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Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (9)

Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (9)



Les amants pervers 4 : notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (9ème partie)

Je crois que les gars se sont donné le mot de l’autre côté de la cloison. C’est à un véritable mur de bites que Manon doit faire face.

Elle est à quatre pattes. Greg s’approche d’elle. Il saisit le slip de notre jeune esclave. Un moment je me dis qu’il va l’arracher mais il se contente de le baisser sur ses genoux. Sa verge est tendue, raide comme un tonfa. Il se met en position, se guide de la main. Je vois son gland glisser entre les grandes lèvres humides de cette petite salope.

Que Greg la baise ne l’empêche nullement de continuer à sucer. Elle branle le mec, il lui crache son jus au visage, le sperme coule sur son menton. Un autre prend le relai. Manon l’accueille mécaniquement. Elle n’a plus aucun contrôle, elle se comporte comme une poupée, un instrument du désir masculin, réceptacle de leur semence. Greg quitte sa chatte, la queue luisante, lubrifiée de mouille. Il écarte les fesses de Manon, ouvre la voie avec son pouce et, une nouvelle fois, franchit la barrière du sphincter rétif.

Heureusement que Manon a la bouche pleine sans quoi ses cris rameuteraient toute la boîte. Greg s’en fiche, il ne se gêne pas pour lui éclater le cul.

Plusieurs mecs lui giclent sur le visage à la suite, pendant que Greg la sodomise.

Je finis par me lasser de ce spectacle.

– Regarde-toi, dis-je à Manon, tu es couverte de sperme. Va faire un tour aux toilettes et une fois que tu es présentable, rejoins nous dans la grande salle.

Nous passons par le vestiaire. Je me déshabille rapidement avant de me chausser de deux grandes cuissardes. Greg m’aide à attacher mon bustier noir. Je porte également un string en cuir mais j’ai dans l’idée que je ne vais pas le garder longtemps.

Nous entrons dans le grand salon sur le rythme lourd d’un chant guttural.

« Wenn du weinst, geht es mir gut
Die Hand deiner Angst, füttert mein Blut

Führe mich, halte mich
Ich fühle dich, ich verlass Dich nicht »

Le décor du grand salon est à la fois très élégant et d’un kitch suprême. Peu de nuances colorées : murs, plafond, meubles arborent des teintes de rouge et de noir. La faible lueur des néons éclaire à peine la pièce, à une exception tout de même, la petite scène où, parfois, un couple plus hardi vient baiser aux yeux de tous. Pour l’heure, une sorte de trône occupe le centre du plateau. C’est un fauteuil à grand dossier, aux montants décorés de volutes ouvragées recouvertes de peinture dorée. Les coussins sont en velours rouge à motifs floraux.

Pour parfaire l’ambiance, trois filles entièrement nues s’enroulent, en accord avec la musique, langoureusement autour de barres de pole dance.

Sur les grands canapés en skaï se mêlent les habitués et les nouveaux venus. Pour faire connaissance, des mains frôlent des cuisses et, quand elles ne sont pas repoussées, s’enhardissent à caresser les torses, palper les verges érigées, les poitrines que l’excitation soulève. Des dos constellés de sueur ondulent sous la lumière blafarde quand les corps basculent et s’empilent.

Greg et moi rejoignons le bar. Nous croisons plusieurs amis et à chacun, je leur glisse le même message. Tout à l’heure, je prendrai place sur le trône, un cocktail à la main. Je vais retirer mon string, ouvrir les cuisses, dévoiler mon sexe. Les hommes présents sont invités à me rejoindre. Je les connais pour la plupart mais le concours est ouvert à tous. La seule condition est de me faire une petite démonstration de leur dextérité dans l’art du cunnilingus. En récompense, l’heureux gagnant pourra user du cul de Manon comme bon lui semble.

Quand ma petite chienne revient des toilettes, je la prends dans mes bras et lui dit :

– Je veux que tu portes mon empreinte pour la soirée.

J’approche mes lèvres de son épaule nue. Son odeur est douce et enivrante. Je plante mes dents dans sa chair, à la jointure du cou. Elle pousse un petit cri de surprise. Je mords assez fort pour apposer une marque sur sa peau. Elle me laisse un goût salé sur la langue. Manon ne s’est pas détachée de moi. Nous échangeons un long baiser.

En attendant la fin du concours je dois lui trouver une occupation.

J’avise trois femmes sur un sofa. Elles exhibent leurs chattes, jambes écartées. L’une d’entre elle doit avoir une cinquantaine d’années, plutôt ronde. Sous une abondante toison de poils noirs et luisants, elle arbore deux grosses lèvres tombantes et rouges comme de la viande crue. Elle dégouline de mouille. C’est elle que je choisis en premier. J’ordonne à Manon de la lécher.

Elle se met à genoux. Je devine dans la pénombre ses doigts qui touchent les nymphes, sa langue qui pénètre la large fente, explore les multiples plis de ce mollusque spumeux. J’imagine la forte odeur qui lui pique le nez, les humeurs qu’elle aspire dans un bruit de succion obscène. La femme soupire, yeux fermés, bouche fardée de rouge entrouverte. Elle est aux anges. Je glisse un dernier conseil à l’oreille de Manon : « quoi qu’elle te demande, obéis ».

Merci à Léon pour l’inspiration. Vielen Dank Till, Richard, Paul, Ollie, Doom und Flake de m’accompagner depuis l’adolescence. Je vous aime.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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