Je pensais que mon mari n’était pas au courant de mes frasques et errances sexuelles puisqu’il n’en faisait pas état. J’avais bien remarqué une activité sexuelle plus intances depuis quelques jours mais sans imaginer qu’à chacun de mes dérapages, il était là à observer mon comportement.
Donc, comme une idiote, j’usais de stratagèmes pour me libérer et assouvir les délires d’Ali. Un jour, je demandais à Alain :
« Dis-moi, mon chéri, j’ai un repas avec des collègues ce soir. Je risque de rentrer très tard dans la nuit. Cela ne te dérange pas si j’y vais ? »
Sachant ce que j’allais faire, puisque Ali, invitait Alain à chacune de mes « prestations », Alain me donne son aval en présisant :
« Bien sûr, vas-y. Amuses-toi bien ! Moi j’vais regarder un doc sur la vie sexuelle des animaux. »
Je l’embrassais amoureusement et passais dans la salle de bain pour me préparer et me relaxer.
Puis, au moment où j’allais m’habiller dans ma chambre, Alain entra et sans rien me demander, me retournât pour me prendre en levrette. Je ne savais quoi dire et je décidais, tout en le laissant faire, de jouer à la fille ofusquée en lui disant :
« T’exagére ! J’vais être en retard ! »
Tout en me bourrant virilement, il me dit :
« M’en fout ! J’prend ma part ! »
Il me secouait dur en me prenant par les hanches. Au bon d’une dixaine de minutes, il poussât un meuglement et se lâchât dans mon vagin.
Il se retirât et lançât en riant:
« Haaaa ! Ca fait du bien. Puisque tu m’abandonne ce soir, tu va garder mon sperme dans la chatte. Tu sera pré-graissée ! »
Je relevais pas cette allusion mais la trouvais curieuse de sa part. Il partit devant la télé et je pouvais enfin m’habiller. Je fermais la porte et sentant le sperme de mon homme commençant à couler du vagin, j’enfilais vite une culotte. Puis, je mettais porte-jarretelles, bas résille et corset seins nus. Pour qu’Alain ne se rendit pas compte de mon accoutrement, je met un pull et un pantalon large .
En partant je faisais un bisou à mon homme, qui regardait au moment un accouplement de chien à la télé et qui me dit moqueur:
« Passe une bonne soirée ma chérie et soit sage pas comme eux ! »
Arrivée devant le restaurant où Ali ma donné rendez-vous, il semblait fermé. Je frappait à la porte inquiète et là, un arabe vint m’ouvrir. Sans un mot, lui me désignât le bar. De lourds rideaux de velours rouge masquaient la salle où je devinais des conversations. L’ambiance était pesante. Je vis Ali qui m’attendait au bar.
« Michèle ! T’es à l’heure, c’est bien. »
Ali qui me fait un compliment ? J’en rougie presque. Mais, je me fasais des idées car aussitôt, il enchaînait en me disant :
« Bon c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? Qu’est-ce-que tu attends pour te foutre à poil, salope ? »
Salope avait déjà remplacé mon prénom. Je me berçais d’illusion car, c’est vrai aussi que je n’étais pas là pour enfiler des perles mais plutôt pour me faire enfiler. Le pull et le pantalon furent vite enlevés. Je reste un instant debout devant lui en corset seins nus et string, porte-jarretelles et bas.
Dans cette tenue, et dans cet établissement, j’avais plutôt l’apparence d’une pute que d’une femme mariée, BCBG. Debout devant Ali et l’autre arabe, j’attendais les ordres du black.
« Michèle ! T’es en pénurie de maquillage chez-toi ? »
« Non Maître. Mais je ne voulais pas avoir un maquillage trop ostentatoire devant mon mari. »
« Connasse ! C’est pas un argument ! Putain va voir Katia, elle va s’occuper de toi ! »
Katia qui était assise dans un coin de la salle se levât et m’entraînât à sa table pour me maquiller. Moi qui croyais ressembler à une pute, j’étais loin du compte.
Une fois le visage terminé, elle me dit :
« Maquille-toi les tétons toi même ! »
Je rougi mes aréoles se qui donnait un aspect très vulgaire.
« Au pied ! P’tite chienne ! » Lançât Ali.
« La soirée va commencer. Tu vas faire le service. Les clients ont payé pour te tripoter. Tu as le droit de les branler mais c’est tout ! Mon ami Ben te surveilerât. Compris, Michèle ? »
« Oui, Maître. »
La nouvelle épreuve que m’imposait Ali était certes humiliante mais au moins je n’allait pas être baisée par n’importe qui. Ce que je redoutais le plus, c’était d’être reconnue. Mais il est vrai qu’affublée comme je l’étais, j’étais méconnaissable.
À ce moment, Katia me lançât :
« Va servir la première table ! Fait ça bien si tu ne veux pas qu’on te rougisse le cul ! »
Je me disais aussi qu’il y avait anguilles sous roche dans cette humiliation. Vicieux comme ils l’étaient, il trouverait toujours une faute à me reprocher. Je pris les premières assiettes mais ma démarche était instable avec ses haut talons. En plus, ça faisait ballotter mes seins. Quand je franchis le rideaux de velours rouge, un grand silence se fit dans la salle. Tous les clients me fixaient, me jaugeaient. Puis, les langues se délièrent :
« Ali, comment fais-tu pour trouver des filles pareilles ? »
« Elle doit être bonne ! ».
