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jolie trans.

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Cher(e)s ami(e)s Xhamster, une histoire vraie cette fois.

Il y a quelques années, comme aujourd’hui, je cherchais la chaleur d’un corps. Toujours aussi timide et peu sûr de ma bite, les putes étaient un bon compromis.

Parisien, Je connais bien sûr la rue Saint-Denis et les quelques femmes qui m’ont sucé ou accepté en elles pour rémunération, je les en remercie encore.
Toujours poli et respectueux, J’aimais passer et repasser devant elles, affinant mes choix pour finir dans un studio qu’elles partagent avec d’autres. Je me rappelle d’une black avec un gros cul qui avait bien failli me faire jouir rien qu’en le regardant. Elle avait accepté que je suce son énorme poitrine pendant que je la pénétrais.
Notre deal teminé, on avait affronter un véritable déluge de pluie en ressortant dans la rue. Coincés sous le porche de l’immeuble, on avait papoté pour découvrir avec surprise qu’on était voisins de bled de banlieue dans notre enfance. Elle était sympa. Dernier client, j’acceptais de la ramener chez elle pour lui éviter le prix d’un taxi. J’ai un profond respect pour les putes. Elles sont femmes avant tout et souvent mères.
J’ai arrêté de les voir parce que ce que je cherche au fond, c’est plus de la chaleur, la douceur d’une peau, le sourire qui s’ouvre pour goûter ma bite. Un corps chaud qui s’endort à côté de moi, les seins irrités de mes doigts. Pas juste un trou.

Lassé d’emprunter la même rue , je me finis par me balader au bois de Boulogne en bagnole. Je voulais voir ce déballage de chair qu’on nous montre à la télé.
On dit que c’est le seul embouteillage où les parisiens ne gueulent pas.
C’est vrai. On est trop occupé à chercher le corps qu’on va payer pour baiser.

Je l’ai remarquer rapidement. Petits seins, petit cul et jambes maigres nues sous un short en jean. Ses bras serrés dans un tee-shirt qui montre son nombril. Elle se tenait à l’écart des autres. Sans doute une nouvelle. Généralement, elles se tiennent par groupe par sécurité. Le visage asiat ou brésilien, on ne sait pas trop ici, elle me fait bander.

Je ralentis et ouvre la fenêtre côté passager. En bonne marchande, elle m’annonce les tarifs. « 20 la pipe, 40 l’amour ».
Ouvrant la porte, je dis « ok ».
On s’éloigne vers ses débuts de promenades qui sont normalement prévues pour les familles parisiennes en manque de randonnée.
Une fois plus discrets, je lui donne 50 €.
Gardes tout.
Relevant son tee-shirt, elle sourie. Ok !
J’abaisse rapidement mon pantalon et elle m’enfile un préservatif. Me suçant, j’ai le droit de caresser ses petits seins fermes. Je m’attarde aussi sur son ventre et son dos, ses cheveux.. j’adore le grain de sa peau matte et j’ai hâte de la prendre.

j’ai payé pour la totale alors elle s’arrête et en se dandinant, elle retire son short. découvrant une toute petite bite.
Je suis assez surpris en fait. C’est con hein ? Je sais bien que la majorité sont des trans à cet endroit et je venais d’en croiser ou le doute n’est pas permis mais elle, je la voulais. Dans ma tête il n’y avait que « femme consentante »
Ce sexe lisse, imberbe, me fascine en fait. C’est la première fois que je vois une trans nue et pas encore transformée. Je le caresse du bout des doigts, remarquant ses toutes petites couilles. Elle commence a bander et me guide la main pour que je la branle.
Par jeu, sans doute pour une envie pas très clair pour moi, j’accepte.

Je me souviens qu’elle avait une odeur épicée, exotique. Sa jeune peau ferme et douce me rendais fou…
Je me penche pour la sucer et elle l’accepte aussi. Je lui englobe ce que j’appellerai un « petit zizi ». Ma langue s’amuse a chatouiller son gland pendant que je caresse ses cuisses. Elle aime ça et ce n’est pas désagréable. Bandant au maximum, disons que c’est comme si je léchais un crayon dans ma grande bouche.
Je repense à ce que m’a dit un jour un pote gay. Le fait que seules les personnes de même sexe peuvent savoir faire jouir l’autre. Je la suce donc comme j’aimerai qu’on me le fasse à moi en fait.
Je sais pas pourquoi j’ai fais ça. J’ai 41 ans et je suis sûr de ma sexualité mais, je pense aussi que, quand on baise,l’un des deux plus grands fantasmes et de faire jouir l’autre non ?
Je dois reconnaître aussi que cette pseudo ‘humiliation » de me voir, moi, sucer une bite m’excitait pas mal en fait.

Je crois encore qu’elle y a pris du plaisir.
Comme j’ai payé, elle me chope et me branle, la sienne dans ma bouche.
Je jouis rapidement. L’excitation en moins , je prend quand même son sexe entre les doigts et je la masturbe jusqu’à voir un petit jet de sperme jaillir sur son ventre musclé .

On arrête bien sûr. Je suis un client et elle doit faire sa soirée.
Pourtant, je me souviendrais toujours de son compliment. Remontant son short et baissant son tee-shirt sur ses adorables seins, elle me regarda avec un grand sourire.
– Tu suces bien merci !
– Merci à toi..
– Ah Ah ! Cao !

Je n’ai jamais osé la revoir. Je ne me ferai jamais de mec. J’y ai beaucoup réfléchi et aucun fantasme ne me vient à l’esprit pour ça mais, me retaper un jour une trans, pas une travestie, me travaille encore..

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