J’ai un problème. Je suis né avec une toute petite bite mais vraiment petite et mince. A l’école les copains qui m’avait aperçu à la douche après le sport m’avait traité de « ptitbit ».
Pendant mon service militaire aussi les copains me charriaient avec des commentaires amusés « tu arrives à la trouver pour pisser ou tu vas sur la cuvette des filles ». J’en étais très complexé et ma sexualité se résumait à une masturbation périodique peu gratifiante.
Je me suis décidé à tenter l’expérience avec une femme, une prostituée bien sûr car je n’osais pas aborder une fille normale pour cela.
Je suis allé dans la rue la plus connue pour cela à la capitale et je l’ai parcourue sans tous les sens pour voir le choix des femmes. Il y en avait pour tous les goûts. Les mater comme une marchandise à vendre m’avait fait bander mais ça ne pouvait pas se voir. Je voulais une femme d’expérience et je choisis une grande brune à la peau blanche qui avait un vrai look de pute avec deux grosses mamelles quasiment à l’air et un cul dodu et prometteur. Elle me trouva timide et me dit « t’inquiète pas, je vais te faire plaisir ». En montant l’escalier elle balançait ses fesses devant moi sous mes yeux et je l’entendis me demander « dis-moi, c’est la première fois ». J’étais étonné que ça se voit tant que ça.
Dans la chambre elle ramassa l’argent puis se mit nue et s’assit sur le bord du lit ses vastes cuisses bien écartées. J’étais fasciné et n’avais pas encore osé bouger. Elle me fit signe avec l’index d’approcher en disant « vient ma biche ». Elle défit ma ceinture et baissa mon pantalon et mon slip. Elle eut un air étonné et prit ma bite en main en me disant « toi t’es monté fin » puis elle la mit dans sa bouche et me suça avec vigueur. J’eu une érection mais mon sexe restait court. Elle recula et s’allongea sur le lit en écartant bien les cuisses. Elle avait une chatte très vaste. En la pénétrant je ne sentais presque rien. Je fis des allez retour sans succès. Je n’avais pas de sensations et j’étais terrorisé par l’échec qui se dessinait. La femme s’en aperçu et me proposa de la prendre dans le cul mais j’ai eu peur et j’ai refusé. Pour finir elle m’a branlé au-dessus du lavabo. J’ai éjaculé mais ce ne fus même pas jouissif. Les mois suivants je me suis masturbé mais j’étais triste. Je cherchai une expérience enfin positive.
J’avais vu le long d’un boulevard bordé de contres allées que des filles draguaient le soir à la nuit tombée. Je m’étais arrêté pour parler avec l’une d’elle, une jeune femme kabyle, qui m’avait confirmé que toutes étaient des occasionnelles qui proposaient des passes après leur travail normal en ajoutant « il y a aussi des trav ». J’y repassais souvent sans oser consommer.
Puis un jour je vis une silhouette, grande et mince, belles jambes, dans un manteau de fourrure qui lui arrivait à mi cuisses. Je me posais en double file et lui fit signe. En s’approchant je vis que c’était un jeune homme un peu maquillé. Il se mit proche de la vitre ouverte et me dit bonjour en ouvrant son manteau devant lui. Il était entièrement nu avec des poils très courts presque ras sur un corps de garçon bien fait. Mes yeux furent aimantés par son pénis long et large qui pendait presque jusqu’à mi-cuisses au bord du manteau. Il avait un gland volumineux recouvert d’un prépuce basané. Il me dit d’une voix assez grave « je suis Pablo ». Il m’annonça son prix pour jouer une heure avec lui dans ma voiture.
Je fus fasciné par ce sexe. Je déclinai l’offre et rentrai chez moi me masturber en rêvant que je caressais Pablo.
