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Moi, Pro-Fesseur, épisode 2

Moi, Pro-Fesseur, épisode 2



Lui faire faire un petit exercice canin, la promenade à quatre pattes. Je vais lui montrer où elle va dormir, son petit bureau, son cahier où elle aura soin de tout noter dans les moindres détails. Oui, je crois que j’ai là la femme que je cherchais. Il ne me reste qu’à la convaincre, cela est loin d’être impossible.

Elle me suit, découvre son lit tout petit, cette caisse en guise de bureau, ce pot de chambre en guise de siège et de WC, le tout dans deux mètre sur un mètre cinquante et un mètre de haut. Ma cage à supplice, sauf qu’elle ne connaitra sa véritable utilité que dimanche.

Oui, elle y entre, en fait le tour. Son lit n’est rien d’autre qu’un banc avec un coussin de transat et une couverture militaire, de celle qui gratte, pique. Assise, la tête penchée, elle doit écrire ses trois premières heures de soumissions.

– Attention aux fautes, une faute te vaut dix punaises sur ce petit tabouret qui est dans ce coin. C’est loin d’être agréable pour écrire, surtout que cela supprime le pot de chambre. À toi de voir, ma fille !

Je me pose sur un fauteuil dans cette pièce soft, enfin, pas tant que ça, c’est ma seconde pièce, j’ai sauté la première, la plus douce devant son désir d’aller plus loin et plus vite. Et puis, elle, ce qu’elle ignore encore, de moi, elle ne sait que ce que ma sœur a bien voulu lui dire. Elle ne sait pas encore que je suis son oncle, elle, la fille de notre frère ainé de dix ans. En fait, je me demande si elle sait que ma frangine est sa tante. Je ne crois pas, mais là n’est pas encore le propos. Je la regarde écrire. Elle écrit vite, s’applique dans une belle écriture comme je les aime. C’était sa pause, trente minute, elle a le droit de boire, je pousse sa gamelle sur le sol de sa cage, sa prison.

Maintenant, je lis, vérifie. Je suis terriblement déçu, je ne trouve pas une faute, pas la moindre punaise à lui mettre sur ce tabouret, oui, je suis déçu. Pour un peu, j’en serais fâché.

Bien, la soumission physique fonctionne bien, passons à l’autre soumission, la plus vicieuse de toute de mon avis. Je l’entraine contre cette croix, l’attache, ajoute encore des pinces sur son corps.

– Je vais te prendre en photo, pour moi et ma sœur, ce sera notre garantie que tu ne diras rien à personne, surtout pas à ton père, notre frère ainé. Aie, ça fait mal, tu ne nous connais pas comme membre de ta famille. Ne crains rien, je ne te mens pas, il nous déteste parce qu’Isabelle et moi, nous avons des relations intimes et jouons parfois, comme sur la photo dans ma chambre. Même tes grands-parents nous ont reniés. Nous n’avons pour famille que l’un et l’autre, nous deux, si tu préfères et toi si tu ne t’enfuis pas dimanche soir. Je pense que tu n’as jamais vu les photos de famille où nous sommes les cinq, j’en ai plusieurs, je te les montrerais. Bon, cela étant, en ce qui te concerne, cela ne change rien, tu es à moi pour encore 48 heures !

Je commence à masser son corps, son sexe. Elle mouille, sent le plaisir monter en elle, troisième récompense, celui de l’interdit désormais. Je continue la soumission psychologique, lui avouant avoir une putain d’envie d’en faire ma petite pute attitrée, celle que je veux garder près de moi en tout temps. Et cela marche, même mieux que je ne le pensais. Elle jouit de mes mots, de ses maux, de mes caresses. Plus j’enfonce le clou, plus je la désire comme mon esclave, oui, je lâche le mot, mon esclave, plus elle se montre docile. Je me recule, prends ma longue cravache, je frappe les pinces qui recouvrent son corps. Elle grimace, elle souffre, ne crie pas, me fixe, me défiant, bravant mon autorité, doutant de mes dires. La photo, nous sommes encore, ma sœur et moi, que des gosses face à notre grand frère. Elle pige vite la petite. Elle pense que je vais me venger sur elle, non, je ne suis pas rancunier, même si l’idée m’avait traversé l’esprit.

