Je suis arrivée dans ce château la veille. La soirée avait était charmante mon hôte se montrant très courtois. Le lendemain une longue promenade dans le jardin précéda le dîner. Je sentis un grand désir chez mon amant qu’il m’avait déjà possédé plusieurs fois pendant la nuit. Je ne pus résister à l ‘envie de boire sa semence et lui administré une longue fellation pendant notre promenade. Malgré tout il ne semblait pas calmé et semblait très excité. Pendant le dîner il me parla du château et de ses mystères ainsi que de l’aile gauche que nous n’avions pas visitée.
– Patricia mon amour, Sais tu qu’il réside un grand mystère dans cette aile. Il semble que toutes les femmes qui ont voulu la traverser ont toujours succombé aux hommes qui y habitent.
– Qui sont ces hommes ? N’importe qui, des domestiques, des sans abris ou des hommes très épris de femmes à fantasmes. Es tu ce genre de femme
– Tout dépend de quel fantasme tu parles
– Oh très simplement, il s’agit d’un challenge intéressant, dans le couloir principal du château se trouvent 4 hommes attachés à une corde. Chaque corde ne leur permet pas de se déplacer de plus de quelques mètres. Une grande ligne blanche est tracée le long de cette salle qui te permet de la traverser de part en part sans te faire toucher par aucun des hommes. Si tu suis scrupuleusement cette ligne il ne t’arrivera rien, sinon dès que l’un de ces hommes t’att****, tu dois le laisser accomplir avec toi tous ses fantasmes. Une fois à l’intérieur de la salle tu ne peux plus revenir en arrière. Sachant qu’après cette salle d’autres salles suivent avec d’autres pièges. Es tu intéressée, et te sens tu de taille d’essayer
– Je ne vois pourquoi j’aurais peur. Ils sont vraiment attachés ?
– Oui mais ne les sous estimes pas ils ont beaucoup de ressources et feront tout ce qu’ils peuvent pour t’att****r.
– D’accord mais si j’arrive à tout faire qu’es ce que je gagne ?
– Tu deviens alors la châtelaine et tout t’appartiendra pour 2 mois.
– OK, J’accepte mais avant je veux que tu me garantisses qu’il n’y a aucun risque
– Le seul risque est que tu deviendras leur objet pour un temps qui ne peut excéder 20 minutes chacun,
– OK montre-moi le chemin
Nous traversèrent tous les deux le château jusqu’à une porte immense fermée.
– Es tu sûr de vouloir y aller, une fois dedans tu ne pourras reculer
– Ouvre moi cette porte, ce n’est pas tes 4 petits rigolos qui vont m’inquiéter
La porte s’ouvrit, Je rentrais et laisser la porte derrière moi se refermer. La pénombre avait envahi la pièce je ne bougeais pas pour m’habituer à l’obscurité aux bruits et odeurs. J’étais très concentrée et repéra une ligne blanche fluorescente traversant la pièce. « Voilà facile je n’ai qu’à suivre cette ligne ». Je commençais à marcher et fut très vite surprise par la longueur de la pièce qui était difficile d’évaluer. Un grand silence régnait, mais je savais ces hommes présents sûrement déchaînés de désir qui n’aurait de cesse que de m’att****r pour me posséder. Je continuais à avancer et stoppa net entendant un petit bruit sur ma droite. Je ne bougeais plus et tentant de scruter le fond de l’obscurité, sans chance. Je recommençais à marcher tournant la tête vers la gauche quand surgit de nulle part un homme venant de ma gauche tentant de m’att****r. La surprise du cri poussai par l’homme et son ombre surgissant me déstabilisa me faisant perdre mon équilibre reculant en arrière, heureusement je lui avais échappé. Cependant J’avais suffisamment reculé pour être à portée d’atteinte de l’homme qui aurait dû se trouver sur ma droite. Ce fut le cas deux bras immenses m’attrapèrent m’attirant vers le coin de la grande salle. Je le piège tendu par les 2 hommes, l’un me faisant reculer pour que l’autre puisse m’att****r. J’étais maintenant la captive du premier homme et devait me conformer aux règles. L’homme m’emmenait vers son coin me tenant avec force afin que je ne puisse m’échapper (ce qui n’était de toute façon pas mon attention). D’autorité il me poussa contre une chaise. Il descendit du plafond deux lanières avec lesquelles il m’attacha les poignets. Je ne pouvais bouger les bras et les mains et toute fuite était impossible. Je distinguais alors l’homme pour la première fois qui portait un masque sur la tête. Il me dit simplement « Maintenant tu m’appartiens pour 20 minutes »
Mon désir et mon excitation étaient à son paroxysme.
De ses deux mains il baissa mon décolleté de mon pull en sthreh orange afin de libérer mon opulente poitrine. Mes seins apparurent maintenue par un soutien gorge qu’il baissa de la même façon. Sans aucun préliminaire il sorti son sexe et le plaqua entre mes seins et me força de le serrer afin de le masturber. Il faisait coulisser son sexe entre mes deux gros seins. Je compris que le piège s’était refermée sur moi et que j’allais être la poupée de chair de ses hommes afin d’assouvir tous leurs fantasmes. Les mouvements s’accélérer et me maintenant par les cheveux il me forçait à lécher son gland ressortant dans un va et vient incessant. Je sentais un désir inconnu me parcourir, de n’être considérée comme un magnifique objet soumis. Le sexe de l’homme allait et venait entre mes seins qu’il essayait de pousser au fond de ma bouche.
– Lèche-moi le gland et butine-moi comme une bonne petite salope que tu es. Tu aimes çà c’est bon.
Tout en lui parlant il me malaxait les seins les pétrissant me faisant gémir à chaque pression de ses mains.
