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vu sur le net : Un gibier un peu particulier

vu sur le net : Un gibier un peu particulier



J’ai la quarantaine et je suis un chasseur invétéré depuis de nombreuses années. Mes amis et moi avons souvent l’habitude de nous retrouver pour des week-ends chasse en Sologne. Nous y avons un gîte, en pleine forêt, plutôt bien équipé et qui comporte de nombreux couchages.

Ma femme m’a accompagné la première année mais cette sortie ne lui a pas plu du tout et l’a vaccinée jusqu’à la fin de ses jours, je crois. Par contre, ma belle-mère, aussi bizarre que cela puisse paraître, a toujours plus ou moins voué un intérêt à cette pratique et me relance régulièrement pour venir passer un week-end « découverte » entre chasseurs. Je propose à mon beau-père de nous accompagner, mais Roger se désiste à la dernière minute, préférant finalement aller avec deux de ses amis voir une course automobile.

Comme convenu, je fais un petit détour et passe donc prendre belle-maman le samedi matin suivant pour ne revenir que le lendemain soir…

Paulette n’est pas très grande, moins d’un mètre soixante, rondelette mais avec de réels arguments et je dois avouer qu’elle est encore très attirante pour une femme de son âge et c’est vrai, elle ne m’a jamais laissé indifférent.

D’ailleurs, ses rondeurs sont parfaitement mises en valeur par l’ensemble treillis-veste un peu juste que j’ai réussi à lui dégotter…

La journée de chasse se passe parfaitement bien : nous répertorions finalement deux sangliers, un chevreuil et quatre lièvres après une première journée prolifique. La veillée du soir se déroule comme d’habitude, dans la joie et la bonne humeur. Mais il y a juste un petit problème, un collègue chasseur a aussi de son côté amené un couple d’amis pour leur faire découvrir ce qu’était la chasse, ce qui fait que nous sommes un peu juste en terme de couchages. Si bien qu’à l’arrivée, il ne reste plus qu’un lit deux personnes, au fond du gîte pour ma belle-mère et moi. Je regarde Paulette en lui disant que ça ne me pose pas de problème de partager le lit avec elle et en lui demandant si ça la gênerait.

— Après tout, à la guerre comme à la guerre ! me répond-elle avec un grand sourire.

Je suis content que tout s’arrange et qu’elle le prenne aussi bien finalement.

Le repas se passe à merveille au coin du feu, l’ambiance est vraiment bon enfant, et comme d’habitude nous buvons un peu plus que de raison. Sur le coup de 23 h, Paulette nous dit :

— Il est tard, je vous laisse, à demain !

Tout le monde répond en cœur :

— Bonne nuit, Paulette !

Certains se mettent à jouer aux cartes, je fais simplement une partie, je prends un dernier verre puis, exténué, je vais me coucher. Un de mes potes me charrie en me disant de ne pas faire un p’tit à belle-maman. Tout le monde éclate de rire alors que je lui réponds :

— Pffffff, n’importe quoi !

Il est environ minuit. Je rentre dans la chambre sans faire de bruit et sans allumer la lumière, les profondes respirations de belle-maman indiquent qu’elle dort profondément. D’habitude je ne dors qu’avec un simple t-shirt, j’hésite un peu à enlever mon shorty… Oh ! et puis flûte, elle ne se rendra compte de rien, je me mets à l’aise et je dors comme d’habitude !

Bizarrement, je suis fatigué mais je n’arrive pas à trouver le sommeil et je mets une bonne demi-heure avant de trouver le sommeil…

Au milieu de la nuit, je me réveille, complètement dans les vapes, je me retourne pour me rendormir et instinctivement, comme je le fais d’habitude, je viens me coller aux fesses de ma femme, sauf que, vu la taille imposante des fesses, je me rends vite compte de mon erreur ! Pétrifié, je n’ose plus bouger. Paulette dort toujours profondément. Mon cœur bat la chamade, je suis maintenant parfaitement réveillé, et la situation incongrue, mais aussi et surtout la grosseur de ce magnifique popotin que j’avais eu l’occasion de mater régulièrement dans ses différents pantalons ou jupes, provoquent chez moi une réaction incontrôlée et incontrôlable : mon sexe se met à gonfler de manière indécente et vient se comprimer contre le derrière de belle-maman, affublé de ce qui semble être une fine culotte en coton…

Je pourrais à nouveau me retourner et en rester là, mais c’est plus fort que moi, l’excitation monte d’un cran. Je pose, comme si de rien n’était, ma main sur le haut de la cuisse de Paulette, toujours endormie, qui bouge légèrement et qui dans son sommeil balbutie :

— Hhhhmmmm, Roger… ! Je n’en crois pas mes oreilles !

Je comprends alors immédiatement qu’elle se croit au lit avec son mari…

Cela a le don de me surexciter et me donne des idées… Je fais monter et descendre ma main le long de sa cuisse pendant que je donne des pressions de plus en plus insistantes avec ma queue toute gonflée et maintenant bien calée dans la raie de ses fesses…

— Hhhhmmmm, mon chéri… me dit-elle en se retournant sur le dos.

J’en profite pour aventurer immédiatement ma main sous son petit haut de nuit… J’atteins un sein qui me paraît énorme au toucher. Je commence à le palper, le masser doucement et je sens rapidement son téton pointer sous l’effet de mes doigts. Je n’en peux plus, je fais remonter légèrement le petit vêtement extensible de belle-maman qui ne bronche pas et j’arrive à donner de petits coups de langue sur ce téton qui n’en finit pas de grossir, son souffle s’accélère peu à peu et comme elle ne dit rien je m’empresse d’aller rendre visite à l’autre, puis ma langue finit par aller et venir d’un téton à l’autre alors que mon cœur bat toujours la chamade sous l’effet de l’excitation…

Je dois bien avouer que je n’en avais jamais eu d’aussi gros en bouche, on aurait dit de véritables tétines de biberon ! Quel bonheur de pouvoir tour à tour les titiller, les mordiller, les suçoter avant de les gober tout entiers ! Je n’en reviens pas, je suis en train de bouffer les nichons de belle-maman sur lesquels je fantasme depuis si longtemps !

