J’avais repéré cette petite table à 20€ sur Le Bon Coin et aussitôt envoyé un mail à l’auteur de l’annonce, qui vivait dans la même ville que moi, pour savoir si je pouvais venir la voir.
La réponse fut :
« Oui, pas de problème. Ce soir si vous voulez. Sonia. »
Ça me convenait. La Sonia en question m’a donné son adresse et nous avons convenu d’une heure. C’était à deux pas de chez moi, mais j’y suis allé en voiture afin de ramener la table.
J’ai donné vingt-deux ans à la fille qui m’a ouvert la porte. Elle portait des lunettes et d’immenses anneaux argentés aux oreilles. Elle avait les cheveux assez longs et lisses, châtain clair. Des traits très ordinaires.
Elle occupait un studio minuscule situé dans une vieille baraque du quartier historique de la ville. Douze mètres carrés au grand maximum, qui comprenaient un coin cuisine, un lit pour une personne, aux draps défaits, une penderie et la table qui m’intéressait, le tout blotti dans une masse incroyable de cartons, de livres, de DVD et d’habits.
« Pourquoi la vendez-vous ? demandai-je à la fille. »
« J’abandonne mes études et je dois quitter les lieux avant juillet, dit-elle. Je vends aussi le lit et la plupart de mes livres et DVD, si ça vous dit d’y jeter un œil… »
« Pourquoi pas… En tout cas, la table me plait beaucoup. Je peux la regarder d’un peu plus près ? »
« Bien sûr. Je suis désolée pour le désordre. »
« Ne vous en faites pas, dis-je en enjambant un carton. »
Au passage, j’ai déchiffré quelques titres de livres et de films. Et je me suis dit que j’allais lui en acheter, selon le prix qu’elle les vendait. Mais j’ai d’abord examiné la table. Elle était en très bon état, aux dimensions que je voulais. J’étais ravi.
« Je vous la laisse à quinze euros, dit la fille derrière moi. »
Je me suis tourné vers elle. Elle portait une robe de lin beige qui lui arrivait aux chevilles, boutonnée devant, à peine décolletée, sans ceinture. Elle était pieds nus et elle avait croisé les bras sous sa poitrine qui me sembla plutôt généreuse.
Je répondis :
« Ça me convient. Et les DVD, vous les vendez combien ? »
« Deux euros pièces. Mais ça dépend combien vous en prenez, je peux faire un prix pour un lot. »
« Vous bradez vraiment tout alors ? Il y a des films très récents, d’après ce que je vois. »
« J’ai besoin d’argent, dit-elle, et je dois me débarrasser de tout ce qu’il y a dans cette pièce, car je pars en train. »
« Je comprends, dis-je en regardant le désordre autour de moi. »
C’est à ce moment-là que je remarquai le petit sèche-linge posé sous la fenêtre. Il était chargé de sous-vêtements. J’ai d’abord fait en sorte de ne pas m’y attarder, mais j’eus du mal à me retenir. Il n’y avait que des dessous transparents, de différentes couleurs : orange, rouge, beige, noir…
La lumière passait à travers.
Entre temps, la fille s’était assise sur le lit pour consulter son téléphone qui venait de biper. J’en profitai pour revenir aux sous-vêtements, puis je me mis en quête de DVD susceptibles de m’intéresser.
J’en trouvai un, deux, puis trois.
Je les posai sur un coin du lit et la fille me dit :
« Cinq euros les trois. »
Je lui fis un sourire et continuai à fouiller. Il y en avait des tas et des tas, sur le sol, dans des boîtes à chaussures.
Quand j’en eus posé dix sur le lit, elle me dit :
« Quinze euros les dix, ça vous va ? »
« Oui, dis-je, c’est parfait. Et les sous-vêtements sur le sèche-linge, vous les vendez aussi ? »
Elle leva la tête vers le sèche-linge et prit quelques instants avant de me répondre :
« Oui, pourquoi pas. J’en ai des tonnes. »
« Ils sont tous transparents comme ceux-là ? »
« La plupart oui. »
Je me suis tourné vers le sèche-linge en disant :
« J’en offrirai bien à ma femme, un ensemble ou deux. Ça vous ennuie si je les examine de plus près ? »
« Non, non, allez-y. »
Je dus enjamber d’autres cartons pour atteindre les sous-vêtements. Le téléphone de la fille bipa de nouveau et je dus attendre une minute pour lui demander :
« Quelle taille faites-vous ? »
« 90C, dit-elle. »
« Je crois que ma femme fait du 90D… »
La fille se leva et s’approcha un peu, puis elle dit :
« Ça débordera peut-être un peu, je ne sais pas. »
Je venais de décrocher un soutif beige, vraiment très fin. Je voyais mes doigts à travers.
J’ai relevé la tête vers la fille debout à un mètre de moi.