– Je vais t’inonder la bouche et les seins.
Après un dernier mouvement de rein son sexe lança de longue traînée blanche qu’il dirigea vers ma bouche, m’obligeant à avaler le plus de sperme possible. Il s’essuya ensuite sur mes seins.
– Je vais te faire un cadeau.
Il me banda les yeux et m’attacha les mains derrière le dos avant de me renvoyer vers le milieu de la pièce me saluant d’une grande claque sur sa croupe. Je sursautais et recommença à marcher, sachant que Je n’avais aucune chance d’échapper à l’homme suivant grâce à mon handicap.
En effet, après avoir marchée à tâtons pendant quelques secondes Je sentie une présence. Je voulus reculer mais une main puissante se posa sur mes fesses me faisant sursauter. Une autre main m’avait attrapé le bras m’empêchant de reculer ou de me sauver. Il m’emmena vers l’autre coté de la pièce, et me poussa à nouveau sur une autre chaise. Les mains liées dans le dos je ne pouvais rien faire que d’attendre et de me soumettre. Les seins toujours découverts Je sentie alors ces deux mains calleuses se poser sur ma poitrine.
– Quels beaux nichons tu as. Je t’ai regardé branler et sucer mon copain t’as l’aire d’avoir bien appréciée. Il semble que tu aimes le sperme. Je vais vérifier si ta jouie.
Il enfoui la main dans l’entre jambe de mon pantalon descendit la braguette et passa la main sous ma culotte de soie. Il sentit très vite que j’avais jouie, mais loin de se douter le bonheur que je ressentais à ce jeu de soumission….
– Mais tu es toute trempée cochonne, et les gars elle prend son pied la salope jamais vu une gonzesse mouillée autant. Sa culotte est inondée
– Ohhhh nonn ; me mettant à gémir. Pour l’exciter encore plus me doutant de sa réaction.
Il tira mon pantalon vers la bas à mi-jambe, arrachant le bouton. Il se plaça alors entre mes deux cuisses ouvertes écarta ma culotte et enfonça son engin qui m’envahit immédiatement. Passant ses mains en dessous il m’agrippa les fesses afin d’accompagner son va et vient. Le pénis gonflait de l’homme allait et venait dans mon sexe pendant qu’avec mes cuisses je m’accrochais aux hanches de mon amont. Les doigts de l’homme me malaxaient les fesses. Avec sa bouche il me léchait les seins. Les commentaires étaient dignes du plus bas des films pornos que je n’avais jamais vus.
– T’aime te faire baiser les mains attachées les yeux bandés par un inconnu, t’es comme toutes les bourgeoises une grosse salope chaude du cul qui rêve que de se faire sauter par le premier inconnu, pourvu qu’il ait les mains sales et qu’il t’arrache tous tes vêtements, et te lime comme une pute. Ohh que t’es bonne bouge-moi ton gros cul oui vas-y comme ça c’est bien.
J’obéissais bougeant mes fesses afin de l’exciter encore plus.
– Ouiii c’est bon plus fort ohh caresse-moi les fesses prends moi baise moi je suis à toi. Ouiiii je suis une grosse cochonne une sale pute qui aime se faire baiser
Il sortit son sexe et se branla au-dessus de mes seins lui caressant mes tétons avec son gland et me joui dessus. Nous prirent quelques instants pour reprendre nos esprits s’embrassant fougueusement. Enfin il me releva m’enleva le bandeau des yeux.
– Tu vas aller au suivant maintenant, pour çà il va falloir essayer de marcher avec ton pantalon coincé entre les jambes et ton slip aussi.
–
Il baissa mon slip à mi-cuisse, m’empêchant alors de marcher correctement. Les mains toujours attachées la poitrine découverte le pantalon aux jambes et le slip à mi-cuisse je repris ma marche, suivant la ligne m’attendant à un nouveau piège. Une corde était tendue à travers la pièce pas très haute mais très difficile çà franchir vu ma situation. J’essayais tout de même mais perdit l’équilibre et me retrouva à terre. Je fus à nouveau capturer sentant de nouvelles mains se poser sur moi. Mais ce coup il s’agissait de 4 mains.
Ils me traînèrent à travers la pièce et m’amenèrent au coin de la pièce m’enlevant mon pantalon mon slip et détachèrent mes mains.
– Un devant un derrière tu vas adorer. Mets-toi à quatre pattes.
J’obéis. Ils se placèrent alors devant et derrière et me possédèrent. L’homme de derrière entra dans son sexe et me laboura les reins rapidement pendant que l’autre me força l’entrée de la bouche. De forte claque m’était appliquée sur la croupe comme une jument. Au bout d’un certain temps ils décidèrent de me prendre à deux. L’un s’allongea. Je me couchais sur lui pendant que l’autre tentait de me chevaucher par derrière. Le premier m’enfoui son sexe dans mon sexe alors que l’autre me forçait l’entrée de mon anus. Les deux s’acharnèrent alors sur mon corps comme des hommes qui n’avait pas assouvi leur désir de plusieurs années. J’étais secouée et ne se sentais plus mon corps qui ne répondait qu’aux secousses violentes des hommes. Leurs mains me parcourraient le corps me fessant me pétrissant les seins me tirant les cheveux. Les secousses s’accélérer le désir montant. Ils se relevèrent :
– Branle-nous qu’on te gicle dessus
Je pris dans mes mains les deux membres et masturba les deux hommes rapidement afin de les faire jouir. Ils giclèrent en même temps dirigeant vers ma bouche afin que j’avale leurs semences. Ils me poussèrent en dehors de la pièce en jetant aussi mes vêtements en dehors de la pièce. Je venais d’atteindre un plaisir jamais vécu auparavant.
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