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pour une oeuvre caritative…

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Par un samedi matin, la sonnerie se fait entendre. Il n’est que 9h30. Je vais répondre et quand j’ouvre la porte, je me trouve en présence de deux jolies femmes qui font une collecte pour un organisme de charité. Elles sont toutes les deux vraiment superbes et avec un sourire intriguant…

Elles ont entre 28 et 30 ans, sveltes et avec des yeux moqueurs. Elles semblent enchantées de me voir…

Comme c’est novembre et que ce matin est particulièrement froid, je les invite à entrer.

L’odeur du café a déjà envahi la maison et l’une mentionne: « Il y a une odeur de café invitante ici! »

Sans hésiter, je leur en offre et elles acceptent volontier.

Je leur suggère de retirer leurs manteaux. Ce qu’elles font. J’ouvre le garde-robes de l’entrée et y dépose leurs manteaux.

Elles se présentent: « Moi, c’est Sylvie et elle, Nathalie ».

« Enchanté!, moi c’est Éric ».

Sylvie est une charmante blonde aux cheveux courts et aux yeux verts. Elle porte un tailleur rouge avec une blouse blanche et sa jupe moulante au-dessus des genoux laisse voir de jolies jambes.

Nathalie est aussi charmante. Elle a les cheveux noirs droits au milieu du dos avec une coupe à la Cléopâtre et des yeux bleus très remarquables. Elle porte un chemisier jaune avec une jupe noire toute aussi moulante que celle de Sylvie.

Je les invite à passer au salon.

Je leur verse deux tasses de café. Sylvie le prend avec un soupçon de crème alors que Nathalie en ajoute une généreuse portion.

Je leur demande si elles ont débuté leurs visites depuis longtemps. Sylvie me mentionne qu’elles ont débuté vers les 9 heures.

Elles ont déjà récolté plus de 200 dollars.

Nathalie lance: « Ce serait beaucoup plus agréable s’il ne faisait pas aussi froid. »

Sylvie renchérit: « Merci de nous permettre de nous réchauffer un peu et de déguster un bon café. »

Je leur réponds « Tout le plaisir est pour moi. » Et, effectivement, tout le plaisir est pour mes yeux.

Nathalie me demande si elle peut utiliser ma salle de bain. Je lui réponds: « Aucun problème. » et lui indique où elle se trouve.

Sylvie continue la conversation. J’apprends qu’elle est infirmière et habite dans la ville depuis environ un an.

Nathalie revient avec un petit sourire sur le coin des lèvres.

Je lui demande ce qu’elle fait comme travail. Elle est chimiste et travaille dans un laboratoire où elle fait de la recherche pour de nouveaux médicaments.

Nathalie et Sylvie se connaissent depuis la première année du secondaire.

Sylvie demande à son tour d’utiliser la salle de bain et elle quitte.

Nathalie continue la conversation. Elles ont décidé toutes les deux de faire une collecte pour les familles défavorisées de la ville. C’est la première fois qu’elles s’impliquent.

Je la félicite.

Sylvie revient à son tour avec elle aussi un petit sourire sur le coin des lèvres.

Je leur demande si elle veulent une chocolatine pour accompagner leur café. Elles acquiescent avec des yeux qui s’ouvrent de désir.

Je vais chercher les chocolatines que j’ai achetées chez le patissier le soir précédent. Elles sont vraiment délicieuses (les chocolatines).

En servant les chocolatines, un peu de chocolat s’est logé sur mes doigts.

Je m’excuse auprès de mes deux invitées et me dirige à la salle de bain pour me nettoyer les mains.

Quand je ferme la porte, j’aperçois une petite culotte blanche très sexy qui est suspendue à la poignée.

Étant célibataire depuis 2 mois, c’est un objet qui vient tout juste d’apparaître à cet endroit.

Je me nettoie les mains et les assèchent.

Je retire la petite culotte de la poignée. Une douce odeur s’en dégage. Je la prends et la place dans la poche droite de mon pantalon.

Je reviens au salon et mes deux invitées ont un large sourire.

Je comprends que les deux savent très bien ce que je viens de découvrir.

Je demande alors de façon très innocente si l’une d’elle n’aurait pas oublié quelque chose dans la salle de bain.

Nathalie se met alors à rire aux éclats.

Elle me dit: « J’espère que tu aimes le noir! ».

Je lui demande pourquoi. Elle semble soudainement tout ébaubie.

Elle me dit: « Tu n’aurais pas trouvé de petites culottes noires par tout hasard ? »

Je sors la petite culotte blanche de ma poche et à cet instant, Sylvie mentionne: « Surprise Nathalie? » et au même moment, elle retire de son sac à main une petite culotte noire.

Je comprends rapidement que Sylvie a trouvé la petite culotte noire sur la poignée de la porte. Elle en a profité pour les substituer par les siennes toute blanches.

Je me trouve donc en présence de deux charmantes demoiselles qui ne portent plus de petites culottes et qui se regardent mutuellement pour savoir qui fera le premier pas.

Ni l’une ni l’autre ne le fera…car je me glisse délicatement entre les deux sur le sofa.

Je prends des mains de Sylvie le string de Nathalie, le passe sous mon nez. Nathalie rit, se lève et va à la fenêtre tirer un rideau. Elle le fait doucement. Pour moi, elle se cambre joliment, s’expose ainsi de profil dans ce léger contre-jour. Je ne suis pas le seul à me réjouir. Nathalie traverse la pièce, elle caresse les lourds rideaux le long de la porte-fenêtre et se dissimule derrière. Seule sa jambe nue apparaît.

Sylvie devine Nathalie, elle la connaît si bien, et la rejoint. A son tour elle s’est dissimulée derrière l’autre rideau. Deux jambes maintenant qui dansent pour moi. Elles se synchronisent tant bien que mal, deux visages, deux poitrines, deux fesses, elles se présentent ainsi, en pièces détachées à mesure qu’elles se sont dévêtues.

Quand elles sont tout à fait nues, elles se tendent un bras, se prennent par la main et apparaissent toutes entières. Une blonde et une noire.

Elles restent là, immobiles, elles me donnent le temps de bien les regarder, de me laisser gagner, submerger de désir. Puis elles se tournent l’une vers l’autre, se regardent dans les yeux et à l’instant où elles les ferment, s’embrassent à pleine bouche. Elles s’enlacent plus qu’elles se caressent. Elles s’agenouillent lentement avant de s’étendre sur le tapis.

Nathalie s’étend sur Sylvie qui écarte alors ses jambes. Il y a dans son geste l’urgence de la langue de Nathalie dans son ventre. Mais elle est déjà là et Sylvie est pareillement en elle.

Je le devine, elles se préparent ainsi à me recevoir

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