Dans une période financière difficile, il y a quelques années, Alain venais d’arriver en fin de droit de son chômage. Je ne travaillais plus également et, insouciante, notre situation ne m’inquiétait peu.
Un soir en rentrant Alain me tend une annonce :
« Recherche serveuse et hôtesse dans bar de nuit. Possibilité de CDI après essais. »
Je ne suis pas trop enchantée par cette proposition. Mais dans notre situation, à contre cœur, je lui pose des tonnes de questions sur ce job. Alain, trop désireux que j’accepte, répond en enjolivant la chose. Il m’imaginait déjà habillée très sexy, m’exhibant au milieu des clients. Après le dîné, n’ayant pas encore donné ma réponse, il insiste en me faisant miroiter un boulot facile et bien payé. Il rajoute :
« Tu sais ma chérie, ça ne me dérange pas de te voir dans une tenue légère au milieu de tout ces mâles. Et puis je sais que aimes bien allumer les mecs. C’est pas vrai ? »
Tout en me parlant, il me pelote et me chauffe sérieusement. Dans une extase montante, j’accepte d’essayer le job. Aussitôt il me couche sur la table de la salle et me baise divinement, jusqu’à mon orgasme. Durant cette baise sauvage, il me murmure toutes les choses coquines que je serait certainement obligée de faire pour ce boulot un peu spécial. Avec de tels arguments, j’étais prête à affronter ce travail d’hôtesse de Club. Je savais aussi que j’assouvissais les fantasmes de mon homme. Les risque de dérapages sexuels étaient évidents, mais j’étais décidée à jouer le jeux et ça m’excitait.
Le lendemain matin, Alain me demande d’appeler le patron du Club. Je tombe sur un homme très courtois qui me demande mes références. Je n’en ai pas mais argumente pour accrocher le job.
« Je n’ai pas de référence Monsieur. Mais je suis très disponible. J’adore le contact et suis d’un tempérament très ouvert et convivial. Je suis bien faite et je pense que ce travail me va comme un gant. Porter une tenue sexy en public ne me gêne en rien Monsieur. Je pratique le naturisme et j’ai l’habitude des regards des hommes sur mon corps. »
« Bien… On verra ça. Venez ce soir pour un essai ! »
Le soir, avant le rendez-vous, je me prépare pour être la plus séduisante possible avec l’aide de mon mari, ravi de voir me transformer en pute.
« Tu sais ma chérie, tu risque de ne pas être la seule à postuler pour ce poste. Il va falloir donner de ta personne et jouer de tes atour féminins. »
En arrivant à proximité du Club, je comprends qu’il s’agit d’un club libertin. Dés en entrant, le ton est donné. Je demande au videur de rencontrer le patron et me retrouve dans son bureau. Il me détail des pieds à la tête comme on juge du bétail sur pied. Je suis un peu gêné et angoissée. Quand il brise le silence en me disant :
« Bien t’es pas mal roulée. Il faudra bien être gentille avec les client si tu veux garder ce job ! Bien va voir Christian au bar il va te briefer ! »
Je rejoins le fameux Christian qui en signe de bonjour me donne une claque aux fesses en me disant :
« C’est toi la nouvelle poulette de service ? »
Un peu déstabilisée, je lui réponds par l’affirmative.
« Bien si t’es bonne, t’aura le droit à mes gratitudes si tu vois ce que je veux dire… ! »
Me voilà partie dans la salle avec pleins de questions qui me trotte dans la tête. Je rpére un premier client dont la table est vide.
« Que désirez-vous Monsieur ? »
Il me détaille et ses yeux s’arrête sur mon décolleté provocant. En me prenant une fesse, comme si c’était naturel, il me dit :
« T’es nouvelle toi ? »
« Oui Monsieur c’est ma première soirée. Que voulez-vous prendre ? »
Il me sourit en me disant :
« Ton cul ma chérie ! »
Je ne sais quoi lui dire. Il me pelote les fesses et pour qu’il cesse, sans le froisser, je lui redemande :
« Oui… Heu … Mais que voulez-vous boire ? »
Il rigole. Il sent de la gêne dans ma voix. Il faut dire qu’il fixe ostensiblement ma poitrine. D’une tape sur les fesses, il me dit :
« Un sky ma belle ! »
En repartant vers le bar, je me dis que moi aussi j’aurais bien besoin d’un whisky pour surmonter ce début de soirée. Je me doute bien qu’il doit mater cul lorsque je m’éloigne.
Le serveur qui me voit revenir rouge écarlate me lance :
« T’as déjà un ticket avec ce client. T’as pas fini.. Tu va voir.. Tu va en prendre des claques au cul ma belle ! »
Je ne réponds pas et repars servir le client. Il n’est plus à sa table. Ouf, je vais de table en table m’affairant à faire de mon mieux le service. Les mains sont souvent baladeuse et sans y pouvoir quoi que ce soit, je me met à mouiller. Je suis troublée par l’ambiance qui règne ici, avec ces couples qui se forment et s’échangent.
