J’ai toujours été jalouse des hommes qui entraient et sortaient de la chambre de ma grande sœur âgées de 12 ans de plus que moi. A chaque fois qu’un homme lui faisait l’amour, je le haïssais. Ma sœur était un canon qui se laissait baiser par n’importe quel mâle qui passait. Elle avait le feu au cul. C’est peut-être à cause d’elle que je suis comme je suis aujourd’hui et aussi grâce certainement à Tonton Vick. De ma chambre mitoyenne, Je ne pouvais rien manquer de leurs ébats. Même si ma jalousie était féroce, ça me faisait mouiller d’entendre ces bruit insolites et leurs cris et gémissements., J’imaginais les cochonnerie qu’il devait faire ensemble.
Un soir, Clara se préparait pour sortir. Elle se faisait belle, se maquillait et enfilait de la lingerie sexy ainsi qu’une robe à faire tomber les mecs. Je savais ce que ça voulait dire. En effet, les hommes qu’elle ramenait à la maison étaient toujours plus vieux qu’elle et certainement mariés.Dés qu’ils s’étaient vidés les couilles, ils rentraient voir bobonne.
Pendant qu’elle se transformait graduellement en belle-de-nuit sous mon regard admiratif, le rythme de mes battements de cœur s’accéléraient. Elle était si désirable que j’avais envie de lui ressembler.
Une fois son maquillage terminé, elle me demanda :
« Qu’en penses-tu Michèle ? Crois-tu que je vais les faire tomber ? »
Folle de jalousie, je ne trouve qu’à lui dire :
« T’as l’air d’une pute ! »
J’aurais voulu ravaler mes mots. Mais plutôt que de la vexer, elle sembla satisfaite de ma réponse en me disant, avec un joli sourire :
« Parfait ! Ca veut dire que je suis baisable. »
Puis, Clara me regarda d’un air espiègle, cherchant à provoquer en moi une réaction. Elle plaqua une main sur mon entrejambe et mon visage s’empourpra.
« Tu mouille petite sœur. Tu crois que je ne sais pas que tu te masturbe pendant que je me fais sauter à côté ? »
J’avais honte. Elle me serra alors dans les bras plaquant ma tête entre ses magnifique seins que tant d’hommes avaient du pétrir et me dit :
« Huuum ma chérie, ta sœur est une grande fille qui aime le sexe et tu verra que bientôt ce démon te dévorera également. »
Sur ces paroles, Clara quitta la maison, me laissant seule avec mes fantasmes. Au milieu de la nuit, des bruits en provenance de sa chambre me tirèrent du sommeil. J’entendais des cris. Mais ces cris ne ressemblaient en rien aux gémissements lascifs habituels. J’entendis ma sœur crier :
« Non pas ça haaa arrêtez vous me faites mal… Haaa ! »
« T’es qu’une salle pute ! On va te défoncer les trous salope ! »
Des claques retentissent. Apeurée, je ne savais trop quoi faire. Prenant mon courage à deux mains, je me lèvais et me dirigeais vers la chambre de Clara. J’entrouvrais sa porte doucement pour vérifier de quoi il s’agissait et découvris un spectacle incroyable. Un homme d’une stature imposante lui fourrait sa grosse queue dans la bouche en la tenant par les cheveux , alors que deux autres sbires lui défonçaient la chatte et le cul en lui claquant les fesses et le seins. N’écoutant que mon courage, je fonçais vers ces hommes pour aider ma sœur en lançant un coup de pied dans les couilles à celui qui l’enculait. L’homme sort du cul de Clara et s’écroule en hurlant de douleur. Celui qui lui baisait la bouche, se retourne en disant :
« C’est qui cette petite pute ? Elle est jalouse et veut en prendre comme toi ? »
Alors qu’elle continuait à se faire défoncer la chatte par le troisième homme, elle suplie le grand balaise de me laisser tranquille.
Je me reculais au fond de la pièce morte de trouille. Dans le tumulte de ces événements, je n’avais pas pris le temps de m’habiller et nue devant cette armoire à glace, j’étais térrifiée. Une fois prés de moi, il me pris par les cheveux et lança menaçant :
« Ta putain adore se faire bourrer ! Suce ma queue petite chienne ! Tu vas goûter du mâle ! »
Il enfonça d’un coup son dard dans ma bouche et se mit à la baiser. Celui qui avait reçu mon coup de pied était entrain de récupérer et vert de rage se mis à me fouetter à coup de ceinture en disant :
« Salope ! J’vais te montrer comment on traite les petite pute comme toi ! »
Ensuite, ils me mirent à genoux, pour me prendre en levrette. ce qui m’oblige à me mettre en levrette. Le mec à qui j’avais cassé les burnes, se positionne derrière moi et me prend d’un seul coup. Je poussais un cri strident. Heureusement que je n’étais plus pucelle. Mon Oncle était passé par là. Mais ma sœur ne le savait pas.
Clara, en se faisant labourer la chatte, n’arrêtait pas de leurs dire :
« Laissez ma sœur salops ! Venez me prendre et foutez lui la paix ! »
Je tentais de me débattre mais ils étaient bien trop fort pour moi. L’autre me pinça le nez et son sexe monstrueux s’engouffra à nouveau dans ma bouche pent que son copain me ramonait la chatte durement.
De son côté, Clara se fait défoncer le cul en se faisant pincer les seins. Les insultes fusaient.
« Allez, les putes, bougez vos cul ! »
« Ah, la petit chienne ! Elle mouille autant que sa sœur ! »
« Ouai ! C’est de bonne pute ! Leurs mère doit être aussi chaude pour avoir chiée des grosse salopes comme elles ! »
« Quelle salope ! La petite est encore plus pute que Clara ! Là, j’vous dis qu’on est sur un bon coup ! »
« Allez, sale pute, montre à ta sœur comment une salope comme toi aime se faire défoncer la chatte et la bouche en même temps ! »
En entendant ces mots, je ne sut pas ce qui me pris mais je me mis à sucer avec un plaisir certain tout en poussant de violents coups de reins pour mieux enfoncer l’autre queue dans ma chatte. J’étais en peu de temps devenue une vraie salope en furie.
Le mec qui baisait ma sœur se mit à grogner et lui aspergea les seins et le visage pour aussitôt lui fourre sa bite dans la bouche en disant :
« Regarde, Clara, ta salope de sœur te donne des leçons. Je suis une vraie furie. Celui que je suçais, se raidit et se vida dans sa bouche. Dans ce délire excitant, j’avalais tout. Des filets de bave et de sperme coulaient de ma bouche.
« Eh bien, ma salope, c’est la première fois que l’on me suce aussi bien ! Tu vas faire une aussi bonne pute que ta sœur dans la cité. »
Je ne l’écoutais même pas et dans mon orgasme grandissant je hurlais :
« Oui, oui, j’en veux encore ! Défoncez-moi par tous les trous ! »
Celui qui me baisait se retira brusquement pour se lâcher sur mon dos pour ensuite se présenter devant ma bouche pour que je le nettoie.
Après s’être vidés les couilles, il partirent nous laissant toutes les deux hébétée et couvertes de sperme. Ca restera notre secret à toutes les deux.
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