Le lendemain j’y ai pensé toute la journée au travail et le soir je suis retourné sur le boulevard. Pablo n’étais pas là. J’ai attendu un moment et je l’ai vu descendre d’une voiture conduite par une femme mûre. J’ai abordé Pablo et il est monté à côté de moi. Il m’a guidé pour aller dans un endroit isolé et nous avons parlé. Il était colombien et était venu faire des études d’art mais n’arrivait pas à boucler son budget. Il louait donc son corps à qui voulait bien payer pour en profiter. Sa cliente précédente était une bourge dont le mari ne bandait plus et qui venait se faire secouer la chatte de temps en temps par une belle queue vigoureuse en payant très bien. « Ça marche, ça me laisse du temps pour mes études en journée » dit-il.
Il avait ouvert son manteau et son sexe était beau à moitié gonflé avec des veines biens visibles. Je le regardai, fasciné et le pris dans ma main. Il était chaud, doux et banda vite. Lorsqu’il fut à la verticale je décalottai doucement le gland qui brilla dans la lumière faible. Je regardai Pablo qui me dit avec une voix grave et douce « suce le si tu veux, ça ne risque rien, je suis clean ». Il avait un regard très doux et avait posé une main sur ma cuisse. Je me suis penché et je l’ai sucé. Son sexe était si puissant que je ne pouvais prendre en bouche qu’une petite partie. Je tenais sa hampe avec mes deux mains. J’ai fait le tour de son gland avec ma langue. Il m’a dit « continue c’est bon » en me caressant les cheveux. Il me dit « toi tu ne bandes pas, tu ne veux pas que je te suce, j’aime assez ça en fait ».
Il était très gentil je me suis confié en lui disant que je n’osais montrer la taille de mon sexe. Il reprit « ici ça risque rien, vas-y défait ton froc et montre-moi ta queue ». J’obéis et baissai mon jean et mon slip. Il prit ma bite dans sa main et me dit « elle est mignonne, on dirait celle de mon petit frère » et il me branla doucement en me disant « branle moi aussi en même temps ». Puis il se pencha sur moi et me suça doucement puis de plus en plus vite. Quand je fus bien raide et repris avec ses doigts et je lui jutai dans la main. Il me la tendit en disant « si tu veux, goûte » mais je n’en avais pas envie.
Lorsque j’eu remis mon pantalon il ferma son manteau et me dit « toi tu devrais essayer les hommes je suis sûr que tu aimerais ça ». Son regard m’interrogeait. Il ajouta « tu me plais je te fais faire un essai gratuit, viens on va chez moi ».
Il habitait une chambre modeste sous les toits. Il y avait un lit, une chaise, une petite table qui servait pour tout et un petit lavabo dans un coin. Il me dit « déshabille toi et vient sur le lit ». Il posa son manteau et était déjà nu. Il attrapa du gel est m’enduisit le pénis, la raie et l’anus en insistant sur ce dernier pour le faire pénétrer. J’ai aimé la sensation et me suis mis à rebander. Il me regarda en souriant et dit « j’étais sûr que tu aimerais ». J’étais couché sur le dos. Il m’écarta les cuisses, mis son oreiller sous mes fesses et me massa l’anus en le pénétrant de plus en plus. Ça faisait un peu mal mais je trouvais cette douleur délicieuse. Il savait y faire et allait progressivement sans jamais retirer ses doigts. Ça dura longtemps et je sentais que j’étais de plus en plus empalé.
Il enduisit son gland de gel, vint sur moi, présenta son pénis entre mes fesses et poussa doucement son gland en moi. J’eus encore mal car il était énorme. Il procéda par petits vas-et-viens jusqu’à être rentré. Je sentais son sexe en moi et trouvais ça très bon. Lorsqu’il s’enfonça complètement j’ai crié et j’ai éjaculé en même temps. Il m’a baisé pour lui par de longs coups de bites jusqu’à remplir mon ventre d’un long jet chaud. Ensuite seulement nous nous sommes embrassés et il me chuchota à l’oreille « tu vois une petite bite ça gêne pas pour faire la femme ».
Grace à Pablo j’ai trouvé une orientation sexuelle qui dure toujours. Pablo est retourné en Colombie à la fin de ses études. Nous nous écrivons de temps en temps. Il est devenu une artiste reconnu dans sa région.
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