« T’as vu les nichons. Ça doit bien branler des mamelles pareilles ! »
« Et ce cul… !!! »
Je me penchais pour servir la première table. Immédiatement, une main se poser sur le haut de ma cuisse. Je repartis vers la cuisine, tout en me doutant bien que j’allaisis être palpée toute la soirée. À chaque service, les tripotages devinrent plus précis. D’abord, c’est une main qui me touche les seins, puis la chatte ou les fesses. Puis, un doigt s’aventure dans ma bouche après s’être introduit dans ma chatte.même sur sa bouche.
Katia intervient :
« Michèle ! Tu dois rester plus longtemps aux tables. Les clients n’ont pas le temps de palper la marchandise ! »
La marchandise, voilà ce que j’étais devenue pour eux. ; Une vulgaire marchandise.elle est devenue. Mais au moins je serais pas démontée ce soir. ; enfin… normalement.Mais pour mieux m’humilier, Katia reprend en disant haut et fort aux clients :
« Messieurs, j’ai fait la leçon à cette petite salope. Elle vous laissera la toucher. Si elle fait l’oie blanche, parlez—en à Ben ! Il se ferât un plaisir de la fouetter au poteau. »
A ces paroles, c’est un concert de sifflet et d’applaudissement qui envahit la salle.
Alors que je posais des assiettes sur une table, Je sentis une main qui tentait de s’introduire dans ma chatte. Pendant ce temps, un autre client prit mes seins à pleine main et les malaxât rudement. A une autre table, on se mit à me masturber. Je poussais de petits cris mais me laissais faire pour ne pas recevoir le fouet. D’autres me tètent si rudement les mamelons qu’il prirent une couleur rouge vif et devinrent douloureux. Mais le pire, pour moi n’était pas encore arrivé. Alors qu’un homme souhaitait me fister le cul, je sursautais et m’enfuyais vers la cuisine pour échapper à cet attouchement. Aussitôt le client appelle Ben :
« Ben ! Cette chienne m’a refusé son cul ! »
« Ok ! J’en parle au patron ! »
Réfugiée dans la cuisine, c’en était trop pour moi. Comment pouvais-je en être arrivée là ? Je décidais de m’enfuir et de plus accepter ça. Mais Ali rentrât comme une furie dans la cuisine en m’invectivant.
« Salope ! Tu n’es qu’une chienne ! Tu m’fais honte devant les clients ! J’vais t’apprendre à offir ton cul sac à foutre ! »
Il m’attachât la laisse au coup et rudement, il me tirât dans la salle, comme une chienne qu’on va promener.
« Elle était prévenue, cette pute ! » Annonce Ali.
Je savais que j’allais être punie devant tout le monde.
« Mais avant qu’elle ne reçoive son châtiment, je vous prie pour nous excuser du désagrément Monsieur d’utiliser cette chienne comme vous le souhaitez. »
L’homme qui avait provoqué ce conflit, s’avançât vers moi et pris la laisse. Je pensais alors qu’il allait me doigter le cul. Mais il sortit son membre bien raide et sous mes cris avec un large sourire, il posât son gros gland sur ma rosette et poussât avec force pour me pénétrer le petit trou. Aussitôt il commençât les va et viens en tirant sur la laisse. Les autres l’encourageaient à bien me fourrer le cul. Rapidement, il se vidât dans mon étroit conduit endolori.
Quand le client se retirât laissant couler de petit trou ouvert un filet de sperme, Ben me prit et m’attachât au poteau et dit à Katia :
« Corrige cette petite salope qui ne sait pas faire plaisir aux clients ! Et toi Michèle, je veux t’entendre compter ! »
Katia me mit nue et un martinet en main, elle commençât le traitement. Dés les premiers coups, mes fesses me chauffèrent et s’agrémentèrent de zébrures rougeâtres. Je comptais en criant sous les coups. Le public appréciait énormément. Pour le dixième et dernier coup Katia lance aux clients :
« Pour le dernier, c’est à vous de choisir où sera appliqué le martinet ! »
En cœur il répondirent :
« Sur les mamelles ! Sur les mamelles !Sur les mamelles !Sur les mamelles ! »
Ben exerçât une pression dans mon dos pour que mes seins se projete en avant. Je criais :
« Non Non Non pas ça non ! »
Je vis Katia armer son bras. J’entendis les lanières siffler dans l’air, puis le coup violent qui f**** mes deux seins. Je hurle de louleur en criant :
« Diiiiiiix !!!! »
Ali s’approchât de moi qui était en larme. En observant les traces qu’avait laissé le martinet il me dit doucement :
« C’est ton mari qui va être surpris de voir tes nouvelles décorations ? »
Le reste de la soirée, je fis les service toute nue et docilement je me laissais tripoter et pénétrée par les doigt de ces salopards. Je ne comptais plus le nombre de doigts qui me pénétraient le vagin ou le cul. Je ne sentais plus mes seins tant ils étaient maltraité. A la fin du repas, j’étais épuisée et mon corps me faisait mal. Ali vint me voir pour me dire simplement :
« Rentre chez-toi. A Lundi prochain ! »
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