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Je fantasme sur ma soeur (1)

Je fantasme sur ma soeur (1)



Chapitre 1 : La saint-valentin.

Ma sœur me traite tout le temps de pervers parce que je n’arrête pas de la reluquer. Je n’en peux rien. J’ai dix-huit ans, avec peu d’expérience sexuelle, et je suis en manque. Comment suis-je censé réagir quand cette allumeuse se balade sans gêne en tenue légère dans la maison sous prétexte que nous sommes en famille ? Je suis peut-être son petit frère, mais je reste un homme, merde ! Faut voir ce qu’elle porte parfois, aussi. Quand elle se balade le matin, en culotte, sans soutif, avec un haut moulant qui fait transparaitre sa grosse poitrine qui pointe, c’est difficile de ne pas avoir une érection. Et puis je dois bien l’avouer, je la trouve magnifique. Elle ne ressemble certes pas aux canons de beauté qu’on a l’habitude de voir dans les films ou dans les pubs, mais cela n’a jamais été mon truc. J’ai toujours trouvé ce genre de filles trop maigre. Oh, Natasha n’est pas vraiment ronde, ni grosse, mais elle a plutôt une forte corpulence avec une taille moyenne. Ajouté à cela de longs cheveux châtains qui lui tombent en haut du dos, et de beaux yeux verts, elle me fait craquer.

Je regrette vraiment qu’elle soit ma sœur. Elle est vraiment mon type idéal. Je me suis souvent branlé en pensant à elle. Au début, j’avais honte. Puis le temps passant, je me suis habitué à l’idée qui n’avait plus rien de choquant. Si j’étais un vrai mâle, ou si j’avais été le plus âgé des deux, peut-être n’aurais-je pas hésité à lui sauter dessus malgré notre lien de parenté, mais au lieu de ça, je reste à ses yeux le petit merdeux de service.

Le plus difficile, c’est lorsqu’elle a un petit copain. Alors là, je deviens complètement fou. Savoir qu’un autre homme est en train de profiter de son corps, cela me rend jaloux. C’est encore pire lorsqu’il m’arrive de les entendre baiser dans sa chambre. Je ne peux alors m’empêcher de m’astiquer en m’imaginant être celui qui la prend. Elle doit avoir raison, je ne suis vraiment qu’un sale petit pervers.

Ce matin-là semblait être un matin de weekend comme tous les autres. Toute la famille s’était réuni dans la cuisine pour prendre le petit-déjeuner, et, encore une fois, je ne pus m’empêcher de fixer le décolleté de ma sœur qui se baladait à moitié à poil. Elle le remarqua, mais au lieu de me rendre un regard noir comme elle le fait d’habitude, elle me rendit un sourire. Cela m’inquiéta. Je craignis qu’elle fût en train de me préparer un vilain tour.

Après avoir mangé, je fis ma vaisselle et m’en alla. Ma sœur m’imita, mais alors que je m’attendais à ce qu’elle rejoigne sa chambre, comme moi, elle me suivit dans la mienne :

— ‘Faut qu’on parle, Frangin, déclara-t-elle.

Ca y était. Les remontrances allaient arriver, me disais-je, cela m’aurait étonné. Mais au lieu de cela, elle me demanda :

— Tu sais quel jour on est ?
— Heumm, le quatorze février ? répondis-je sans comprendre où elle voulait en venir.
— Oui, c’est la Saint-Valentin ; et cette année, j’ai envie de te faire un cadeau un peu spécial.

Je fronçai les sourcils, méfiant.

— Je vais y aller cash : je sais que tu fantasmes sur moi. Faut être aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Je ne t’en veux pas : c’est normal à ton âge. Et si tu n’avais pas été mon frère, je trouverais sans doute ça plutôt flatteur ; mais cela ne peut plus durer. Alors aujourd’hui, pour la Saint-Valentin, je te propose de pouvoir satisfaire ton fantasme une bonne fois pour toute. Comme ça, tu n’auras plus besoin de jouer les pervers à longueur de temps.
— Qu’est… ce que… tu veux dire ? bégayais-je.

