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Rencontre avec Caroline

Rencontre avec Caroline



J’ai rencontré Caroline sur un site de rencontre bien connu en France. Adopte un mec. A l’époque, j’avais passé la phase euphorique de ce genre de site, et c’était devenu un passe temps plus qu’autre chose. J’aimais dire que je trouverai chaussure à mon pied, lorsque cela me tombera dessus.
Ce sont des amis, qui lorsque je venais chez eux, aimaient prendre en main l’application téléphonique du site de rencontre, qui ont trouvé Caroline. Ils ont essayé de rentrer en contact avec elle, et elle a accepté. Je n’ai pas été séduit par ses photos, elle paraissait classique à mourir, le genre de petite nana très classique. Nous échangeons quelques messages sur nos gouts et couleurs, ce que nous faisons dans nos vies, et au bout d’une grosse dizaine de jours de dialogue dispersé, nous convenons d’un rendez vous sur Toulouse, un soir de semaine.
Nous avions rendez vous à 19h, à la mi septembre. Je l’attendais au point de rendez vous, quand je reçus un SMS m’avertissant de 15 minutes de retard. Il faut dire qu’elle n’habitait pas Toulouse, mais la périphérie de Montauban.
La chance, et mes habitudes de l’époque ont fait qu’à côté de lieux de rendez vous, se trouvait un bistrot que je fréquentais assidument, j’y ai donc trouvé compagnie pour patienter 15 minutes, et ainsi surveiller son arrivée.
10 minutes plus tard, je vois une petite nana passé, plus mince que sur les photos, pantalon noir, ballerine, débardeur rouge, petite sac, petit carré au niveau des cheveux. Tout à fait classique. A ce moment, histoire de me faire désirer un tantinet, et n’étant pas convaincu de la marchandise qui venait de passer devant moi, je préparais ma deuxième partie de soirée. Je trainais depuis quelques temps avec une jolie brune espagnole, toute en rondeur, et il était temps que je concrétise. Mon plan : boire un verre avec Caroline, et lui indiquer une soirée qu’il ne lui plairait pas avec un concert dans un bar, la laisser sur place, et retrouver mon espagnole.

Je la rejoins donc et bifurquons vers une terrasse. Elle me parle de sa vie, je m’emmerde à mourir. Sa famille, son frère, son boulot, elle parle vite, à chaque fois que son décolleté pourrait être intéressant, elle remonte son débardeur, bref je m’emmerde. 21H approche et je lui parle de la suite de ma soirée, je dois retrouver des amis et une copine à un concert pas très loin. Elle me propose d’aller manger, je lui dis que je n’ai pas faim histoire d’abréger. Elle décide donc de me suivre. Là bas, je me retrouve plutôt comme un con. Coincé dans un bistrot que je n’aime pas particulièrement, avec des potes qui s’amuse de la situation, à savoir, moi coincé entre deux nanas, qui ont bien compris que ce soir, elles sont rivales.
De manière naturel, c’est pourtant mon espagnole qui de par son côté festif prend le dessus. On rigole, on danse, Caroline est clairement sur la touche. Moins d’une heure après, comme prévu, elle décide de partir. Une bise, le dossier est classé, normalement je n’aurais plus de nouvelles. Sauf que 20 minutes plus tard, je reçois un SMS de Caroline, m’indiquant que sa bagnole ne démarre pas. Gentleman, je l’appelle, un bref diagnostic de ma part me faire dire qu’elle ne démarrera pas ce soir. Caroline est à la rue, elle demande si elle peut passer la fin de soirée avec nous, elle devrait avoir une connaissance qui pourrait l’héberger en fin de soirée. Je dis banco.
Entre temps, mon espagnole s’est tirée, je n’ai plus que les potes qui commencent à devenir ivre, la soirée s’annonce longue pour ma part. Je propose donc à Caroline de passer à la maison.