La dernière pince est sur le sol, je la délivre, l’oblige à tout me ranger. J’en profite pour raconter notre enfance, le refus de notre présence de la part de son père à l’enterrement de nos parents, sa folie des grandeurs, son égo démesuré quand il nous mit dehors de la maison familiale après nous avoir surpris, ma sœur et moi en train de baiser comme des porcs dans la chambre de ma sœur. Il ne pouvait supporter que je lui grille la politesse, moi, son petit frère. Pourtant, je n’ai aucune rancune contre lui, il n’a fait que nous rendre service. Certes, ma sœur est mariée, son mari est un libertin, nous baisons parfois tous les trois. Certes encore, ma sœur aime à venir de temps à autre me subir, mais son mari, il est au courant, lui. Et puis, notre grand frère, dans sa haine, il m’a fait découvrir ce monde dans lequel je vis, je gagne ma vie et nettement mieux que lui, sans lever le petit doigt que pour corriger mes clientes ou prendre mon pied en leurs compagnies.

Ma nièce m’écoute, elle boit me parole. Dans son anus lubrifié, je vais encore lui donner douleur et plaisir avec ce gode de mon invention, il vibre, électrocute, gonfle, se dégonfle d’une simple télécommande. Pendant que je l’enfonce, ma nièce baise mes pieds, les lèches. Je suis pris à mon propre jeu, je la voulais pour moi dès le premier regard, elle me fait comprendre que c’est ce qu’elle veut par sa langue qui se glisse entre mes orteils. Son regard aussi, il me dit tout ce qu’elle pense de moi.

– Tu vois, tu me trouble maintenant que tu sais tout, que tu baise mes pieds. Tu vois ce collier, si je te le mets, cela voudra dire que je fais de toi ma soumise, mon esclave. C’est ce que tu veux ?

– Oui, pour laver l’affront de mon père. Pour tout vous dire, Monsieur, je ne l’ai jamais aimé. Surtout depuis qu’il me désira dans son lit, à mon adolescence naissante. C’est pour ça que maman est partie !

Je lui montre encore le collier. Putain de merde, j’hésite, mes mains tremblent. Ce collier, il signifie une union sans limite, il signifie que je la prive de toute liberté, de tout en fait, du moins sans mon autorisation. J’ai une putain d’envie d’appeler mon frère pour tout lui dire, lui dire que je veux tout arrêter, la renvoyer chez elle. De la voir, je la trouve plus belle encore. Putain de doute, putain d’hésitation ! Elle n’a que 21 ans, j’en à peine dix de plus. Elle s’incline, lèche mes pieds, ses mains dans son dos, sa langue glisse en haut de mes jambes, prend mon sexe et je ne fais rien pour l’empêcher. Elle me provoque et, pour la première fois dans mon « travail » de dominateur, je suis pris à dépourvu, mon assurance vient de se lézarder. Je la regarde de mes yeux aimant, plus comme le bourreau que je devrais être. Je n’y tiens plus, je la soulève en la tirant par ses cheveux. Je l’entraine dans la dernière pièce, la plus méchante, la plus violente. Je la pousse contre un carcan, emprisonne sa tête, ses mains. Je lie ses pieds de chaque côté. Je caresse sa croupe, plonge ma queue dans son sexe. Oh merde, elle est vierge, qu’est-ce que j’ai fait pour…

– Tu cherchais quoi en acceptant mon invitation le premier soir ?

– Rien de plus que mon oncle. Oui, je savais tout par grand-père. » Elle avale sa salive. « Un soir, peu avant qu’il ne nous quitte, il m’a prise à part. Il m’a montré des photos de vous tous. Il pleurait et enrageait que son propre fils ne vous laisse plus approcher de notre maison. Alors, il m’a donné cette envie de fauter, de défier mon père, de le remettre à sa place, celui de frère ainé, protecteur de la famille, rassembleur à l’occasion. En vous voyant, j’ai compris que je ne pourrais vous échapper. Oui, je couche avec Isabelle et son mari. Sauf que lui, il ne peut que m’enculer, ce qu’il fait divinement. C’est lui qui m’a appris à sucer une queue. Un soir, avec eux, nous avions bu, je me suis mise à pleurer et j’ai tout balancé sur la table. J’ai fait promettre de ne rien vous dire. Je voulais que cela soit moi et moi seule qui vienne vous le dire. Voilà, c’est fait ! Aussi, dès que nous avons commencé à nous voir, je n’avais qu’une envie, connaitre le frisson de la soumission. C’est au restaurant que j’ai compris qui vous étiez en me faisant jouir sur ma chaise devant cette table, le personnel. C’est encore devant le restaurant que je me suis donnée à vous, ne vous refusant plus rien. Baisez votre pute, je ne suis plus la nièce, mais votre salope prête à tout quitter pour ne plus vous quitter. Je sais que mon père sera franchement gringe. Peu m’importe, il a voulu me baiser, plus exactement me violer.

