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Des collectionneurs particuliers suite et fin

Des collectionneurs particuliers suite et fin



Suite et fin de :
Des collectionneurs particuliers
(Je renvoie la liste avec angoisses et hésitations. Je reçois en réponse le rendez-vous pour le surlendemain au garage et en PS ma tenue. Je dois venir en faisant mon jogging habituel mais seulement en corset et avec un string.)

Je crois que je n’ai jamais couru aussi vite pour arrivé au garage des collectionneurs.
Tom, le gardien des lieux m’y accueil avec un large sourire en me voyant tout essoufflée dans ma tenue sexy.
« Bonjour Michèle ! On dirait que tu étais pressé de venir nous voir. Les propriétaires ont lu ton SMS et sont impatient de te rencontrer. Cerise sur le gâteau, j’ai une surprise pour toi. »
Haletante, je lui demande :
« Je vais pouvoir découvrir la collection ? Vous n’allez pas trop me faire souffrir quand même ? »
« Tu poses trop de questions. Tu as signé un contrat donc nous pouvons t’utiliser à notre guise. C’est bien compris ? »
« Oui Monsieur Tom. Mais je redoute quand même ce moment. »
Il ne me répond pas mais me fait pencher en avant et sans préparation, il m’enfile un plug à queue dans le cul. Je serre les dents et grimace sous cette pénétration impromptue mais me résigne. C’est vrai que j’ai signé un contrat et donc dois accepter mon sort.
Le plug pénètre profondément dans mes entrailles. Tom recul pour admirer l’effet en me disant :
« C’est excitant de te voir souffrir et de t’ entendre gémir.  Je vais te mettre un collier et t’amener en laisse à quatre pattes pour te présenter convenablement aux propriétaires. Tu ais une magnifique chienne ainsi. Il vont être satisfait et tes amis aussi. »
« Qu’allez-vous me faire? »
« Tu verra bien. C’est une surprise. »
Je trouve le ton de sa voix inquiétante mais décide de laisser les choses se faire et d’occulter ma personnalité et mes conventions bourgeoises. En marchant à quatre pattes tenue en laisse dans l’allée menant à mon destin, de multiples pensées m’assaillent. Vais-je trop loin? Comment vont-il me traiter ? Allais-je tomber sur une bande de tarés dégénérés ? Mais après tout c’était trop tard pour reculer et j’allais bientôt être fixée sur mon sort. Troublée, laissant mon esprit vagabonder, nous voilà arrivé dans le garage.
Je me retrouve dans cette position humiliante devant une dizaine d’hommes qui me jaugent d’un aire dédaigneux.
« Tom voilà donc la femelle dont tu nous as parlé ? »
« Oui Messieurs. C’est une chienne docile et dont vous avez l’entière disposition. Sa seule exigence, c’est que vous lui fassiez découvrir vos voitures de collection. »
Je suis morte de honte et de trouille. Je m’imagine déjà ces hommes me faisant subir les derniers outrages, obligée de me plier à tout leurs caprices. Ils s’écartent et je sursaute presque de surprise quand je découvre derrière eux notre petite libertine. Ils sont tous là, mon mari, Christian, Seb, Guillaume, Ben, David et Thierry. Mes amies sont également présente. Elles sont déjà nues. Il y a Sofia, Vanessa, Katia, Marina et malheureusement mes deux filles que Sofia a embarqué dans cette galère. Quelque part, je suis rassurée de les voir là.
L’un des propriétaire prend la parole :
« Nous avons pensé qu’il serait bien plus amusant de convier ton petit groupe de débauchés. Ainsi nous pourront assouvir tout nos fantasmes. Avec six femelles à notre disposition, on va bien s’éclater. Six femelles pour vingt mâle en ruts prêt à tout les excès. Quelle débouche exceptionnel n’est-ce pas Messieurs ? »
L’homme ouvre sa braguette, sort son attirail et me lance :
« Allez ! Au boulot ! Avance à quatre pattes et suces-moi ! »
Docile, je commence à branler ce sexe sans réticente. Puis je le prend en bouche m’appliquant de mon mieux sur cette hampe bien dure. J’aime sucer mais là, quelque part, je me sens honteuse de le faire dans cet accoutrement devant mes amis et mes filles. D’une main il pousse ma tête me forçant à engloutir plus profondément sa verge dans ma gorge. Un autre se met à fouiller ma chatte en me claquant les fesse. Ma mouille commence à trahir mon excitation comme le constate cet homme.
