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Karine et Eric jouent. Karine en profite…

Karine et Eric jouent. Karine en profite…



voici une excellente histoire que j’ai trouvée sur

Il y avait déjà une semaine de passé depuis mon initiation ou devrais-je dire notre initiation, Karine prenait son rôle de Maîtresse très au sérieux, les preuves d’amour ne manquaient pas mais celles que j’étais devenu son petit esclave amoureux non plus. Elle ne touchait désormais pratiquement plus aux tâches ménagères, sauf peut-être pour les repas, question de ne pas tomber malade. Je porte maintenant des bas nylons presque tous les jours, nous avons acheté ma propre garde-robe, des collants, des portes jarretelles et aussi de biens jolies petites culottes très féminines, j’adore porter cette lingerie, je me sens plus fragile ainsi vêtu, plus beau, plus soumis. Karine adore me voir faire le ménage vêtu ainsi, et moi aussi je dois dire, malgré la honte que je ressens.

Mardi matin, je sors dehors pour prendre le courrier dans la boite postale, je regarde les quelques « factures » qui s’y trouveront éternellement, mais une enveloppe se démarque des autres, elle est d’un rose foncé, « qu’est ce que c’est que ça » ? Sur l’enveloppe on peut lire « A l’attention d’Éric », je retourne à la maison afin de l’ouvrir, Karine attend dans le cadrage de la porte.

– Alors Éric, quelque chose d’intéressant ?

– Non, rien Maîtresse de mon coeur, seulement une lettre pour moi.

– Apporte-la-moi !

– Mais c’est une lettre à mon nom.

– Et alors, tu vois un problème à ce que je l’ouvre, tu as des choses à me cacher ?

– Hé, non Maîtresse ! .

– Alors apporte-la-moi toute suite !

– Bien Maîtresse !

Karine et moi sommes retournés à l’intérieur, Karine pris un fauteuil dans le salon et moi je pris place par terre à ses pieds (endroit que j’adore particulièrement). Karine ouvrit donc l’enveloppe.

– Puis-je savoir de quoi il s’agit Maîtresse ?

– Mais bien sur petit impatient, elle est de Sarah, tu sais cette nouvelle secrétaire au bureau, elle demande si tu ne pourrais pas lui donner une petite formation sur les ordinateurs.

– Oh! J’appelle toute suite au bureau alors.

– Non Éric, tu vas lui téléphoner et gentiment l’inviter ici pour lui donner la formation.

– Mais Karine…

– Pardon, j’ai sûrement mal entendu!

– A vos ordres Maîtresse.

Pourquoi m’avait elle demandée d’inviter Sarah ici ? Je n’en connaissais malheureusement pas la réponse, mais je décidai quand même d’obéir et téléphonai au bureau. Ce qui me surprit c’est que Sarah parut contente à l’idée de suivre sa formation à mon domicile, il faut dire que j’avais du user de bons arguments pour faire valoir la raison de ce changement de procédure. Le soir venu, Karine avait exigé que je porte une paire de petite culotte rose bonbon en satin sous mon jeans, très humiliant vous me direz, mais j’aimais bien le sentiment de honte que cela me procurait. Et de plus, seuls moi et Karine savions ce léger détail. Karine, elle, avait revêtu une tenue très chic mais tout de même sexy, elle consistait en une jupe très courte, des talons ainsi que d’élégants bas nylon noir, et un chemisier blanc sans soutien-gorge, même si le chemisier était légèrement transparent, j’étais certain qu’elle avait fait ça pour me plaire.

Vint l’heure de l’arrivée de Sarah, je me rendis dans l’entrée de la maison pour l’accueillir, elle était magnifique, elle portait un tailleur bien ajusté rouge qui s’harmonisait fort bien avec ses longs cheveux nnois et bouclés, un nylon blanc caressait toute la longueur de ses jambes et pour finir de jolis escarpins noirs.

– Bonsoir Sarah, je vous en prie entrez.

– Merci, Éric.

– Alors Sara votre ordinateur vous fait des misères ?

– Non il va très bien, mais j’aimerais apprendre à mieux m’en servir.

– Bonjour Sarah, je suis heureuse de faire votre connaissance, je m’appelle Karine et je suis la compagne d’Éric.

