Un soir Christian me paye une bière dans un café du centre. Nous discutons de chose et d’autre. Puis il amène la conversation sur mes aventures de cul et mes récits coquins. Parler de ça dans ce lieux public m’excite beaucoup. C’est alors qu’il me propose de me raccompagner chez moi. Je me sens déjà excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui dans sa voiture. Tout en conduisant, il me caresse le haut des cuisses. J’écarte instinctivement mes jambes pour laisser sa main vagabonder sur mon intimité. Il peut faire ce qu’il veut de moi. Il le sait bien et en abuse. Sur le parcours, il gare sa voiture dans un bois désert et aussitôt, en me pelotant, il m’embrasse à pleine bouche. Rapidement, dans une sorte de furie, nous arrachons nos vêtement. Sans qu’il me le demande, je saute sur sa verge déjà bien raide et commence à le pomper en malaxant ses couilles. Il gémit de plaisir en me disant :
« T’es vraiment une trop bonne suceuse Michèle ! »
Je mouille tant que mes cuisse sont enduites de cyprine. Puis nous allons sur la banquette arrière et nous entamons un 69 de légende. Tout à coup, il me soulève et me prend d’un coup de rein en levrette en s’enfonçant dans mon vagin jusqu’à la garde. Ses coup de boutoir font valser mes seins dans tout les sens. Il me baise si fort que j’ai la sensation que mon vagin va exploser. Sa bite me met le feu et je n’arrête pas de crier mon plaisir. Proche de l’explosion, je cris ma jouissance alors qu’il continue à me saillir avec brutalité. Il me dit en ressortant de ma chatte en feu :
« J’vais te défoncer l’cul salope ! »
Il me claque les fesses et d’un coup, il me pourfend le petit trou. Entre douleur et plaisir, mon excitation prend le dessus avec une intensité comparable à la soudaineté de nos ébats. Mon orgasme est si violent que lorsque il se lâche dans mon cul, je suis presque évanouie. Comblée et inondée de son foutre, Christian me propose sa verge pour la nettoyer avec ma bouche.
Remis de nos émotions, nous nous apprêtons à nous rhabiller quand Christian remarque un voyeur dans l’ombre d’un bosquet.
« Michèle il y a un mec qui nous mate là-bas ! »
Je reste un instant tétanisée en me rendant compte que le type a une érection d’enfer. Christian, sans me le demander, fait signe au mec de venir. La queue à la main je le vois s’approcher et je sais déjà que je vais devoir lui donner du plaisir. Christian me dit :
« Suce le Michèle. »
Comme je ne peux rien lui refuser, le voyeur présente sa bite à travers l’ouverture de la vitre et je commence à lui donner des petits coups de langue sur le gland. Puis, d’un coup il me force la bouche pour engloutir son chibre dans toute sa longueur. Dans un râle de plaisir le mec a envoyé son ventre en avant pour me goinfrer à fond. Il se met en même temps à me malaxer les nibards.
Le type me tire sur les tétons à m’en faire mal. Et me pétrit la poitrine comme un malade, se régalant de mes mamelles. Le mec baise ma bouche comme un fou. A croire qu’il n’a pas tiré une femme depuis des semaines. Puis, dans un grand cri le mec décharge copieusement dans ma bouche.
Le type repart comme il était venu. Encore la croup en l’air et la chatte trempée de désir, Christian est de nouveau en forme. Il profite de ma position pour me baiser de nouveau comme un malade. Sa bite va de mon vagin à mon cul prenant possession de mes deux trous avec la fougue d’un a****l en rut..Secouée par ses assauts, il baigne dans un jus de stupre. Il ne tient pas longtemps à ce rythme et Christian me balance tout son foutre sur le visage sans avoir eu le temps de mettre sa queue dans ma bouche. Cette foi, il me raccompagne chez moi et c’est recouverte de foutre que je rentre sous la douche avant d’aller me coucher.
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