Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe de voisins

Trixie Chap 11 – Du ciné oui mais porno !

Trixie Chap 11 – Du ciné oui mais porno !



— Trixie, me dit mon mari, en rentrant un soir du boulot, j’aurai encore besoin de tes services, pour un contrat. Mon patron m’a donné l’affaire en me disant que tu étais très persuasive… Il s’en est rendu compte par lui-même et il a vraiment apprécié la manière dont tu as traité l’affaire avec ses clients Libanais. Je t’explique en deux mots. Une grosse boîte de lingerie sexy veut nous donner la réalisation d’une vidéo de promotion pour ses articles. Il ne veut que toi comme mannequin, pour la présentation… En tournant un clip, ou en prenant des photos. Portal m’a demandé de réaliser des photos, avec deux mannequins hommes, pour montrer au patron de la boîte de lingerie, si tu lui convenais pour la présentation. Alors si tu pouvais user encore une fois de tes charmes, pour me rendre service ? Car il m’a dit que ma place dépendait de l’obtention du contrat… S’il te plaît ! Après, je ferai ce que tu me demandes.
— Donc pour reprendre tes termes, en deux mots comme tu dis, ce que tu me demandes, c’est encore de me faire baiser… J’ai comme l’impression que ta boîte est spécialisée dans le porno ! J’ai bien voulu une fois pour ta promotion, mais moi ça ne m’a rien rapporté, et je ne suis pas ton objet. Et surtout pas ton objet sexuel…
— Bon, n’en parlons plus, dit-il me coupant la parole. Je vais me retrouver sans boulot. Je voulais te proposer que l’on se sépare, j’aurai pris les torts à ma charge, mais maintenant, je ne vais plus pouvoir assurer, donc pas de divorce.
— Attends, c’est vrai ce que tu dis ? Tu es prêt à divorcer ? En me payant une pension ? C’est vraiment important ce contrat ?
— Oui. Si les commanditaires sont satisfaits du clip, c’est un contrat qui rapportera gros. Mon patron m’a dit que si je l’obtenais, il m’intéresserait aux bénéfices, tu as tout à y gagner. Surtout qu’il m’a certifié que toi aussi tu aurais droit à un gros chèque.
— Tu me mènes en bateau, là ? Mais si tu me signes un papier où tu écris de ta main noir sur blanc ce que tu viens de m’énoncer, je crois que je vais pouvoir réfléchir à ta proposition !

Il s’exécuta. J’acceptai donc sa proposition, à condition que la prise des photos se passe à la maison. Je lui dis qu’il pouvait convoquer les acteurs du clip.
Le lendemain, un samedi, en début d’après midi, mon mari me briefa dans la chambre pour l’entrevue, il me fit mettre nue.
— J’ai récupéré de la lingerie sexy, il faut mettre tous les atouts de notre côté. Ils vont être subjugués de te voir vêtue ainsi. Nous prendrons quelques photos, pour qu’ils les montrent à leur Président. Et puis je compte sur toi, je suis sûr qu’ils vont craquer ! Allez, enfile les dessous !

Pour être sexy, ils étaient sexy, les dessous. Il y avait un bustier en tulle noir complètement transparent qui se fermait sur le devant par deux rubans noirs et qui était loin de couvrir mon nombril. Les bonnets du soutien-gorge, transparents eux aussi, englobaient tout juste mes mamelons et laissaient apparaître le brun du haut de mes aréoles. Il me fit enfiler des bas noirs qu’il fixa lui-même aux grandes lanières du porte-jarretelles qui pendaient du bustier. Un string noir diaphane lui aussi fut passé par-dessus. Il m’avait demandé de bien me raser la chatte et de ne laisser comme d’habitude qu’un petit triangle de duvet ras au-dessus de mon mont de Vénus. Ma fente et les poils se devinaient sous le mince tissu. Le body était retenu sur mes épaules par des bretelles assez lâches qui avaient tendance à tomber sur mes bras. Perchée sur des hauts talons, je me regardais dans la glace. Vraiment pas mal ! Mon époux me tendit un balai à franges.
— C’est pour la photo, pour faire semblant de nettoyer. Il faut subjuguer les ménagères ! Et je compte, comme tu as fait avec les Libanais, sur ton pouvoir de persuasion, me dit-il en souriant.

Je me doutais d’un traquenard… Je n’avais jamais cru à l’histoire de la ménagère. Comme lors de mon entrevue avec son patron, cela allait virer à la vidéo hard, enfin je verrais bien. Normalement pour une pub les deux mecs devraient être genre apollon, ce qui n’était pas pour me déplaire.

On sonna. Ce devait être eux. Je fus émoustillée. C’est sûr, ils allaient bander et j’aimais ça, que des hommes me désirent ! Une voluptueuse sensation de chaleur envahit mon bas-ventre.

— Reste là, tu ne viendras que lorsque que je t’appellerai, on sera dans la salle de billard.

Son dernier dada : il avait acheté un billard américain et disputait avec ses copains des parties acharnées où bien souvent l’enjeu, lors de soirées bien arrosées, était de faire l’amour avec la femme du perdant…

Il sortit laissant la porte ouverte. J’entendis qu’il les faisait entrer, dans la pièce, les installait au bar, leur offrait à boire et sortait les feuilles du scénario.
— Vous allez avoir un aperçu de ce que la boutique de lingerie veut présenter. Il faut que ce soit très érotique, mais on a déjà dû vous le dire. On a dû bien vous préciser votre rôle. C’est moi qui suis chargé de prendre les photos. Trixie, veux tu venir, s’il te plaît ?
J’entrai dans la pièce d’une démarche sexy, les rideaux étaient grands ouverts et comme si ça ne suffisait pas toutes les lumières étaient allumées, on ne pouvait rien rater de mon anatomie mise en valeur par la lingerie. Ils émirent un long sifflement, je pense qu’ils admiraient plus le contenant que le contenuIls étaient deux, un d’environ un mètre soixante-cinq et laid comme un pou, âgé de quarante-cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Sa chemise ouverte dévoilait un torse velu, il sentait me semblait-il la transpiration. On pouvait le qualifier de répugnant. Le patron de mon mari avait dû le choisir pour mettre ma beauté en valeur ! Ça excitait les hommes de voir une jolie blonde tripotée par ce genre de primate. Il n’y avait plus de doute, j’en était sure maintenant, le tournage allait être chaud !