J’étais devenu tout pâle. À la fois effrayé par son aveu qu’elle savait que je fantasmais sur elle, même si je m’en doutais un peu, et par sa proposition elle-même. Je ne savais pas comment je devais le prendre. Était-elle sérieuse ? Où se moquait-elle juste de moi ? Et si elle l’était, serais-je capable de passer à l’acte pour de vrai ?

— Je pense que tu as très bien compris, rétorqua-t-elle. Je suis à toi pendant vingt-quatre heures. Tu peux me baiser autant que tu veux. Je ferai tout ce que tu voudras. Profites-en pour bien te vider les couilles. Mais après ça, ce sera fini. Dès demain, tu arrêtes de me mater comme un puceau en manque. On est bien d’accord ?
— Qu’est ce qui te prend ? m’insurgeai-je, suspicieux. C’est quoi ce délire là ? Tu me laisserais te sauter ? Moi ? Je ne te crois pas. Pourquoi tu ferais une chose pareille ?
— Parce que même si je suis chiante avec toi, tu es mon petit frère, et je t’aime très fort. Ça me fait mal de te voir dans cet état.

Je la fixai d’un air dubitatif. En réalité, je bandais comme un malade, et mes hormones m’exhortaient à succomber à mes pulsions sur le champ ; mais ma tête devinait une entourloupe. Qu’est ce qu’elle voulait vraiment ? Comptait-elle me faire chanter par ma suite ? Ou pire ? Je ne savais pas trop quoi en penser.

— Qu’est ce que tu attends ? s’impatienta-t-elle. Je suis à toute à toi. Tu peux me prendre, là, maintenant, et enfoncer ton chibre dans ma chatte. Je te laisserais faire. Ose-me dire que tu n’en as pas envie ?

J’admirai son corps splendide, ses seins pointaient à travers son haut, puis les images salaces qui me traversaient la tête eurent raison de mon hésitation. Je ne sais pas à quel petit jeu elle jouait, mais je n’en avais plus rien à battre. Même si j’étais en train de tomber dans un piège, au moins, j’aurais tiré mon coup. Peut-être que c’était ça, le truc, me tenter en étant sûr que je n’oserais pas passer à l’acte, histoire de m’humilier. Si c’était le cas, elle allait être déçue.

Je m’avançai vers elle et lui empoignai les seins. Je les soupesai, les pressai, jouai avec. Ils me faisaient rêver depuis toujours. Je m’attendais à ce qu’elle s’insurge, se débatte, ou m’insulte, mais elle n’en fit rien. Au lieu de cela, elle m’encouragea. Je commençai à croire qu’elle était sérieuse :

— Tu aimes mes gros nichons, pas vrai ? Petit pervers.
— Oui, je les adore, dis-je, ébahis.
— Si tu veux les voir, il va falloir me déshabiller toi-même comme un homme. Je ne vais pas le faire à ta place.

Les voir ? Pour de vrai ? J’eus soudain peur de me réveiller d’un rêve. Je n’arrivais pas à croire ce qui était en train de m’arriver. Je lui ôtai son haut comme elle le voulait, et il révéla sa sublime et généreuse poitrine. J’étais excité comme un dingue. Les seins de ma sœur s’offraient à moi. Ils étaient encore plus beaux que dans mes fantasmes. Je les fixai un moment en bavant comme un attardé, puis je me laissai emporter par mes instincts. J’étais en train de perdre complètement la tête. Je n’étais plus capable de penser rationnellement. Je fondis sur elle et lui suçai les tétons avec ma bouche tout en lui massant les nibards.

— Mais c’est que bébé a une grande faim ! se moqua-t-elle de ma réaction.

Elle devait néanmoins aimer ça, car elle posa ses mains sur mon crâne pour me presser contre elle. Je passai de l’un à l’autre, affamé. Je les mordillais, les pinçais entre mes lèvres. À ma grande surprise, elle émit des gémissements de plaisir. Je me demandais si elle jouait la comédie, où si je lui faisais vraiment du bien. Par fierté, et aussi par revanche de m’avoir tourmenté aussi longtemps, j’avais envie de la faire jouir. J’avais envie de lui montrer que j’étais plus qu’un simple petit branleur, mais aussi un vrai mâle qui sait comment baiser une femme.

