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Les petits petons virtuose

Les petits petons virtuose



C’était un agréable après-midi de printemps, au mois où les jardins s’éveillent de fleurs parfumées. Mais ce bouillonnement de vie est bien moins puissant que l’épanouissement des grâces féminines en cette saison romantique où les désirs aussi reverdissent en force. Je m’étais assis sur un banc pour écouter le chant des oiseaux appelant leurs oiselles, et aussi regarder passer les belles aux jupes raccourcies par le soleil pour une fois généreux.
Justement, une jeune femme en venue s’assoir près de moi, grande, brune, élégante et maquillée avec soin. Elle m’a souri, et je lui ai rendu aussitôt son sourire, dans sa version la plus romantique. Elle m’a demandé l’heure, et je dois avouer avoir honteusement menti en retranchant un quart d’heure, histoire qu’elle ne se lève pas précipitamment pour att****r son train juste à temps, car la gare se trouvait juste en face et elle était munie d’une grande valise dont le gros cadenas doré attirait le regard. Juste sous mes yeux ravis, elle a ôté ses chaussures et posé ses ravissants petits pieds par-dessus son bagage, histoire de reposer ses jambes des lourdeurs du voyage. Voici pour l’entrée en matière. S’en suit un aimable bavardage centré autour de la météo, dont la transcription serait d’un faible intérêt pour les amateurs éclairés d’érotisme que nous sommes.
Sans plus attendre afin de ne pas risquer de la perdre bêtement, j’ai déposé délicatement, mais résolument, ma main sur sa cuisse, dans le but de lui signifier clairement que son corps m’intéressait au plus haut point et que ce qui se trouvait sous le tissu de sa longue robe noire était pour moi le Graal du moment, sans lequel ma journée aurait été un jour perdu.
Elle a posé se jolis petits doigts sur le dos de ma main, non pour la retirer, mais pour me sourire. Puis elle m’a demandé :

— Vous voulez bien me masser les pieds ? J’ai tellement marché aujourd’hui qu’ils en sont douloureux !
— Bien-sûr !

Cependant, sous sa robe, elle portait des bas, sombres également et dont le maillage moirait magnifiquement sous le soleil. Quoiqu’elle ne me semblât pas spécialement pudique, je me voyais mal lui retirer ce vêtement devant la foule. Je lui ai donc massé les petons à travers le nylon, et ses pieds, qui transpiraient beaucoup, sentaient merveilleusement la femme dans toute sa splendeur charnelle, avec des fragrances épicées qui s’évaporaient, montaient vers mes narines et m’emplissaient de joie, de sorte que mon sexe commençait à se sentir sérieusement à l’étroit dans mon pantalon. Bien-sûr, elle se rendait compte de mon trouble, et le me laissait agir à mon aise, calme, silencieuse et souriante. Puis elle m’a proposé :

— Si vous voulez, je peux vous branler avec mes pieds. Je sais faire cela très bien, vous savez.
— Ici ? Sous les yeux des gens ?
— Oui, ne vous inquiétez pas : le gardien est absent aujourd’hui, c’est son jour de congés. Vous avez peur que les gens voient votre bel organe tout excité et tout dur ?
— Pas du tout. Mais je suppose que vous voulez de l’argent, pour ça ?

Là, elle s’est fâchée. Je crois que je n’aurais pas dû dire cela.

— Que croyez-vous, je ne suis pas une prostituée ! Je fais ça pour le plaisir, tous jours, ou presque. J’adore jouer avec mes pieds sur le sexe des hommes. Je vais prendre mon train tout-à-l ’heure, et c’est mon passe-temps favori. Ce que j’aime bien, pour voyager, c’est d’avoir du sperme bien chaud plein les chaussures, en le renouvelant à chaque gare. Si vous le voulez bien, nous allons les remplir de votre semence, plutôt que répandre par terre la liqueur de votre virilité.
— Bien-sûr.

