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FATIMA FEMME MARIEE PREMIER TRIO LESBIEN

FATIMA FEMME MARIEE PREMIER TRIO LESBIEN



LU SUR LE NET

Fatima femme fidèle mariée baisée par julie et cécile (première expérience lesbienne)

Avant de presser le bouton de la sonnette, Julie se tourne vers moi et me sourit. Je ne sais comment interpréter ce sourire : a-t-elle besoin d’un dernier encouragement ? Est-ce qu’elle sourit déjà à ce qu’elle espère vivre ce soir ? Est-ce qu’elle veut simplement me rassurer ?

Cela fait plusieurs mois qu’elle me parle de sa nouvelle collègue, Fatima. Au fil du temps, j’ai appris que non seulement elle est compétente mais qu’en plus elle est à croquer. J’ai compris que Julie éprouvait de l’attirance pour elle quand elle a commencé à me la décrire : petite, mince, de grands yeux noirs et de longs cheveux foncés. Lorsqu’elle m’a parlé de son cul (des petites fesses rondes et musclées, qu’elle aime mouler dans des jeans trop étroits) et de sa poitrine (des jolis seins arrogants « Oh, bien sûr, pas aussi gros et aussi beaux que les tiens » mais très excitants quand-même), je me suis inquiétée. Heureusement, elle m’avait aussi dit que, d’origine maghrébine, elle était assez coincée et gênée par tout ce qui touchait au sexe. Nous avions eu plusieurs fois l’occasion de la rencontrer, et je devais avouer qu’elle était très jolie, et très séduisante. Je comprenais que Julie pouvait avoir été attirée par la différence : Fatima est aussi petite, brune et mince que je suis grande, blonde et sculpturale. Je ressentais la même attirance pour cette jeune beauté différente.

Un jour que nous étions au lit, après l’amour, et que nous parlions de nos penchants lesbiens, Julie m’avait avoué avoir essayé un jour de la séduire. Mais sa collègue avait repoussé ses avances.

La semaine passée, quand j’ai été cherché Julie au travail, Fatima est sortie en même temps qu’elle, dans un petit tailleur sexy dont la couleur pêche mettait bien en valeur sa peau bronzée. Sur le chemin du retour, j’ai dit à mon amour que je trouvais sa collègue très attirante.

— Toi aussi, tu trouves qu’elle est sexy ?
— Très sexy. Tu as vu son petit soutien-gorge pigeonnant ?
— Je ne comprends pas ; si tu la connaissais : elle est tellement coincée, tellement prude… mais elle s’habille parfois comme une petite pute…
— Peut-être a-t-elle besoin de quelqu’un pour l’éduquer ?
— Tu as envie qu’on se la tape ?
— Chiche ! Organise-nous quelque chose, invite-la à dîner !

Ravie à l’idée d’une partie à trois, Julie l’a invitée dès le lendemain. Mais rien n’y a fait. La belle n’a pas voulu venir chez nous. Son mari n’aime pas la voir sortir seule le soir. Par contre, elle a proposé à Julie de venir dîner chez elle. Nous voilà donc devant sa porte.

La sonnette retentit. Fatima nous ouvre la porte. Elle s’est mise en beauté : rouge à lèvres, fard à paupières, escarpins et petite robe noire décolletée. Nous sommes nous-mêmes assez sexy, sans tomber dans la provoc’ : une robe rouge fendue haut sur la cuisse pour Julie, un pantalon noir moulant et un chemisier un peu transparent pour moi. Fatima nous fait entrer et nous précède dans le salon. À la vue de son joli petit cul qui ondule dans sa courte robe, Julie et moi échangeons un regard entendu.

Son mari et ses deux filles sont là. Nous parlons un peu. Le mari est simple et gentil, mais nous comprenons vite qu’il est aussi un peu coincé. Nous sommes assises sur le canapé, Fatima et son mari en face de nous. Julie est en beauté. Son maquillage, ses bijoux, sa robe sexy la rendent très séduisante. Elle semble un peu excitée, parle et rit beaucoup. Je surprends les coups d’œil que le mari jette sur ses cuisses. C’est que la coquine a remonté haut sa robe, et dévoile sans vergogne ses cuisses galbées. Assise pour ma part en face de Fatima, je peux la regarder à mon aise. Elle est vraiment jolie. Elle rit un peu nerveusement, secouant sa splendide crinière. Sa robe est vraiment courte, et je peux admirer ses jolies cuisses fines et nerveuses. Lorsqu’elle se penche pour prendre son verre sur la table, j’aperçois la dentelle noire de son soutien-gorge. Au moment où elle se relève, nos regards se croisent et s’accrochent. Je plonge mon regard dans ses yeux sombres et brillants, un petit frisson me parcourt l’échine. Je passe ma main dans mes cheveux, lui souris. Elle me sourit à son tour, puis se lève pour mettre ses filles au lit.

