Le lendemain matin, c’était un samedi, Inès me dit qu’elle voulait que je sois « sa femme » tout le week-end.
-Et pour ça je veux que ma Mélanie soit sexy. Viens, on prend la voiture.
Nous nous mimes en route pour la grande ville voisine et Inès me dit de me garer devant le Prisunic.
-Attends-moi dans la voiture.
Une demi-heure plus tard elle revint avec un grand sac Prisunic et m’adressa un petit sourire plein de sous-entendus.
Arrivés à la maison, elle étala le contenu du sac sur le canapé. Une petite nuisette en dentelle noire transparente, une petite culotte noire en dentelle, des porte-jaretelles, des bas, une perruque rousse et des escarpins à lanières noirs. Puis elle m’entraina dans la salle de bains, me fit mettre à poil et entrepris de me raser tous les poils du corps. Je me laissais faire, commençant à prendre vraiment goût à cette soumission. Elle me maquilla, ajusta la perruque et m’aida à enfiler le contenu du sac Prisunic.
-Qu’est qu’elle est sexy ma petite Mélanie. Allez marche en bougeant les fesses.
Je m’exécutais et fis quelques pas hésitants avant de trouver l’équilibre avec mes talons. Je m’arrêtais devant le miroir de la grande armoire du salon et je fus stupéfait par ma transformation. J’étais vraiment crédible en femme et même désirable. Inès se colla à mon dos et posa ses mains sur mes hanches en me regardant à travers le miroir.
-Tu te plais?
-Oui, je te plais aussi?
-Beaucoup, tu es tellement féminine ma chérie…J’ai envie de toi. Soulève ta nuisette et montre-moi tes fesses.
Je me pris au jeu tout de suite et commençais à tortiller du cul tout en relevant ma nuisette.
-Tu les aimes mes fesses?
Inconsciemment j’avais pris une voix plus aigüe.
-Elles sont adorables. Maintenant fais glisser lentement ta culotte sur tes chevilles.
Je me mis à minauder comme une chatte en chaleur tout en descendant ma culotte en me dandinant.
Inès se pencha à mon oreille et me dit en chuchotant: « Tu y prends goût ma salope ».
Ce mot crû m’électrisa. Effectivement j’étais en train de devenir une salope. Je sentis sa main s’immiscer entre mes fesses.
-Mais tu mouilles salope!
-Oui, j’ai envie de toi, de ta grosse bite.
Elle me poussa sur la table, le cul en l’air.
-Ne bouges pas, je reviens.
Trois minutes plus tard, je sentis la bite de plastique s’insinuer dans mon sillon fessier.
-C’est ça que tu veux, hein cochonne.
-Ouiiiiiii
-Attends, avant je vais te lécher la chatte, Mélanie.
Elle se mit à genoux derrière moi et écarta mes fesses. Je sentis sa langue humide taquiner mon anus.
-Elle est toute humide ta chatte.
Elle reprit aussitôt sa caresse buccale en me bouffant carrément le cul. J’adorais. Je me tortillais dans tous les sens en gémissant comme la salope que j’étais devenue.
-Baise-moi, je t’en supplie…
Elle ne se fit pas prier. Elle introduisit le gode dans mon fondement et m’attrapa par les hanches.
-Tu aimes ça, hein, que je te baise comme une pute sur la table de la salle à manger?
-J’adore, tu me rends folle.
Ca m’avait échappé, je parlais de moi au féminin.
-Je vois que tu prends goût à être Mélanie, ma petite gouine.
Elle m’encula ainsi pendant plusieurs minutes en me traitant de tous les noms.
-Aaaahhh, je voudrais pouvoir éjaculer dans ton ventre.
-Oh ouiiiii, vide-toi dans ma chatte.
-Tu aimerais que ce soit une vraie bite, hein, ma pute? Allez, dis-le.
-Oui, je veux une vraie grosse bite dans ma chatte…
-Ahhhh, je jouis…
Remis de nos émotions, Inès me dit: Tu vas rester habillée comme ça tout le week-end. Ce soir, mes copains homos arrivent, tu vas être comblée.
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