— Allonge-toi sur le lit, Natasha, lui commandai-je. Je veux voir ta chatte.
— Pour ça, faudra que tu m’enlèves toi-même ma culotte, me provoqua-t-elle en m’obéissant.

Elle écarta les cuisses en se caressant au travers du tissu. Elle me fixait d’un air de défi. Je m’approchai et lui arrachai son vêtement. Sa petite chatte était glabre, sans poil. Cette petite salope se rasait. Cela m’excitait.

J’avais envie de prendre mon temps, de la découvrir. Ce n’était pas n’importe quel minou, c’était celui de ma sœur. Celui sur lequel je fantasmais depuis des années. Il était enfin à moi. Je pouvais enfin en faire ce que je voulais, et bientôt, j’allais y enfoncer ma queue et la baiser jusqu’à éjaculer dedans. Je lui caressais lentement les lèvres gonflées, puis lui enfonça deux doigts.

— Mais tu mouilles ma parole ! m’exclamai-je, surpris de faire cette découverte.
— Bien sûr ! Tu croyais quoi ? Que je m’offrais à toi par pure charité ?
— Tu as vraiment envie de te faire baiser par ton petit frère ?!
— J’ai surtout envie de me faire prendre par une belle bite ! Faute de mieux, la tienne fera l’affaire.

C’était donc ça ? En y repensant, je me rappelle pas avoir déjà vu ma sœur célibataire pendant une Saint-Valentin. Se servait-elle de moi juste histoire de se faire quand-même tirer le jour des amoureux ? Je devais sans doute m’estimer chanceux qu’elle m’ait choisi moi et pas un mec au hasard, mais je comptais bien lui faire perdre sa putain d’arrogance en lui donnant ce qu’elle était venue chercher. Pas question de lui donner une occasion de se moquer de moi en me traitant de mauvais coup. Je voulais qu’elle me considère comme un bon amant.

Je lui fouillais vigoureusement la chatte quand j’entrepris de lui lécher le clito. Il était énorme ! Je pouvais le prendre en bouche et le sucer. Elle devait être très sensible, car son corps se tortillait dans tous les sens. Sa cyprine coulait abondamment. Je me régalais. J’aurais certainement pu la faire jouir en continuant ainsi, mais j’estimais qu’elle ne le méritait pas. C’était trop tôt. Je voulais la rendre folle.

Je me retirai à sa plus grande frustration, et me redressai :

— Maintenant, tu vas me sucer, déclarai-je.

Elle n’eut pas le temps de réagir que je la fis sortir du lit en la tirant par le bras, et elle se mit à genou pendant que je défis mon pantalon. Ma queue, déjà bien raide, jaillit d’un bond devant son nez. Elle ouvrit grand les yeux, étonnée par sa taille :

— Et bien, je retire ce que j’ai dis, tu as une belle bite, Julien ! je vais me régaler.

Quelle salope ! Je n’étais pas énorme, juste un peu plus au dessus de la moyenne. Qu’est ce qu’elle croyait ? Que sous prétexte que j’étais un petit pervers en manque sans grande expérience, j’en avais forcément une minuscule ? J’étais déterminé à lui faire regretter ses clichés.

Elle me branla énergiquement. À son assurance et à sa technique, elle devait être habituée. Je me l’imaginais douloureusement en train de faire des pipes à ses ex, partiellement réconforté par le fait que ça allait bientôt être mon tour.

L’attente commençait à être longue, mais je refusais de la supplier comme un puceau. Elle me fixait de manière provocante. Le sourire aux lèvres et les yeux pétillants. Cela devient bien l’amuser de me voir au supplice Ma patience fut récompensée quand elle se mit finalement à me lécher le bout du gland. Je frémis de plaisir lorsqu’elle fit tourner sa langue tout autour de mon champignon. Elle gardait la bouche grande ouverte pour que je n’en rate rien. Elle tenait vraiment à m’exciter. Quelle petite salope. Elle ne perdait rien pour attendre ! Elle me prit ensuite dans sa bouche et enfonça ma queue le plus loin possible dans sa gorge chaude. La sensation était divine. Je n’avais jamais rien vécu de pareil. Je dus faire un effort surhumain pour me retenir d’éjaculer directement. Je ne voulais pas jouir comme ça. Je ne voulais la prendre et la baiser comme j’en avais toujours rêvé, pas fondre comme un précoce.

