ordonne :
« Ouvre la bouche salope de toilette public ! »
J’ouvre la bouche et je reçois ce jet infâme qui me donne envie de vomir.
Soumise, je le reprends dans la bouche pour le sucer de nouveau. Très excité certainement par ma soumission soudaine, il reprend rapidement des dimensions alléchantes.
« Encule-moi Max ! J’en ai une furieuse envie. Aimerais-tu enculer ton amie de toujours ! »
Je lui fais alors un petit sourire complice et je me retourne pour cambrer mon cul et lui offrir ma rosette.
J’écarte mes fesses et je lui dis :
« Tout à l’heure, tu avais envie de m’enculer quand je te suçais ? Ce serait dommage de rester avec le souvenir d’avoir raté une occasion. Non? C’est pas tous les jours qu’on encule son amie ! »
Je prends mon air de salope, la bouche ouverte, folle du désir de lui faire sentir que j’ai envie de me faire défoncer les fesses. Je rampe alors très lentement vers lui en jouant les chattes.
Je l’accroupie au sol, le cul toujours en l’air.
Max me prend par les cheveux et pousse son gland sur ma rondelle. Il est très gros et je grimace. Son gland passe le barrage de mon anneau et là la douleur est trop forte et je me mets à hurler.
Il me dit en riant :
« C’est comme çà que çà fait les chattes en chaleur ! »
En voulant constamment plus, je ne peux plus me contenter de caresses et je ne mérite que de me faire sauvagement enculer par mon copain. La sensation est incroyable, si étrange et si intense. Son pénis monstrueux m’explose mon petit trou en s’enfonçant inexorablement dans la profondeur de mes entrailles. Il est maintenant enfoncé jusqu’à la garde et je n’émet qu’un râle continue qui l’amuse beaucoup. J’en frissonne de tout mon corps, alors que Max commence des petits mouvements de va et vient dans mon cul.
« Dis fort que tu es une salope ! »
« C’est vrai! JE SUIS UNE SALOPE! »
A ces mots ? Max se lâche et se met à me laboure le cul avec sa grosse queue. L’énorme pénis de Max me défonce sans écouter mes plaintes. Bien au contraire, il m’encule comme une salope en me claquant les fesses. Maintenant, je suis comme folle et je ne veux surtout pas qu’il fasse attention, ça briserait totalement l’ambiance et l’excitation, ainsi que mon fantasme. Je passe outre la douleur qui devient du plaisir. N’en pouvant absolument plus, je me prépare à crier d’arrêter, alors que j’entends la porte claquer dans l’appartement. Je suis prise de panique. Je me lève brutalement et la queue de max sort d’un coup de mon cul me faisant pousser un cri que je ne peux réprimer. Je pousse mon ami dans la douche et je fais couler l’eau aussitôt. Aussitôt, Alain apparaît dans le cadre de porte. Je sais très bien que dans une telle situation, la pire chose à faire serait de le regarder en souriant faussement en lui disant que je suis surprise qu’il soit là, et qu’il voit ainsi que j’essaie de lui cacher quelque chose. Je cache mes fesse marquées par les claques de Max et en me retournant vers lui « Tu m’a foutue une de ces trouille ! J’ai eu peur que ce soit le colocataire. Je me croyais seule et je ne m’attendais pas à te voir aujourd’hui ! »
Ma réaction est, jusqu’à maintenant, parfaitement normale.