«  On dirait qu’elle aime ça cette cochonne. Tom, tu nous as trouvé une perle ! »
Me consacrant qu’à ma pipe, j’oublie le sordide de la situation et me laisse gagner par le désir de m’offrir à tous ces mâles. Il voulaient me traiter comme une pute soumise et je n’allais pas les décevoir. Chienne il me voulaient, chienne je serais et je comptais bien leurs montrer de quoi j’étais capable.
Fouillée sévèrement par l’un d’eux, je gobe les couilles de celui que je suce. Il est endurant et n’est pas pressée d’en finir avec moi. Derrière celui qui me fiste maintenant la chatte s’amuse à jouer aussi avec le plug qui m’obstrue le cul. J’entends mon mari qui lui dit :
«  Faite-vous plaisir avec elle. Elle adore être remplie par tout les trous. »
Je me pâme en reprenant se sexe qui baise sévèrement ma bouche. Pendant ce temps, mes filles et mes copines sont installées sur divers agrès SM en attendant le sort qui allait bientôt être également le mien.
Un troisième propriétaire s’approche et me dit en enlevant mon plug :
« J’vais t’enculer pendant que mon ami te bourre la chatte salope ! »
D’autre en attendant leur tour, me tire les cheveux, claquent mes fesses ou maltraitent mes seins. En fait, ça m’excite de ne plus être une bourgeoise mais un jouet sexuel, une pute docile. Enfin ils jouissent en m’insultant. Puis me repousse brutalement en me remettant en place le plug qui avec mon cul graissé de sperme entre sans difficulté. Je pensais que les autres allaient me passer dessus, mais ils avaient d’autre vue pour moi. Il me mettent nue et me suspendent à une poutrelle du garage en se congratulant.
«  Tom ne nous a pas menti. Elle es vraiment magnifique cette pute. On va bien s’occuper d’elle et de ses salopes de copines ! »
Je reste muette suspendue dans un position peu confortable. Je ne peux voir mes copines et mes filles, mais j’entends leurs gémissement de plaisir et de douleur ainsi que le bruit de fouet ou de martinets. L’un des propriétaires m’ordonne :
« Ouvre la bouche et sors ta langue salope et lèche moi les doigts ! »
J’obéis, léchant les doigts de cet homme qui maintenant fouille ma bouche. Je m’applique et trouve pour le moment ce jeu plutôt excitant. J’en ai presque oublié le contrat et ce que ces hommes peuvent et veulent me faire subir. D’autres mains parcourent mon corps livrés aux caresses. Je ne peux réprimer des gémissements de plaisir.
« Elle a l’air d’apprécier la garce ! » dit celui qui enfonce ses doigts dans ma bouche.
« Oui, elle mouille comme une grosse chienne en chaleur ! »
Suspendue, mon corps offert ondule au rythme des caresses qui deviennent plus appuyées et plus brutales.
Vient le moment tant redouté où ses mâles veulent tester la résistance de la femelle qui par contrat et de son propre consentement leur livre corps et âme son corps en pâture.