« On voit vraiment tout à travers ? demandai-je. »
« Oui. »
« Les aréoles, les fesses ? »
« Oui. »
« Les poils de la chatte ? »
« Je suppose, oui, dit la fille, mais la mienne est complètement lisse. »
« Contrairement à ma femme, dis-je en remettant le soutif à sa place pour m’emparer d’une culotte. Vous n’aimez pas les poils ? »
« Si, dit-elle. Il y a encore une semaine de ça, ma toison dépassait de mes culottes tellement je suis poilue si je laisse pousser. J’en ai jusqu’autour de l’anus. Tout le monde n’aime pas. J’ai juste voulu essayer l’épilation totale. »
« Et vous aimez ? »
« Oui, mais ça demande beaucoup de soin, et je suis un peu paresseuse, alors je pense laisser repousser mes poils sans tarder. »
« Et vous les vendez combien, vos ensembles transparents ? »
Elle fit une petite moue le temps de répondre :
« Dix euros l’ensemble ? Quinze les deux. »
« Oui, parfait. J’aime beaucoup le beige. Accepteriez-vous de le passer pour que je me rende mieux compte de ce que ça donne ? »
« Oui, bien sûr, dit la fille en commençant à déboutonner sa robe par le haut. »
Elle ne portait pas de soutien-gorge, mais une culotte en revanche, de couleur grise, transparente. On distinguait la fine fente de sa chatte dessous.
Elle plia la robe et la posa sur le lit, puis elle baissa sa culotte.
Elle avait de superbes nichons qui tombaient un peu, mais dont les tétons pointaient fièrement. Sa peau était uniformément claire, sans marques.
Elle tendit une main vers moi en disant :
« Vous me passez le soutif, s’il vous plait ? »
Elle l’ajusta, puis ce fut le tour de la culotte. Ensuite, elle se tint droite à un mètre de moi, les mains sur la taille, puis elle dit :
« Alors ? »
J’ai haussé une épaule et, sans quitter la fente de sa chatte des yeux, je lui ai répondu :
« Pouvez-vous vous tourner ? »
Elle obtempéra et je mis quelques secondes à dire :
« Vous avez un superbe cul. »
Et là elle se remit face à moi en disant :
« Je suce pour quinze euros, si vous voulez. Vingt si vous giclez dans ma bouche. »
« Sans capote ? »
« Oui. »
« Et si je vous masturbe le cul pendant que vous me sucez ? »
Elle secoua une épaule et répondit :
« La même somme, j’aime bien qu’on me masturbe le cul. »
Un peu plus tard, je me suis retrouvé sur le lit à guider ma queue vers l’entrée de la moule de la fille à quatre pattes. Mes doigts laissaient des marques rouges sur ses fesses à force de les tenir fermement. J’avais le gland collé contre ses lèvres et je sentais ses doigts qui se démenaient sur son clito sous le niveau de mes couilles.
Après m’avoir sucé, elle m’avait dit qu’elle prenait soixante euros pour une pénétration non protégée. Soixante-dix pour une sodo.
Et, tout en enfonçant ma bite dans sa chatte lisse, je tentai de faire le compte : la table, les DVD, les deux ensembles de sous-vêtements, la pipe et le reste. Je me suis embrouillé et j’ai laissé tomber. J’ai ressorti mon gland de sa chatte, histoire de ne pas éjaculer tout de suite, et quelques petites gouttes laiteuses ont coulé le long de ma queue. Je l’ai alors approchée des doigts de la fille qui se branlait toujours le clito. Elle a palpé mon gland, délicatement, sa fente en particulier. Elle a sucé les gouttes au bout de ses doigts, puis je l’ai pénétrée de nouveau, plus profond.
J’ai rarement giclé aussi fort, aussi violemment. J’ai retiré ma queue de sa chatte et la décharge a atteint le milieu de son dos cambré.
La fille se masturbait toujours et elle murmurait :
« Oui, vas-y, gicle… oui, gicle bien, enfoiré, ça coule… oui, oui… vas-y… oui, oui… »
Et ça coulait, en effet. Mais ça s’accumulait aussi dans le bas de son dos, au niveau des vertèbres dorsales qui formaient un petit bassin.
Pour finir, je me suis penché vers elle et j’ai pris un nichon dans ma main. Il se balançait, tandis que les dernières gouttes de sperme allaient se coller sur son anus. J’ai passé un doigt sur la fente de mon gland et une dernière secousse a traversé mon corps.
Elle m’a fait le tout pour cent vingt euros.
J’ai trouvé ça très honnête.
Elle m’a aidé à descendre la table dans la rue et à la charger dans ma voiture. Ensuite, je suis allé au distributeur pour retirer l’argent que n’avais pas prévu initialement, tandis qu’elle remontait chercher les autres affaires que je lui avais prises.
Avant qu’on se quitte, elle m’a dit :
« J’espère que les sous-vêtements plairont à votre femme. Sinon, vous me les ramenez et je vous en donnerai d’autres. N’hésitez pas. »
« Je le saurai dès ce soir, dis-je. »
On s’est embrassés sur la bouche et je l’ai regardée s’éloigner avant de quitter la rue. Elle était à poil sous sa robe qui était légèrement transparente. Je me suis remis à bander, puis je suis rentré chez moi.
J’ai attendu un peu pour rappeler la fille le soir-même, pour lui dire que ma femme souhaitait essayer d’autres sous-vêtements.
Je suis revenu chez elle le lendemain à 19h. Je m’en suis tiré pour cent euros tout rond cette fois-ci, qui incluaient vingt DVD pornos.
Je vivais seul. Je n’avais pas de femme.
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