Quand elle revient, nous passons à table. Julie est assise à côté de moi. Elle presse sa cuisse contre la mienne, je la sens assez excitée par la situation. Elle parle à sa collègue, semblant ignorer le mari qui pourtant ne quitte pas du regard son généreux décolleté qui met en valeur ses gros seins tremblants.

Après les zakouskis, Fatima nous présente une entrée délicieuse aux parfums suaves et exotiques. Elle guette notre réaction, un peu inquiète. Nous lui sourions, elle s’est surpassée.

À peine avons-nous commencé l’entrée que le téléphone sonne. Le mari est rappelé à son travail pour un problème urgent.

Dès qu’il a refermé la porte, Julie sort le grand jeu. Insensiblement, elle amène la conversation sur des thèmes plus intimes : elle complimente Fatima sur sa robe, sur son maquillage… Notre hôte rougit. J’en rajoute, en lui demandant si elle trouve la robe de ma compagne sexy. La jeune fille rougit de plus belle. Je suis très excitée. Par-dessous la table, je passe la main par la fente de la robe et pose ma main sur la cuisse de Julie. Elle écarte un peu les jambes, comme pour m’inviter à continuer. Je remonte jusqu’à sa moule. À travers la fine dentelle de son string, je sens qu’elle mouille déjà, sa fente est toute poisseuse. Notre hôte a-t-elle surpris mon geste ? Difficile de le savoir. Mais lorsqu’elle se lève pour prendre nos assiettes vides, elle ne peut pas ne pas voir que je caresse ma compagne.

Quand elle va à la cuisine, Julie se tourne vers moi, les yeux brillants et les lèvres humides. Elle m’embrasse goulûment, en ma pressant la nuque. Je suis aussi excitée qu’elle. Je mouille, et je voudrais qu’elle puisse me caresser le bouton. Elle glisse une main dans mon décolleté, pour prendre mon sein gauche et en titiller le bout déjà durci.

Nous nous séparons à regret lorsque notre hôte revient dans le salon. Elle a surpris notre étreinte, cela ne fait pas de doute. Elle nous sert la suite du repas, comme si rien ne s’était passé. Mais je sens qu’elle est troublée. Je ne peux me retenir :

— Chère Fatima, dites-moi, cela vous choque-t-il que nous soyons gouines ?

Julie me regarde, interloquée. Je souris à Fatima, qui rougit à nouveau. Elle bafouille, fait celle qui ne comprend pas. J’enfonce le clou :

— Oui, je veux dire, que nous soyons homosexuelles… lesbiennes, quoi… dis-je en articulant le mot avec l’expression la plus sensuelle possible.
— Euh, non, enfin, je ne sais pas… c’est si étrange…
— Vous êtes mal à l’aise ?
— Oui, un peu, c’est vrai.
— Pourquoi ? Cela vous dégoûte ?
— Non, non…
— Vous avez déjà fait l’amour avec une autre femme ?
— …
— Allons, ne soyez pas intimidée, nous sommes entre nous, votre mari n’entend pas.
— C’est-à-dire que…
— Oui ? Dites-nous…
— Quand j’étais plus jeune, avant de connaître mon mari, j’avais une grande amie. Nous étions très proches.
— Proches au point de s’aimer ?
— Très proches. Je… nous… vous savez, nous étions curieuses, nous découvrions nos corps.
— Cette aventure s’est terminée ?
— Oui, un jour elle a rencontré une autre femme, plus âgée, qui me l’a prise. J’ai mis longtemps à m’en remettre. Puis j’ai connu mon mari.

À ce moment, Julie, étonnée de mon audace et subjuguée de voir sa collègue si réservée nous révéler son passé, se mêle à la discussion.

— Mon Dieu, Fatima, jamais je n’aurais deviné que tu…
— Vous regrettez cette aventure ?
— Je ne sais pas. Il y a si longtemps…

Je me lève et contourne la table. Au risque qu’elle s’effarouche et nous mette à la porte, je m’approche d’elle, me penche.

— Est-ce qu’elle vous embrassait … comme cela ?