Incroyable ! Elle a réalisé le fantasme qui me poursuit depuis mon adolescence en abaissant elle-même la braguette de mon jeans, puis s’est habilement servi de ses orteils pour extraire mon pénis du slip sur le point d’exploser. Les gens qui passaient nous regardaient en coin : ils n’osaient pas s’arrêter, mais ce que nous faisions en excitait plus d’un. Mon naturel pudique en a pris un coup. Puis, je me suis dit que je devais être en train de rêver, alors, autant pousser le rêve au maximum : j’ai fait signe à un groupe de femmes qui n’osaient pas s’approchaient et qui riaient sous cape, afin qu’elles viennent voir de plus près.
Parmi elles, je me suis rendu compte que l’une était ma petite sœur Coralie, qui avait dix-huit ans – j’en ai deux de plus qu’elle. Les deux autres étaient ses amies de lycée, et j’ai constaté qu’elles sortaient d’un sex-shop où leurs emplettes ont consisté en de coquins jouets intimes, canards vibrants, aspirateurs à clitoris ou bien phallus électriques ; elles ne s’en cachaient pas et m’ont montré leurs acquisitions qu’elles avaient hâte d’essayer. Pendant ce temps, ma tendre inconnue me masturbait avec force et agilité, emprisonnant mon gland entre ses dix orteils gantés de nylon, tout en s’abstenant d’utiliser ses doigts.
Les sensations étaient fabuleuses ; cependant, je ne parvenais pas à atteindre le sommet de ma joie alors que les minutes passaient et je craignais que ma belle inconnue soit obligée de me laisser sans que nous ayons conclu.
C’est alors que Coralie s’est mise à genoux devant moi afin de me chatouiller les bourses.

— Quand, du temps où nous étions à la maison, je t’ai observé en secret en train de te branler, cachée dans le placard, m’a-t-elle dit, j’ai toujours rêvé de te faire ça, mais je n’ai pas osé. Je me caressais aussi, et souvent j’ai joui en fantasmant sur toi.
— Tu aurais dû me demander. Quel temps nous avons perdu à nous cacher !

Son amie Dounia, une Africaine robuste et absolument charmante, s’est mise à l’accompagner, et Aï aussi, une superbe vietnamienne dont le corsage moulant révélait d’arrogants petits seins à se damner pour l’éternité afin d’avoir le droit de les peloter cinq minutes.
Lorsque j’ai senti que j’étais sur le point de venir, j’ai mis une chaussure de la belle brune au prénom inconnu sous ma source de nectar et, tout de suite après, je me suis répandu en plusieurs longs jets dont l’abondance a étonné les quatre demoiselles. J’ai même pu substituer la chaussure droite par la gauche, afin de remplir équitablement les deux gaines podales. Il y avait également de la substance blanche qui maculait les bas noirs, en dessinant des motifs abstraits digne des plus grands calligraphes orientaux, ce qui plaisait tellement à ma compagne du banc qu’elle a pris des photos avec son téléphone.
La dame aux jolis petons emballés m’a demandé de suçoter mon propre jus sur le nylon mouillé. Etonnamment, mon foutre ne m’a pas dégoûté : c’était parce il se mêlait avec les parfums délicieux de deux pieds féminins, et aussi parce que j’étais troublé de m’exposer ainsi sous le regard de filles, alors que mon pénis demeurait à l’air libre, accessible aux regards.
Devant l’expression de mon visage qui exprimait à quel point j’étais aux anges, Coralie et ses amies riaient ensemble. Je ne débandais qu’à peine, sous l’effet de l’excitation sexuelle des grands jours. Après avoir remis ses chaussures humides, ma belle inconnue a pris congé, afin de ne pas rater son train. Mon cœur s’est resserré de ce départ précipité, car j’aurais aimé la revoir ; or je ne connaissais même pas son prénom.
Ma douce Coralie m’a proposé de me tripoter également les organes virils avec ses jolis pieds. Mais pour cela, sa condition était que je me mette entièrement nu, quitte à affronter le regard des passantes et des passants durant ce moment impudique. Fou de désir, j’ai accepté, bien-sûr.
Dounia et Aï se sont joints à elles pour un concert de petons absolument ravissant. Elles s’étaient assises sur ce fameux banc, tandis que je restais debout. C’était après avoir abandonné la totalité de mes vêtements que j’ai jetés en vrac sur l’herbe ; des filles espiègles, peut-être quelques hamadryades issues des frênes du parc, se sont amusées à me voler mes oripeaux pour les emporter au loin. J’étais condamné à demeurer dans même la tenue d’Adam que les statues de pierre, sur leur piédestal. Ce n’était pas plus mal : je n’avais pas froid, et les passantes semblaient fort apprécier ce tableau printanier.
Coralie et Dounia malaxaient vigoureusement mon costume trois pièces de leurs vingt orteils agités. Ma sœur avait les pieds nus tandis que l’Africaine, frileuse, avait gardé ses fines socquettes blanches au travers desquels s’agitaient ses appendices podaux. Il manquait de la place pour dix doigts de pieds charmants de plus : Aï s’est levée, est passée derrière moi et, par surprise, a coquinement inséré un index lubrifié de salive dans mon orifice anal, jusqu’à la garde, dans le but avoué de masser ma prostate. J’ai sursauté sous ce geste imprévu.

