Oui, je sais, j’ai déconné… Aller tremper ma nouille dans ce con qui ne faisait pas vraiment envie, quel idiot !!
Bon, il faut dire qu’elle m’avait sérieusement chauffé la salope… J’avais résisté, un peu…puis j’avais cédé…
Je l’avais prise à la hussarde , relevant sa robe à fleur sur son dos, déchirant sa culotte, m’enfonçant dans sa chatte avide de plaisir, brutalement, sans ménagement.
Je m’étais vautré dans les replis grassouillets d’Annie après une sucette qui m’avait laissé le gland irrité tant la dame fellationnait mal.
Divorcée depuis quelques années, elle avait jeté son dévolu sur moi. Elle ne manquait pas une occasion de m’allumer et ça flattait mon égo de mâle
Nous avions baisé, nous n’avions pas fait l’amour.
Elle avait voulu sentir mon chibre dans tous ses trous.
Elle avait été servie.
Apres coup, j’avais eu honte .. C’était la première fois que je trompais ma légitime et cela me laissait un gout amer dans la bouche et une pine maltraitée.
Et dire que c’était la meilleure amie de ma femme !! Elle ne l’est plus maintenant que Florence a tout découvert…
Comment ? Je n’en sais fichtre rien. Toujours est il que j’ai passé de drôles de moments à essayer de me faire pardonner l’impardonnable.
1 mois à dormir sur le canapé, 1 mois sans m’adresser la parole , 30 jours a lui dire mes regrets, 30 jours à lui envoyer des fleurs.
Quelques nuits à espérer son retour à la maison après des soirées dont je ne sais rien.
Et puis, il y a 1 semaine maintenant , l’orage avait éclaté.. Tumultueux, rempli de cris, de pleurs , de reproches …
— Pour la millième fois, je suis désolé et je te demande pardon…
Ses yeux verts m’avaient fusillés…
— je ne te fais plus confiance..
— Comment me faire pardonner ?
— Fous le camp !!
Et j’avais pris mes affaires et la porte, la tête basse , le coeur en lambeaux..
Et puis je m’étais souvenu…
Il y a quelques temps, surfant sur des sites porno comme nous aimions le faire de temps en temps, nous étions tombé sur une photo d’un homme encagé.
Elle avait dit :
— Tiens ce doit être commode pour contrôler votre sexualité ….
J’avais franchi la porte d’un sexshop, et m’étais dirigé droit sur le présentoir des cages de chasteté.
J’en avais choisi une, payé sous le regard narquois de la caissière.
De retour dans la chambre miteuse de l’hôtel qui abritait ma nouvelle solitude , j’avais pris mon portable et avais filmé l’ouverture de la boîte, la mise en place de l’engin sur ma queue , la mise en plis des deux clés dans une enveloppe au nom de ma femme avec une lettre qui lui était adressée et qui donnait le lien sur lequel elle pourrait visionner le film.
Ce mot disait que je me repentais, bien sur, que je ne pouvais vivre sans elle, que je lui confiais mon coeur, mon corps et mon sexe.
Si elle ne voulait définitivement plus de moi, elle pourrait me retourner les clés et je ne l’embêterait plus. Si elle les gardait, elle ferait de moi ce qu’elle voudrait.
J’avais posté la lettre en recommandé ( imaginez vous qu’elle se perde..) et j’avais attendu…
Et ce samedi matin j’ai reçu un coup de fil de Florence. Le coeur battant , je n’ai pu que décrocher un timide » allo, oui ? » auquel il m’a été répondu : » dans une heure à la maison ! «
Jamais ordre ne m’a apporté tant de joie.
Samedi matin , 10 heures. Rasé de près, pomponné, douché, aspergé d’eau de toilette, un bouquet de roses à la main , je sonne à la porte de ma villa.
La tête basse, j’attends patiemment.
La porte s’ouvre sur ma femme le visage dur.
Je n’ai pas l’habitude de la voir comme ça, elle est nue sous un déshabillé presque transparent, ses cheveux sont défaits, ses joues sont rose comme quand elle revient de son footing matinal.
» Entre ! Tu vas directement à la cuisine ! Sur la table il y a mes conditions , les clés , un stylo.
Tu lis. Si tu es d’accord , tu signes et tu vas chercher tes affaires. Si tu ne l’es pas , tu prends les clés et tu disparais de ma vie. »
Et elle me tourne le dos pour s’enfermer dans la chambre.
Le coeur battant, je me précipite pour lire la lettre :
» Tu m’as fait beaucoup de peine et je ne peux te pardonner ta conduite.
Je veux quand même nous laisser une chance.
Si tu signes ce contrat , valable 6 mois , après nous réévaluerons la situation, tu deviens mon esclave , ma bonne, mon larbin, mon chien.
J’aurai tous les droits sur toi. Et je dis bien tous les droits.
Mon seul devoir envers toi sera de respecter ton intégrité physique.
A part ça, je ferai ce que bon me semble et je te ferai faire ce que j’ai envie.
Aux yeux de nos amis, de nos familles rien n’aura l’air d’avoir changé.
Quand nous serons tous les deux, j’exigerai un vouvoiement et que tu m’appelles Maîtresse.
Si , avant le délai des 6 mois, cette situation ne te convient plus, tu pourras t’en aller librement et notre couple aura vécu. »
Pendant cette lecture, je peux entendre distinctement des cris de plaisir venant de notre chambre.
Non, je ne peux pas y croire…
Elle aurait poussé le vice jusqu’à me tromper aujourd’hui ?
Sa tenue me pousserait à le croire ..
Ou alors ce n’est qu’une mise en scène ?
La jalousie me tenaille..
Et si j’allais jeter un oeil discret par la fenêtre?
Non, ce n’est vraiment pas une bonne idée..
Sans totalement mesurer ce que ça implique, je signe . De toute manière je l’aime, je n’ai pas à réfléchir, j’ai mérité ce qu’il va m’arriver.
Je connais Florence, je sais qu’elle peut être rancunière, imaginative , perverse..
La preuve…
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