Je la prends par la nuque, plaque mes lèvres contre les siennes et l’embrasse avec fougue. Elle ne se débat pas, mais il faut quelques secondes avant qu’elle s’abandonne, et qu’entrouvre ses lèvres pour laisser ma langue explorer sa bouche. De passive, elle devient vite active, et répond bientôt avidement à mon baiser. Julie se lève à son tour, pose sa main sur son épaule, lui donne un baiser dans le cou pendant que je continue à l’embrasser. Elle veut aussi sa bouche et m’écarte pour l’embrasser à son tour. Fatima est visiblement excitée, elle pousse un petit gémissement de plaisir. Je regarde ma mie lui faire des langues, et cela me fait mouiller. Je passe ma main par l’échancrure de sa robe et la pose sur son sein. Il est petit et ferme, je sens le renflement du téton durci à travers la dentelle. Fatima frémit. Je voudrais qu’elle me touche à son tour, mais elle se contente de se laisser toucher et de répondre à nos langues. Je m’étonne encore qu’elle n’ait pas réagi violemment et qu’elle nous ait laissées faire. Heureusement, ma douce ne m’oublie pas. Par-derrière le dos de notre hôte, elle me caresse la croupe et l’intérieur des cuisses. Elle me regarde, je lui souris. Elle reprend l’initiative :

— Lève-toi, Fatima, viens, allons dans ton salon… Déshabille-toi !
— Mais, mon mari pourrait rentrer d’un moment à l’autre…
— Et alors, tu crois que cela lui déplairait, de voir trois jolies femmes se donner du plaisir ?
— Je ne pense pas. Je ne sais pas. Je serais morte de honte.
— Eh bien, pas nous. Allons, déshabille-toi, je parie que tu mouilles déjà.
— Je… laissez-moi un peu de temps, c’est si vite…
— N’aie pas peur. Regarde, c’est si simple de se mettre nue pour montrer son corps.

Julie n’a qu’un bouton à défaire et sa jolie robe tombe à ses pieds. Comme chaque fois que je la vois nue, une bouffée d’amour et de désir m’assaillit : son corps sculptural est fait pour l’amour. Elle ôte son soutien-gorge, faisant jaillir ses très gros seins orgueilleux aux bouts dressés. Puis, dans la foulée, elle ôte son string, révélant son sexe glabre aux lèvres entrouvertes. Fatima ne peut détacher son regard du corps de ma douce. J’en profite pour abaisser la fermeture éclair de sa petite robe, lui dénuder les épaules, et faire glisser sa robe à ses pieds. Elle a un réflexe de pudeur en essayant de la ratt****r, mais il est déjà trop tard. Elle est mince, elle porte un string noir qui met bien en valeur son adorable petit cul musclé. Julie s’approche d’elle et passe ses bras derrière son dos pour lui détacher le soutien-gorge, tout en recommençant à l’embrasser goulûment. J’en profite pour ôter mon pantalon et mon chemisier. Un fugace sentiment de jalousie m’étreint. Je les rejoins, les enlace toutes les deux. Aussitôt, Julie se tourne vers moi et m’embrasse, comme pour me rassurer. Puis elle m’invite à reprendre possession de la bouche de notre hôte. Ses lèvres sont fraîches et sa petite langue agile qui cherche la mienne trahit son désir. Pendant que je la baise goulûment, Julie s’accroupit et lui ôte son string.

— Non, je vous en prie. Si mes filles descendaient ? Et mon mari…
— Allons, on voit bien que tu as envie de baiser.
— Non, je ne veux pas, laissez-moi tranquille !
— Fatima, je vois ta mouille qui dégouline de ta petite moule. Viens voir, Cécile !

Je me recule, pour contempler Fatima maintenant nue dans ses escarpins. Elle est superbe. Son pubis est rasé, seule une petite touffe de poils courts couronne sa fente, taillée en forme de ticket de métro. Ses lèvres sont gonflées, lisses, et luisantes déjà de son jus. Si son esprit se refuse encore à s’abandonner, son corps, lui, est déjà avide de plaisir. Je passe derrière elle, lui prends les poignets pour l’immobiliser. Ma douce pose ses mains sur ses cuisses, approche sa langue de son entrejambe. Elle lui lèche l’intérieur des cuisses, remonte vers le pubis.

— Écarte les cuisses, lui commande-t-elle.

Fatima obéit, vaincue. Elle avance même son bas-ventre pour venir au-devant des caresses que son sexe exige.

Lorsque la langue de ma mie atteint sa fente, Fatima ne peut réprimer un gros gémissement. Je connais les talents de Julie pour sucer une chatte. Je sais que Fatima en sera bientôt réduite à une femelle en rut, pantelante de désir, suppliant qu’on la baise et qu’on la fasse jouir. Déjà je la sens s’abandonner au plaisir, et je peux lui lâcher les poignets. Elle grogne et pose ses mains sur ses seins dressés. Je commence à lui caresser son petit cul aux fesses musclées et fermes. Je les masse doucement, mes doigts écartés glissant sur sa peau ambrée et veloutée. Je me penche un peu, pour observer Julie qui s’affaire sur sa fente. Ses tétons durcis trahissent son excitation. Elle écarte les jambes, et l’odeur familière de son con se mêle à celle plus âcre de Fatima. Celle-ci commence à onduler du cul, et soupire de plaisir. Je vois la main de ma douce remonter le long de sa cuisse et se diriger vers son pubis. Elle tend son majeur, le passe dans la fente humide, puis l’enfonce. Fatima ne peut réprimer un premier gémissement. Julie commence à la branler, d’abord lentement, puis de plus en plus vigoureusement à mesure que Fatima s’excite. Je devine qu’elle se caresse ses seins. Julie ne cesse de lui lécher le bouton que pour l’exciter par des allusions coquines :

