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Solène violée par tros loubards

Solène violée par tros loubards



Solène violée par trois loubards

Ce soir là, je me rendais dans une broîte située pas très loin de chez moi. J’avais décidée d’y aller à pied. Mes hauts talons
claquaient sur le bitume, et sous ma jupe je sentais la fraîcheur du soir.Sensation très agréable, avec en plus le frottement de mes jambes gainées de soie.

Je m’excitais toute seule, sans regarder autour de moi, quand tout à coup un homme se dressa devant moi. Une petite gueule de loubard, avec des yeux vicieux me fixait. Un peu affolée, je voulus m’enfuir, mais aussitôt je fus saisie par deux autres hommes.

– Où veux-tu aller ma jolie ? On te fait peur ?
Paniquée je ne disais rien.
– Tu sais que ce n’est pas très prudent de se promener toute seule le soir. Surtout quand on est un si joli petit lot.

– Nous allons t’emmener faire un petit tour.
– Ne me faites pas de mal, je ferai ce que vous voudrez.
– Bien ma choute ! t’es raisonnable, allez les gars embarquez là dans la voiture.

Une portière s’ouvrit, puis je fus poussée à l’intérieur d’un véhicule. Une fois assise, un des hommes me mit un bandeau sur
les yeux. J’étais assise au milieu, et je sentais les mains de mes ravisseurs caresser mon corps. Malgré ma peur je les laissais faire, après tout il valait mieux ne pas résister, plutôt que de me faire tabasser. Une main avait ouvert mon manteau, puis s’était emparée de
mes seins.

– Putain ! chef, elle a de super nibards !

– Vas-y, ouvre lui sa robe qu’on les voit bien

– C’est pas du toc.

Deux paires de mains me caressaient, pinçant mes tétons, étirant les pointes, jusqu’à la douleur, puis une bouche se mit à me
lécher. Le mâle suçait mes bouts délicieusement. Pour un loubard, il avait des manières raffinées. Tandis que mes seins se faisaient peloter et sucer, une autre main s’infiltrait sous ma jupe, arrivée à la lisière des bas, elle caressa ma peau nue. Je frémissais de plaisir, mélangé à la crainte de leur réaction, quand ils allaient découvrir mon sexe d’homme.

Ce qui devait arriver arriva, la main se posa sur ma culotte, je sentis des doigts me palper, puis d’un seul coup l’homme hurla.

– Vous n’allez pas me croire les copains, c’est un travelo !

– Les deux autres éclatèrent de rire.

– Arrête tes conneries Max, avec un châssis pareil ça ne peut pas être un mec.

– Eh ben regardez bande de tarés, c’est quoi ça ? dit-il en soulevant ma robe.

– Non de dieu ! T’as raison.

-Pour moi ça ne pose pas de problèmes, s’il veut jouer à la gonzesse, on va s’en servir comme d’une gonzesse. En plus il parait
qu’il n’y a pas meilleure suceuse qu’une trave. S’exclama mon voisin de droite.Joignant le geste à la parole, il crocha sa main dans mes cheveux et amena ma tête au niveau de son sexe. Il était déjà complètement sorti de sa braguette et bandait à mort. Je décidai de leur montrer mes talents de pipeuse, prête à tout pour ne pas subir de sévices.

– Ouvre ta bouche pouffiasse, que j’y mette ma grosse bite. A peine l’avais-je ouverte, que le mâle y fourra son sexe. L’odeur était
un peu forte, mais cela ne me rebutait pas. J’en avais sucé bien d’autres. L’homme m’appuyait sur la tête me forçant à suivre sa cadence. Je m’appliquais sur la verge, emplissant ma bouche de salive, pour la rendre aussi accueillante qu’une chatte.

– On voit que tu aimes ça ma salope, tu dois en bouffer des bites ?

La bouche complètement envahie par cette queue m’empêchait de répondre. De toutes façons l’homme ne voulait qu’une chose, se
faire reluire la bite. Après ma frayeur du début, je commençai à apprécier la situation. Surtout que le deuxième loubard pelotait toujours mes seins. Il les empoignait à pleines mains, puis me tirait les bouts. Ces deux mecs me rendaient folle.
Pompant toujours vaillamment la bite, je sentis la voiture ralentir, j’entendis un rideau métallique s’ouvrir, puis se fermer une vingtaine de secondes après.
La voiture s’était arrêtée. On me fit descendre et en même temps on m’enleva mon bandeau. J’étais dans une sorte de loft. D’un côté une petite partie servait de garage, tandis que le reste servait d’habitation.

– Madame est arrivée. Tu as de la chance, tu vas avoir trois bites pour te défoncer.

– Déloques-toi en vitesse que l’on voit ton cul de pouffe.

J’enlevai mon manteau, puis ma robe suivit. Je n’avais plus que mon porte jarretelles, mon string et mes chaussures à talons.

– Alors le spectacle vous plaît mes petits salauds ?

– Tu manques pas de culot pour une gonzesse me dit celui qui semblait être le chef.

– Comme de toutes façons je passerai à la casserole, j’aime mieux m’offrir à vous et profiter de vos bites.

– Eh ben au boulot petite pute.

Obéissante, je m’agenouillai devant le chef. Quelques secondes me suffirent pour ouvrir la braguette et sortir la queue du chef. Je dois dire que la bête était superbe. Il bandait déjà pas mal, et le gland était à moitié découvert. Je me mis à branler le sexe, une petite goutte
perla au bout. D’un coup de langue je la lapai, puis j’enfournai la bite dans ma bouche. Heureusement, dame nature m’a doté d’une grande bouche, car l’engin volumineux y rentra tout juste. Je pompai le nœud, m’amusant de temps en temps à l’absorber jusqu’à la racine. J’entendais en même temps les commentaires.

– Ça c’est une bouffeuse de bite, regardez les potes elle me bouffe toute la queue !

Ils pouvaient dire tout ce qu’ils voulaient l’essentiel pour moi était de sucer ce vit magnifique. Mes lèvres coulissaient le long de la colonne de chair, à chaque retrait le membre apparaissait couvert de ma salive. Le gland luisait, chaque fois que je lui pressai la tige une petite goutte perlait au bout. Un régal pour suceuse. Variant les plaisirs, je descendis lentement avec ma langue le long de la tige, puis léchai les testicules, avant de les avaler une à une.

– Continue connasse broute moi bien les couilles, profites en, car je suis sûr que tu dois rarement en bouffer d’aussi grosses.

Les deux autres compères s’étaient rapprochés, la queue à la main. Je ne pouvais pas les laisser dans cet état. Pompant à nouveau
l’engin, j’attrapais les deux mâles par la queue, et les masturbai. Je crois que beaucoup de mes copines auraient bien voulu être à ma place. Trois queues à sucer, un vrai paradis. Tour à tour je les suçai tous les trois. Ils ne disaient plus un mot, se contentant de m’offrir leur sexe. La scène dura un bon quart d’heure, avant que le chef décide de varier un peu les plaisirs.

– On va voir si cette pouffiasse est aussi bonne du cul que de la bouche.
– Mets-toi à quatre pattes que je t’enfile ton fion de pétasse.

-Vas-y chef défonce lui le cul. Ramone lui le derche.

Je me mis en position, écartant bien mes genoux et creusant mes reins. En même temps j’écartai mes cuisses en poussant un peu. Je me regardai souvent dans la glace, et j’avais remarqué que dans cette posture ma rondelle s’ouvrait faisant apparaître un joli petit trou bien rond.

– Elle a vraiment un cul de gonzesse, dit-il, avant de cracher sur ma rondelle et d’enfoncer un doigt dans mon anus.

A peine lubrifiée, je sentis le gland épais buter sur ma rondelle, les deux mains crochant mes hanches, il poussa vigoureusement
son dard en avant. Sous l’assaut mes reins s’ouvrirent avalant la tige noueuse. Il s’enfonça complètement, jusqu’à ce que ses testicules viennent frapper mes fesses. Malgré moi je n’avais pas pu m’empêcher de crier, mon petit cul bien rodé, avait eu un peu de mal à absorber l’énorme pine. Heureusement la douleur s’estompa rapidement. Le mâle me besognait avec la régularité d’un métronome,
martyrisant mes chairs intimes, faisant fi de mes cris.

– Qu’est-ce qu’elle prend dans le cul, un vrai garage à bites cette trav!

– C’est sûr qu’elle est bonne, le cul un peu serré, mais c’est encore meilleur. De toutes façons quand elle aura pris nos trois
queues dans le cul, elle aura le trouffion aussi accueillant qu’une chatte.

Pendant ce temps les deux autres loubards se faisaient sucer le poireau à tour de rôle. Ramonée de chaque côté, j’étais vraiment à la fête. Rapprochant les deux bites, je réussis à les sucer ensemble, pour le plus grand plaisir des deux voyous qui n’en revenaient pas.