Je m’enfonce encore, poussant son hymen, je pourrais le défoncer, le déchirer d’un coup sec juste pour la faire crier. Non, je n’en ai pas le gout. Alors, pour le moment j’abandonne son minou pour son cul. Je lui retire mon gode. Je l’encule comme on le ferait avec une prostituée de bas étage, une femme à soldat. Je me montre vulgaire, agressif, je fesse, mordille, étire, tords ses seins. Elle hurle, elle hurle si fort si joliment quand elle jouit de mes mauvais traitements. Je la délivre, je n’ai plus le gout aux mauvais traitements.

Elle prend mon collier de mes mains, se le met, ferme le petit cadenas, jeta la clef dans les WC en tirant l’eau. Le geste est suffisamment fort pour que même le dernier des idiots comprenne son action comportement. Elle se dirige vers mon bureau, sort ce que je n’avais jamais montré, un contrat de soumission totale, sans limite dans le temps. Là, j’ai appelé Isabelle pour tout lui balancer. Paul, son mari, n’est pas là, encore à l’étranger, ce vil pervers. Elle me dit arriver sous peu, je refuse sa présence, comme une punition. Une punition pour elle comme pour moi, je le concède.

Elle se couche sur le sol froid, replie ses jambes, passe ses bras derrière ses genoux. Son sexe est ouvert comme une rose à la rosée, humide, sa mouille perle, c’est magnifique. Elle me supplie par son regard. Je plonge ma queue dans son sexe je suis au fond en un coup, j’ai tout déchiré, sa bouche, pour ne pas crier, m’embrasse à pleine bouche. Sa langue fourmille dans ma bouche. Elle s’accroche à moi, m’enlace de ses membres. Nous faisons l’amour, l’Amour avec ce A majuscule, ce qui fait toute la différence. Nous ne nous faisons aucune promesse, juste la sienne que j’approuve sans réserve, celle de me servir indéfiniment. Je me sens faible, moi l’homme sûr de son fait. Je me découvre une faille dans ma cuirasse, une faille que je n’ai pas vue. Elle s’y est engouffrée et, je l’avoue, le confesse, c’est merveilleux de découvrir qu’on n’est pas qu’une brute avide de plaisir, malsain comme la plus part des autres.

Il se fait tard, mon côté dominateur n’est pas encore éteint. Je la prends, l’enferme dans sa prison pour la nuit, son pied enchainé à son « lit ». Je sors un moment, il me faut de l’air, du recule. Un bar est encore ouvert, un double me fera le plus grand bien.

Dans un coin, une femme branle son mec de ses mains. Dans un autre, une femme se fait copieusement masser son corps par une autre, dévoilant ses charmes. Je me pose, commande, paie et vais boire dehors, derrière, sur la terrasse déserte. Un petit cigare à la bouche, je regarde le ciel couvert, sans étoile, sans lune. Des centaines de question se bousculent dans ma tronche. Je vois déjà la tête de mon frangin quand il sera, parce qu’il faut qu’il sache !

Quand je me retourne, deux hommes s’enculent, je souris, l’un est un joli soumis. Je passe près d’eux, caresse sa tête.

– Continue comme ça, t’as un bon Maître.

Je rentre en faisant moult détour, comme pour repousser l’inévitable, me retrouver face à moi-même avec ma nièce, Sidonie. Elle dort quand je rentre, je me sers encore un double que je viens boire près d’elle, assis près de son petit lit. Elle ronfle un peu, je souris. Je ne la réveille pas comme je l’aurais fait pour une de mes clientes, elle n’est pas une cliente, plus, du moins. Je me couche enfin, dans mon lit. Je peine à trouver le sommeil, tellement de questions sont encore sans réponse.

À mon réveil, je la délivre, elle fonce vers la cuisine, me fait mon déjeuner. Parfaite soubrette, elle me sert comme si j’étais un pacha. Ensuite, toujours nue, sa poitrine qui se balance au rythme de ses mouvement, elle me nettoie mes pièces, mes petits donjons. À genou, elle range, nettoie avec grand soin chacun des objets et meubles qui les remplissent. Je la regarde faire, la guide d’une cravache, elle se plie à tous mes désirs, embrassant ma cravache après chaque porté sur son corps. Je la traite comme une cliente en fait. J’avoue que si elle me payait, cela rendrait les choses nettement moins compliquée, non pas que je suis vénale, non, mais je ne me poserais plus ces questions de merde.

On est samedi, je la fais se vêtir d’une très courte jupette, d’un chemisier trop petit, très transparent, de talon aiguille de bien dix centimètre, un cabas, une liste de course et deux heures pour tout acheter. Elle conserve son collier pour sortir, refusant que je lui ôte. Elle veut afficher clairement qui elle est, ce qu’elle est, c’est tout à son honneur. Pendant ce temps, je me prélasse dans un bain chaud. Je pense à la suite à donner à cette soumission. Ma sœur me sort de ma torpeur, au téléphone, elle me dit avoir vu Sidonie, qu’elle la trouve merveilleuse dans sa tenue, qu’elle affole tous les passants. Je la supplie de venir. Oh putain, j’ai supplié, moi ? Non, ce n’est pas possible que j’ai fait ça ?

Elle arrive ventre à terre, des bigoudis pleins la tête. Je ris de la voir ainsi, cela faisait si longtemps. Je lui offre à boire, lui explique tout, encore une fois. Sa main se glisse sous mon peignoir, elle me couche, se jette sur ma bite, la fait bander, s’empale sur elle.

– Si tu la rejette, t’es le roi des cons. Et c’est aussi me rejeter. » Elle m’embrasse tendrement. « Je sais tout, mais j’avais promis de ne rien te dire. Elle sait tout grâce à notre père. Même lui n’est pas parvenu à faire faiblir notre frère, c’est dire s’il est con, le frérot.

– Je sais, elle m’a tout dit. Moi qui pensais bien faire en la soumettant psychologiquement, c’est un flop total.

– Non, je ne crois pas, c’est juste le contraire que j’ai vu dans la rue. Elle est ta soumise, ton esclave, elle le restera autant que tu la voudras. Entre nous, je crois que c’est pour toujours.

Ma sœur jouit, me fait jouir sur ses seins, son visage. Sidonie revient, nous trouve, fait comme si elle ne nous voyait pas. Dans la cuisine, elle range mes commissions. Quand elle nous rejoint, c’est nue, mains sur sa tête. Isabelle tend son pied sans un mot. Sidonie se penche, l’embrasse, le lèche, le suce de partout. Je crois que ma sœur a raison. Je me place derrière elle, relève sa croupe, agace son anus, le lubrifie et m’y enfonce. Je veux son cul, son sexe, ses seins, son corps et, mais surtout, sa soumission. Maintenant, je la crois soumise sans limite, sans plus aucun tabou. Isabelle avait raison, je l’embrasse en lui demandant de me pardonner. Sa gifle n’est qu’une bien faible punition face à mes doutes. Je baise sa main, suce ses doigts, ce n’est de loin pas la première fois. Sidonie pousse encore plus loin, se glissant entre les cuisses de ma sœur. Déjà, sa langue s’affaire de l’anus au vagin, Isabelle est déjà sur le point de prendre son pied. Je me retiens encore dans ce cul encore si merveilleusement étroit. C’est ensemble, réglé l’un sur l’autre que ma sœur et moi jouissons, que Sidonie prend son pied avec nous. À elles deux, elles ont gommé toutes mes questions en me donnant une seule réponse, accepter ce qui est.

Nous préparant de quoi manger, Sidonie brise une tasse en la lavant. Elle n’était plus de première jeunesse, je vous l’accorde, c’est juste le geste maladroit que je punis à coup de martinet. C’est sa poitrine, son sexe et son cul que je vise. J’oblige ma sœur à se branler devant Sidonie comme une fille à soldat, vulgairement. Pendue par ses bras, Sidonie subit ma punition. Bloquant sa respiration quand le coup est puissant, qu’il fait très mal. Je reprends mon assurance, la domine et elle plie. Cette fois, je ne me laisse plus surprendre. Je redeviens le mec aux dizaines de clientes soumises.

