J’avais tout juste 18 ans lorsque cette histoire s’est produite.
J’habitais alors avec ma mère, dans un petit immeuble situé dans un quartier populaire, près de la ville de ***. Dans la tour où je résidais, la plupart de mes voisins étaient des petits retraités, des immigrés sans le sous, des chômeurs de longue durée ou des mères célibataires, comme la mienne. Plutôt intello, j’avais peu d’amis et ma timidité m’empêchait souvent de nouer des relations avec les jeunes de mon âge. Je me savais plutôt mignon avec mon physique de minet imberbe venu de l’est mais j’étais encore un peu mal à l’aise avec mon homosexualité et je ne savais jamais jusqu’où je pouvais aller avec les autres…
Seul dans ma chambre, je passais des heures à fantasmer sur l’un de mes voisins. M. C***. Mesurant un bon mètre quatre-vingt-dix et doté d’une musculature impressionnante, celui-ci m’apparaissait, à moi qui n’étais qu’une crevette d’un mètre soixante-dix, comme une véritable armoire à glace. Âgé d’environ quarante-cinq ans, M. C*** aurait pu être mon père et il avait d’ailleurs deux fils un peu plus âgés que moi : Teddy (dix-neuf ans) et Alexandre (vingt-et-un ans). Malheureusement pour lui, mon voisin avait perdu son emploi deux ans auparavant et il était devenu alcoolique. Dans ces conditions, il avait commencé à cogner sa femme et celle-ci avait fini par le quitter en emmenant leurs gosses avec elle. Son départ s’était d’ailleurs déroulé deux semaines avant que mon histoire ne commence…
C’était les vacances scolaires et ma mère était partie rendre visite à une de ses copines, dans le sud de la France. Je me retrouvais donc seul maître de l’appartement pendant une semaine ! Je n’avais pas l’intention d’organiser la moindre fête ou d’inviter des amis mais la perspective d’être seul à la maison me donnait un fort sentiment de liberté ! Les deux premiers jours de ces vacances se déroulèrent comme n’importe quelle journée de mon existence. Cependant, un événement inattendu se produisit le troisième soir.
Alors que je remontais chez moi après avoir été jeter des ordures, je tombai, dans les escaliers, sur M. C***, qui était passablement éméché. L’homme montait péniblement les marches et il avait l’air pressé.
– Bonsoir, M. C*** ! dis-je alors, une petite tension dans la voix. Est-ce que je peux vous aider ?
– Bonsoir… grommela mon voisin en guise de réponse. J’ai une de ces envies d’pisser ! J’sais pas si je tiendrai jusqu’à chez moi…
A en croire l’humidité apparente de l’entre-jambe de M. C***, c’était fort peu probable, effectivement… Émoustillé par la situation, je décidai cependant de tenter quelque chose.
– Voulez-vous venir chez moi ? Encore quelques marches, et nous arrivons à mon étage…
– Mpfff… T’as mère est là ? s’enquit-il.
– Non, elle est absente pour toute la semaine, répondis-je en passant le bras de M. C*** au-dessus de mon épaule pour l’aider.
– Alors c’est OK conclut-il.
Deux minutes plus tard, nous arrivions chez moi. La porte à peine fermée, j’aidai M. C*** à retirer son manteau et le conduisis dans la salle-de-bain. Aviné comme il était, mon voisin se montra incapable d’ouvrir son pantalon et un flot de jurons se mit à sortir de sa bouche. Encore une fois, je lui proposai donc mon aide et me mis à genoux devant lui, ce qui eut l’air de le surprendre, mais pas de lui déplaire. J’ouvris sa ceinture et déboutonnai son pantalon, maintenant largement imprégné d’urine. Je le baissai ensuite d’un coup sec et découvris un slip blanc rendu transparent par l’humidité. Je descendis alors délicatement le slip pour laisser apparaître l’objet de tous mes fantasmes.
Face à ce spectacle, ma bouche se remplit de salive mais je décidai de me relever pour ne pas apparaître plus suspect encore. J’esquissai un sourire à M. C*** et repassai son bras sur mon épaule. Nous nous approchâmes ensuite des toilettes, où je pris la queue de mon voisin en main pour la diriger vers la cuvette. Presqu’immédiatement, un long jet doré se mit à couler (pas entièrement là où je le souhaitais, d’ailleurs !).