L’autre au contraire était beau comme un apollon. Blond, des yeux bleus, un mètre quatre-vingt, un corps d’athlète dans un costume bien coupé.

Mes yeux se fixèrent sous leurs ceintures, mon cœur fit un bond dans ma poitrine… Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus sous leurs pantalons. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas-ventre, je commençai à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre. Les pointes de mes seins s’étirèrent, ma chatte devint légèrement moite… En fin de compte, je crois que j’avais bien fait de dire oui !

Je maîtrisais mes émotions en m’approchant pour leur serrer la main.

— Vous…vous êtes splendide, Madame, me dit le petit gros.
— Mais on peut se tutoyer… Appelle-moi Trixie minaudais-je.
— Voici le produit pour lequel il faut faire la promotion, dit mon mari en riant.
— Il est superbement mis en valeur, dit le grand blond me faisant tournoyer sur moi-même…
— N’est-ce pas ? Trixie, grimpe sur le billard, nous allons faire quelques photos de toi seule pour l’instant.

Je m’agenouillai sur la feutrine. Un flash crépita. Mon mari me prenait de dos. Les deux hommes se tenaient derrière lui. Il écarta mes fesses pour bien faire entrer la ficelle du string et ajusta les lanières de mes bas. Un second flash.

— Trixie, assieds-toi s’il te plaît.

Pendant l’opération la bretelle de mon bustier tomba sur mon bras. Fred dans mon dos approcha son nez et renifla le long de ma colonne vertébrale.

— Tu as un parfum sublime, me dit-il en relevant doucement la bretelle.

Une troisième photo fut prise.

— Vous devriez vous mettre torse nu, ainsi on mettrait en valeur le modèle.

Fred ne se le fit pas dire deux fois ! Rapidement il se défit de sa chemise, déboucla sa ceinture et l’on pu ainsi admirer ses pectoraux poilus qui pendaient flasques, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis qui partaient de son sexe et s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité noire. Je le regardais ébahie, comment pouvait-on faire la promo d’un produit avec un modèle aussi laid ? Plus de doute, j’en étais sûre, il y avait autre chose, c’était pour appâter les clients avec des photos osées…

Bob, avec calme, dévoila son torse glabre est musclé. Ils se positionnèrent de part et d’autre de moi. Mes mamelons tendus transparaissaient sous le tulle noir, les yeux de Bob et surtout ceux de son copain Fred, étaient rivés dessus. Ils semblaient étonnés de la longueur qu’ils avaient atteint.

— Approchez, serrez-vous… (plusieurs flash scintillèrent) Voilà, on aura un bon aperçu.
— On pourrait peut-être en faire une autre comme ça ?

Fred baissa la bretelle, dévoilant mon mamelon et mon aréole. Je frissonnai. Son copain, ne voulant pas être en reste, passa son index sous bord du bustier et fit jaillir mon autre téton. Un autre flash.

Fred saisit entre ses dents le dard brun, le mordilla et l’aspira. Bob me caressait l’autre sein et me léchait le cou, approchant ses lèvres de mon oreille. Il murmura :

— Dis-donc, Trixie, tu n’es pas farouche ! Regarde les pointes de tes seins ! Et je suis sûr que tu mouilles.
— Eh, nous n’avons pas fini les photos… Ce n’est pas ce qui était convenu ! Il nous faut le balai. Trixie, rajuste-toi et prends le balai.

Je frottai le sol avec des poses suggestives, entourée des deux hommes, tandis que mon mari nous mitraillait.

— C’est bon, il y en a assez.
— Non, dit Fred. Nous allons en faire quelques-unes pour que l’équipe du tournage du clip ait de bons repères, le patron nous l’a demandé.

Il quitta les bretelles du bustier, mit mes deux seins dehors, titilla bien les bouts pour qu’ils soient bien tendus— Fait semblant de frotter le sol… oui… ainsi… photo !

Il se mit à me peloter les fesses, tirant sur la ficelle du string comme s’il voulait me l’ôter.

— Bon, si nous obtenons satisfaction – et tu devines de quoi il est question, n’est ce pas, Trixie ? – il ne devrait pas y avoir d’obstacle. Notre Président verra que c’est OK pour le tournage du clip.

Je me tournai vers mon mari :

— Tu veux toujours avoir ton contrat ? Pour moi, il n’y a pas de problème, je peux faire comme avec les Libanais.

Je n’avais pas fini de dire cela à mon époux que Fred tira prestement sur le string qui se déchira. Son copain qui jouait avec une boule de billard la fit tomber sur le sol, elle roula derrière moi, je me tournai et me penchais pour la ramasser, offrant aux trois hommes une vue parfaite sur ma vulve.

— Photo ! dit Bob.

Mon mari obéit. Bob se mit à côté de moi, déboutonna sa braguette et sortit sa verge. J’y jetai un coup d’œil. Elle était moins longue et moins grosse que celle de Gérald, mais de bonne taille. Son prépuce légèrement rétracté dévoilait un bout de gland brun très foncé. Il prit ma main et la posa dessus. Je décalottai le gland et le masturbai doucement. Sa bouche aspira un de mes mamelons.

— Putain, les tétons qu’elle a ! Je crois que je n’en ai jamais vu d’aussi long ! Photo s’il vous plaît !
— Hé, les gars, ce n’était pas prévu, dit mon conjoint, les yeux fixés sur le sexe sortant de la braguette.
— C’est rien, attend de voir celle de Fred. Lorsqu’il bande il atteint les vingt-six centimètres !Celui-ci était passé de l’autre côté. Il dégrafa sa ceinture et son pantalon tomba. Il était nu dessous. Son pénis me fascinait. Il était en érection, il devait mesurer largement plus vingt-cinq centimètres. Son gland décalotté mauve foncé était assez pointu puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales. Bob s’était remis à me mordiller le téton gauche…
— Oooooohhhh, putaiiiiinn ! fit mon époux en regardant l’énorme sexe de Fred qui se dressait fièrement vers le plafond.
— Suce-nous, me dit Fred. Et vous, continuez à mitrailler !

Je regardai mon mari. Il ne disait rien et avait un léger sourire.

Je les suçai et léchai à tour de rôle, masturbant celui qui n’avait pas droit à ma bouche. Ils se mirent entièrement nus, me faisant des compliments sur ma façon de téter leurs phallus. Ils essayèrent de me les mettre toutes les deux dans la bouche, mais elles étaient trop volumineuses.

— Assieds-toi sur le billard, écarte bien les jambes et caresse-toi… Oui, c’est ça, enfonce tes doigts… Putain, ce que tu mouilles, tu taches le tapis… Prenez des photos, vous !

Fred s’avança, me repoussa sur le dos et positionna son gland à l’entrée de ma vulve. Il était tellement imposant qu’il semblait faire le double de mon orifice vaginal. Il titilla mes lèvres pour les écarter…
— Bob, prends-lui la cheville et écarte lui bien la jambe, que Monsieur puisse faire un joli cliché de ma pénétration… Tu vas voir, ça va entrer tout seul, malgré la grosseur, dit-il en me faisant un clin d’œil.

Il poussa. L’énorme phallus disparu lentement et entièrement dans mes entrailles. Il le ressortit luisant de mon foutre et l’enfila à nouveau avec de petites saccades rapides. Il regarda d’un air de défi mon mari qui, subjugué, avait l’œil rivé à sa caméra.

— Putain, dit Bob, tu lui as tout mis ! Vu la grosseur et la longueur de ta queue, je ne croyais pas que c’était possible, tout au moins du premier coup ! Elle est super votre Nana m’sieur !
— Putain oui, la salope, la salope, répétait mon mari.
Bob me présenta son phallus à sucer. Il s’était mis à genoux sur le plateau, me demandant de lui aspirer les couilles…
— On change de place si tu veux, dit Fred au bout d’un long moment.

Il me fit descendre, me retourna et me courba sur le billard. Bob me mit le coussin d’un fauteuil sous le ventre pour bien surélever mes fesses et me fit poser un genou sur le bord. Il avait ainsi un accès aisé à ma vulve. Il enfonça lui aussi son pieu dans l’orifice béant et trempé. Fred avait pris la place de son copain et s’était assis devant moi jambes ouvertes, sexe tendu. Ma bouche l’enveloppa. Mon mari, pris au jeu, faisait des clichés en gros plan du phallus qui me pourfendait. Il devait avoir enclenché la vidéo, car il n’y avait plus de flash…

— Salope, tu as vraiment l’air d’aimer ça, dit-il. Sa queue dégouline de ton foutre.

Bob avait glissé ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et tenait fermement le devant de mes cuisses. A chaque coup de boutoir il me tirait le bassin vers lui, pour enfoncer son sexe le plus profondément possible. Il voulait sûrement m’entendre gémir comme je l’avais fait lors de la pénétration de la monstrueuse queue de Fred. Mon mari avait raison, j’aimais vraiment ça… Surtout le phallus du petit gros, bien qu’il soit atrocement laid…

Fred me donnait des baisers effrénés en me malaxant les seins, pinçant, tirant, griffant mes mamelons. Je leur demandais de ne pas s’arrêter.

— Tu vois, dit Fred, regarde ton mari comme il bande. Il aime te voir te faire prendre par deux inconnus…

Effectivement, il avait sorti son sexe et tenant l’appareil photo d’une main, il se masturbait ardemment. Bob accéléra la cadence de ses pénétrations… Il regarda mon mari avec un petit air narquois.

— Tu l’aimes hein, ma bite, hein ? Putain que ta chatte est bonne… Tu…tu… tu vas me faire… jouir… ouiiiiiii….. tiens prend mon sperme…. ouiiiiiii…..!!!

Il avait enfoncé sa verge entièrement en moi et je sentais les tressautements du cylindre déversant le sperme chaud et visqueux entre mes parois vaginales. Il m’avait saisi les seins à pleines mains pour bien me plaquer contre lui.

Émoustillé, Fred sans me laisser un instant de répit, me fit tourner, coucher sur le dos les fesses au bord du billard.

— Ouvre-toi bien… dit-il en se positionnant entre mes cuisses et en masturbant son immense phallus dressé.

Je savais ce qu’il voulait. Avec deux doigts, je récupérai dans mon vagin du sperme de Bob mêlé à mon foutre et en badigeonnai mon orifice anal, Fred me souriait en se caressant, me laissant bien lubrifier mon trou rugueux.

— Oh nonnnn ! Garce ! Il ne va pas te sodomiser avec sa bite monstrueuse ! hurla presque mon conjoint. Tu ne vas pas le laisser faire !
— Ben si, mon chéri… Et puis je vais te faire un aveu, puisque ça te plaît de me voir me faire baiser par deux hommes : ce n’est pas la première fois.
— Et oui, confirma Fred. Et si tu ne t’en es pas encore aperçu, elle adore ma grosse queue ! Et n’oublie pas de filmer…

Il poussa son mandrin d’une main bataillant un peu pour retourner mon ampoule rectale qui n’avait pas connu une telle insertion depuis pas mal de temps. Mais son gland disparut puis, par petits coups, il enfila toute la longueur… je hoquetais de plaisir… je me mordais les lèvres…

— Allez, Trixie, avoue à ton mari que tu aimes ce que je fais, que tu es dingue de ma grosse bite, et que je vais te faire te faire jouir. Allez, dit-le lui, avoue le à la caméra…
— Ouuuuiiiiii, ouiiiiii, tu as raison… ton sexe est extraordinaire… continue, continue ! Bob s’était rapproché pour mater la scène.
— Elle me fait bander à nouveau cette garce… Elle a vraiment un corps superbe… Tiens tu vas à nouveau sucer ma queue… oui, c’est bien ça !… mordille mon gland…

Entre deux gémissements de plaisir, je hoquetais :

— Fred, Fred… on ne pourrait pas essayer une double pénétration vaginale ?
— Ce n’est pas vrai ?! Tu le veux vraiment ? Tu es vraiment une petite Salope ! OK, on va le faire, Bob bande bien maintenant.

Il interrompit à regret sa sodomie et commença à me lécher la vulve à grands coups de langue bien baveuse. Avec un, puis deux, trois et ensuite quatre doigts, il étira mes parois vaginales…

C’est bon, c’est souple, dit-il en regardant Bob, je vois que tu es de nouveau en forme…

— Eh ! Vous allez lui faire quoi ? s’inquiéta mon mari…
— Ce qu’elle a demandé !
— Vous allez la pénétrer ensemble avec vos grosses bites ?
— Ben oui Chéri et au même endroit ! rétorquais-je.
— Putain c’est pas vrai ? Tu as déjà fait ça ? me demanda-t-il, abasourdi.
— Oui, Gérald. Tu sais, le Noir avec qui je travaille me sodomisait pendant que ses copains me prenaient avec leurs deux grosses bites dans mon vagin…
— Ses copains ? Des noirs aussi ? Tu es une vraie garce ! Une vraie Salope !
— Tu n’aurais pas un tube de vaseline des fois ? lui demanda Fred…

Ce dernier pendant la conversation avait demandé à Bob de se coucher sur le billard, celui-ci maintenait le sexe en érection en se masturbant doucement.

— Alors, ce tube ?
— Voilà, dit mon époux à regret.

Il sortit la pommade d’un tiroir du bar. Elle servait parfois pour faciliter les sodomies des compagnes des perdants lors des parties de billard.

— Tiens, Trixie, à toi de jouer, me dit-il en me tendant le tube.

J’en enduisis soigneusement le phallus de Bob, qui sachant ce qui allait se passer bandait plus fort qu’avant. Puis je me tournais vers Fred et en le regardant langoureusement dans les yeux et étalais le lubrifiant sur son immense sexe, le massant doucement, lui caressant amoureusement les testicules. Il se pencha, m’embrassa fougueusement, me souleva et me mit jambes écartées au-dessus de Bob.

— Tu peux commencer à filmer, si tu veux… Avec de telles images, mon président devrait être prêt à signer tous les contrats que tu lui présenteras… Ta femme met vraiment en valeur la lingerie ! Vas-y Trixie, enfourne sa grosse bite.

Je fléchissais sur mes talons, le sexe bien lubrifié glissât doucement, une fois bien en place, Fred me coucha sur le ventre de Bob, je sentis son gland forcer pour écarter mes petites lèvres, il poussait régulièrement… Je regardais mon mari, qui les yeux écarquillés filmait machinalement la scène en se branlant avec force.

— Salope, salope ! répétait-il comme une litanie. Salope, tu m’excites, je vais jouir !

Bob me caressait les seins sans trop bouger, laissant l’énorme phallus de son copain envahir mon vagin. Il jaillit plusieurs fois hors de mon conduit vaginal pourtant bien dilaté et Fred enfilait à nouveau son sexe monstrueux en riant. Il attrapa mes chevilles et écarta plus largement mes jambes. Il gagna plusieurs centimètres. Il ne pouvait pas entrer toute la longueur… Il commença ses vas-et-viens, qui me firent hurler de plaisir. Son pouce frottait doucement mon clitoris…

— Tu as vu ? dit Fred en s’adressant à mon époux, elle aime ça, les grosses bites ! Ça la fait grimper au septième ciel ! Tu l’as déjà contentée comme ça ?

L’orgasme me tomba dessus telle la foudre sur un paratonnerre. Je me cambrais, tétanisée, hurlant mon plaisir. Les contractions de mon vagin expulsèrent le sexe de Bob et le chemin ainsi dégagé permit à Fred d’un puissant coup de reins d’entrer jusqu’à la garde son monstrueux phallus. Mes parois étaient si distendues que c’est tout juste si je sentais les puissants allers et retour de son colosse de six centimètres de diamètre et son drôle de gland me frotter les parois vaginales. Il se coucha sur moi. Ses lèvres lippues aspirèrent le téton de mon sein droit dur comme du bois, puis mon aréole boursouflée et gorgée de sang. Il me sembla que l’on me plantait une aiguille rougie sur le bout de mon sein : il venait de mordre le mamelon et cette douleur décupla mon plaisir. Je hurlai à nouveau, j’attrapai sa tête entre mes deux mains, ma bouche se plaqua sur la sienne, ma langue envahit profondément sa cavité buccale. Il me tenait fermement aux hanches, comme pour m’empêcher de lui faire perdre un centimètre de sa colossale pénétration. Il explosa à son tour, éjaculant sa semence à grands coups de reins. Son phallus semblait doué d’une vie propre dans ma vulve. Ce grand boa avait trouvé son repaire, le nid chaud douillet et humide qu’il semblait ne plus vouloir quitter et qu’il remplissait du nectar de la vie…

Fred, me caressait les cheveux et me bécotait le visage tendrement :

— Es tu heureuse que j’ai éjaculé en toi ? Et vous, vous avez filmé sa jouissance ?

Il n’avait pas sorti son énorme phallus, qui désenflait doucement et continuait un léger pompage dans mon vagin. Je sentis que l’on me mettait une bite dans la main. Ce ne pouvait que mon mari.

— Salope, je vais jouir, je vais jouir, branle-moi ! Vite, vite !

Il éjacula dans ma main.

— Lèche son sperme, m’ordonna Fred.

Je lui obéis et suçais mes doigts poisseux.

— Hé, les enfants, j’ai une grosse envie de sodomie, dit Bob, que nous avions oublié dans la bataille.

Je fis la moue… Je commençais à saturer.

— Allez, fait lui plaisir, l n’avait jamais baisé avec aussi jolie blonde avant aujourd’hui ! Attends, tu vas voir.
— Salope ! Tu vas remettre ça ? s’outragea mon mari.

Fred faisant fi de sa remarque, cracha dans mon anus et pénétra mon trou intime à petits coups de langue de plus en plus profonds, s’égarant parfois dans mon vagin et titillant mon clitoris, mais revenant invariablement fouiller mon anus. Lorsqu’il vit que je recommençais à être émoustillée, il me fit mettre accroupie au-dessus de Bob et lui guida le sexe à l’intérieur. Bob se débrouilla très bien ensuite tout seul. Je sentais ses poils rêches me picoter les fesses. Fred, lui, me malaxait les seins et à force qu’il tire dessus mes mamelons redevenaient durs comme du bois. Il me donnait de longs et humides baisers dans le cou et me mordillait le lobe des oreilles.

Mon mari avait l’air désespéré et son phallus pendait flasque. Il ne filmait même plus et me regardait, incrédule, sidéré par les aveux que je venais de lui faire. Fred avait l’air de s’amuser de cette situation. Je lui avais avoué pendant qu’il me possédait qu’avec mon époux, ce n’était pas le top au niveau sexuel. Il devait s’en souvenir et voulait attiser sa jalousie.

— Allez, Trixie, avoue à ton mari que t’es éclatée avec nos grosses bites et que tu as adoré qu’on éjacule au plus profond de toi ! Dis-lui, que tu vas jouir une nouvelle fois avec Bob… Allez, petite salope, dis le lui !
— Ouuuiiiii ! Ouiiiiiii ! J’ai adoré baiser avec toi ! Ta queue et ton sperme ! Ohhhh putain que c’est bon de se faire sodomiser ! Ouiiiiiii ! Je vais jouir ! Putain qu’elle est bonne ta grosse queue !

Je sentis qu’il allait éjaculer.

— Attends, attends ! lui dis-je.
— Continue, continue le film ! tonna Fred.

Je serrais fortement le sexe de Bob et descendis de la table. J’eus juste le temps de prendre son gland dans ma bouche lorsqu’il éjacula ! Je récupérais sur ma langue sa semence. Lorsque les soubresauts de sa verge cessèrent j’ouvris la bouche en grand et, regardant mon mari, je déglutis le sperme visqueux par petites saccades en me léchant les babines pour lui monter que j’appréciais le sperme ingurgité.

— Bon, dit Fred, tout est bien qui finit bien ! Il nous manque juste la carte numérique pour la faire visionner à notre Président. Je pense qu’avec une telle démonstration, il ne devrait pas faire de difficultés pour signer !
— C’est que… c’est que… dit mon mari.
— Tu étais d’accord, il me semble ?
— Oui, mais… je ne sais pas…
— Peux-tu nous en dire la raison ?
— Pour te répondre, Fred, dis-je, ça me parait évident. Il pense que c’est juste une envie de bestialité de ma part. Mais ça l’excite de me voir me faire prendre par d’autres hommes que lui, bien que son ego en prenne un coup. Et surtout, que cela puisse se savoir…

Je ricanais doucement en le regardant dans les yeux.

— Tu as signé un papier, ai-je poursuivis. J’ai rempli ma part du marché. À toi de tenir ta parole, maintenant. On va pouvoir se séparer.

Il hésitait, puis la cupidité l’emporta et il tendit la puce électronique à Fred

La vidéo et les photos de mon mari avaient dû vraiment plaire à Portal. Car quelque temps après, le patron de mon époux vint me voir personnellement et me proposa de venir tourner à son studio un bout d’essai. C’était, me précisa-t-il, en vue du tournage d’un clip érotique.

Le lendemain matin de retour au boulot, j’hésitais toujours, pourquoi ne pas demander conseil à Maxime… Et c’était bien cela : dans la boîte de mon époux, ils devaient commercialiser des vidéos pornos… Mais mon cher mari ne m’en avait jamais parlé.

— Tiens Maxime, regarde. Samedi, j’ai eu la visite d’un producteur de cinéma… Il m’a contacté au vu de mes dernières prestations, avec deux de ses acteurs, tu sais, je t’ai raconté. C’était pour le soi-disant contrat de lingerie sexy… Mon mari m’avait demandé d’y collaborer en échange du divorce. J’ai d’ailleurs touché pas mal d’argent… Et puis, regarde derrière sa carte, la somme qu’il me propose !
— Je pense que ce doit être plus qu’érotique…
— La dernière fois aussi c’était porno, dis-je en rougissant. Mais j’ai touché un paquet de fric ! Alors j’hésite…— Fais comme bon te semble. Tu n’as pas à avoir mon accord. Maintenant, tu n’as plus à t’occuper de ton mari, tu es tranquille avec le papier qu’il a signé.
— Ce n’est pas ça… je me demandais si… si… tu ne pouvais pas m’accompagner ?
— Oui, pourquoi pas… je n’ai jamais assisté à un tournage… Qui de plus, sera sans doute porno !

On se présenta à l’adresse indiquée par le producteur. C’était une bâtisse importante. On nous conduisit dans une grande pièce, sorte d’entrepôt, où il y avait un bureau et plein d’accessoires. Ça allait des habits à la machine à écrire en passant par des pistolets et des couteaux factices. Le responsable qui me reçut était chauve, moustachu, portait des lunettes et avait un sourire paternel qui me mit en confiance.

Je lui désignai Maxime comme mon petit ami, en lui disant que sa présence ne posait aucun problème. Ce monsieur cumulait aussi le rôle de metteur en scène et me présenta son assistant, David un gars aux allures de garde du corps. Il me dit que le Producteur l’avait briefé à mon sujet, et il m’expliqua en quoi pourrait consister mon rôle.

— Bon, alors voilà pour résumer : vous avez pu vous rendre compte que nous faisons du cinéma érotique pour ne pas dire porno ! Le patron m’a dit que lors de ses prises de contact, vous aviez été plus que parfaite… Notre clientèle est surtout asiatique ou africaine et raffole de ce genre de vidéos où de jeunes et jolies blondes se retrouvent dans des situations difficiles. Pour eux, c’est le summum de l’exotisme et de l’érotisme. Si en plus nous leur montrons en grand format la jouissance de la jolie blonde, nous sommes sûr de vendre notre vidéo comme des petits pains. Pour cela, nous laissons nos acteurs s’exprimer librement, c’est beaucoup plus naturel… un vrai orgasme et toujours bon à filmer ! Je dois vous avouer que la plupart du temps votre ou vos partenaires ne sont pas au courant qu’on les filme. Nous leur faisons croire que leur rencontre avec vous est fortuite et nous attendons qu’ils prennent des initiatives. Jolie et sexy comme vous êtes ils ne devraient pas en manquer… Et vous devez jouer le jeu, accepter d’être complètement soumise. Si vous acceptez bien sûr ! Nous veillons à ce que nos actrices ne soient jamais maltraitées, David est toujours prêt à intervenir en cas de problème, mais certaines situations peuvent être très hard, comme se laisser entièrement dominer ou comme par exemple recevoir quelques légers coups de badine. Je vais vous demander de signer un contrat, qui vous engage et qui précise ce que je viens de vous dire pour qu’il n’y est pas de malentendu. Vous serez payée en liquide à la fin de chaque tournage.
— J’avais raison, c’est vraiment du porno ! murmura Maxime. Tu es prête à accepter ?

Le réalisateur m’annonça une somme qui me fit écarquiller les yeux. Il me tendit le contrat, c’était ce qu’il venait de m’expliquer. Me rappelant mes expériences passées, j’hésitais encore à apposer ma signature, je me dis qu’en plus d’être un petit peu nymphomane, je devais être aussi un tant soit peu masochiste, si j’acceptais…

Voyant mon hésitation, il me dit :

— Maintenant pouvez-vous faire un strip-tease, nous pourrons ainsi juger de vos talents d’actrice… Vous voulez bien ?
— Pourquoi pas…

Il appuya sur un interrupteur et une lumière vive surgi d’un spot puissant. Ils s’assirent tous les trois pour profiter du spectacle.

Je me mis face à eux, à environ deux mètres. Mes mains plaquèrent ma jupe sur mes cuisses, pour bien faire ressortir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelles. Puis elles remontèrent jusqu’à mon pubis pour le caresser. Je les regardais d’une façon énamourée à tour de rôle de mes yeux bleu-vert, me déhanchant lentement. Elles remontèrent jusqu’à mes seins, que je caressai. Avec mon index, je frottai mes tétons en cercles concentriques à travers mon chemisier diaphane, déboutonnai deux boutons pour leur laisser entrevoir mon soutien-gorge noir, entièrement transparent. On devinait mes aréoles brunes à travers les vêtements.

Puis je les redescendis lentement sur mes hanches, et à travers ma jupe, fis descendre mon string le long de mes cuisses. Lorsqu’il fut à mes genoux, je le laissai tomber sur mes pieds et me dégageai gracieusement de la petite culotte. Je relevai alors ma jupe doucement, dévoilant tout d’abord les attaches de mon porte-jarretelles, puis les lanières qui striaient ma peau bronzée. Je dévoilai juste le début de mes grandes lèvres pour leur montrer que j’étais épilée et laissais retomber ma jupe. Je lus de la déception dans leurs yeux.

A travers mon chemisier bleu et transparent, je dégrafai mon soutien-gorge, et baissai les bretelles l’une après l’autre sur mes bras et extirpais mes mains. Je fis sortir le soutien-gorge par le devant du chemisier, mes tétons commençaient à durcir. Mouillant mon majeur avec de la salive, j’en imprégnai le tissu sur les aréoles de mes deux seins. Le tissu se plaqua à la peau, la transparence fut accrue, on aurait dit que le bout de mes seins passait à travers le chemisier. Je m’approchai des trois hommes la poitrine en avant, à hauteur de leurs yeux. Le manager tendit une main pour toucher, mais je me reculai malicieusement, en faisant non de mon index.

Je finis alors de déboutonner mon corsage et l’écartai très lentement sur mes seins, et l’ôtais. Je me pinçais et tirais les tétons pour bien les ériger, je savais qu’ils étaient très érectiles et que les hommes raffolaient de la longueur qu’ils pouvaient atteindre.

Je les regardai à nouveau, ils étaient très attentifs. J’attrapai une chaise et bien en face d’eux, mis un pied sur le plateau. J’écartai légèrement les jambes, ils pouvaient voir ma vulve béante. Je relevais ma jupe, dégrafai les pinces qui tenaient mes bas et les ôtais langoureusement, tout en leur laissant admirer mon vagin qui commençait sous leurs regards, à devenir quelque peu moite. Je dégrafai ensuite ma jupe et la laissais tomber à mes pieds. Je m’approchai alors du vieux, il avait sorti son phallus et se masturbait calottant et décalottant son gland. Je me mis de dos devant lui.

— Voulez-vous ôter mon porte-jarretelles ?

Il le fit d’une main tremblante. Une fois nue, il m’examina, me tenant aux hanches, me faisant tourner devant lui, s’extasiant sur mes seins, mes hanches, mes fesses, le galbe de mes jambes. Il ne tarissait pas d’éloges.

— Vous avez le sexe bien épilé, votre clitoris se devine bien, vous mouillez non ? Permettez que je vérifie ! Ouiiiiii… mon doigt est mouillé, c’est vraiment super, allez, habillez-vous. J’ai hâte de vous voir à l’œuvre. Si vous savez vous servir de votre corps merveilleux, je crois que nous pouvons faire tomber le jackpot. Elle est vraiment canon votre amie, monsieur.

Tout d’un coup, je vis son visage s’éclairer.

— Bien, dit-il, si vous êtes libre maintenant, nous avons une prise de vue aujourd’hui, vous pourrez remplacer, si vous voulez, la personne prévue. Cela nous donnera une idée de vos capacités, et un aperçu de ce que l’on attend de vous… Ainsi vous pourrez vous décider pour signer ou non votre contrat.

Un peu effrayée par cette demande impromptue, j’interrogeai Maxime du regard. Il me fit oui de la tête et j’acceptai. Le metteur en scène me dit de revêtir les vêtements qu’il partit choisir, des bas, un porte-jarretelles en dentelle, un soutien-gorge très fin, un string diaphane, un chemisier complètement transparent, une jupe courte et des talons aiguilles. Les sous-vêtements et les habits étaient noirs, ma couleur fétiche.

Ils me firent descendre au sous-sol dans une pièce violemment éclairée.

— Nous allons vous mettre dans la situation exigée par le scénario.

David attacha mes poignets à deux cordelettes qui pendaient d’une poutre et passaient chacune dans une poulie. Le metteur en scène m’expliqua.

— Les caméras sont ici, là et là… Ah, oui ! Encore une ici, elles sont bien cachées, nous commandons leurs zooms. Cela nous permet de filmer en gros plan pour ne rien rater… Les micros captent le moindre soupir, m’indiqua-t-il. Nous allons faire entrer votre partenaire. Nous l’avons fait entrer par une entrée secondaire et nous lui avons fait croire que nous avions k**nappée une jolie fille très riche pour avoir une rançon et qu’il devait la surveiller. Il a le droit de s’amuser un peu sexuellement, avec elle, elle est très jolie et il faut bien passer le temps… Avec une interdiction formelle de la maltraiter. Il était très excité à cette idée. Ne vous inquiétez pas David est là pour intervenir à tout moment. Avec votre ami, nous sommes à côté, je supervise le tournage… sur un écran vidéo.

Les habits de satin noir qu’il m’avait fourni, moulaient mon corps comme une seconde peau. A genoux, cambrée, mes bras tirés vers le haut faisaient ressortir mes seins, à peine contenus par les bonnets de dentelle, leur transparence laissait deviner mes aréoles et mes mamelons. Un bout de ventre semblait offert entre le chemisier et la jupe qui découvrait sur mes cuisses la bande de dentelle des bas et les attaches du porte-jarretelles. J’étais prête pour la suite. Ils me laissèrent seule.

La porte s’ouvrit d’un coup et tel un pantin surgissant de sa boîte un nain entra. Noir comme de l’ébène, un mètre trente environ, des mains crochues… Ses traits étaient légèrement trisomiques. Il avait les jambes tordues.

— Alors tu es réveillée ? Ah, ah ! Je suis ton gardien… mais pas un ange… Et je reste avec toi jusqu’à ce qu’on paye ta rançon, j’espère que ce sera le plus tard possible. Tu es superbe et on m’a donné la permission de faire joujou avec toi, pour passer le temps, dit-il, en me jetant des regards lubriques.

Je me mis à remuer dans mes liens. En dandinant, il s’approcha de moi. Il se mit sur la pointe des pieds et d’une main me caressa les seins à travers le mince tissu du chemisier. De l’autre, il sortit son sexe, assez gros pour sa petite taille. Il me pinçait les tétons, je remuais mon torse :

— Sale petit gnome ! l’insultai-je.
— Oui, continue, c’est ainsi que tu me plais… regarde, tu me fais bander.

Il me montra son sexe turgescent, qu’il caressait doucement. Le nain passa derrière moi, il attrapa mon chemisier et en écartant les pans fit sauter les boutons un à un. Mes seins jaillirent tout seuls hors des bonnets de dentelle, mes mamelons gonflés par ses tiraillements étaient aussi durs que son phallus.

Puis repassant devant, s’étirant à nouveau, il fit entrer la pointe brune et gonflée d’un sein entre ses lèvres et l’aspira goulûment comme un enfant qui tète. Il les suça chacun leur tour, jusqu’à ce qu’il fut satisfait de la longueur qu’il avait donné à mes tétons, il se recula et les fit rouler entre ses doigts noirs et crochus, en les pinçant avec ses ongles acérés.

Oh, sa bouche commence à m’exciter, pensai-je. Je ne suis qu’une obsédée sexuelle… Mais dans l’état où je suis… je sens que je ne peux pas résister…. que va penser de moi Maxime ? Je suis une petite salope… même les nains me font de l’effet maintenant…

Malgré ma réticence cela commençait à me stimuler plus que sérieusement. Ses yeux globuleux étaient fixés sur la peau dorée de mon ventre largement dénudé du fait de mes gigotements.

— Sale porc lubrique, lui dis-je pour l’exciter.
— Tu fais la fière, hein ? Tu vas voir.

Sa main parti à la rencontre du renflement de mon sexe qui, du fait de ma position, se tendait vers lui. Je sentis la chaleur de sa paume sur mon pubis. En souriant, il attrapa ma jupe et la tira lentement vers le bas, faisant apparaître le porte-jarretelles, puis le string diaphane qui glissa légèrement et découvrit le haut du petit triangle de poils ras de ma toison blonde et épilée. Il descendait le vêtement avec une lenteur calculée, il la laissa choir sur le sol. Ce jeu morbide, sachant que l’on filmait et que Maxime n’en perdait pas une miette m’excitait de plus en plus :

— Putain, que tu es belle, petite garce ! J’adore ta lingerie, je suis autant excité par le contenant que le contenu !
— Non, arrête… pas ça !

Il s’était accroupi et attachait mes chevilles, il tira ensuite sur les cordes et mes jambes furent obligées de se séparer largement. Avec mes bras étirés vers le haut, mes jambes écartées, j’offrais aux caméras un plan superbe sur mon intimité. Ça m’émoustillait de plus en plus et le string commençait à laisser apparaître les traces de mon désir naissant, ce qui le rendait encore plus transparent et laissait deviner la fente de ma féminité.