Karine était intervenue rapidement, tellement que j’en avais presque sursauté, Sarah, surprise, regardait Karine d’un sourire presque forcé, mais Karine eut tôt fait de lui redonner sa sincérité avec un de ses agréables sourires comme seule Karine sait les faire.

– Et si nous allions prendre un verre au salon avant que vous ne commenciez Sarah ?

– C’est une très bonne idée Karine, j’avoue que j’ai eu une dure journée au bureau cela me fera le plus grand bien.

Nous nous sommes rendus au salon, je me suis assis sur le divan aux côtés de Karine. Sarah était face à nous. Avant même que je ne puis dire le moindre mot, Karine entreprit de mener la conversation.

– Puis-je vous dire que vous êtes très belle ce soir Sarah.

– Oh, merci beaucoup Karine, mais tu sais que tu n’as rien à envier à personne.

– Merci beaucoup. Tu es gentille, nous essayons chacune à notre façon de nous mettre en valeur n’est ce pas ?

– Oui c’est bien vrai.

Mais qu’est ce que je faisais là moi, une parure, un meuble, c’est comme si je n’étais pas là. Ces deux femmes se regardaient maintenant de plus en plus, avec un regard des plus complice.

– Vous savez Sarah, Éric m’a raconté au sujet de vos jolies jambes.

– Ah oui ?

– Oui il m’a dit à quel point il les avait regardées et comment il les avait aimées.

– C’est vrai qu’elles avaient l’air de le troubler.

– Pour ça oui, elles ont éveillé en lui un sentiment nouveau.

– Mais Karine qu’est ce que tu lui racontes là ? intervins-je.

– Seulement la vérité Éric, tu m’as dit comment elles t’avaient fait bander ! Tu ne te rappelles pas ?

– Heu…mais…ben, oui mais franchement ce n’est pas des choses à dire.

– Tais-toi ! Je dirai bien ce que j’ai envie.

– Mais Karine…

– Pardon ?

– Je ne peux pas faire ça Karine. Pas devant… fit-je gêné, voyant où elle voulait en venir!

– Non seulement tu vas le faire mais tu vas le faire à genou devant moi et demander pardon pour cet écart de conduite en présence d’une Dame.

– Mais Maîtresse.

– Suffit, tu joues ou tu ne joues plus ? Allez à genoux! Tout de suite!

Je ne pouvais plus reculer, la seule chose qui me restait à faire était d’obéir sous peine de ne plus jamais me soumettre, mais qu’allait penser Sarah de ce choquant spectacle, elle allait sûrement nous dénoncer au premier hôpital psychiatrique qu’elle trouverait sur sa route.
Mais moi, je n’avais pas le choix je devais m’exécuter ! Je me mis donc a genoux devant ma Maîtresse pour lui prier de m’excuser de m’être comporté de la sorte devant Sarah .

– Non Éric, tu dois dire Dame Sara…

– Oui Maîtresse… Devant Dame Sara!

La situation prit une toute autre allure auquel je ne m’attendais pas du tout, derrière moi Sarah s’était levée, elle se tenait debout. Je sentais sa présence tout près de moi. Elle fit alors un geste inattendu: elle caressa mes cheveux!

– C’est un mari bien dressé que tu as la Karine, un peu vilaine mais on voit toute suite qu’il veut s’en repentir.

– Merci Sarah, il est vrai qu’il débute son dressage, mais il s’efforce de bien me servir!

– Alors Éric, n’est ce pas que tu es une vilaine fille ? fit Sarah

– Oui, Maîtresse je suis vilaine.

– Tourne toi et demande mieux pardon à la Dame. Lacha encore Karine, amusée.

Faire de nouveau face à Sarah allait être pour moi une épreuve terrible, je sentais, je savais maintenant instinctivement que la domination n’était pas pour elle une chose inconnue. Donc péniblement je me suis retourné pour lui faire face, complètement humilié les joues en feu, j’arborais un air plutôt abattu. Je regardais ses souliers, ils me faisaient envie, ses jambes si parfaites étaient pour une véritable torture, je bandais à en avoir mal.

– Veuillez je vous prie bien vouloir pardonner mes écarts de conduite Dame Sara, je verrai à ne plus commettre ce genre d’erreur en votre présence.

