Et voilà le deuxième chapitre, bonne lecture ! 😉
Monsieur commence à défaire son pantalon, entre son gras et son caleçon d’une propreté douteuse, je suis plus dégoûtée qu’autre chose. Mais quand sa bite jaillit à moitié bandé, je reste bouche bée, je n’aurai jamais pensé qu’un homme comme lui pouvait avoir un engin pareil ! Sa queue est monstrueuse, elle doit mesurer 25 cm de long et au moins 5 cm de diamètre, avec des grosses veines et des poils foncés qui recouvrent son pubis et ses grosses couilles.
Il me regarde avec un sourire, je pense qu’il voit mon excitation, c’est vrai que j’aimerai bien la toucher, j’approche ma main pour, et en plein dans mon élan je reçois une claque qui m’arrête dans mon avancée.
« Sale chienne qui t’as permis de toucher ma bite ?? »
Je vois qu’il est en colère, je ne comprends pas, normalement les hommes sont heureux lorsqu’on touche leur queue, sa réaction me surprend vraiment mais je me recroqueville et m’excuse.
« Pardon Monsieur, je suis navrée, je pensais que ça vous ferait plaisir que je la touche… »
« Hahaha mais tu dois mériter de la toucher, salope ! Cette bite, je veux que tu l’admires d’abord, après tu devras la vénérer, je veux que tu y penses tout le temps, que quand tu y penses, ta chatte dégouline d’excitation, que ta vie tourne autour de cette queue, que tu aies envie de lui donner du plaisir constamment… Compris, pétasse ? »
Mais il est complètement fou ! Je ne vais jamais vénérer sa queue, il est juste ravagé ! Mais comme je n’ai pas le choix, je lui dis
« Monsieur, je vais vénérer votre queue et ne vivre que pour elle, elle sera dans mes pensées tout le temps, Monsieur ! »
Si ça peut lui faire plaisir que je dise ça…
« Non, non, non il ne suffit pas de dire ça pour que j’y croie… Je vais t’éduqué à la vénérer, ça prendra du temps, des mois surement mais tu verras, tu finiras par ne vivre que pour elle. Mets toi a genoux, mains derrière le dos et bouche ouverte, tu ne bouges pas mais tu ne quittes pas ma bite des yeux. »
Je me mets en position et ne quitte pas des yeux sa queue, il s’approche de moi en se touchant tranquillement son engin, il se met le plus possible près de mon visage mais sans le toucher.
« D’abord ma chienne, tu vas la regarder, l’admirer… Mais pas que ma queue, mes couilles aussi, mon trou du cul… »
A ce mot, je lève les yeux vers lui, interrogative et avale ma salive.
D’un ton très autoritaire,il me dit
« Espèce de conne, qu’est ce que tu comprends pas dans bouge pas et regarde ma queue ?! Putain, t’es vraiment débile y a rien de compliqué à ça ! Je dois te punir cette fois, tu ne me donnes pas le choix ! A quatre pattes, va à la table du salon et accroupis toi devant ! »
Je me déplace comme demandé pendant qu’il va fouiller dans les tiroirs et en ressort un papier et un stylo.
« Tu auras deux styles de punitions, psychologique et physique, c’est moi qui décidera laquelle dépendant de ton éducation et de la faute. Pour cette fois, elle sera psychologique, tu vas écrire 100 fois « je suis une grosse chienne qui doit obéissance et respect à mon Maître » je te donne maximum 15 minutes. »
Je suis un peu choquée par la punition, j’ai l’impression d’être à l’école, c’est vraiment une drôle de punition. Je commence à écrire en me disant que 15 minutes c’était bien assez long.
Je suis une grosse chienne qui doit obéissance et respect à son maître.
Je suis une grosse chienne qui doit obéissance et respect à mon maître.
J’ai déjà écrit 15 lignes quand le concierge regarde et me fait arrêter.
« Tu es vraiment stupide, tu n’arrives même pas à écrire juste ! Je te pardonne ta première faute qui est de mettre un j majuscule à je, tu sais tu n’es qu’une chienne maintenant, tu ne mérites pas de majuscule ni à ton prénom, ni à… Ha mais en fait on a pas choisi ton nouveau nom ! Parce que dorénavant, tu ne t’appelleras plus Julie, on va en trouver un qui te corresponde mieux… Pendant que je réfléchis, continue d’écrire, avec le j minuscule et surtout une majuscule au m de Maître ! »
Je me sens complètement humiliée mais toujours excitée, je continue ma punition en faisant attention aux fautes.