Bizarrement, cette scène sembla rendre à M. C*** ses esprits. Tandis que mon cœur battait la chamade et que ma respiration s’accélérait, je sentais mon voisin se détendre et gagner en assurance. Tout se passait comme si l’alcool auparavant présent dans le sang de cet homme était en train de s’évacuer à travers sa vessie…
Quand M. C*** eut terminé, je secouai légèrement sa queue comme je l’aurais fait avec la mienne. Mon voisin éclata alors de rire !
– Que se passe-t-il, demandai-je, confus.
– Teddy avait raison ! répondit-il.
– Quoi ? dis-je, perplexe.
– T’es une p’tite pédale !
Alliant le geste à la parole, il appuya violemment sur mes épaules pour m’obliger à me remettre à genoux. Il enfonça ensuite ses doigts dans ma chevelure bouclée et agrippa ma tête pour la porter vers sa bite. Après un instant d’hésitation, j’ouvris grand la bouche et gobai le bout de son chibre. Sans surprise, celui-ci avait un fort goût âcre, lié à l’urine dans laquelle il avait baigné quelques minutes auparavant, et j’eus d’abord un haut-le-cœur. Cependant, l’excitation était trop forte et ma langue se mit bientôt à virevolter sur le gland soyeux que j’avais dans la bouche tandis que mes mains se jetaient sur mon jogging pour en faire sortir mon sexe. La bite de mon voisin était de plus en plus dure et j’avais plaisir à la sentir gonfler, tout comme j’avais plaisir à me branler face à elle.
Gagnant en assurance, j’enfonçais la bite de M. C*** de plus en plus loin dans ma gorge tout en léchant goulûment la hampe qui entrait en moi. En extase totale, j’avais plaisir à faire passer ma langue le long des veines gonflées de son chibre pendant que je sentais son gland s’aventurer de plus en plus loin dans ma gorge. Parallèlement, je jetais des regards de braise à l’homme qui était en train de me baiser la bouche et je jubilais en sentant le rythme de son souffle s’accélérer. De son côté, M. C*** se caressait un téton et me gratifiait de temps en temps d’un « mmmmmm ! c’est bon, p’tit pédé ! ». Bizarrement, à chaque fois qu’il m’insultait ainsi, une petite décharge d’excitation me parcourait. En m’appelant comme ça, il me salissait et je ne sais pas pourquoi mais c’était bon.
Après quelques minutes de ce pompage minutieux, je décidai de m’attaquer aux couilles de M. C***. Je retirai donc son chibre de ma bouche et me dirigeais vers ses bourses. Je dégustai un court instant du regard ses deux burnes généreuses avant de commencer à les lécher délicatement. Voyant que mes jeux de langue plaisaient beaucoup à mon voisin (« oui, continues comme ça, p’tit pédé ! »), je pris une de ses prunes en bouche et commençai à jouer avec elle en y passant délicatement ma langue. Puis, je passais doucement à l’autre couille, me délectant de la douceur des bourses rasées de mon voisin. Pendant ce temps, je continuais à me branler et branlais également M. C***. Ma main droite, qui s’activait sur ma bite depuis un moment, était déjà toute mouillée, tant mon excitation était intense.
Après un moment, je décidai de laisser les bourses pour revenir sur la verge de mon voisin. Je fis donc virevolter ma langue le long de la hampe et me préparai à revenir doucement sur son gland. Soudain, M. C*** empoigna à nouveau ma chevelure et initia un rapide mouvement de va-et-vient dans ma gorge. Surpris, j’eus un nouveau haut-le-cœur, qui n’arrêta pas mon voisin. Pilonné ainsi, j’étouffais à moitié. Pourtant, après un moment, j’empoignai les fesses de M. C*** pour enfoncer plus loin son chibre dans ma gorge. Ce geste eut pour effet de faire monter encore l’excitation de mon voisin, dont je sentis encore le souffle s’accélérer.
Finalement, après plusieurs minutes de va-et-vient, celui-ci éjacula abondamment dans ma bouche et je sentis avec plaisir son jus chaud remplir ma bouche. Satisfait d’être ainsi inondé, je découvrais pour la première fois le goût du sperme, que j’avalais goulûment pendant que mon voisin lâchait un long râle.
La bouche toujours remplie du chibre de mon voisin, je repris ensuite ma propre bite en main et éjaculai bientôt à mon tour. Trois longs jets blanchâtres tombèrent alors sur le sol, tandis qu’un plaisir intense provoquait en moi une sorte d’étourdissement qui me fit lâcher le sexe de mon voisin.
M. C*** me poussa alors à nouveau en direction du sol et m’obligea à lécher tout le foutre que j’y avais fait tomber. Incapable de protester et heureux du sort qui m’étais réservé, je savais que j’étais devenu la propriété de mon voisin.
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