Je m’appelle Anne-Marie. J’ai 32 ans. En principe, je me considère comme très sensible aux principes moraux et même si l’on s’est moqué des jeunes filles catholiques pratiquantes, j’ai gardé un très bon souvenir de ces années là. Mais j’ai craqué.
Il s’appelle S. C’est le père de mon mari. Il a toujours été adorable et j’aimais le fréquenter (nous habitons le même quartier). Mais un jour, il m’a invitée à me promener avec lui dans un parc aux alentours de Paris. J’ai accepté en toute innocence quand il a commencé à me faire la cour. Je l’ai tout de suite repoussée.
On s’est revu chez lui, en famille. J’étais tendue, mal à l’aise. Mais lui semblait si heureux de me voir. Il me serrait contre lui, m’embrassait dans le cou, les cheveux, ne cessait de me dire qu’il me trouvait belle, qu’il aimait particulièrement ma robe, de me caresser les jambes ou les fesses dès que les autres membres de la famille avaient le dos tourné. Et bien que je le repoussasse à chaque fois, j’adorais réellement ce qu’il faisait et je n’hésitais pas à mettre sur son passage quand l’occasion le permettait.
Finalement, quelques jours plus tard, alors que mon mari était en déplacement à St Etienne, il était venu chez moi très tôt le matin. Nous nous sommes embrassés. Comme j’ai mis une jolie nuisette rose pour lui, il m’a regardé en me félicitant de ma taille, sa main en dessous me caressant les fesses sous le slip.
Ce fut notre première fête d’amour et de caresses. Les enfants réveillés, ce fut réellement le bonheur. La maison se remplissait d’une pagaille de rires et de bisous. Cependant, de moi-même, j’ai prié le directeur d’inscrire provisoirement les enfants à la cantine, lui expliquant que j’avais un problème urgent. Et nous sommes revenus à la maison, nous embrassant en chemin, serrés l’un contre l’autre.
Arrivés dans la chambre, j’ai enlevé mes chaussures et me suis assise en tailleur sur le lit où il est venu s’allonger à côté de moi. On s’est embrassé de nouveau, nous caressant mutuellement, nous déshabillant aussi. Le tout dans un bonheur ponctué par nos rires partagés. Et quand le moment du plaisir est venu, j’ai ouvert mes cuisses pour lui qui s’est allongé sur moi, son sexe contre ma vulve.
Il s’est introduit profondément et m’a fait l’amour avec enthousiasme tandis que, de mes bras, je le serrais contre moi ma bouche caressant son oreille, sa joue. Il a joui, son sexe en moi. Je me souviens m’être endormie, ma tête sur son épaule et c’est uniquement la sensation de son pénis qui a commencé à me réveiller.
Comme je n’ai jamais pratiqué la sodomie, j’ai essayé de l’arrêter, mais il continuait, et peu à peu, il fut entièrement en moi. Alors, je me suis décidée et je me suis mis sur le ventre. Lui s’est allongé de tout son poids sur mon dos et a commencé à me sodomiser doucement, profondément avant d’éjaculer dans mon anus. Quand nous sommes sortis de la chambre, il était presque 14h.
A la suite de cette matinée d’amour, ça a été très dur tant je m’en voulais énormément, je n’arrivais pas à me pardonner, j’avais tellement honte de moi. En plus, il y eut cette sodomie. Tout cela était si sale, si pervers pour moi…En même temps, je me sentais heureuse. Je riais tout le temps et me suis même fait rappeler à l’ordre par mon mari qui m’a demandé pourquoi j’étais si « exubérante ».
Le reste de sa famille d’ailleurs l’a aussi remarqué et j’ai vu dans leurs yeux que cela confirmait pour eux « mes spécificités ». Mon beau-père lui ne cessait de m’approuver, de me sourire, de me féliciter. Il semblait être devenu fou de moi.
Il s’asseyait où je m’asseyais, me rejoignait quand j’étais débout. Ses mains me caressaient tout le temps, mon dos, mes hanches. Ses deux bras m’enserraient par derrière et il m’embrassait dans le cou, les cheveux. Quant à mes jupes, elles se soulevaient, se retroussaient à son passage. Finalement, un bel après midi de dimanche, je me suis décidée et je suis allée le rejoindre dans l’ancienne cuisine qui dessert la cave alors qu’il y rangeait des bouteilles.
Nous nous sommes regardés en silence puis en souriant, il m’a caressé le visage, les cheveux. Et sans hésiter, il a retroussé ma jupe pour masser mes fesses et ma vulve au travers le slip. Je lui caressais son visage à mon tour. Et mon ventre picotait de plus en plus. Ma petite culotte, elle, était sur mes cuisses quand, un des mes petits-neveux l’a appelé en haut des escaliers. J’ai voulu la remettre mais lui l’a enlevée et l’a mis dans sa poche. Et durant le reste de l’après midi, il me regardait.