– Putain de mes burnes, une véritable avaleuse de sabre, je continuai quelques instants, mais les coups de bite de mon enculeur étaient devenus de plus en plus violents, si bien qu’ils me propulsaient sur ses deux compères, qui m’empalaient la gorge avec leur bites. Suffocant à moitié, je les recrachai, puis me mis à lécher simultanément les deux hampes dégoulinantes de salive. Derrière moi, je sentais que mon enculage se terminait, le chef s’était mis à râler de plaisir.

– Ça y’est, putain de mes deux ! j’ai les burnes qui explosent. Tiens prends ça pouffiasse, putain que c’est bon de se vider les
burnes.

– Vas-y chef, remplis lui son sale cul de pétasse, elle ne l’a pas volé.

A peine joui, il se retira, puis me présenta sa bite souillée.

– Un petit coup de ménage ma poule, j’aime bien avoir le chibre propre après avoir tiré un coup.

Ce genre de chose n’étant pas pour me déplaire, je fourbissais sa queue à grands coups de langue, récoltant encore quelques petites gouttes de foutre.

Derrière moi un autre glissa sa queue dans ma raie, et d’un coup de reins m’encula. Mon cul bien dilaté par le précédent occupant se fit mettre sans douleur. Quel pied, mes chéries d’être pinée aussi sauvagement. Je n’avais plus que deux mecs qui me baisaient, le chef, son affaire faite s’était avachi sur un canapé, tout en sirotant une bière. Malheureusement, mon enculeur devait être abonné au club
des éjaculateurs précoces, car il se mit à jouir bruyamment au bout de quelques minutes. Il se vida longuement par saccades, m’emplissant le cul de jus tiède, puis retirant sa bite termina son éjaculation sur mes fesses. Sans doute excité par la vue de son copain jouissant sur mon cul de chienne, celui que je suçai, m’empoigna les cheveux et se mit à baiser ma bouche à toute allure. J’avais l’impression qu’une immense bite traversait tout mon corps, prise à fond par les deux bouts.

Un jet de sperme m’inonda la gorge suivit de plusieurs autres qui m’inondèrent le visage. L’émission de foutre était tellement abondante que j’eus un mal fou à déglutir. Péniblement j’avalai une partie de ce jus délicieux, en même temps je sentais le jus couler sur mon visage. Un dernier spasme du mâle me rinça encore la glotte. La bouche pleine je pompai toujours la queue gluante, un vrai régal pour une salope. Pendant ce temps mon enculeur, malgré sa jouissance, continuai à me pistonner, excitée par tout ce foutre et
les délicieux sévices subis, je me branlai furieusement, puis à mon tour je déchargeai violemment. Mon enculeur se dégagea, puis me retournant j’avalai sa queue pour un petit nettoyage bien mérité. Une fois terminé, à ma grande surprise l’homme m’attira à lui et me roula un superbe patin.

Les trois loubards , rassasiés de sexe s’étaient affalés dans le canapé et sirotaient des bières en rotant bruyamment, tout en faisant
des commentaires sur la baise qu’ils venaient de s’offrir.

Quand a moi j’essayais tant bien que mal de réparer les dégâts. Ma provision de kleenex ne suffisait pas à nettoyer le foutre dont
j’étais couverte. De longues traînées de foutre maculaient mes cuisses, quand à mon visage, il était tout poisseux de jus.

Prenant pitié de mon état, le chef m’indiqua le fond du garage.

– Si tu veux, tu peux aller te laver le cul, il y a une douche dans le coin de la pièce.

Salope jusqu’au bout, je me dirigeai vers la bouche en tortillant du cul.

– C’est vraiment une chaude du cul cette pouffiasse ! s’exclama un des trois.

– Avec ce qu’on lui a mis dans le cul çà devrait la calmer un moment.

Pendant ce temps je m’étais déshabillée, et me rinçais sous le jet. Une fois propre, je me séchais, puis remis mes vêtements.

Une fois prête, le chef s’approcha et me dit :

– Comme tu as été une bonne baiseuse bien docile, Miguel va te raccompagner jusqu’à chez toi. Les rues ne sont pas toujours sures, et tu pourrais faire de mauvaises rencontres.

Sa remarque ne manquait pas de sel, après le traitement que je venais de subir. Je montais dans la voiture, après avoir
embrassé les deux autres, et nous quittâmes le loft.

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