Je n’ai pas grand chose à lui proposer à manger, elle est affamée. Cela sera pain, fromage tt alcool fort, je n’ai pas de bières. Grace à ce fameux mélange, elle commence à se détendre, parait moins stressée, moins chiante dans ces conversations, nous discutons bien, la soirée se passe mieux. Je lui propose de dormir sur le canapé, pour bien lui signifier mes envies d’en rester là, elle accepte. Je lui sors un semblant de couverture, lui indique qu’elle fait comme chez elle, je pars me coucher, il doit être 01H du matin. Dans la nuit, je lève pour pisser, et remarque que la petite lumière du salon est allumée. Je lui demande si tout va bien, elle me répond « oui, mais je n’arrive pas à dormir », je me rapproche et remarque assez facilement, qu’elle est au moins seins nus sous la couverture, nous plaisantons sur quelques sujets, je vais pisser, et en sortant je conclus en disant que si elle a du mal à s’endormir seule, elle peut toujours venir me rendre visite.

Quelques minutes plus tard, Caroline arrive dans ma chambre, nue. J’ai à peine le temps de la détailler, elle est fine, sans trop de forme, une bonne poitrine, elle a un gros ticket de métro qui lui descend sur les lèvres, elle se glisse sous la couverture, directement sur moi. Nous nous embrassons longuement, elle a l’air d’avoir très envie. Elle ne tarde pas à aller chercher ma queue pour la branler. Pour ma part, mes mains parcourent son corps, la caresse. Ce n’est plus la même Caroline que j’ai devant moi. Au bout de nombreuses longues minutes, elle se recule, se redresse contre un coussin, écarte les cuisses et me lance un « lèche moi, fais moi jouir » comme je ne m’y attends pas, je plaisante sur le fait que depuis le début, elle a plus profité que moi, et moi aussi j’aimerai bien me faire sucer. Elle me répond que pour qu’elle descende me sucer, faudra d’abord que je la fasse jouir avec ma bouche. J’aime les défis, je m’exécute. Elle mouille c’est impressionnant, elle gémit, se touche les seins, écarte ses cuisses et retarde au maximum un bel orgasme. Je suis plutôt fier de moi, c’était long, mais le feux d’artifice en valait la peine. Quelques instant pour se remettre, elle ne me suce toujours pas, mais elle s’engloutit sur ma queue pour que je la ramone. Nous basculons en levrette à sa demande, je la surprend même à s’écarter le cul pendant que je la prend. M’amusant de cette situation où, c’est sans doute l’excitation qui l’emporte, je m’amuse à frapper son petit cul blanc et à foutre mon pouce dans son cul. Elle rit, s’amuse, gémit et jouit deux fois de plus.

Nous sommes rincés, en sueur, je pourrais m’endormir sans avoir éjaculer. Parce que déjà, je suis satisfait de la partie de baise, et aussi parce que c’est le genre de moment, ou cela ne vient pas. Elle essaie de me branler, je lui explique qu’il vaux sans doute mieux abandonner l’idée. Elle me répond pas qu’il est pas question. Elle commence à me sucer sur le lit puis, me demande de me lever. Elle sort du lit, allume la lumière du chevet et me lance « regarde moi pendant que je te suce ».
Elle est à genoux, elle bouffe ma queue avec envie, elle ne fait que de me regarder, de me lancer des phrases assassines « elle est bonne ta bite », elle se la tape sur les joues, le front, la langue, elle salive dessus, tout à coup, je me retrouve dans un super porno, le fameux POV. Je rentre dans son jeux, répond à ses provocations « tu veux mon jus, petite cochonne ? » elle me répond « pourquoi petite » en me regardant comme une pute.
Elle accélère, moi aussi, la semence monte, je la préviens mais elle ne se retire pas. Elle avale tout.

Nous prenons une douche en suivant et partons terminer notre nuit.
Pour l’anecdote, sa twingo a démarré au quart de tour le lendemain matin.

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