
Depuis que j’ai 18 ans, je me masturbe deux fois par jour, souvent plus. Dès que je me mets devant le Pc, j’ouvre des sites pornos et je sors mon zizi.
Je ne suis pas un fan des sites porno hard, je trouve ça trop « synthétique », je préfère largement les sites de récits de cul. Parfois, je lis des petites annonces, ça m’excite aussi, sinon, le Hantaï me permet souvent de découvrir des vices nouveaux.
Je n’ai aucune limite, un peu malgré moi, plus c’est pervers, plus ça va loin, plus je deviens dur.
Récemment, je suis devenu accro aux sites de tchat, d’une façon un peu particulière : je me fais passer pour une fille. Je sais que c’est étrange mais j’aime ça, j’essaye d’être le plus crédible possible, tout en inventant une sexualité débridée. Si mes interlocuteurs y croient, j’y crois. Parfois, je me fais passer pour une fille qui a des relations avec son chien, parfois pour une autre qui se fait dresser en bonne petite esclave sexuelle, parfois pour une mère de famille dominée par ses fils.
Bref, je suis un pervers.
Je venais de quitter les cours, j’avais passé une heure à lire discrètement des histoires excitantes en me caressant doucement, j’avais une monstrueuse envie de me branler et, tout en remontant vers mon arrêt de bus, je cherchais une solution. Puis, je repensais à la gare, sur le trajet, les toilettes puaient la pisse et étaient dégueulasses, mais ça pourrait faire l’affaire.
Je suis rentré en vitesse et je me suis enfermé dans une cabine, tout en sortant mon sexe pour me caresser. J’ai rouvert les yeux, une fois la bite en main, enfin libre, et j’ai pu remarquer que les cloisons des toilettes avaient fait office de fresque et de site de rencontre pour des dizaines d’hommes, j’ai parcouru les annonces des yeux en me caressant, m’attardant un peu, profitant de la vue.
J’avais bien sur déjà été sur des sites gay, mais comme pour tout, ce n’était qu’une source d’excitation. Dès que je jouissais, l’excitation partait et je fermais consciencieusement les onglets, tout en mettant en favoris mes découvertes.
Cette fois-ci pourtant, je me sentis un peu différent en me caressant, toutes ces annonces étaient « réelles », elles m’excitaient plus que tout. Je me suis vidé dans les toilettes avec plaisir, j’ai rangé mon matériel et j’ai observé les annonces avec attention, il y avait de tout, des rendez-vous, des annonces, des tarifs, des numéros, des adresses mails…
Sans vraiment savoir pourquoi, j’ai pris note d’un numéro et d’une adresse dont l’annonce m’avait plu, j’ai quitté en vitesse les toilettes pour prendre mon bus, je me sentais bien, comme à chaque fois que je venais de me vider les bourses.
Arrivé à la maison, j’ai lancé mon sac dans un coin, et je me suis mis devant l’ordinateur, j’ai ouvert un site de tchat et je me suis rapidement trouvé quelques personnes avec qui j’ai pu inventer mon histoire tout en me caressant, je sors le papier sur lequel j’ai noté l’annonce de tantôt et je la regarde quelques secondes, comme un a****l curieux avant d’ajouter l’email de « gay37 » sur mon MSN, pas vraiment sûr de ce que ça donnera. J’oublie vite l’incident et je me vide en discutant sur le tchat, je finis par le quitter et me mettre au lit, tard.
Le lendemain, je me lève vers midi, je n’ai pas cours et j’adore profiter de mes grasses matinées. J’allume mon ordinateur avant d’aller à la douche pour bien m’éveiller. Quand j’en sors, je remarque que j’ai reçu deux messages sur MSN, c’est le type des toilettes qui m’aborde. Amusé, je noue contact, et me chauffe un peu en discutant, c’est un homme du coin, trente-cinq ans qui cherche à se vider les couilles, Le contact passe bien, si bien que j’ai du mal à savoir si je joue la comédie ou si ça m’intéresse vraiment, la conversation dévie un peu avant de revenir sur sa proposition, j’hésite et il m’offre de m’initier doucement, il me donne rendez-vous dans une heure aux toilettes où j’ai trouvé son annonce.
Je pousse un soupir en arrivant dans le coin, je me sens stressé. Je n’ai jamais rien fait de sexuel, et commencer comme ça, avec un homme en plus, me donne une curieuse impression, néanmoins je suis excité, je suis dur et je meurs d’envie malgré mes hésitations, je rentre dans la cabine en me demandant si je vais vraiment faire ce que j’ai prévu. J’attends cinq bonnes minutes avant d’entendre toquer, j’ouvre, tremblant un peu. Il est face à moi, grand, pas mal du tout, un peu de barbe, il me sourit et referme derrière lui, on est serré, il me pose une main sur les cheveux, ça m’électrise.
– Ouvre mon pantalon et sors mon zob !
Sa voix est chaude, je me sens obéir : d’un côté je me suis mis dans mon rôle, j’ouvre son pantalon doucement, mes mains tremblent, j’aime me sentir soumis de cette façon, je glisse une main pour chercher son sexe, je le palpe par-dessus son boxer, il est dur, je le sens déjà bien gros, je le sors, peut-être un peu trop rapidement. J’ai un immense mandrin de chair devant le visage, l’odeur me frappe plus que tout, c’est plus fort que le mien, plus viril, ça m’excite. Sans même y réfléchir, je le hume et je pose ma langue sur le gland, je me laisse guider par mon instinct, j’ai l’impression d’être en mode automatique. C’est salé, excitant, je prends son gland en bouche et je lèche un peu en me concentrant, j’ai du mal, mais il a l’air d’apprécier : il me tient la tête pour rentrer dans ma gorge par petits mouvements, je comprends vite que ma bouche doit juste servir de trou, je ferme les yeux et me concentre pour lécher bien consciencieusement ce zob qui pénètre ma bouche, je glisse une main sur le mien pour me branler en essayant d’accélérer mon mouvement.
Peu à peu, je m’habitue, je finis par poser une main sur sa hampe pour le caresser, j’essaye d’aspirer un peu et de faire de mon mieux, je le sens se tendre un peu, je lâche un gémissement quand d’un coup, je reçois un jet de foutre sur le palais, c’est chaud et goûteux, l’odeur m’intoxique, je pose une main sur sa hanche et je pousse son zob au fond de ma gorge, j’ai presque tout avalé, je réprime un vomissement, et je le laisse sortir de mes lèvres, ma bouche est souillée de sperme, j’en ai un peu qui coule sur les lèvres, son membre est presque nickel, je lèche doucement pour recueillir les traînées blanches.
Je lève les yeux vers lui en me léchant les lèvres, j’avale, le goût me pique la gorge et m’excite, Il me sourit et part sans un mot, me laissant à genoux dans les toilettes, je prends quelques minutes avant de revenir à moi. Je me rends compte que j’ai agi comme dans mes histoires, que j’ai été la parfaite salope que j’inventais au fil de mes discussions.
Je me lèche les doigts, j’ai joui sans m’en rendre compte. Je m’essuie un peu le visage et je rentre chez moi.
FIN.
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