Finalement, vers la fin de l’après midi, en début de soirée, il est sorti dans le jardin. J’ai commencé par rester avec les autres puis au bout d’un moment, alors qu’ils ont commencé à parler de l’héritage, en cours de partage, de la tante de ma belle-mère, je suis partie. Ce qu’ils ont trouvé naturel, voire obligatoire, car la discussion ne me concernait qu’au travers de mon mari. C’est à dire pas du tout.
Je l’ai donc rejoint, un peu fâchée tout de même, de m’être fait ainsi renvoyer. Je lui en ai parlé et il m’a serré par la taille tout en marchant avec moi, me consolant par des paroles douces. Alors j’avais eu envie de son amour. Je me suis tourné vers lui et je l’ai embrassé, glissant sa main sous ma jupe, contre mon sexe nu. Nous nous sommes caressés l’un et l’autre, nos vêtements mutuellement retroussés, abaissés. J’avais son pénis dans ma main. C’était dur, lisse, chaud et je le masturbais.
Quand il m’a retournée complètement, contre le petit muret du jardin; j’étais tellement excitée qu’il est entré en moi sans aucune difficulté car ma fente était parfaitement lubrifiée. Il s’est penché en avant et, d’un bras ceinturant ma hanche, il me serrait contre lui et a commencé à aller et venir dans mon vagin. Et ce fut merveilleux, merveilleux. J’avais si chaud, mon ventre était si lourd, si contracté. Presque douloureux de plaisir. Puis l’orgasme est venu, par vagues douces et furieuses à la fois. Une première, puis une seconde, puis une troisième encore plus intense, qui me casse en deux, met le feu au creux de mes reins.
Il se retire et follement amoureuse, je me retourne et l’embrasse, l’embrasse et l’embrasse encore. Je riais mais en même temps, j’avais les larmes aux yeux.
Jusqu’alors, je croyais que j’étais frigide et je n’arrivais pas à ressentir autre chose qu’à peine un léger frisson. Et puis maintenant que je fais l’amour avec lui, je me sens vraiment riche, heureuse. Lui aussi semblait enthousiaste et nous sommes embrassés partout, le front, la bouche, les joues. Mais il fallut rentrer pour ne pas donner des soupçons au reste de la famille. Ce fut à tort. Ils ne semblaient pas porter attention à nous. Je me suis assise près de mon mari, mon vagin encore frissonnant du passage du pénis de son père. Aussi quand, dans la cuisine où je me suis réfugiée, j’ai senti de nouveau ce sexe complètement en érection s’appuyer contre mes fesses, j’ai eu une nouvelle montée d’excitation.
Ce qu’il a semblé deviner avec plaisir. Lui qui a déjà soulevé ma jupe par derrière, ses doigts entre les raies de mes fesses nues, leur extrémité contre l’anus. D’évidence, il voulait me sodomiser. Je me suis tout de même écartée de lui car c’était impossible qu’il me fasse cela dans cette cuisine. Je lui ai fait un bisou sur la bouche, avant de me diriger vers l’escalier qui menait à l’une des salles de bains du haut. Comprenant sans peine, il m’y a suivie.
Nous nous sommes enfermés, il a abaissé son pantalon tandis que de la main, penchée vers l’avant, sur le lavabo, je me suis mis de la crème solaire entre les fesses. Lui m’a pris par les hanches, est entré dans mon anus et m’a sodomisée aussitôt, tantôt penché sur moi, ses bras m’enserrant le ventre, tantôt se relevant, ses mains tenant mes hanches ou le haut de mes cuisses. Mais c’est dans la première position qu’il a éjaculé en moi, son sexe enfoncé très profondément dans mon sphincter. Je me suis essuyé et nous nous sommes rajustés. Nous sommes ensuite redescendus. Il m’a précédé dans le salon. Tandis que je faisais semblant de téléphoner à ma mère.
Au jour d’aujourd’hui, nous sommes encore plus amants. Et maintenant, j’ai l’impression que je peux faire tout, et entre autres, que nous pouvons pratiquer la sodomie sans gêne, sans honte. Il est à l’écoute de mes désirs, et me « force » à parler de ce qui me plaît, de ce que j’aime, de ce que je n’aime pas, afin de savoir comment me faire succomber. Et surtout, si je n’ai pas encore connu l’orgasme avec mon mari maintenant, je ne fais plus de fixation dessus, et c’est magique !
Je me sens libérée d’un poids, et je dois dire que je n’ai jamais rien ressenti d’aussi bon que les moments intimes que je passe avec lui.
Ajouter un commentaire