« J’ai trouvé ton nouveau nom ! Enfin, j’en ai trouvé deux, je te laisserai choisir celui que tu veux. Comme tu as un corps gras et des mamelles qui ressemblent à des pis, je trouve que truie ou vache t’irait bien, qu’en penses tu ? »
Je suis électrifiée, je n’ai pas imaginé une seconde qu’il me trouverait un nom pareil ! Je suis au bord des larmes, c’est tellement méchant et humiliant de m’appeler comme ça ! Je ne suis ni une truie ni une vache… Mais voyant qu’il s’impatiente, je dois choisir l’un des deux mais je n’y arrive pas.
« Tu prends trop de temps à choisir, dépêche toi ! »
Je dois me dépêcher mais comment choisir entre ces deux horribles noms, je me décide pour…
« Truie, monsieur »
Il s’approche de moi et me dit à l’oreille
« C’est bien, truie, mais comme tu as pris trop de temps à choisir, tu seras grosse truie, je trouve que ça te va très bien et te correspond beaucoup mieux que Julie ! Tu es d’accord grosse truie ? »
« Ou..oui Monsieur »
« Comment tu t’appelles alors ? »
Les larmes aux yeux, je réponds
« grosse truie, Monsieur »
« Bien. Dorénavant je ne t’appellerai que comme ça, qu’on soit que les deux ou avec des gens, qu’on soit à l’intérieur ou à l’extérieur. Et je crois que tu as compris que tu as intérêt à me répondre quand je t’appelle ainsi, hein ma grosse truie ? »
« Oui, j’ai compris, Monsieur »
« Bien sur, tu devras répondre à tous les petits noms affectueux que je te donnerai comme salope, chienne, pute mais aussi cuve à sperme, sous-merde, garage à bite et ainsi de suite. Bon les 15 minutes sont passées, tu as fini, j’espère ? »
Je n’ai juste pas eu le temps de finir à cause que j’ai du recommencer les quinze premières lignes, je sens qu’il ne va pas être content…
« Non, Monsieur, je suis désolée »
« C’est pas ton petit désolé qui va changer grand chose, si tu ne veux pas être encore punie, supplie moi de t’excuser et embrasse mes chaussures, grosse truie. »
Je me mets à ses pieds et tout en faisant des bisous sur ses chaussures, je dis
« Monsieur, je vous en supplie, pardonnez votre grosse truie stupide, je m’excuse d’être aussi lente et bête, je vous en supplie Monsieur !! »
« Tes supplications me vont mais par contre, embrasse mieux mes chaussures, c’est-à-dire comme si tu embrassais la bouche d’un homme, je veux voir ta langue lécher mes chaussures, je veux voir la bave y couler, allez ! »
Ça me dégoûte au plus haut point mais je commence à l’embrasser comme si c’était mon bel homme de la nuit dernière, je ferme les yeux et lèche ses chaussures, je bave comme il l’a souhaité.
« Voilà qui est mieux, grosse truie. Maintenant, revenons à ce que nous étions en train de faire avant que tu foires tout ! à genoux comme avant et ne t’avise ni de bouger ni de fermer ta bouche, compris la truie ?? » me dit-il sur un ton moqueur.
« Oui, compris, Monsieur » et je me remets en position.
Il s’approche de nouveau tout près de mon visage, je respire les effluves de son entrejambe, regarde de près sa bite. Il bouge et j’ai maintenant ses couilles devant mes yeux, elles sont terriblement poilues ! L’odeur y est encore plus forte et ma bave qui commence à couler sur mon cou et mes seins. Quel tableau on doit faire ! Il continue à se branler tout en me disant ses « petits noms affectueux » et je commence vraiment à être excitée de voir cette queue devant moi, j’ai envie de la prendre en bouche !
« Je vais bientôt éjaculer, autant ma bite tu n’as le droit d’y toucher pour l’instant autant tu ne dois pas perdre une goutte de ma semence ! Reste comme tu es, avale le plus possible et le reste, tu lécheras, enfin tu te démerdes salope, tu sais que tu ne peux pas laisser une goutte ! »
Je me concentre et quand il éjacule, j’essaye d’en prendre au maximum dans ma bouche mais il y a des gouttes qui arrivent sur mes seins et d’autres au sol. J’avale tout ce qui est dans ma bouche et avec mon doigt, je ramasse le sperme sur mes seins et vais pour faire pareil avec celui du sol.
« Non, non tant que tu peux utiliser ta langue directement tu le fais, alors lèche ! »
Ça me dégoûte encore une fois mais je m’exécute, je pose ma langue sur le sol froid et lèche le sperme qui devient froid lui aussi.
« C’est bien grosse truie, tu finis par comprendre malgré que tu sois conne. Hein que t’es conne la truie ? »
« Oui, Monsieur, je suis conne. Merci de m’apprendre à m’améliorer, Monsieur »
Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, à croire que son éducation commence à faire effet…
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