Un client m’interpelle, énervé :
« He toi ! Ca fait cinq minutes que j’t’appelle ! »
Je m’excuse en maudissant ce crétin impatient qui pourrait nuire à ma première soirée dans ce job. En repassant devant mon premier client qui a presque terminé son verre, je lui demande :
« Tout va bien, Monsieur ? »
« Euh, oui ça va, merci. Un autre sky s’il vous plaît et une gâterie ! »
J’écarquille les yeux en me disant que c’est pas trop dans le contrat ça. Je lui bredouille :
« C’est … Non… Je …. C’est pas dans mes attributions Monsieur. »
« Avec la bouche que vous avez, c’est bien dommage. »
Alors que je ne sais plus quel comportement adopter, Christian me crie :
« Arrête de rêvasser ! Il y a des clients à servir ! »
« Heu… Oui, oui, tout de suite, Christian ! »
Je m’empresse vers une autre table et en me penchant pour servir des clients. Je devine son regard sur mes fesses. Je retourne à sa table avec le whisky qu’il m’a commandé et, je ne sais pourquoi, son regard me subjugue. Le barman au travers de la salle me lance :
« T’attends quoi ? Tu bosses ou tu le suces ? »
Je ne sais plus où me mettre et bafouille :
« Euh… désolée Monsieur ! »
J’ai envie de gifler ce con avec ses réflexions de gougeât. L’atmosphère se fait pesante. J’aimerais trouver quelque chose à dire mais ma tête est vide. Comme une idiote, très troublée, et alors qu’il est déjà servi, je lui demande :
« Euh, vous commandez quelque chose ? N’en veuillez pas au barman. Il aime me houspiller. Mais il n’est pas méchant . »
Il me glisse un billet entre les seins en me disant :
« Chambre 2020. »
Je retourne a u comptoir et dit à Christian :
« Il m’a donné un billet en m’invitant dans sa chambre. C’est fou ! »
«Il rigole en me lançant narquois :
« He bien fait ton job d’hôtesse ! »
Je n’y crois pas. Je ne pensais pas que ça faisait parti du job de monter avec les clients. Je le vois se lever et prendre l’escalier qui monte aux chambres. Christian me dit !
« Allez ! Fait pas ta mijaurée…. Va le rejoindre ! »
Je reste figée. Mais une claque aux fesses me fait réagir.
Arrivée devant la porte 2020, je frappe timidement.
« Entre ! »
Aussitôt il se colle à moi et il m’embrasse fougueusement. Je suis excitée. Il me pelote les fesses en faisant virevolter sa langue dans ma bouche. Ses mains s’égarent rapidement sur mes seins dont le tétons réagissent aussitôt. J’émets un feulement de plaisir. Il malaxe mes seins avec plus d’ardeur. Son autre main descend entre mes cuisses pour constater l’humidité qui y règne. Il recule un peu et me dit :
« Viens me sucer ! »
Je déglutit avec peine, et me met à genoux devant l’énorme chibre qui me présente.
Je le branle un peu et suçote son gros gland. Un râle de plaisir s’échappe de sa gorge. De ma langue je lèche sa hampe avant d’avaler son membre. Pendant que je le pompe, ses doigts frôlent mes seins à travers l’étoffe de mon bustier.
« Si tu continues comme ça, je vais partir avant de t’avoir baisé ! »
Pour seule réponse, je m’acharne un peu plus sur sa verge. Il me tient par les cheveux et pousse ma tête pour aller plus loin dans ma gorge. Il commence à me baiser la bouche. Docile, je le laisse faire et il me crache son foutre au fond de la gorge. J’avale tant que je peux en toussotant et il s’excuse presque d’être parti aussi vite.
En le regardant je lui dis :
« Les clients sont rois, Monsieur. Mais ne vous inquiétez pas. J’aime beaucoup votre queue et votre sperme. »
Il dégage un sein de mon bustier et me suce le mamelon. Il finit par arracher mon bustier pour malaxer ma poitrine fermement. Il rebande déjà le salop. Il me met à quatre pattes et d’un coup de rein, il me pénètre sans peine jusqu’à la garde. Il me fourre avec vigueur et ses vas et viens deviennent frénétique. Je gémi de plaisir sous ses coups de boutoirs. Je suis prise d’un orgasme fou avec cet inconnu. Sur le point de se lâcher, il se retire et la verge devant mon visage, il éjacule en grognant m’aspergeant généreusement les cheveux et les seins.
Puis, je le reprends en bouche pour lui tirer les dernières gouttes qui s’écoule du méat. Je lèche méticuleusement sa verge, son gland.
Puis il se rhabille et sort de la chambre. Je suis toute chose en prenant ma douche avant de redscendre en salle pour reprendre mon service. Il n’est plus là.
Ajouter un commentaire