— Tu n’aimes pas, m’a-t-elle demandé ?
— Oh, si ! Continue !

J’ai écarté mes fesses à deux mains pour la laisser fourrager à son aise. Elle a poursuivi un moment son massage interne, puis a substitué son doigt par deux boules de Geisha vibrantes électriquement, deux coquins suppositoires qu’elle a enfoncées l’un après l’autre avec douceur.
Le fait de triturer mon sceptre avec ses pieds n’empêchait pas Coralie de se masturber en même temps, à travers son pantalon, avec le vibromasseur qu’elle venait d’acheter. Son beau visage se transformait à mesure que la volupté montait en elle. Elle s’en mordait la lèvre inférieure. Je l’ai vue se cambrer en jouissant, la bouche grande ouverte, et c’était là un spectacle si plaisant que j’ai éjaculé en croyant crever tellement le plaisir était puissant.
Dounia se caressait également, mais à l’aide de ses seules mains. Elle avait relevé sa jupe plissée et repoussé sa culotte blanche jusqu’à ses genoux, me montrant son beau sexe couleur de nuit, glabre, humide d’une rosée qui suintait jusqu’à former une petite flaque sur le banc. Je me suis mis à genoux pour lui offrir un cunnilinctus. En jouissant, elle a rugi de joie comme une lionne. Pendant ce temps, Coralie et Aï tripotaient mon trou du cul et cela les amusait beaucoup. Ma petite sœur y a même fait entrer son gros orteil droit, puis le gauche.

— Et maintenant, m’a demandé Coralie, tu vas faire comment pour rentrer, tout nu ? Tu vas prendre le tram ?
— Ne vous inquiétez pas, a dit la policière qui est arrivée sans bruit, de sorte que, tout à notre partouze en plein air, nous ne l’avions pas remarquée. Nous allons l’embarquer en garde à vue pour exhibitionnisme. Sa tenue, des plus minimales, facilitera la fouille d’une certaine cavité intime… Allez, mon gars, on t’embarque ! N’essaie pas de résister !

