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Voyage à Bangkok, chap 08

Voyage à Bangkok, chap 08



Jean-Charles me fixait avec ce regard glacé qui me faisait perdre toute contenance. Je commençais à paniquer, qu’avais je pu faire ou ne pas faire ? N’avait il pas aimé ma fellation ou alors je n’aurais pas dû faire de gâterie de à mon amie Jintana ? Je m’agitais sur ma chaise mal à l’aise, en plus le dispositif que je portais en moi était toujours en marche. D’ailleurs je n’en pouvais plus, les deux godes gonflient encore. J’avais l’impression d’être déchirée de l’intérieur tellement le diamètre devais être important, et l’anneau qui serrait ma verge quand à lui était de plus en plus petit. J’étais à la limite de hurler.
Tu te crois où ? Faire ça devant moi sans même me demander mon accord, mais tu es une vraie pute et les putes comme toi je sais ce qu’il leur faut, crois moi tu vas apprendre ! Tu veux de la queue tu vas en avoir ma petite chienne !
Les paroles de mon homme venait de me déchirer le coeur. Moi qui pensais que c’était ce qu’il voulait que je fasse. Les larmes montaient bien malgré moi, pourtant je n’étais pas si émotive habituellement. J-C se leva et m’attrapant par le bras me fit le suivre. Jintana tête basse nous suivit, la mine abattue. Je titubais sur mes talons aiguilles à cause des sensations des plugs en moi et par le fait d’être tiré par mon mâle. Dans le hall je le vis faire un signe à l’accueil en nous dirigeant vers la sortie. Une fois sur le parvis de l’hôtel une grosse berline noire arriva et il me poussa à l’arrière, dans la voiture, m’interdisant de m’assoir sur la banquette. Je me retrouvais à genoux, sur la moquette, entre ses jambes. Jintana qui avait suivi se postionna elle aussi à genoux sur la moquette, à coté de moi. Je reconnus le chauffeur celui qui nous avait emmené les filles et moi, en boite. Il eut un sourire moqueur en me voyant à l’arrière, entre les jambes de son boss. Je n’osais plus bougé et je subis le trajet comme un a****l que l’on mène à l’abbatoir. Je ne voyais pas la route mais je sentais que nous n’étions pas en ville. La berline semblait rouler à bonne allure, puis elle ralentit empruntant une route cahoteuse bordée d’une végétation luxuriante.
Nous arrivames enfin dans ce que je devinais être une grande propriété. Je voyais un haut mur d’enceinte avec une grande porte en bois sculté. La porte devait faire plus de 2 mètres de haut et le mur était encore plus haut. La porte s’ouvrit et notre véhicule pénétra rapidement à l’intérieur. Le chauffeur arrêta enfin la voiture et coupa le moteur alors que la portière s’ouvrait. Un homme européen, en treillis kaki, se tenait à coté et ce qui me choqua c’est à coté de lui à genoux se trouvait une jeune femme, eurpéenne, tenue en laisse par l’homme. Elle portait une tenue de soubrette comme dans les cliché que l’on voit dans les pornos. Elle portait à son cou un gros collier en cuir noir , ses mains attachées et relié par une chaine à ce collier. Elle avait la tête baissée et n’osait visiblement pas la relever. L’homme me regardait descendre poussée par Jintana qui se plaça aussitôt à quatre pattes la tête baissée. Je la regardais effarée, mais ou étais je tombée ?
