Histoires de baise Histoires de sexe noir

Nuit Noire

Nuit Noire



J’ai connu L. sur Pornhub en Juin 2012. Son avatar montrait un corps d’africaine noire aux belles formes, et son profil laissait penser qu’elle était bien réelle. En outre, elle vivait aussi à Toulouse, on semblait avoir pas mal d’interêts communs (la bonne bouffe, notamment), et la manière dont elle parlait d’elle dégageait une bonne vibe : une fille simple, souriante, amatrice assumée de sexe… tout à fait mon genre.

Avec mon habituelle candeur, je lui propose direct qu’on se fasse une bouffe chez moi, mais elle, plus méfiante (normal, j’imagine), suggère plutôt qu’on aille boire un coup dans un lieu neutre pour commencer. Après deux échanges, elle me file son numéro.

(Quatre ans après, j’en reviens toujours pas.)

Je l’appelle, et rendez-vous est pris pour la Fête de la Musique, le 21 Juin. Le soir dit, je suis rue du Taur, devant l’Esquile si je me souviens bien, où on doit se retrouver. Je flippe un peu (première expérience libertine !), mais ma nervosité se dilue dans l’ambiance de la fête, et L. finit par débarquer, dans une longue robe d’été bleue, avec la pêche et un grand sourire tout blanc.

On bavarde en parcourant les rues, s’interrompt un moment pour écouter un petit groupe de vrai rock ou une chorale malgache. On finit par arriver Quai de la Daurade, on se pose dans l’herbe, et on commence à sérieusement tomber la vodka devant le soleil qui se couche. Après encore un bon bout de tchatche, on décide d’aller bouger sur de la psytrance qui pulse juste derrière nous, mais au bout de 20mn, l’esprit un peu embué, L. me prend doucement la main, m’embrasse et me demande de la ramener chez elle.

L’un contre l’autre, debouts dans son salon que seuls éclairent les lampadaires de la rue, nos bouches se mêlent, son corps frissonne, ma queue durcit contre son ventre. Je passe mes mains sous sa robe, sa peau noire est fraîche et douce comme du velours. J’att**** ses fesses, les masse, et alors que nos bouches et nos langues font déjà l’amour, je passe mes doigts sur sa chatte à peine couverte d’un string. Elle gémit et pose à son tour sa main sur ma queue pour la sentir gonfler. Je défais le haut de sa robe et ses belles et onctueuses mamelles noires me tombent dans la bouche. Je les lèche goulûment tout en fouillant de mes mains ses fesses et son minou, la queue tendue sous ses caresses…

Ne tenant plus, elle m’entraîne alors vers le canapé, m’installe dessus, s’agenouille devant moi et engloutit ma queue dans sa bouche. Les yeux fermés pour mieux déguster chaque centimètre de ma bite, elle me suce goulûment, comme si c’était la dernière fois. J’admire son corps nu couleur d’ébène, caresse d’une main sa peau si douce, de l’autre j’accompagne sa tête sur ma queue, que ses lèvres et sa langue chaudes pompent avec tant de ferveur qu’elle semble sur le point de jouir par la bouche.

M’imaginant l’état dans lequel doit se trouver sa chatte, je dégage doucement mais fermement son visage haletant de ma bite, me lève, et la queue raide et dégoulinant de sa salive, l’emmène jusqu’à son grand lit. Je m’installe sur le dos, l’att**** par les jambes et écarte ses cuisses au-dessus de ma tête, révélant sa belle chatte trempée. Pas besoin de lui faire un dessin : quand je plante mes doigts dans la chair de ses fesses pour l’amener à mes lèvres, elle s’est déjà jeté sur ma queue, qu’elle engouffre de plus belle dans sa bouche insatiable. Nos corps emplis d’un désir électrique ne sont plus que frissons et gémissements de plaisir, et tandis qu’elle me dévore la bite, je me régale de sa chatte savoureuse et ruisselante de mouille, dont je m’enduis bientôt quelques doigts que je n’ai aucun mal à enfoncer dans son petit trou.

– Tu aimes te faire enculer ?
– Oui, vas-y, encule-moi. Doucement au début, et quand tu seras rentré entièrement tu pourras y aller plus fort.

Elle crie lorsque mon gland s’enfonce dans son cul, mais me laisse faire. Je crache sur ma queue, badigeonne d’un doigt son petit trou, et pousse encore pour rentrer aux trois-quarts. Elle m’arrête un moment, haletante. Je fais de petits va-et-vients pour répartir la salive jusqu’à ce que ma bite s’enfonce sans problème jusqu’aux couilles.

– Ouiiii, c’est bon, maintenant encule-moi bien !

Je la tiens par les hanches et commence à aller et venir puissamment entre ses fesses. Ma bite coulisse dans son cul comme dans du beurre, mes couilles encore trempées viennent frapper sa chatte pleine de mouille, et L. hurle son plaisir sans honte par la fenêtre ouverte…

Toujours empalée sur ma queue, L. se redresse, passe son bras autour de mon cou et me dit à l’oreille : « J’aime sentir ta queue qui rentre dans mon cul centimètre par centimètre, je voudrais la sentir palpiter, jouir, gicler dans mon cul, je voudrais sentir ton jus qui coule en moi… ». Ces quelques mots m’excitent incroyablement et soudain je sens que je vais jouir, mais elle continue : « …mais ce soir j’ai vraiment besoin que tu jouisses dans ma bouche. » Je me mets alors sur mes deux pieds, elle se retourne pour faire face à ma queue, et tandis que, la queue à la main, je m’apprête à éjaculer, elle ouvre la bouche et ferme les yeux, prête à jouir en même temps que moi.

Ma queue explose alors, et par vagues de plaisir successives, plusieurs jets épais et chauds giclent sur son visage et inondent sa bouche. L. jouit, puis, soucieuse de profiter de chaque goutte, avale une dernière fois ma queue gonflée pour en lécher tout le jus, avant de s’effondrer comme moi sur le lit, et de sombrer dans la torpeur de l’été naissant.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire