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Perfect Mask (3)

Perfect Mask (3)



Perfect Mask (3ème partie)

Dans un premier temps, elle l’avait poussé sur le lit. Il s’était retrouvé couché sur le dos, en travers. Elle s’était rapprochée doucement avec des gestes de félins en manque de caresses. Leurs bouches s’étaient de nouveau réunies puis la jeune femme était descendue plus bas, déposant de légers baisers dans le cou de Samuel. Elle avait dégagé la poitrine de son partenaire avant de lui mordiller les tétons.

La main de Clémentine s’aventura dans le slip de Samuel.

– Je le savais, dit-elle. Ta queue est raide.

Elle le branla tout doucement. La sensation était étrange, bien différente de la masturbation telle qu’il la pratiquait habituellement. Loin de lui apporter un soulagement, les doigts de Clémentine ne faisaient qu’exacerber le désir de Samuel. Il était resté passif, objet des attentions de la jeune femme. L’envie le prit soudain de la saisir par les épaules et de l’attirer à lui. Il le fit, mais sans brusquerie. Il palpa la poitrine de Clémentine à pleines mains. Ses seins étaient merveilleux, pleins de vie.

– Tu as envie de les sucer, n’est-ce pas ?

Il fit oui de la tête. D’un geste gracieux elle détacha quelques nœuds de son corsage hors de prix, ce qui eût pour effet de libérer sa poitrine. Il observa de nouveau les larges aréoles brunies par le soleil, approcha sa bouche d’un des mamelons qui s’érigea aussitôt sous l’action de sa langue.

– Hmmm, dit Clémentine, c’est bon. J’ai très envie de te sentir en moi. On va pourtant attendre encore un peu… J’ai un petit jeu à te proposer avant…

Elle pivota sur le lit, passa une cuisse par-dessus la tête de Samuel, lui présentant ainsi son intimité. Il n’avait jamais vu un sexe féminin d’aussi près. Entre des grandes lèvres discrètes émergeaient des nymphes ardentes, gorgées de sang. De la fente à peine entrouverte descendait une goutte de mouille. Au-dessus s’érigeait le capuchon du clitoris, bien visible. Une odeur discrète, aux légères notes maritimes, lui chatouilla les narines. Samuel se redressa, la langue tendue. Il devait absolument la goûter.

Clémentine sortit la verge de Samuel du slip en dentelle. Elle déposa un baiser tout doux sur le gland cramoisi. Elle lécha sa verge et ses couilles. De son côté, il explorait tous les replis de la chatte de la jeune femme avec délice. Elle avait un goût salé, légèrement acide. Clémentine poussa un petit cri quand la langue de Samuel toucha son clitoris, s’attardant sur ce point précis, prodiguant de délicieux chatouillis.

Samuel sentit une chaude humidité se refermer sur son sexe. Clémentine l’avait pris en entier dans sa bouche. Elle le suçait, lentement. Il eut peur de jouir tout de suite mais rien de tel n’advint.

Ils restèrent ainsi un moment à s’offrir mutuellement du plaisir avant que Clémentine ne décide de passer à autre chose. Elle se redressa, prit position accroupie face à Samuel, se saisit de sa queue qu’elle frotta un instant contre son sexe ruisselant avant d’introduire le membre rigide tout entier, lentement, appréciant chaque centimètre. La verge de Samuel était emprisonnée, aspirée. Il se laissait entraîner par cette sensation nouvelle. Clémentine entama un mouvement du bassin, oscillant à un rythme indolent qui progressivement s’intensifia en accord avec le trouble qui s’était emparé d’elle.

Le visage de Clémentine couvert par le masque, Samuel ne pouvait lire cette émotion qu’en sondant les yeux chavirés de la jeune femme. Soudain, elle s’arrêta, le corps crispé. Samuel sentit son sexe prit comme dans un étau par le vagin contracté. Clémentine poussa un long soupir et son corps se détendit. Elle roula sur le côté. Samuel se pencha sur elle et l’embrassa.

– Baise-moi encore, dit-elle en repliant les jambes sur ses épaules.

Samuel regarda le sexe offert et le pénétra à nouveau. C’était à son tour de donner la cadence, accompagné par les gémissements de Clémentine.

– Je prends la pilule, lui dit-elle.

Mais Samuel eût beau s’escrimer à grands coups de reins, rien ne vint.

– Tu n’y arrives pas ?
– Non, répondit Samuel.
– On va changer de côté.

Elle se mit à quatre pattes. Dans cette position, il allait plus loin, butant contre le fond du vagin. La fièvre ne les quittait pas mais Samuel restait désespérément bloqué. Son érection en devenait douloureuse.

– Tu peux me la mettre dans le cul, si tu veux, dit Clémentine.
– J’ai peur de te faire mal.
– Tu sais je suis habituée, ce salaud de Philippe passe souvent par là.

Samuel saisit son pénis luisant de mouille. Clémentine écarta les fesses des deux mains. Il positionna son gland contre l’anus de la jeune femme, se guidant du doigt. Ce fût plus facile qu’il ne l’aurait pensé. Certes le cul de Clémentine était plus serré que son vagin mais une fois le sphincter passé, sa bite glissa toute seule. Une fois en place, il n’osa plus bouger. La sensation était différente, comme si le rectum de la jeune femme tentait à la fois d’absorber et de rejeter le corps étranger.

Clémentine passa une main entre ses cuisses. Ainsi elle décuplait le plaisir à se faire sodomiser tout en se masturbant. Bientôt, elle se mit à respirer plus fort. Son anus se resserra à la base de la queue de Samuel.

– Je viens, dit-il.
– Oui vas-y ! Jouis dans mon cul.

Ils connurent simultanément l’orgasme. Clémentine s’effondra sur le lit, accompagnée par Samuel. Ils restèrent ainsi un long moment, soudés l’un à l’autre, la jeune femme retenant le pénis de son amant en elle le plus longtemps possible.

Elle se tourna vers lui, l’embrassant à travers le masque.

– Je crois que nous allons bien nous amuser tous les deux.

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