Je m’applique à prendre goulûment ma tétée lorsque je sens une main s’emparer de mon membre déjà gonflé à bloc. Un râle de satisfaction accompagne une progressive accélération des mouvements de sa main sur ma virilité pendant que je continue à m’occuper de sa très généreuse poitrine tout offerte maintenant.

Tout en dévorant ses seins, je descends ma main, longeant son flanc pour venir flirter avec son bas-ventre, je glisse délicatement ma mimine dans sa petite culotte, d’abord je sens une épaisse toison puis mon doigt trouve le sillon et suit sa petite fente. Plus mon majeur descend, plus je la sens humide, et mon doigt ne semble rien arranger visiblement ! Subitement, elle enlève sa culotte puis reprend sa position sur le dos en écartant davantage les cuisses comme si elle s’offrait maintenant totalement à moi. Elle me branle de plus en plus vigoureusement, puis fait des gestes insistants comme pour me faire basculer sur elle. Je ne sais pas si elle se croit toujours avec son mari, mais je ne me fais pas prier pour me mettre en position, ma bouche vient flirter avec la sienne, je l’embrasse goulûment pendant qu’elle dirige ma queue turgescente vers l’entrée de son con gluant, mon excitation est à son paroxysme.

Vu sa corpulence, je pensais que belle-maman était bien plus large que sa fille, mais il n’en est rien, et pourtant bien aidé par une mouille abondante, mon gland doit forcer un peu l’entrée de son vagin pour se frayer un chemin : ça n’en est que meilleur. Elle me prend alors les fesses, écarte encore un peu plus les cuisses pour me faire comprendre que c’est maintenant à moi de jouer. Ses mains sur mes fesses me tirent vers elle et je m’enfonce en elle jusqu’à ce que mon pubis vienne buter contre son épaisse toison, ça y est, je la pénètre entièrement. Je suis bien au chaud, dans un conduit étroit et tout humide, je commence de lents va-et-vient, son souffle s’accélère petit à petit, je continue à l’embrasser, maintenant à pleine bouche, mon Dieu que c’est bon de sentir simultanément sa salive dans ma bouche et sa mouille sur mon sexe !

Ses mains empoignent à nouveau mes fesses et me font comprendre qu’elle souhaite me voir accélérer la cadence, ce que je m’empresse de faire. Le lit commence à grincer un peu, mais cela ne m’inquiète pas car le crépitement du bois que l’on perçoit dans la cheminée de la salle à manger et surtout le ronflement de mes amis couvrent ce petit bruit qui devient de plus en plus régulier. Désormais, le rythme assez soutenu semble lui convenir : elle pousse des râles de satisfaction et je fais maintenant jouer mon endurance pour faire durer le plaisir. Je suppose qu’elle est désormais complètement réveillée et qu’elle a retrouvé ses esprits, ce qui a le don de m’exciter encore plus mais je ne prends pas le risque de changer de position et je la lime ainsi, tout en profondeur, pendant combien de temps, je ne sais pas, mais je fais en sorte que cela dure longtemps… le plus longtemps possible ! Par moments, je prends un malin plaisir à piquer de petites accélérations qui la font très vite réagir puisqu’elle se met à gémir plus fort à chaque fois, puis je reprends la cadence « normale » sous peine de cracher plus vite que je ne le souhaiterais…

Mais j’ai beau être très endurant, au bout d’un long moment je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir très longtemps. Je me redresse et prends appui sur mes bras, me cale bien et j’augmente à nouveau très sérieusement le rythme. Ceci a le don d’arracher de petits cris de plaisir à ma partenaire, je m’empresse de remettre ma bouche sur la sienne pour étouffer ces cris, puis mes mains descendent le long de son corps afin de s’emparer de ses grosses fesses. Elle comprend alors que ça va être l’assaut final. Sentant la fin approcher, j’impose une cadence de plus en plus soutenue, le lit se met à craquer plus que de raison et les cris de Paulette deviennent de plus en plus insistants dans ma bouche, je vais et viens désormais à fond en elle : je ne peux pas m’empêcher de lui donner de violents coups de boutoir avant de me sentir partir tout d’un coup, je n’en peux plus, je lâche la purée comme on dit, j’inonde ce vagin de bonheur à n’en plus finir. Je suis obligé de mettre ma main sur la bouche de belle-maman qui commence à manifester trop fortement son plaisir pendant que je m’applique à balancer de longs jets de sperme chaud le plus profondément possible en elle, la jouissance est si forte qu’elle est indescriptible. J’aurais voulu que ce moment dure des heures, mais, complètement vidé, je m’affale finalement sur le côté du lit. Exténués, nous nous rendormons comme deux masses.

Le lendemain, quand je me réveille, ma compagne d’une nuit n’est déjà plus là. Je rejoins l’ensemble de l’équipe pour le petit déjeuner et lorsque je m’assois à côté d’elle, elle me fait un clin d’œil et me glisse à l’oreille qu’elle a rêvé qu’elle était le gibier cette nuit. Je lui réponds en riant que c’est drôle, moi c’est l’inverse, j’ai rêvé que j’avais pris un plaisir fou à tirer du gros gibier justement !

J’ai eu par la suite de nombreuses autres occasions de la tirer, toujours avec autant de bonheur mais sans pour autant être à la chasse…

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