Les deux femmes flics m’ont empoigné avec une fermeté qui ne correspondait pas vraiment à mon idéal de douceur féminine, et la première m’a menotté dans le dos. Les boules de Geisha vibraient toujours, ce qui expliquait que j’avais la verge solidement levée malgré mes deux éjaculations. Une fois dans le fourgon, l’une a revêtu un gode-ceinture et, sans ménagement ni dire un seul mot, m’a sodomisé bien profondément. C’était après avoir retiré les boules vibrantes qu’elle avait repérées au bruit. Confisquées.
Réciproquement, l’autre a baissé son pantalon règlementaire et m’a invité à la pénétrer par le trou anal. La raison principale de ce choix était que l’autre accès était empêché par les menstruations. C’était là une sollicitation des forces de l’ordre qui ne se refuse pas, d’autant que les deux gardiennent de la paix ne manquaient ni d’armes, ni de charmes : c’était un bonheur que d’enculer une hirondelle tout en étant soi-même transpercé du derrière par une autre cogne du genre féminin, même – et surtout – les poignets attachés au niveau des reins, afin de prévenir toute rébellion. Elles se sont même fendues de m’offrir, pour l’occasion, une capote, grand format s’-il-vous-plaît, qu’elles ont déroulée elles-mêmes. La policière qui conduisait le fourgon regardait la scène dans son rétroviseur ; heureusement, nous n’avons pas eu d’accident.
Après ce petit préliminaire à ma garde à vue, c’est dans le plus simple appareil que j’ai traversé le parking, puis le hall du commissariat accompagné de mes deux fières policières, ravies d’avoir à présenter à leurs collègues un homme à fois nu et bandant, afin de procéder à l’interrogatoire. C’est à ce moment que j’ai appris qu’elles s’appelaient Éponine et Azelma, comme dans les Misérables de Victor Hugo, et j’avais bien compris bien qu’elles avaient décidé de faire de moi leur Cosette, le truc entre les jambes en plus.
Elles ont imaginé, dans leur esprit tordu, que je trempais dans je ne sais quelle affaire fortement illégale, voire criminelle, et tenaient absolument à me faire avouer. Pour cela, elles ont imaginé le pire supplice qu’il soit possible d’infliger à un gardé à vue dans un commissariat, à côté duquel l’idée de broyer les testicules entres les mâchoires d’un étau n’est qu’une aimable plaisanterie (pour autant, ne faites pas ça chez vous, Mesdames) : elles m’ont obligé à lécher leurs pieds après avoir retiré leurs grosses chaussettes et leurs horribles rangers si peu féminines, vêtements qui avaient recouverts leurs extrémités inférieures toute la journée ! Elles ne se lavaient pour ainsi dire jamais, ce qui leur conférait à leurs petons tout gluants de moiteurs des fragrances qui faisaient à la fois mon asphyxie, autant que les gazés d’Ypres pendant la Grande Guerre, que mon paradis, car on connait ma passion spéciale pour cette partie du corps des femmes. J’étais servi !
Âmes sensibles, s’abstenir de lire ce texte plus avant. Amies lectrices, si vous trouvez ce qui suit dégoûtant, surtout n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires câlinement orduriers : je les lirai avec délectation, et m’en inspirerai pour les prochains épisodes. Vous voilà donc prévenus.
Comme, bien entendu, quoiqu’horriblement (mais si délicieusement !) tourmenté, je n’avouais rien, puisque j’avais beau être le dernier des obsédés sexuels, j’étais absolument innocent des crimes dont on m’accusait, elles ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Éponine était celle qui avait ses règles ; elle abaissa le treillis et la culotte le temps que sa collègue, qui avait de tout petits pieds, vienne les fourrer un à un à l’intérieur de la gaine vaginale dépourvue de tampon, puis les extraie tout enduits d’humeurs sanguinolentes qui venait s’ajouter à la transpiration. Elles m’ont aboyé l’ordre de sucer tout ce suc, jusqu’à l’ultime goutte. Puis elles ont recommencé. C’était un repas de roi.