Devant ma sœur, je lis le contrat que me signait Sidonie, celui de ce matin. Il est définitif, plus de délai de résiliation. Elle garde son collier, je peux jouir de son corps comme bon me semble. Je montre la signature, je ne l’avais pas remarqué, c’est de son sang qu’elle a signé. Je regarde Sidonie, la signature bien en vue. Elle baisse ses yeux.

– Il le fallait, monsieur.

– C’est vrai, tu as raison. De toute manière, contrat ou pas, tu ne me quittais plus jamais.

Cette fois, c’est dit, si je sais qu’elle est amoureuse, je le suis également. Comme c’est ma nièce, la fille de notre con de frère, je suis encore plus amoureux. Très vite, repue, fatiguée, Isabelle nous abandonne. Je menotte ma nièce, la fixe dans la cuisine, lui donne de quoi faire la vaisselle, nettoyer tout du plan de travail. Je ne suis pas loin d’elle, juste derrière, jouant avec ses sens. Quand elle se penche, écarte ses fesses, j’enfonce mon gode maison. Je le règle à fond. À la taille de Sidonie je fixe la ceinture de batterie, la cadenasse. Électrochocs, vibration, dilatation, tout y passe et je la fouette encore. Elle me tend son corps, creuse ses reins, offre ses seins, elle me donne tout d’elle pour connaitre enfin l’ivresse suprême, jouir dans la douleur.

Je l’entraine dans la salle hard, bien décidé à connaitre ses limites. Je la pends par ses bras, écarte ses jambes au maximum. Elle grimace et pourtant ses yeux brillent, sa chatte suinte de bonheur, cela ne serait durer. Sur ses gros tétons, cent gramme de plombs par mamelons. Elle grimace, mouille toujours autant, mais cela ne serait durer. Je prends ma chambrière et commence à rougir tout son corps. Je commence par ses pieds et remonte lentement. Parfois, je teste si elle mouille encore et elle mouille, mais cela ne serai durer. Je fouette, cingle, pince, mords et pas doucement. Je pense à cette femme masochiste et traite Sidonie comme si elle était devant moi. Putain, je commence à avoir mal aux bras de fouetter son corps. Les minutes s’écoulent et elle n’a pas encore émit le moindre cri, le moindre murmure de douleur. Je cravache, armant loin mon bras. Ses cuisses commencent à bleuirent, son cul devient bleu, presque noir, sa poitrine est enfle de mes coups et elle supporte encore. Il ne me reste que les aiguilles et la cire. Je bande ses yeux superbes. Cette fois, je lis clairement la peur sur son visage. Je fais grand bruit en tournant autour de son corps. Je retire les pinces sur ses mamelons, premier cris de douleur, première larme. Pourtant elle mouille encore, mais cela ne serait durer.

Je laisse la cire fondre lentement, je prépare les aiguilles, désinfecte ses seins, son sexe. Première aiguille, second râle de douleur. J’ajoute de la cire brulante, elle hurle enfin et ne mouille plus. je continue tout le temps qu’elle ne me suppliera pas d’arrêter. Son corps n’est plus que douleur et pourtant elle ne semble pas vouloir à ce que tout s’arrête. Cire, aiguille cravache, tout y passe. Je commence à fatiguer. Électrode, électrocution, elle hurle encore plus fort. J’ai peur, peur de moi, peur d’avoir la main trop lourde. Je lui suggère de me dire, de me clamer, de me supplier de tout arrêter, sa tête me fait NON ! Je continue, plantant une aiguille bien droite dans le centre de ses tétons. Elle hurle encore, j’étire ses nymphes, les garnis d’aiguille, de cire. Elle perd connaissance, je l’asperge d’eau glacée, elle se soulage entièrement sur le sol en revenant à elle.

« On arrête ? »

« Non, je veux vous prouver que je peux supporter encore plus, Maître. »

« Tu n’as plus rien à me prouver, plus pour le moment. J’arrête, j’en ai déjà trop fait, bien plus qu’avec n’importe qui. Je veux une femme soumise, pas une masochiste. »

« Mon Maître m’aimerait-il ? »

« Autant que tu m’aimes ma petite salope. »

« Oui, je suis votre salope, votre pute, tout ce que voudrez que je sois si c’est le prix à payer pour vous appartenir. »

Dans mon lit, son corps libre de toutes tortures, je la soigne, l’embrasse, me montre plus tendre que je ne l’avais été à ce jour. Et, dans le sombre de la chambre…

P.S. Histoire écrite d’un trait, sans correction ni la moindre relecture.

À suivre…

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