Nos vacances au Portugal
Voici une autre histoire que ma femme et moi avons vécue lors de nos vacances au Portugal, il y a maintenant quelques année. C’était il y a environ une dizaine d’année, nos enfants avaient environ 10 et 12 ans et nous passions une quinzaine de jours pendant l’été à sillonner le Portugal en dormant sous une tente et le plus souvent dans des campings… Inutile de vous dire que nos moments d’intimité étaient rares et qu’il ne fallait pas manquer l’occasion quand les enfants étaient endormis et que la situation de proximité avec les tentes voisines le permettaient ! Cette fois-là, nous nous trouvions dans la région de la baie du Sado et durant la journée avions entrepris de découvrir les charmes du tour de cette baie. La chaleur écrasante, la longueur du trajet avaient finie par venir à bout de nos enfants qui maintenant s’étaient endormis dans la voiture. Nous nous sommes engagés dans une petite route au sud de la baie qui nous menait vers un petit village nommé Carrasqueira. Nous souhaitions aller jusqu’au bord de l’eau, voir ce qu’il y avait à découvrir dans cet endroit perdu… Ma femme et moi proposions aux enfants de nous accompagner. Mais la fatigue étant plus forte et lassé des visites que nous faisions, ils nous demandaient de les laisser à la voiture pour continuer à dormir. De toute façon, nous n’allions pas aller très loin, la petite jetée se trouvait à peine à une centaine de mettre et nous gardions la voiture à vue. Arrivé presque au bout du ponton de bois qui conduisait au bord de l’eau nous croisions un petit groupe de pêcheurs qui rangeaient leurs filets sur leur petite embarcation pour une prochaine pêche. Arrivé au bout, nous nous asseyons sur le ponton et admirons l’étendue d’eau à la recherche de quelques dauphins égarés…mais hélas rien à l’horizon. Ma femme me fit part de ses envies qu’elle ne pouvait assouvir du fait de la présence constante des enfants … Je lui fis part moi aussi de mon manque qu’elle s’empressa de vérifier en passant sa main sur mon short. Je me retournais en direction des pêcheurs ayant peur qu’ils nous regardent. Ils étaient occupés à leur travail et cela ne les avait pas détournés de leur tâche. Mon sexe sous l’effet du passage de la main de ma femme s’était rapidement mis à prendre de l’ampleur et m’empêchait maintenant de me lever sous peine de dévoiler mon érection…Cela amusait beaucoup ma femme qui continua son petit jeu de main… mon érection la stimulait encore plus …et je sentis vite que nous étions sur une voie de non-retour… elle ne tarda pas à poser sa tête sur mes cuisses, elle abaissa le devant de mon short et se mit à me masturber à ciel ouvert très lentement pour ne pas attirer l’attention des pêcheurs… sa tête se rapprocha de mon sexe et avec sa bouche elle s’empara de la tête de mon gland qu’elle suça délicatement…La situation devenait de plus en plus excitante : nous étions là devant la vaste étendue d’eau, derrière nous, ces pêcheurs qui ne pouvaient surement pas nous ignorer, nous étions les seuls et rares touristes dans cet endroit perdu…et ma femme avait décidé de me faire jouir là, presque à côté d’eux ! Je lui caressais la poitrine pour lui donner aussi un peu de plaisir, mais elle me fit comprendre que c’était de moi qu’elle voulait s’occuper et que son tour viendrait plus tard… Pour accélérer ma jouissance et limiter notre présence sur ce lieu elle me parlait crûment : « j’aime ta queue » « t’aimes que je te suce … ?» «mmm, je mouille » « je vais te faire jouir là, devant les pêcheurs » « j’aime comment tu bandes… » « Je vais te la sucer jusqu’au bout » Je m’aidais aussi de mes fantasmes, le lieu si prêtait bien : la proximité d’autres hommes qui pouvaient nous apercevoir (et sûrement d’ailleurs qu’ils se sont régalés du spectacle tant nous étions près d’eux) me faisait délirer qu’ils se joignaient à nous et je voyais ma femme prise par tous ses orifices ne sachant plus où donner de la tête, écartant les cuisses, gémissant de plaisir, avalant des queues les unes plus grosses que les autres… et moi obliger de rester impassible dos tourné aux pêcheurs pour ne pas attirer leur attention. A force de prononcer des mots que j’aime entendre de sa bouche de ses va et viens lents mais appuyé ou il faut et quand il faut, je sentais monter en moi cette vague que l’on ne peut plus arrêter quand elle est lancée J’essayais de dissimuler au maximum ma jouissance qui montait pour essayer de jouir au moment précis où elle aurait mon sexe dans sa bouche, tenter de l’avoir par surprise puisqu’elle n’aime pas avoir le sperme dans sa bouche…dans un dernier effort je ne puis me retenir davantage je regardais sa bouche qui venait de lâcher mon sexe et le sperme se répandit sur son chemisier coloré… j’essayais tant bien que mal de dissimuler mes secousses et retenais mes râles « Manqué » me dit-elle fière d’elle-même, « Je le sens quand tu vas jouir, il y a quelque chose que tu ne contrôle pas et qui m’annonce que tu vas jouir » Je n’espère qu’une chose dans notre petit jeu du chat et de la souris, c’est qu’un jour je devine quel est le signe annonciateur pour que j’apprenne à le contrôler et ainsi assouvir mon désir de lui arroser le fond de la gorge… Cela devait faire une bonne vingtaine de minutes que notre petit jeu durait. Il était temps de revenir à la voiture ! Sur notre chemin nous croissions les pêcheurs au bord du ponton. Ils nous regardaient un sourire aux lèvres, Nous leur adressions un « Boa tarde » et « Adeus » Ma femme essayait de dissimuler les giclés de sperme sur son chemisier qui s’étaient légèrement estompé avec le soleil brûlant. Nous retrouvions enfin nos enfants, après cette aventure inoubliable pour nous !
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