Elles étaient quand même dépitées de constater que j’étais content de subir tout cela, alors que j’aurais dû leur supplier à genoux de cesser cette barbarie. Ce que j’ai fait quand même, mais c’était pour la forme, d’autant que des collègues, toutes féminines, de mes deux « tortionnaires » nous regardaient avec grand intérêt ; leur chef, une petite blonde avec de longues nattes et de gros galons blancs bien alignés sur les épaules, assise dans son profond fauteuil en cuir, se branlait en contemplant la scène en s’enfonçant un godemiché dans la chatte et en couinant comme une girafe dentaire au moment de l’orgasme. C’était le capitaine Ténardier, célèbre pour sa férocité à l’encontre de la gent masculine, à cause d’un ancien chagrin d’amour qui s’est mué en haine contre tous ceux possédant un pénis. Puis elle est passée derrière mon et m’a enfoncé son jouet dans l’anus, ce qui a provoqué ma jouissance dont le foutre a arrosé les pieds de mes geôlières de quelques gouttes éparses, surmenage sexuel oblige, mais que j’ai dû lécher par-dessus les orteils. Bref, j’étais dans la maison du bonheur.
En fin de compte, après toute une nuit de supplices podaux, chacune a bien dû admettre que je n’avais rien d’un bandit. Mais, plutôt que de me relâcher immédiatement, elles m’ont proposé de les aider à faire avouer une personne qui leur posait des difficultés. Curieux de voir de quoi il retournait, j’ai accepté.
Elles m’ont emmené dans une cave du commissariat où une jeune femme était attachée par poignets, chevilles, cuisses et bras dans un fauteuil de gynécologue. La pauvresse ne pouvait bouger que sa tête et l’extrémité de ses pieds. Immédiatement, j’ai reconnu mon inconnue du banc, qui me souriait toujours et m’a souhaité la bienvenue. Elle était entièrement nue, bras et jambes écartés largement écartés, si bien qu’on voyait tout de son intimité poilue.
Les policières m’ont dit qu’elles l’ont attrapée sur le quai de la gare avec sa valise bourrée de substances illégales, et qu’elles ont essayé de la chatouiller pour l’obliger à donner les noms de ses complices, mais en vain. Peut-être saurais-je, moi le passionné par les pieds féminins, y parvenir mieux qu’elle ? Bien-sûr, j’ai accepté. Qui, mieux que moi, pourrait être l’homme de la situation, afin qu’éclate la vérité et que force demeure à la loi ? D’autant que la belle inconnue était visiblement contente de me retrouver et m’a recommandé de ne pas l’épargner. Elle voulait être chatouillée jusqu’à la folie, alors, allons-y !
Je ne me suis pas contenté d’user de mes dix doigts agiles sur la plante de ces petons ravissants qui n’attendaient qu’une seule chose : qu’on les chatouille – de préférence avec la dernière férocité ! Un gros vibromasseur était à ma disposition afin d’infliger de terribles orgasmes clitoridiens à la belle, et j’en ai largement profité, alternant guili-guili et branlette en position immobilisée, avec jouissances en rafale et obligatoires. Elle hurlait à pleins poumons, c’était terrifiant à entendre, et même Éponine, Azelma et la rude capitaine Ténardier ont été incapable de supporter la scène. J’ai également pénétré ma belle attachée par le vagin et par l’anus, mais c’était seulement parce qu’elle me l’a demandé et que je suis un gentil tortionnaire. Puis je l’ai embrassée sur la bouche et je lui ai dit que je l’aimais, ce qui était la stricte vérité ; elle m’a également avoué son amour, suite au coup de foudre sur le banc du jardin public.
Par la suite, je suis allé la voir tous les jours dans sa prison où nous nous contions fleurette. Pendant quatre longues années, nous nous sommes écrits tous les jours des lettres enflammées d’amour, remplies de mots obscènes que les matonnes chargées de la censure lisaient aussi, en se masturbant, tant nos phrases étaient désespérément torrides. Elle m’envoyait aussi des dessins de ses pieds, très réalistes, et je mouillais le papier de mon sperme.
Afin d’obtenir la remise de peine maximum pour bonne conduite, elle a forniqué avec le directeur de la prison, vite fait dans son bureau entre deux rendez-vous, et aussi certaines matonnes lesbiennes avec lesquelles elle n’était pas farouche, jusqu’à participer à de folles orgies où elles se suçaient la chatte avec délices.