– Quand je t’ai vu pour la première fois à mes pieds sous mon bureau j’ai toute suite vue que tu étais une petite salope, mais à ce point la jamais je ne l’aurais jamais imaginé!

– Tu vas te déshabiller maintenant Éric et garder seulement ta culotte, je veux que tu montres à Sarah comment elle est jolie.

– Je suis impatiente de voir ça Karine, il doit être très mignonne là dedans.

J’allais perdre ce qui me restait d’orgueil, me montrer à Sarah dans ce petit sous-vêtement rose allait être la fin de ce qui me restait de virilité. Sous le regard sévère de Karine j’enlevai mes vêtements, rapidement je regardai vers Sarah pour m’apercevoir qu’elle arborait un sourire rempli de malices. Voilà je me tenais debout, la tête basse et je ne portais maintenant plus que cette petite chose, ma queue sortait fièrement du rebord, comme prête à quelque chose qu’elle n’aurait pas. Karine se releva et vain ce placer aux côtés de Sarah pour admirer le spectacle dont j’étais l’acteur principal.

– Alors qu’en penses-tu Sara, il te plaît mon petit soumis ?

– Il est superbe, sa queue fait un intéressant contraste avec le rose de la culotte.

C’est alors que Sarah s’approcha de Karine et la prit par la taille, elle se pressa contre elle et la regardait dans les yeux. J’ai de la difficulté à vous d’écrire cette image et à quel point je pouvais la trouver belle et affreuse à la fois, elles étaient si parfaites, d’une sensualité infinie, je les regardais ébahi comme on regarde des déesses. Karine regardait Sarah profondément dans les yeux, on aurait dit qu’elle avait volontairement ou involontairement oublié ma présence. Sarah approcha sa bouche de celle de Karine et commença un lent baiser, elle avait l’air de lui dévorer les lèvres, je savais comment les lèvres de Karine étaient bonnes, mais pour la première fois depuis que je la connaissais, elle embrassait quelqu’un d’autre que moi, et en ma présence! Je ne savais pas ma compagne bisexuelle, mais je ne pouvais le nier, elle adorait ce que Sarah était en train de lui faire.

Je pensais que cette scène hautement érotique allait vite finir pour revenir à moi, mais non elle se poursuivait, Sarah défaisait lentement la jupe de Karine et celle-ci entreprit de faire la même chose, presque parfaitement synchronisé les jupes frappèrent le sol, encore une fois la chaleur me monta au visage quand je vis leur féminité dévoilée à mes yeux, elles portaient toutes deux un porte-jarretelles assorti à leur bas. Mais une différence frappait pourtant entre elles et moi, ce que je portais moi, elles, n’en portait pas, je pouvais voir leurs culs parfaitement arrondis, lice comme une boule de cristal, à la différence près que Sarah avait la peau beaucoup moins pâle que celle de Karine. Ce qu’elles pouvaient être magnifiques ces deux femmes à s’enlacer de la sorte, mais vint le moment que j’appréhendais, elles finirent par se tourner dans ma direction, si j’avais pu, je me serais caché sous le tapis, sans dire un seul mot elles me regardaient, je pouvais voir leur pubis parfaitement lice, libre de toute pilosité, comme si elles avaient voulu ajouter à leur perfection déjà complète.

– Alors Éric, comment ça fait de voir sa jolie femme embrasser une autre femme avec autant de passion ?

J’aurais voulu parler mais aucun son ne sortait de ma bouche.

– Tu sais Karine, tu ressembles à une amazone, tu ferais mourir de désir n’importe quel homme ou femme.

– Merci, mais toi tu es si douce, un plaisir dont je ne soupçonnais pas encore l’existence.

– Et toi Éric, fit Sarah, à genoux et embrasse mes pieds, que ta Maîtresse puisse constater à quel point tu as aimé le spectacle que nous t’avons offert.

– Oui, Dame Sara!

Je me mis à genou sans attendre mon reste et embrassai le haut du pied droit de Sara, je sentais ma queue gonfler de plaisir et Sarah eut vite fait de s’en rendre compte!