Tout à coup l’homme me donna une gifle qui me fit tomber à terre le nez dans la poussière. J’étais totalement sonnée, le coup m’avait surprise. Il s’adressa à moi me disant que j’allais comprendre ou était ma place et que d’ici la fin de ma formation j’allais comprendre qu’elle était mon rôle dans la vie. Ensuite il discuta avec J-C et je saisis au vol que j’allais séjourner ici au minimum un bon mois. Il lui assura qu’à son retour je serais parfaitement éduquée. Je le vis alors s’approcher de moi et sortir un collier en cuir rose avec une laisse d’une de ses poches. Il m’attacha le collier autour du cou et le verrouilla avec un cadenas. Il fit de même avec Jintana et nous guida vers les dépendances qui entouraient le batiment principal haut de deux étages. Nous pénétrames dans ce qui était une écurie avec différents box grillagés fermés par des grilles. À l’intérieur je pouvais voir que certaines cages étaient occupées par des femmes et des ladyboys totalement nues si ce n’est un gros collier noir ou rose autour du cou. Je ne comprenais plus rien, que faisais je là. J’aurais dû me débattre et tenter de fuir mais je ne bougeais pas. On nous ordonna de nous déshabiller et nous le fimes sans opposer la moindre résistance. Nous étions toutes les deux nues, debout au milieu de l’allée. L’homme s’approcha de moi et me fit tomber au sol, à quatre pattes. Là, il m’arracha les godes toujours plantés en moi. La douleur de la bague enserrant ma verge me fit hurler quand il tira dessus. Je me retrouvais la tête au sol encore une fois, mes deux mains autour de mon sexe douloureux, le cul en l’air. Tout à coup je sentis une brûlure sur mes fesses suivi d’autres. L’homme à l’aide d’une cravache me fouettait le cul. Je hurlais là encore ma douleur, des larmes coulant le long de mon visage. Je fus punis un long moment mais à aucun moment je ne cherchais à me soustraire à mon calvaire, soumise. Pour être honnête je commençais même à ressentir du plaisir, tandis que l’homme méthodiquement zébrait mon postérieur. Je ne gémissais plus de douleurs sous les coups mais plutôt de bonheur, je découvrais horrifiée que j’aimais ça. Je tendais ma croupe vers la cravache qui me cinglait. J’aimais ça et finalement, je jouis m’écroulant sur le sol terrassée par un orgasme foudroyant.
Je me réveillais plus tard, tout juste vêtue d’un collier en cuir autour du cou, d’une cage de chasteté, d’une paire de bas autofixant et d’une paire de bottines avec des talons aiguilles d’une quinzaine de centimètres, pour être plus précis des ballets boots noirs cadenassés au dessus de mes chevilles.
Mais là ou je fus surprise c’était de me réveiller debout, les poignets liés attachés au dessus de ma tête et les jambes écartées, les chevilles entravées à des anneaux fixés au sol. Face il y avait un écran diffusant une vidéo hypnotique de sissy. En tournant la tête je vis Jintana dans la même position que moi qui regardait fixement l’écran. Elle portait la même tenue si ce n’est qu’elle était visiblement empalé sur un gode fiché au sol et qui s’enfonçait entre ses fesses. Son regard était trouble comme si elle était dans un état second, et je pouvais voir un filet de bave couler au coin de sa bouche. Elle semblait absorbé par la vidéo d’images saccadées et de messages subluminiques qui défilait face à nous. Je commençais moi aussi à regarder l’écran ou se succédaient des messages et des images de plus en plus captivantes. Je salivais en regardant des queues se succédant à l’écran, j’étais envieuse face aux images des shemales se faisant prendre sauvagement par des hommes aux membres énormes. Je rêvais d’être à leur place suçant tout en se faisant prendre profondément. Les scènes se succédaient et lorsque la diffusion s’arrêta je me me retrouvais toute étourdie. Un homme asiatique vint chercher Jintana, qui tituba vers la porte, me laissant seule dans la pièce. Un autre homme entra, tenant dans ses mains une cravache. Il commença à me fouetter les fesses, m’ordonnant de compter voix haute. Mes fesses me brulaient et je comptais inlassablement