« Oui mon stage a été annulé et je voulais te faire une surprise. »
« Ha ben oui ! Pour une surprise c’est une surprise ! »
« J’irais bien prendre une douche avec toi ma chérie ! »
Aussitôt, je joue la fille déçue, et je lui dis :
« C’est trop bête mon amour. J’ai mes règles depuis ce matin. Je préfère la prendre seule, désolée. »
« Mince ! Tant pis pour moi. Je vais t’attendre dans le salon. »
Je lui demande alors de fermer la porte en s’en allant, et c’est ainsi que j’arrive à me sortir parfaitement de la situation délicate dans laquelle je me trouvais. Du moins pour l’instant. Je me redirige vers la douche, j’ouvre le rideau et me glisse à l’intérieur. Je me retrouve collée à mon amant. Je lui dis, à voix basse en me collant plus contre son corps : en lui murmurant à l’oreille :
« Tout va bien, je l’ai fait sortir de la salle de bain. Il m’attend dans le salon, alors quand je sortirai de la douche, tu resteras dans la salle de bain jusqu’à ce que je l’aie attiré dans ma chambre, d’accord? »
Il est un peu nerveux par rapport à la situation. Par contre, il a quand même le regard fixé sur mes seins. Mon ami, estomaqué, me dit :
« Tu mens toujours comme çà ? »
Laissant planer le doute :
« Peut-être bien? Ce qui est certain, c’est que pour éviter que ce soit louche, il faudra que « ma » douche dure au moins 10 minutes. »
Je me retourne et présente mon cul pour qu’il termine son travail.
Il ne perd pas de temps et se réapproprie le terrain en m’enculant à fond. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler et avertir mon Alain qui ne se doute de rien dans le salon. Max me défonce le cul avec un acharnement qui me fait pâmer de douleur mêlée à de la jouissance. Mon ami est totalement silencieux, mais il doit être en train de perdre complètement le contrôle car il me secoue comme un vulgaire morceau de viande. Mes seins ballotent dans tous les sens et j’ai un mal fou à ne pas hurler.
« Jouis! Je veux tout ton sperme dans mon cul ! »
Un puissant jet sort de son canon à foutre m’inondant les intestins.
Il sont de mon cul brutalement, m’att**** par les cheveux et avant de prendre sa queue dans la bouche, un deuxième jet m’éclabousse le visage et les cheveux. J’ai du sperme plein les yeux. Aussitôt, ma bouche, que je garde ouverte pendant que je suis aveuglée, reçoit une autre bonne giclée puissante. Le goût de sa semence sur ma langue me rend folle et j’avale sans plus attendre, avant même qu’il n’ait fini de jouir. Je reçois un peu de sperme sur les lèvres pendant que j’avale et j’ouvre aussitôt la bouche pour ne plus rien manquer. Sa grosse queue gluante de sperme force ma bouche. Je suce retenue essayant de ne pas hurler comme une salope. Il ne baise plus ma bouche que je ne le suce. Je lui nettoie la queue et je prends plaisir à penser que je me suis permise une petite fantaisie en pompant le sperme de Max pendant qu’Alain est dans la pièce d’à côté. Je suis tellement excitée que je serais prête à sucer n’importe qui à présent pour avoir du sperme. Je frotte mes yeux pour prendre tout le sperme qui m’empêche de les ouvrir. Je me lève et j’att**** la bouteille de shampoing, pour faire fonctionner toute mon histoire correctement. Je me lave très vite, probablement la douche la plus rapide de ma vie. Je sors de la douche en disant à mon ami de rester là jusqu’à ce que je sois dans ma chambre avec Alain.
Je lui dis :
« Le signal, c’est quand je ferai claquer la porte de la chambre. »
Je m’habille alors seulement d’une serviette des seins aux fesses.