– Mais il bande, tu as vu Karine comme c’est une Salope, je me demande si c’est de te voir embrasser une femme ou est-ce seulement d’embrasser mon pied qui le met dans cet état ?

– Répond Éric, qu’est-ce qui te faire durcir, c’est moi ou le pied ?

– Heu… Maîtresse, c’est… vous bien sûr (avec un ton légèrement hésitant).

– Comme tu as envie de me mentir, parce que je sais que tu me mens, nous allons te bander les yeux !

– Mais Maîtresse je vous assure que je dis la vérité…

– Ferme-la !

J’allais connaître une sensation nouvelle, après avoir passé un foulard de soie sur mes yeux, on m’amena dans la cuisine (je le sais parce que je pouvais sentir le carrelage froid sous mes pieds), j’entendis alors un tiroir s’ouvrir.
– Tends tes poignets serrés devant toi!
On allait m’attacher les poignets avec de la ficelle de cuisine, ensuite on me fit coucher par terre, sur le dos. Je pouvais à peine voir la lueur de l’éclairage transpercer à travers la soie du foulard, j’avais les mains sur mon ventre et bien sur, la ridicule petite culotte rose qui cachait à peine mon intimité.

Je ne savais maintenant plus à quoi m’attendre, qu’est-ce qui allait m’arriver, j’entendais les talons cogner contre le sol, j’avais peur. Je bandais cependant comme un fou. L’appréhension peut parfois devenir la pire des tortures et au point où j’en étais, elle se faisait de plus en plus forte et intense. Sans trop savoir ce qui se passait, je pouvais sentir qu’une de mes Dominatrices m’avait enjambée, elle s’assoyait sur mon visage, je savais que c’était Sara, les fluides intimes d’une femme ne trompent pas. Elle sentait tout de même très bonne la chatte de Sara, mais elle écrasait de plus en plus fort sa moule sur mon visage, ma bouche autant que mon nez, je commençais à avoir de la difficulté à respirer, elle bougeait à peine pour me laisser un peu d’air.

– Je t’interdis de me lécher sale garce, si je sens le moindrement ta langue me toucher je vais dans la chambre avec Karine et nous te laissons tout seul ici.

C’est alors que je sentis Karine placer ses pieds de chaque côté de mon bassin, mais cette fois aucun contact, elle devait être debout et ne regardait sûrement pas Sara vu l’orientation de ses talons.

– Tu sais ce que je vais faire maintenant Éric, je sais, tu ne peux pas répondre, je vais montrer à ta jolie petite femme ce que c’est d’être bien léché, tu sais en ce moment je peux voir son joli cul et presque complètement sa fente, elle mouille, je crois qu’elle a très envie de se faire prendre, malheureusement tu n’auras cette chance.

Le son qui s’en suivi ne trompait pas, elle était en train de faire minette à Karine et à entendre ses gémissements, cela ne lui déplaisait pas du tout. J’avais si honte, j’aurais voulu user de ma force physique pour me lever et prendre ce qui était à moi, mais j’en était incapable, comme hypnotisé par les effluves sexuelles de Sarah et cloué au sol par sa pesante intimité.

– Tu entends Éric, elle adore ça, je pense qu’après ça elle pourra facilement se passer de toi.

– Alors il sent bon mon cul, tu aimes qu’il t’empêche de respirer comme ça, je le vois très bien, ironisait-elle , en tout cas le cul de Karine est exquis.

Puis elle se remit à la lécher, il semblait que Karine était sur le point de jouir, son souffle était court et elle gémissait de plus en plus. Soudain, elle lâcha des râles de plaisir qui en disaient long sur ce qu’elle ressentait. Après sa jouissance je pensais que ce jeu pervers prendrait fin, mais je me trompais!

– Allez, il est temps Karine, fais ce que je t’ai dit dans le salon, ne t’inquiète pas, je suis certaine qu’il va adorer!

De quoi voulait-elle bien parler ? Un pénible silence envahi la pièce. Soudain je sentis qu’on versait sur ma queue un chaud liquide et on en versait beaucoup, je sentais la culotte se mouiller, qu’est-ce que ça pouvait bien être, la seule chose que j’entendis quand on eut fini était le rire de Karine et de Sara qui ne faisait qu’ajouter à ma peur une intensité déjà trop forte…

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