et docilement à voix haute, tout en retenant mes gémissements. Les coups s’arrêtèrent enfin et tout comme la fois précédente j’avais finalement pris mon pied sous les coups de cravache. Je découvrais être masochiste, chose que je n’aurai jamais cru. La corde qui maintenait mes bras en l’air se relacha et ne pouvant maintenir mon équilibre je tombais à genoux, les mains toujours liées en avant. Je me retrouvais à quatre pattes les jambes écartées lorsque je sentis la cravache glissée le long de ma raie culière et s’aventurer vers ma chatte trempée. J’entendis un bruit de fermeture éclair et d’un coup un membre envahit mon petit trou, sans aucune douceur. L’homme venait de s’enfoncer dans mes reins brutalement, d’une seule poussée. Il attendit un petit moment laissant mon conduit se faire à la taille de sa queue, crochetant ses mains sur mes hanches et commença ensuite son rodéo. Je le sentais coulisser en moi , ses couilles tapant contre mes fesses à chaque fois qu’il m’enfonçait son braquemart au plus profond de mes entrailles. Je l’entendais respirer fort derrière moi et au bout d’un bon moment je le sentis jouir en moi, sa queue secouée de saccades lâchait de grands jets de sperme. Il se retira alors et vint se faire nettoyer la queue devant ma bouche ce que je fis avec empressement. Je le pris en bouche et le suçais avec délectation, ma langue jouant sur sa bite pour son plus grand bonheur. En effet je pouvais constater que loin de ramollir sa queue reprennait des forces et hissait haut ses prétentions. Il se mit à s’activer dans ma bouche comme il l’avait fait avec mon cul. J’avais du mal à respirer mais cela ne le gênait pas au contraire. Ma bave dégoulinait de mes lèvres et de son sexe. Celui-ci semblait encore grossir alors qu’il coulissait furieusement entre mes lèvres, et tapant au fond de ma gorge. Finalement il finit par jouir au fond de ma gorge, alors qu’il maintenait ma tête d’une main ferme m’empêchant tout retrait. Je ne pouvais qu’avaler et c’est ce que je fis. Il se retira alors une fois que j’eu bien sucé sa queue. Et détacha mes chevilles. Il attacha ensuite une laisse à mon collier et me dit de le suivre à quatre pattes comme la bonne chienne que j’étais. Je restais donc à quatre pates et le suivis sans opposer la moindre résistance. Il me guida alors à travers un couloir jusqu’à une cellule meublé uniquement d’une sorte de lit où il me fit allonger sur le dos. Là il attacha mes mains et mes pieds au coins du lit avec des entraves en cuir, puis il sortit laissant la porte ouverte. Une lucarne donnant sur l’extérieur m’indiquait qu’il faisait nuit et ce fut la seule indication que j’eu sur le monde extérieur. L’homme revint accompagné d’un black qui poussait un chariot. Malgré moi mon regard se porta aussitot vers son entrejambes pour essayer de voir son paquet. Ils virent mon regard et s’eclaffèrent tous les deux avant de me dire que bientôt je pourrais voir Momo, et même plus que ça. Le chariot fut placé au pied du lit et je ne pouvais voir ce qu’il faisait. L’asiatique me déposa du gel sur ma chatte et sur mon anus encore sensible. Puis je sentis deux objets froids forcés mes orifices intimes. Sous le choc je poussais un cri et je reçu aussitot une baffe qui m’étourdit. J’entendis un moteur se mettre en marche et là je me sentis déchirée de l’intérieur en sentant les deux godes coulissés en moi alternativement. J’en avais les larmes aux yeux tellement j’avais mal mais cela ne les intéressait pas. Je les entendis parler en thaïlandais avant de partir à rire, et ils sortirent en refermant la porte.
Quelques temps après je vis arriver une femme asiatique en blouse blanche. Elle me sourit et me dit quelques mots que je ne compris pas. Puis s’approchant du chariot elle récupéra un nécessaire à perfusion. Elle opéra sans rien dire et je me retrouvais avec deux flacons de perfusions qu s’écoulaient en moi. Je m’endormis alors assez vite plongeant dans un rêve ou des cravache et de belles queues juteuses se succédaient.

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