Je me penche vers en avant, dos à Max et j’entre un doigt dans mes fesses devant lui et je me doigte l’espace de 4 ou 5 mouvements de va et vient en le regardant. Bien que ce soit tout d’abord pour l’aguicher et le faire bander, je dois dire que maintenant, c’est moi qui suis terriblement excitée. Je le regarde ensuite et complice, je lui fait un petit signe d’au revoir coquin avec ma main et je sors de la salle de bain en ouvrant la porte, sans oublier de la refermer presque complètement. Je marche directement vers mon petit ami d’une démarche assurée alors qu’il se retourne vers moi. Je m’agenouille devant lui, en serviette qui laisse voir mon décolleté, alors qu’il est assis sur le divan. Je suis encore en manque. J’écarte ses jambes avec mes mains, et je descends sa fermeture éclair. Je tire sur son pantalon et dévoile sa queue demie molle. Je ne le regarde dans les yeux, tout ce que je veux, c’est son pénis qui prend des proportions très intéressantes.Puisque j’y ai droit, aussi bien en profiter et je n’ai pas besoin de lui expliquer que je veux du sexe ici et maintenant. Je m’avance alors vers sa queue et je lui mords coquinement le pénis. Il a une queue moins belle que celle de mon ami, mais c’est quand même un pénis de 18 centimètres. ce qui n’est pas du tout négligeable. Je lui lèche les couilles comme une salope, la bouche complètement ouverte, comme si je mangeais une glace. Il semble adorer ça. Je branle sa queue en même temps et je tète légèrement chacune de ses couilles, une par une, en gémissant de plaisir. Tout d’un coup, j’arrête tout et je me retire sensuellement en me relevant, en lui faisant signe de me suivre. Je me dirige alors vers la chambre, tandis qu’Alain s’empresse de me suivre. Aussitôt qu’il franchit le seuil de la chambre, je la claque bruyamment. Toujours la serviette sur moi, j’enfourche Alain et lui lèche le torse en descendant vers sa queue dressée. J’att**** son pénis bien dur commence à le masturber en le regardant dans les yeux. Je le prends en bouche et le pompe sauvagement.
Après à peine une vingtaine de secondes, il me dit :
« Arrête ! Tu vas me faire jouir trop vite ! »
«  Pas cette fois, mon cheri ! Toi aussi tu vas gicler dans ma bouche ! »
Je continue à le sucer passionnément, alors qu’il me prend la tête à deux mains en là tirant vers le haut, en redisant :
« Arrête, je vais jouir bébé ! »
Je résiste en poussant avec ma tête de toutes mes forces et je suce son gland du mieux que je peux dans les circonstances. Ma pipe est bruyante. Après 2 secondes à peine, c’est une véritable explosion de sperme dans ma bouche. Mon homme hurle de jouissance en y giclant son foutre. Je reçois par saccade de grosse giclée de sperme sur la langue et dans ma gorge. Le goût est très salé, encore plus que le sperme de Max. Au stade où j’en suis, je trouve seulement cela encore plus excitant. J’entends une porte se fermer. Surement Max qui part en douce et me voilà encore à me faire gicler dans la bouche! Je me dis « Je suis une pute! Une vraie chienne bouffeuse de sperme! ».
J’avale tout ce sperme dans ma bouche en laissant sortir sa queue, qui n’a pas fini d’éjaculer, et je le branle comme une folle pour le lui vider les couilles.
Je lui cries :
« Continue à gicler!!! Continue d’éjaculer!!! »
Il termine quand même son éjaculation, puis me regarde exténué, stupéfait et émerveillé alors que je ne peux pas m’empêcher de continuer à lécher sa queue pleine de sperme et de mettre chacun de mes doigts visqueux dans ma bouche pour avaler sans rien perdre de sa liqueur. Pour ce qui est de ne pas avoir l’air salope avec le sperme, c’est complètement raté. Je lèche ses couilles sur lesquelles il y en a un peu aussi. Je le nettoie si bien que personne ne pourrait dire qu’il vient d’éjaculer.
Je lui dis ensuite :
« Je n’ai pas dîné et j’avais vraiment faim »
Il me sourit simplement, visiblement abasourdi.
J’avale ma dernière gorgée de sperme et je me love contre lui amoureusement.
Je lui dis très chatte :
« Je suis désolée mon chéri, je n’avais pas entendu quand tu m’as dit que tu allais jouir. »
Je suis une salope, pensai-je.
La tête sur son épaule, je m’endors, le goût de sperme de mes deux amants encore dans la bouche. Je me mets à rêver de toutes les éjaculations que j’ai prises et avalées aujourd’hui dans mon cul et ma bouche. Je me trouve extrêmement salope d’avoir fait tout ça. Par contre, le seul regret c’est de ne pas avoir pu être prise par mes deux mâles en même temps.

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