Elle fit coulisser mon sexe sur ses lèvres en salivant bruyamment. Elle me pompait comme une chienne en jouant avec sa langue. J’étais aux anges. Je me faisais sucer par ma propre sœur. J’avais toujours voulu découvrir son côté salope, et je le voyais enfin de mes propres yeux.

— Alors, tu aimes ça ? me lança-t-elle un moment en reprenant son souffle.
— J’adore, mais toi aussi on dirait.
— Hmm, oui, j’adore sucer des bites. Surtout jusqu’à ce qu’elles éclatent au fond de ma gorge, ou sur le visage. Cela ne te plairait pas, petit frère ?
— Non, mentis-je.
— Tu es sûr ? Tu sais, cela ne me dérangerait pas. J’adore avaler le sperme.

Quelle sale petite allumeuse ! J’avais une envie irrésistible de lui éjaculer dans la bouche ou de la souiller de foutre. Cependant, je voyais clair dans son jeu : elle voulait m’exciter un max pour me faire jouir vite afin d’écourter nos ébats. Il n’en était pas question ! Elle m’offrait l’occasion de ma vie, et je ne comptais pas la laisser passer aussi bêtement en me vidant trop tôt. J’avais bien l’intention de lui passer dessus avec la force d’un régiment tout entier.

— Je suis sûre que ta queue est bien juteuse, poursuivit-elle. Cela fait combien de temps que tu n’as pas jouis, mon pauvre chéri ? Ce n’est pas bon tu sais, faut se soulager de temps en temps.

Je ne réagis pas. Je tentais difficilement de me contenir. J’étais à l’agonie. Voyant cela, elle insista davantage :

— Ca t’arrive de te branler en pensant à moi ? Allez, avoue ! Mon petit pervers de frère !
— Oui, souvent, avouai-je.
— Et c’est bon ?!
— Oui, déglutis-je.
— Et qu’est ce que tu me fais quand tu t’imagines en train de me baiser ?!
— Tu veux vraiment le savoir ?!
— Oui ! Dis-moi tout !

Je n’en pouvais plus, fallait que je la fasse taire où je n’allais plus pouvoir me retenir. Alors je lui répondis :

— Je préfère te le montrer !

Je la fis se relever et se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle m’obéit sans rechigner. Elle avait toujours ce petit sourire ravageur aux lèvres. Cela l’amusait de me voir excité, comme si ce n’était qu’un jeu pour elle. Je l’aimais et la détestait en même temps.

Elle écarta légèrement les cuisses. J’avais une vision parfaite de son cul, et surtout sur sa petite fente dégoulinante de mouille. Fallait que je la bourre. J’attendais ça depuis trop longtemps. C’est ma faute aussi, j’ai joué avec elle plutôt que de passer directement aux choses sérieuses. Je montai sur le lit et me plaça derrière elle. Elle remuait impatiemment les fesses. Je lui donnai une fessée, pris mon engin en main, et l’introduisit lentement en elle. Je poussai un gémissement de pur bonheur. Sa chatte était serrée, chaude et trempée ; un fourreau idéal pour mon sexe. Sans plus attendre, je me mis à la limer. J’étais trop excité pour être tendre. J’avais trop besoin de la ravager. Puis de toute façon, elle ne le méritait pas. Je lui donnai une nouvelle fessée qui la fit frémir.

— C’est ça que tu voulais, salope ?! aboyais-je.
— Oh, oui ! Tu as une très belle bite, Julien. Prends-moi fort. Ta grande sœur à besoin de ton chibre.
— Tu n’es rien qu’une salope !
— Oui, mais aujourd’hui, je suis la tienne, alors ça va, non ? Allez. Fesse-moi encore ! J’aime ça !

Je recommençai plusieurs fois, et la pris violemment par ses hanches bien dodues. J’étais comme un a****l en manque qui avait besoin de sauter une femelle. Elle se soutenait par les avant-bras. Je devenais fou. Elle s’offrait totalement à moi, soumise, et elle aimait manifestement ça. Elle voulait que je la prenne, et je voulais la posséder. C’était ma sœur, mais à chaque coup de reins, je voulais en faire ma femme, qu’elle m’appartienne. Je voulais lui faire sentir mon désir, et qu’elle s’en nourrisse. Je la fourrais de tout mon long à chaque coup ; mes couilles claquaient contre sa chatte.

— Alors, ca te plait de baiser ta sœur ?! me nargua-t-elle. C’est aussi bon que dans tes fantasmes ?!
— Mieux encore !

Le souffle court, j’avais du mal à répondre.

— Tu es bien dans ma chatte ? Je suis la première, n’est-ce pas ?
— Je ne suis pas… puceau, suffoquai-je.
— Menteur ! Tu n’as jamais eu de copine ! Avec qui tu l’aurais fais ?!
— Christine !
— La pute de l’école ?!
— Oui !
— Tu mens !
— Tous les mecs…. lui sont passés dessus… Je voulais… moi-aussi…

Je ne terminai pas ma phrase.

— Petit salaud, tu es moins coincé que tu en as l’air. Raconte-moi ce que vous avez fait !
— Elle m’a sucé… Je l’ai baisée… Qu’une fois…
— Une seule ? Mon pauvre frangin.

Je commençai à m’épuiser sérieusement, et puis surtout, j’avais besoin de jouir. Je sortis d’elle, et la fis s’allonger sur le dos. Je voulais la prendre par devant pour la regarder. Je profitai de l’occasion pour me calmer et récupérer un peu. Elle se caressa la chatte les jambes bien écartés pour m’inviter à rentrer en elle. Je ne résistai pas longtemps.

Elle était vraiment sublime. Ses seins ballotaient dans tous les sens. Mes mains baladeuses caressaient son délicieux corps, généreux en courbes et en formes. Je pétrissais sa chair, puis lui massait la poitrine.

Pris d’une envie soudain, je me penchai sur elle pour l’embrasser. Je m’attendais à ce qu’elle me repousse, mais elle accepta mon baiser et me le rendit à pleine bouche. Ses yeux semblaient perdus dans son plaisir. Si j’avais encore un doute, je pouvais clairement constater qu’elle aimait ce que je lui faisais. Elle posa ses mains autour de mon dos pour m’enlacer et me garder près d’elle.

— Putain, grande sœur, c’est tellement bon de te baiser.
— Je te plais ?
— Oui !
— Tu me trouves belle ?
— À tomber !
— Fais-le moi bien sentir !

J’accélérai le rythme. Nos visages collés l’un à l’autre, je la sautais comme ma trainée. J’avais envie de lui crier que je l’aimais. Que je n’avais pas envie d’une autre femme qu’elle. Même si elle n’en avait probablement rien à faire, je me sentais également mal à propos de Christine. Ma sœur avait voulu me prendre ma virginité et je regrettais de ne pas avoir pu la lui donner. Cette autre fille ne représentait rien pour moi. J’étais juste un puceau désespéré qui avait eu besoin de tirer un coup. J’avais envie de lui dire tout cela, mais je n’en fis rien. Je savais qu’elle s’en foutait. Elle ne m’aimait pas. Au fond, c’était une pute, comme Christine. Elle avait juste besoin d’une bite pour la Saint-Valentin ; et moi, je profitai d’elle pour me faire plaisir, tout en lui donnant ce qu’elle voulait.

— Bourre-moi, bien comme ça, petit frère, tu vas me faire jouir, m’encouragea-t-elle.
— J’ai envie aussi, dis-je en ayant de plus en plus de mal à parler.
— Ah, oui ? Tu as envie de jouir aussi ? Vas-y alors, tu peux remplir ma chatte si tu veux.

Je n’allais pas avoir besoin de sa permission pour ça, mais ses paroles m’excitaient néanmoins.

— Allez, viens en moi, petit frère, ordonna-t-elle. Jouissons tous les deux.
Comme un bon chien obéissant, je sentis les prémices de mon orgasme arriver :
— Aaah ! Oui ! Natasha ! Salope ! Je vais venir !
— Oui ! Lâche-toi dans la chatte de ta grande sœur. Donne-lui tout ! Elle veut ton jus !
— Salope ! Je veux te remplir de foutre ! Aaaah !

Je lui donnai quelques derniers puissants coups de boutoir, puis mon corps se figea. Mon esprit devint blanc. Je sentis mes couilles s’ouvrir et le sperme grimper le long de ma tige avant d’éclater. Je la sentis convulser avec moi tandis que j’éjaculai en elle en copieuses giclées. Cela faisait en effet plusieurs jours que je m’étais pas branlé et j’en avais accumulé une belle quantité.

— Vas-y, Julien ! cria Natasha tandis qu’elle jouissait avec moi. Je veux ton jus ! Remplis-moi bien ! Donne tout à ta grande sœur !

Je grognais comme un a****l et me laissai complètement aller. Ma queue pulsait en se vidant en elle. Je voulais la faire déborder comme pour la faire mienne et marquer mon territoire. J’éjaculais mon sperme comme si j’évacuais toutes mes années de frustration. Pendant tout ce temps, elle me serrait très fort contre elle pour ne faire qu’un avec moi. Je sentis la peau de son corps chaud contre la mienne, et ses seins contre mon torse. L’expression de pur bonheur qui se lisait sur son visage me remplit de fierté et m’exhorta à lui envoyer toujours plus de mon liquide. Puis, soudain, à bout de force, je m’écroulai sur elle. Je crus que j’étais en train de mourir.

Son orgasme passa peu après le mien. Nous restâmes là un moment sans rien nous dire. Elle m’enlaça en me caressant les cheveux tendrement. Comme si j’étais son amoureux, ou sa petite chose précieuse. Cela me rendait heureux. J’avais envie de lui dire « je t’aime », mais j’avais peur de gâcher ce moment. Au lieu de cela, elle me demanda :

— Ça t’a plu ?
— Oui ! Je n’ai jamais rien vécu de pareil !
— Moi aussi ça ma plu. Tu m’as bien baisée. Je ne pensais pas que tu me ferais jouir.

Je ne dis rien, ne sachant si je devais le prendre comme un compliment ou une insulte. Peu après, elle se releva et se rhabilla. J’en étais déçu. J’aurais pu rester dans cette position pendant des heures. M’enfin, c’était sans doute mieux comme ça. Si nos parents nous surprenaient, je n’ose pas imaginer ce qui se passerait. Nos parents… je n’y avais même pas songé sur le moment. Ils étaient juste à côté. Une chance qu’ils n’ont rien entendu.

Se préparant à partir, la main sur la poignée de la porte, je lui rappelai :

— J’ai droit à vingt-quatre heures, hein ? Ce n’est pas terminé, n’est ce pas ?!

Elle gloussa :

— Et bien, tu n’en as jamais assez ! Petit pervers !

Puis elle m’abandonna.

Les images de ce que nous avions fait défilèrent dans ma tête toute la matinée. Je me suis remis à bander très fort durant le déjeuner en famille. La savoir si proche de moi, là, disponible, juste de l’autre côté de la table, était insoutenable. Je m’imaginais son corps nu, et je fus envahi par une envie sauvage de la prendre. Elle me laisserait faire, elle me l’avait promis, et cela rendait la tentation encore plus forte.

Pourtant, je me restreins. Une partie de moi avait envie de profiter d’elle sans vergogne, et de la traiter comme un véritable sac à foutre, mais une autre… C’était ma sœur. Je l’aimais. J’étais fou d’elle. Je ne voulais pas qu’elle ait une mauvaise image de moi à cause de cette journée. Il fallait que je me contienne pour ne pas perdre la face.

Je me contins ainsi encore durant des heures, sans jamais ramollir. J’essayai de me convaincre que de l’avoir baisé une fois était bien assez. Mais quand je n’en pus plus, je sortis mon sexe de mon pantalon et commença à me masturber. C’était trop. J’avais besoin de relâcher la pression. D’éjaculer un bon coup pour me vider la tête. Avec un soupir, je m’arrêtai bien vite. Ce n’était plus possible. Elle était juste à côté, dans sa chambre, sans doute en train de faire ses devoirs. Pourquoi devrais-je me faire jouir seul alors que je pouvais lui demander de m’aider ? Contrôlé par mes pulsions, je repoussai toute honte et tout scrupule et me dirigeai vers sa porte. Sans frapper, j’entrai. Elle était effectivement en train de travailler à son bureau. Elle se tourna vers moi, surprise et indignée par mon intrusion soudaine. Mais avant qu’elle eut le temps de se ressaisir et d’exprimer sa colère, je m’adressai à elle en défaisant mon pantalon :

— Natasha, je n’en peux plus. Suce-moi !
— Julien, tu es fou ?!
— Oui, et c’est ta faute. Tu assumes maintenant. Tu as dit que tu étais à moi toute la journée, et là, j’ai envie !
— Pas maintenant. Je suis occupée. Contrairement à toi, je prends mes études très au sérieux.
— Tout de suite ! rétorquai-je d’un ton autoritaire.
— Mais ce n’est pas vrai ! Tu n’es vraiment qu’un gros pervers !

Résignée, elle se leva de sa chaise pour se mettre à genoux devant moi. Je n’arrivai pas à croire moi-même que cela fusse si facile. Peut-être feignait-elle sa gêne afin de mieux m’exciter ? Elle me branla fermement puis me suça.

— Vas-y, sœurette. Fais-moi jouir avec ta bouche, et avale ce que je vais te donner. Ce n’est pas ça que tu voulais tout à l’heure ?!

Elle ne dit rien. En bonne soumise, elle s’appliquait à sa fellation. Je la pris par les cheveux et la força sur ma bite. Je lui baisai même parfois la gorge.

— Ca te plait ? Tu es content ? me demanda-t-elle sèchement pendant qu’elle récupérait son souffle.

Elle se moquait de la réponse. C’était sa manière de me faire savoir qu’elle le faisait simplement parce que je le lui avais demandé, et pas parce qu’elle en avait envie.

— Oh oui ! C’est super ! répondis-je néanmoins.

Même si j’avais saisi son message, je la trouvai un peu trop dévouée à la tâche pour être sincère. J’aurais presque pu croire que c’était juste pour me faire jouir vite, si je ne l’avais pas surprise en train de glisser une main vers sa chatte pour se masturber sous son pantalon. Elle jouait les farouches, mais en réalité, j’étais certains qu’elle aimait ça. Dans tout les cas, je n’avais pas l’intention de me retenir ni de faire durer les choses. J’avais juste besoin de gicler un coup, et j’étais venu me servir d’elle pour y parvenir.

— Pompe-moi, petite salope, fais-moi jouir !

Elle bavait beaucoup pour me lubrifier et faisait de grands bruits de succion à chacun de ses va-et-vient. Elle savait comment prendre soin d’une bite ! La regarder de haut en train de me sucer décuplait mon plaisir. Je n’allais déjà pas tarder à venir, et j’anticipais mon plaisir, quand une idée perverse me vint à l’esprit. J’avais d’abord annoncé que je voulais me vider dans sa bouche, mais après réflexion, j’avais surtout envie de la souiller. Elle se moquait de moi depuis trop longtemps pour je reste sage maintenant que c’était moi qui avait l’avantage. J’attendis le dernier moment. Lorsque je sentis que j’allais éclater, je sortis mon sexe de sa bouche d’une main, et me branla devant son nez en tenant fermement sa tête de l’autre.

— Je vais te salir ! Sale petite pute ! grognai-je.

Elle comprenait à peine ce qui était en train d’arriver. Elle eut cet étonnant réflexe d’ouvrir grand la bouche pour se préparer à tout avaler, comme si elle n’avait pas saisi que ce n’était plus ce que je voulais. J’explosai dans un râle et lui éjaculai en plein dans la figure. J’avais envie de la recouvrir de foutre. Des trainées de sperme coulaient sur son délicieux visage.

— Prends ! Prends tout ! Trainée ! lui beuglai-je.

Je craignis qu’elle ne soit furieuse et tente d’échapper à ma poigne, mais à la place, elle prit d’elle-même mon sexe en main et me branla pour m’aider à me vider sur elle. Je lui envoyai encore deux bons gros jets avant que ma source ne se tarisse. Elle me pressa alors la queue comme pour en faire sortir les dernières gouttes coincés dans le conduit, puis me prit en bouche pour me nettoyer et récolter mon nectar. J’étais stupéfait. Je pensais que les filles ne faisaient ça que dans les films de cul. Jamais je n’avais imaginé que ma propre sœur puisse faire pareil. Mon dieu. Elle aimait vraiment la bite, et elle aimait le sperme. Je n’allais plus jamais la voir comme avant.

— Putain, tu n’avais pas menti, fis-je essoufflé.

Elle utilisa ses doigts pour ramasser mon jus sur elle, et se les lécha comme une chatte qui faisait sa toilette.

— Tu as finis maintenant ? Tu t’es bien amusé ? Je peux retourner travailler ? déclara-t-elle avec un faux dédain comme si j’étais juste une gêne dont elle cherchait à se débarrasser.
— Oui. Mais la journée n’est pas encore terminée. Je repasserai plus tard, tu peux compter là-dessus.

Le soir, Saint-Valentin oblige, nos parents partirent au restaurant pour une petite soirée en amoureux. Ils étaient un peu désolés pour nous que nous n’ayons personne avec qui célébrer cette fête. Les pauvres, s’ils savaient… Moi, je passais la meilleure journée de ma vie. Nous avions la maison pour nous tout seul. C’était pour moi un soulagement de n’avoir ni à me cacher ni à me retenir. À la première occasion, je sautai sur Natasha et la baisai en plein dans le salon. Je la sautai comme une trainée. Elle joua encore celle qui n’avait pas envie, mais cela ne l’empêcha pas de jouir. Elle me monta même dessus pour prendre son pied elle-même sur mon chibre. J’en profitai pour jouer avec seins. Bon sang, j’en étais amoureux. Avec les années, j’ai vu sa poitrine grossir et prendre du volume. Ils m’ont obsédé pendant toute mon adolescence. Pouvoir les voir enfin, et jouer avec… c’était comme réaliser un rêve. Nous baisâmes pendant une dizaine de minutes. Je me retins autant que je pus, puis éjaculai dans sa chatte à grands cris. Je voulus rester un moment au fond d’elle et lui dire que je l’aimais, mais elle me repoussa tout de suite pour se rhabiller. J’avais le cœur brisé. Je n’étais rien pour elle. Juste le coup d’un jour parce qu’elle était une célibataire en manque.

Je voulus la reprendre plus tard dans la soirée, mais je n’en avais plus la force. Trois fois en une journée, pour un type qui n’avait baisé qu’une seule fois dans sa vie, c’était déjà énorme. J’avais l’impression d’avoir passé une journée de débauche. J’aspirais à revivre ce genre d’expérience, et de le faire encore plus de fois.

La nuit, dans mon lit, je vis avec regret mon réveil afficher minuit. La Saint-Valentin était passée, ainsi que toutes chance de pouvoir m’adonner à de nouveaux ébats torrides avec Natasha. Je tentai malgré tout une approche le lendemain, mais elle se refusa virulemment à moi. Elle me fit bien comprendre qu’hier était une occasion exceptionnelle, et que cela ne se reproduirait plus jamais. Elle me traita de gros pervers en manque qui n’était jamais satisfait. Ce qui était sans doute vrai.

La vie à la maison me parut plus horrible que jamais. Ma sœur n’avait rien changé de ses habitudes. Tout était redevenu comme avant. Sauf que je savais désormais ce que je ratais, et que j’étais dévoré par la frustration de savoir que je vivais sous le même toit qu’une fille incroyablement chaude, mais que je ne pourrais jamais toucher. Je n’ai pas arrêté de me branler en pensant à elle depuis ce jour-là.

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