— Dis-moi, tu ne m’avais jamais dit que tu avais un aussi joli conillon… Mais tu es trempée, ma parole… Ça t’excite, on dirait, que je défonce ta petite chatte… Cécile, regarde-moi ce gros clito !

Fatima ne s’offusque pas des mots obscènes que lui adresse ma mie, au contraire, cela semble maintenant l’exciter. Ses gémissements s’accentuent. Elle commence à encourager sa collègue :

— Oui, suce-moi, oh mon Dieu, c’est bon… Oh, ton doigt au fond de mon con. Mets-en un autre, s’il te plaît, branle-moi fort !
— Ah, coquine, tu veux te faire baiser, c’est ça ? Tu es en manque de baise ? Tiens, voilà deux doigts dans ton abricot juteux.
— Oh, Julie, tu me… tu me tues. Oh, c’est bon.

De mon côté, je pétris de plus en plus fort son petit cul, mes doigts commencent à s’aventurer plus loin entre ses fesses. Je donne quelques petites claques douces sur ses fesses frémissantes. Elle m’encourage. Bientôt, ses fesses sont chaudes Je les lui écarte, son petit œillet fripé semble palpiter sous les coups de langue de ma douce. Je darde ma langue et lui taquine la rondelle. Elle gémit de plus belle, abandonne ses seins et écarte elle-même ses fesses pour me faciliter l’accès. On dirait qu’elle aime se faire prendre par-derrière ! Je titille son anus, le lubrifie abondamment avec ma salive. Je passe un doigt sur sa fente pour l’enduire de sa mouille. Sa petite moule dégoulinante est toute chaude, ma mie la branle avec ardeur. Je l’arrête un moment, pour joindre mes caresses aux siennes : j’introduis mon index à côté de ses deux doigts et l’enfonce lentement. Trois doigts dans son con, Fatima pousse un petit cri de surprise et de plaisir mêlés. Nous la pénétrons lentement, mais fermement. Elle mouille abondamment, nos doigts s’enfoncent sans peine. Sous ma langue, son œillet palpite. Elle cambre les reins, écarte encore davantage les fesses. Je retire mon doigt de son con, l’approche de son petit trou et l’enfonce sans peine… Elle crie presque de plaisir. Julie reprend ses mouvements de branle plus rapides et lui frotte le bouton de son autre main. J’accorde le rythme de mes pénétrations anales à celui de ses pénétrations vaginales. La sensation de nos doigts se touchant à l’intérieur du corps de notre proie me procure un plaisir intense et un sentiment de possession d’autant plus absolu que Fatima balbutie maintenant des propos incohérents, où se mêlent mots obscènes, supplications et mercis.

— Mais on dirait que tu aimes ça, ma petite salope, de te faire défoncer ton petit cul ! Tu cachais bien ton jeu, sous tes dehors un peu coincés. Vas-y, Cécile, défonce-lui son petit trou, je vois qu’elle adore ça.
— Oui, prenez-moi… Oh, je vais jouir, je vais jouir de partout.
— Vas-y, ma petite gouine, laisse-toi aller,
— Attention, je viens, je viens, Ah, vous me tuez !

Elle commence à trembler violemment. Son orgasme est extraordinairement intense. Elle se crispe sur nos doigts, frémit, pousse un long cri sonore. Puis tout son corps se détend, nous devons la retenir pour lui éviter de tomber. Nous nous relevons. Elle nous regarde étrangement, elle revient de loin. Heureuses de l’avoir menée au bout du plaisir, nous nous rhabillons en nous souriant. Fatima se rhabille également, un peu gênée maintenant. Nous prenons soin de ne pas la brusquer. Comme s’il ne s’était rien passé, nous nous rasseyons à table. Fatima se rend à la cuisine. Nous en profitons pour nous embrasser goulûment, nous promettant de prendre notre propre plaisir dès notre retour chez nous. Quand elle revient, avec le dessert, elle nous sourit d’un air naturel. Le repas se poursuit en gais babillages. Fatima est gaie et enjouée, elle a oublié sa gêne. Quand son mari nous retrouve, seuls le rose de ses joues et le brillant de ses yeux traduisent le plaisir secret qu’elle vient de vivre…

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