Attachée en croix, nue, offerte sans aucun moyen de fuite ou de défense, je suis totalement exposée sous les feux de projecteurs m’aveuglant à leurs désirs les plus fous. Tremblante, j’entends un fouet siffler dans l’air plusieurs fois. Puis une douleur vive traverse mes épaules. Je me tord sous la brûlure de la lanière et aussitôt, un autre coup me scie les fesse et la chatte. Je grogne en serrant les dents et je sais que ça ne fait que commencer. Comme le calme avant la tempête, il y a un moment d’arrêt où plusieurs propriétaires viennent tester l’état de mouillage de mon coquillage en jouant avec mes mamelons. Je gémis doucement sous ces attouchements intimes. Dans cet instant de calme, je peux entendre mes amies et mes filles qui subissent certainement un sort proche du mien. Je me dis, heureusement qu’elles sont là car je ne sais pas si j’aurais été à la hauteur pour satisfaire tout ces vicieux. Mes réflexions sont de courte durée car mon châtiment reprend de plus bel. Le fouet s’enroule autour de mes épaules et le bout achève sa course en piquant douloureusement la peau délicate de sa poitrine. Je hurle sous cette douleur intense. Satisfait de mes réactions, mes tortionnaires, redouble les coups. Je suis prise de spasme et me contorsionne dans tout les sens,leurs offrant certainement un spectacle très érotique. Je hurle à chaque coup. Aucune partie de mon corps n’est épargné par la morsure du fouet. Ils s’ingénient à me donner des coups douloureux mais juste ce qu’il faut pour ne pas entailler ma peau et que les marque ne soient que superficielles. Mes seins, ma chatte, mon cul, me brûle de milles feux. Mon corps luit de sueur sous les projecteurs. Mon corps torturé et zébré de toute part gigote au bout de mes liens. Douleur et plaisir se mêle et ils le savent bien car je ne peux dissimuler le filet de mouille qui s’échappe à la fourchette de mes cuisses. Dans ce moment d’accalmie où mes tortionnaires admirent leur œuvre. Dans mon esprit tourmenté je déteste ce fouet, je me maudis d’avoir accepté ce contrat juste pour voir de belles voitures, mais aussi j’y ai pris un plaisir inavouable et pernicieux.
Me tirant par les cheveux, l’un d’eux me dirige la tête vers les scénes orgiaque où mes copines et mes filles subissaient les affres des Maître qui s’en donnaient à cœur joie avec elles.
« Tu vois Michèle comme elle aiment se donner ? Elles sont aussi salope que toi ! Et que dire de tes filles ? Aussi chienne voir plus chiennes que leur mère, la jeunesse en plus. »
Ils m’abandonnent suspendue comme un morceau de viande pour aller donner un coup de main aux autres. Ils les détachent et se rue sur elles les pénétrant de toute part en double, et triple pénétrations. Pour Sofia ce n’est que du bonheur ? Katia, Marina et Vanessa subissent par expériences ces outrageuses pénétrations. Tant qu’à mes filles, elles sont à la torture. Pour elles, c’est la première fois qu’elle subissent d’aussi énormes dilatations. Cris et gémissement emplissent la pièce. Mes filles commencent à s’abandonner à ces nouvelles sensations. De les voir se faire défoncer, des sentiments de protections maternelle et de plaisir m’envahissent d’un agréable tourment qui fait monter un indescriptible plaisir dans mon ventre. J’ai de plus en plus envie qu’eux aussi viennent me prendre sauvagement.
L’affluence sur les autres filles est tel que cinq mâles, lassés de trop de promiscuité, viennent vers moi la queue raide comme la justice. Je m’attend enfin à subir leur dards mais, ils veulent encore s’amuser avec moi et allument des bougies. Je crains le pire en devinant la douleur que pourrait causer la cire chaude sur ma peau sensible et martyrisée. Dés les premières gouttes sur mes seins endoloris, des cris étouffés de douleur et de plaisir sorte de ma gorge. Après cinq bonnes minutes de ce régimes à la cire mon corps est décoré de coulées multicolores qu’ils trouvent très saillantes.
« Ca te plaît salope ? T’aime ça ! Dis-nous que tu aimes ! »
D’une voix inaudible je les remercie en leurs demandant : »Oui merci Messieurs ! Mais baisez-moi je vous en prie ! »
Ils sont compatissants et me détache enfin pour utiliser mes orifices en me fourrant vigoureusement. J’en prends plein la bouche, la chatte et le cul avec un bonheur qui me mène rapidement à un orgasme démentiel. Ils ne peuvent se retenir également et exultent dans mon corps accueillant et si disponible. Je m’écroule comme une loque et quand je reprends mes esprits, Tout les hommes sont à nouveau habillés. Quand à nous, nous sommes nues couvertes de sperme collées les unes aux autres, comme attendant le bon vouloir de nos mâles.
C’est à coup de fouet qu’il nous ordonnent d’aller nous doucher.
« C’est pas dans l’état où vous êtes petites dépravées que nous allons vous faire visiter nos bijoux automobiles ! »
Nous nous empressons de nous rendre sous les douches et encore un peu hagardes, nous revenons une demi-heure plus tard, toujours nues, pour effectuer cette visite bien mérité.

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