Il y avait aussi une cellule où ses trois codétenues partageaient sa passion pour les pieds féminins. Ensemble, elles oubliaient les rigueurs de la détention dans des nuits câlines où elles se grignotaient mutuellement les petons, avec des massages à l’huile d’argan que le directeur leur fournissait gratuitement, car il les observait grâce à des caméras de vidéosurveillance placées aux quatre coins de la geôle. Les images arrivaient directement sur l’écran de son ordinateur, dans son bureau fermé, et bien-sûr il se branlait à plein temps, à la vue de ces déesses aux merveilleux petons, qui en outre, disposaient dans leur cachot – le plus confortable de toute la prison – de toute une collection de jouets sexuels dont les quatre captives usaient et abusaient.
Dans ses lettres et au cours de mes visites, elle me décrivait tout cela dans les moindres détails, et cela m’excitait tant que j’en devenais fou. En tant que détenue privilégiée, elle avait droit au parloir où nous n’étions séparés par aucune vitre et laissés seuls ; cependant, toute relation sexuelle nous était formellement interdite, et la porte vitrée permettait de nous surveiller. Nous avions une heure et nous étions chacun assis sur une chaise, avec une petite table entre nous deux.
Après que nous nous étions racontés les péripéties de notre semaine, elle enlevait ses chaussures et j’abaissais ma braguette pour sortir discrètement mon phallus qu’elle me caressait discrètement de ses orteils si merveilleusement agiles que je ne tardais pas à les arroser de mes sept jours d’abstinence, en serrant les dents pour ne pas crier de plaisir.
Mais un jour, nous nous sommes faits prendre par une matonne plus soupçonneuse que les autres qui a découvert notre petit manège. Pour la punir, ma douce amie a été attachée nue au milieu de la cour, suspendue à un portique d’une manière très inconfortable, et toutes les gardiennes et toutes les détenues sont venues lui chatouiller les pieds ; on leur fournissait de longues plumes pour augmenter l’intensité de son calvaire. Pour ne pas être reste et accompagner ma belle, j’ai demandé à subir le même châtiment, en même temps, ce que le directeur a accepté. C’était un spectacle terrible ; Coralie est venue y assister, en tant que visiteuse, et elle m’a dit avoir trouvé que nous étions un couple très excitant, au point qu’elle a voulu subir la même chose. Elle s’est déshabillée devant tout le monde et s’est laissée également suspendre par les poignets.
Nous étions, côte à côte, trois condamnés à endurer le supplice du chatouillement collectif, après avoir été auscultés par la femme médecin de la prison qui a vérifié que nous pouvions supporter l’enfer des chatouilles des pieds et du reste du corps sans en crever, ce qui était préférable pour la carrière du directeur de la prison, la peine de mort étant heureusement abolie. Vêtue de sa seule blouse blanche sous laquelle émergeait une poitrine superbe, elle ne se contenait pas de nous ausculter : après avoir pris notre température rectale, elle a revêtu un gode-ceinture et nous a, tous les trois, profondément sodomisés sous les yeux de plusieurs centaines de spectatrices (il n’y avait qu’un seul homme, le directeur de la prison, alors je dis spectatrices et non pas spectateurs), toutes impatience de commencer à nous torturer de cruelles chatouilles. Déjà, on commençait à distribuer les plumes qui étaient longues et de toutes les couleurs. Certaines glissaient une main dans leur pantalon et jouissaient d’orgasmes sadiques. La séance s’est terminée par une vaste partouze lesbienne au cours de laquelle matonnes et détenues ont fraternisé dans une formidable partie de caresses et de lèchements, pour ne plus jamais se manquer de respect les unes pour les autres.
Quand elle est sortie par un matin d’avril, je suis allé l’attendre devant le portail de la prison, et, le jour-même, nous nous sommes mariés. Les photos du mariage ont eu lieu, devinez où, … non, pas au jardin public qui se trouve en face de la gare, mais dans les sous-sols du commissariat, où le capitaine Ténardier, épaulée d’Éponine, d’Azelma et de bien d’autres encore, a organisé une orgie où j’étais le seul homme, nu comme un ver au milieu de femmes habillées de leurs uniformes règlementaires. Celles-ci m’ont permis de goûter tant et plus aux mille et mille fragrances somptueuses de leurs jolis petons, que ce soit directement où à travers des chaussettes, des collants ou des bas.

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