Le gnome noir se planta devant moi et ses yeux examinèrent mes seins offerts, mon ventre bombé, son doigt frotta le tissu humide du string.

— C’est bien, salope, tu mouilles, dit-il en enfonçant son médium dans mon orifice vaginal à travers le string.

Il sortit de sa poche deux épingles à linge en acier, et en me disant que les pointes de mes seins avaient diminué de volume, il me les accrocha à la naissance des tétons, qui aussitôt sous la douleur se tendirent à nouveau.

— Ça te plaît, on dirait ? Dans la longueur, on ne peut pas faire mieux !

Les poulies grincèrent. Je me retrouvai à genoux, mais le torse presque à l’horizontale, le dos presque parallèle au sol, les jambes toujours largement ouvertes. La position était vraiment inconfortable. Mais ainsi positionnée, je sentais les lèvres de mon sexe se séparer et celui-ci s’ouvrir lentement sous le string qui était maintenant complètement trempé par mon foutre. Le réalisateur devait faire un zoom. Il se mit à plat ventre entre mes cuisses, sa bouche était à hauteur de ma vulve. Je sentis sa langue venir caresser par de petits attouchements mon clitoris à travers le tissu du string. Puis il se débrouilla pour baisser avec sa langue et ses dents, le mince rempart et commença à mordiller mon petit bouton rose qui se gorgea de sang et devint dur, je gémissais de plaisir.

J’imaginais les milliers de gens qui allaient voir la vidéo, cela décupla mon excitation. Et puisqu’elle était principalement destinée à des noirs et à des asiatiques, je voulais qu’ils bandent, se masturbent et éjaculent en me regardant sur ces images. A cette pensée mes hanches furent prises d’un mouvement convulsif, et j’imprimai à mon ventre un balancement lascif, en poussant de petits cris de jouissance, écartant le plus possible les cuisses pour leur faire profiter du spectacle. J’avais complètement oublié la présence de Maxime. A ce rythme je sentais que ma délivrance allait arriver. Mais tout à coup, le nain cessa. Il voulait m’exciter jusqu’à ce que je le supplie de me faire jouir. Il repassa derrière ma tête.

— Tes tétons sont de nouveau en berne.

Et il tourna les épingles à linge. J’émis un gémissement de plaisir. Il les repositionna bien à la base des aréoles, mes mamelons réagirent aussitôt et pointèrent largement au-dessus des petites mâchoires. Il se pencha, les saisit à tour de rôle entre ses dents, et se mit à me les mordiller assez fortement, pour me tirer des gémissements de plaisir teintés de douleur. Il avait quitté son pantalon et enjambé ma tête, je sentais ses couilles noires me caresser la figure.

— Lèche-les, m’ordonna-t-il.

Je m’exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirais l’une après l’autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit son phallus noir dans ma bouche. Il n’était pas gros et je l’avalais de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes, je sentis sa verge qui commençait à avoir des contractions. Il l’enfila dans ma gorge jusqu’à sa toison bouclée et éjacula à grand trait dans ma bouche :

— Avale Salope, avale le sperme du nain… Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh, c’est bon ! Tu aimes les nains noirs, on dirait… Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme…

Il s’éloigna fouilla sur les étagères et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.

— Regarde ce que j’ai trouvé dans un casier. J’ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire jouir…

Il me montra l’énorme engin, d’un diamètre énorme et orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu’elles étaient flexibles lorsqu’ avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemiché sur son sexe et l’attacha fermement autour de sa taille. D’un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonta jusqu’à l’orifice vaginal qu’il pénétra légèrement. Il recommença l’opération, plusieurs fois, chaque fois que le gland de l’engin arrivait à l’entrée de mon méat, je donnai un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant. Je gémissais de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criais de délice et de souffrance, la grosseur de l’engin et les cornes me griffaient les parois vaginales. L’extase et la douleur se mélangeaient délicieusement. J’étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensais aux futurs spectateurs et écartais les cuisses en poussant des cris de satisfaction :

— Ah ! Tu aimes ?

Il enfonça d’un violent coup de reins l’objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvraient davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu’il eut tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.

— Aaaaahhh, oui, oui ! Encore, encore, n’arrête pas ! hurlais-je.

J’avais honte que ce nabot puisse m’exciter autant et me demandais ce que Maxime pouvais penser de moi. Mais je tombai dans la luxure, je n’étais plus qu’un sexe qu’il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s’accéléraient, mes râles se mêlaient aux halètements du nain. Puis je me laissai déborder par les premières vagues de jouissance, et ce fut ensuite l’orgasme qui déferla sur mon corps. Je me cambrai en hurlant et le nain fut rejeté en arrière par la v******e de mon spasme.

— Putain ! Dit-il. Toi lorsque tu jouis, tu ne fais pas semblant !

Sur ces mots, la porte s’ouvrit le réalisateur entra, ayant eu ce qu’il voulait, ma jouissance devant les caméras :

— Ça va, William, dit-il au nain. Nous reprenons le contrôle de la situation, la rançon va être versée, tu peux partir.

Le nain se rhabilla, et en me jetant un regard envieux et triste, sortit de la salle tandis que le producteur me déliait.

— C’était super, Trixie. Un léger mixage et nous pouvons le mettre sur le marché. Voici votre argent, le montant convenu… Au vu de votre prestation, le Directeur va être aux anges. Alors ça vous a plu ? Vous signez ? Je vais vous donner une copie du DVD. Voilà votre argent, il me tendit une liasse de gros billets.

— Ben dis donc, me dit Maxime, en taille, c’est le contraire de Gérald. Mais il t’a drôlement fait jouir, le gnome… Tu t’es éclatée, petite salope. Tu me donneras une copie !

— Je ne sais pas toujours pas, répondis-je au réalisateur… j’aimerais bien… il y a pas mal d’argent à gagner en effet, mais je ne voudrais pas perdre mon job… Si je pouvais tourner le week-end ou pendant les vacances, peut-être… Essayez de voir si c’est possible et renvoyez moi par mail le nouveau contrat.

A suivre…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire