« Tu viens ? »
La voiture de mon mari vient à peine de quitter le garage que Loïc m’envoie déjà son petit sms du matin.
Loïc est notre jeune voisin. Il a 21 ans et est étudiant en chimie à la fac de Bordeaux. L’été il reste dans le pavillon de ses parents, des gens charmants, qui passent les deux mois d’été dans leur petite maison sur le bassin d’Arcachon. Il en profite pour inviter ses copains et faire la fête autant qu’il peut.
« J’arrive »
Je m’habille légèrement, une petite robe d’été décolletée, des tropéziennes, pas de culotte bien sûr…il fait déjà tellement chaud !
Sa porte est ouverte, comme tous les matins. J’entre et découvre Loïc allongé sur le canapé du salon, uniquement vêtu d’une serviette de bain à la taille. Ce n’est pas un beau gosse comme on dit, mais il est charmant. J’aime son corps fin et musclé, ses longues jambes et ses yeux malicieux.
Mais ce que je préfère chez lui, c’est sa queue. Un magnifique membre, puissant et bien dessiné, avec un beau gland et des bourses pleines, que j’ai surnommé Rocco tant la ressemblance m’a frappée la première fois.
Il ne dit rien, fume tranquillement son petit joint du matin. Il me le tend. Je aspire trois quatre lattes presque sans reprendre ma respiration et lui rend. Mmmm… Je suis d’humeur joueuse ce matin.
J’ai déjà une folle envie de soulever sa serviette, mais je décide de le faire languir un peu et commence à prendre des poses suggestives debout devant le canapé, découvrant en partie mes seins, mes cuisses, mettant un doigt dans ma bouche pour le suçoter. Il ne manque plus que la musique de 9 semaines et demi, car je lui fait maintenant une vraie petite exhibition pendant de longues minutes, finissant à quatre pattes, la robe remontée, les cheveux détachés…le sexe en feu !
Toujours à quatre pattes, à la manière d’une panthère, je m’approche de lui. Il n’a pas bougé, est toujours confortablement affalé sur le canapé, mais sa serviette est devenue maintenant une vraie toile de tente, tendue à bloc par son membre que je libère avec admiration. J’ai décidé de prendre mon temps…tout mon temps…
Je pose mes mains sur ses cuisses, les caressant doucement, et entreprends de passer ma langue tout autour de son sexe, sans jamais le toucher . J’explore son torse, son ventre, ses adducteurs . Il bascule un peu en arrière en écartant les jambes, se laissant faire complètement. Et là je m’attarde sur cette partie que j’adore chez l’homme, ce no man’s land entre les couilles et l’anus, dont le parfum et la douceur m’enivrent, que je lèche avec gourmandise, le nez enfoui dans ses couilles fraichement rasées.
Je mouille déjà abondamment, et colle mon sexe sur le carrelage pour le rafraichir un peu au moment même où le bout ma langue entreprend de titiller son petit trou. Mon jeune voisin sursaute un peu puis écarte davantage les jambes pour me laisser le passage.
Je lui mange alors littéralement le cul, posant ma bouche comme une ventouse sur son petit oeillet, introduisant ma langue de plus en plus loin, l’arrondissant pour passer son sphincter et goûter ses muqueuses profondes, que je parcours avec gourmandise. Ma langue, comme un petit sexe, fait des va et vient réguliers dans son anus tout tendre, tout détendu, allant aussi loin que possible pendant que mon hôte gémit doucement.
Je me redresse. Sa queue est tendue à l’extrême. Du petit lait à déjà coulé abondamment de sa tige. J’adore, c’est presque encore meilleur que le sperme… J’en veux, j’ai soif… Je lape, je tête, mes lèvres montent et descendent sur ce membre généreux qui m’excite comme une petite folle…je me sens tellement a****le, buccale…je me caresse pour soulager la tension de mon clitoris gonflé, pose ma bouche sur son gland turgescent pour récupérer d’autres gouttes de son nectar, qui coule presque sans discontinuer, comme une petite fontaine.
Je jouis une première fois, en silence, son sexe en bouche, les deux mains sur ma vulve trempée. Mes mains sont libres. Je les pose sur sa queue et commence à le masturber lentement, allant et venant sur toute la longueur de sa tige, faisant tourner mes poignets, son gland toujours bien calé dans ma bouche. Il soupire, pose sa main sur mes cheveux pour enfoncer sa chair jusque dans ma gorge. Je l’accueille comme une pro, prend toute sa bite dans ma bouche jusqu’au palais, jusqu’à la garde. Je suffoque un peu mais j’aime ça, je me sens pleine et je salive de plus belle pendant qu’il me baise la gorge. Je le sens prêt à jouir mais il s’arrête subitement pour me redonner les commandes. Je ne demandais pas mieux. Je vais lui vider les couilles, comme une bonne voisine salope, qui pourrait être sa mère ou sa tante. Et je vais adorer ça !
Son sexe toujours en bouche, je reprends une masturbation plus énergique, serrant fort sa hampe de mes deux mains, remontant sa peau jusqu’au gland, titillant son méat qui suinte toujours, activant ma langue comme si je n’avais rien mangé et rien bu depuis deux jours. Je veux du foutre maintenant, je ne peux plus attendre. Il gémit plus fort, tends son abdomen, crispe ses abdos et se soulage enfin, par longs jets puissants dont les premiers coulent au fond de ma gorge, directement dans mon ventre, puis tapissent ma bouche, mon palais, recouvrent ma langue, il ne peut plus s’arrêter de jouir, j’ai la bouche pleine de jus, de son foutre chaud et épais, je mouille de partout, je suis heureuse.
J’enfile un doigt dans son petit trou encore humide et là, comme par magie, il jouit encore, une deuxième fois d’affilée, j’avale les premières gorgées et accueille ce nouveau sperme pour le garder en bouche longtemps, le déguster, le siroter.
Il se détend, s’affale à nouveau. J’ai toujours sa queue à peine ramollie et son sperme en bouche. J’ai envie de jouer avec son foutre, j’en dépose un peu sur son gland pour le ravaler en suivant et je recommence, folle de bonheur pendant de longs instants de succion, comme quand j’étais gamine avec les sucres d’orge que j’aimais tant faire tourner et aller et venir sur ma langue gourmande.
J’ai la bouche encore pleine de son foutre quand je recommence à me caresser et je jouis une deuxième fois au moment même ou je décide de déglutir, d’avaler le reste de sa copieuse jouissance, sentant la chaude semence passer ma gorge pour me remplir.
Je nettoie son sexe une dernière fois des ultimes traces de salive et de sperme mélangés.
Il dort.
Je rentre chez moi un peu étourdie, mais toujours humide . J’ai du temps. Je garde son goût en bouche et me mets devant l’ordi pour regarder du porno et me caresser encore.
Vivement ce soir que mon mari rentre et que je me colle à lui…
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