J’étais plutôt fier d’avoir dragué la fille du médecin. J’avais été dans la même classe dans son lycée et elle volait à dix mille mètres quand je faisait du survol. Tout ça pour dire qu’elle avait un cerveau et moi j’étais nul.
J’avais toujours été timide avec les filles et je ne savais pas les aborder et j’étais jaloux de tous mes potes qui sortaient avec elles, si bien qu’un jour, l’un d’entre eux avait sous-entendu que je serai pédé.
Ce n’était pas parce que j’avais sucé une bite et que j’en avais pris une dans le cul que ça avait fait de moi une tafiole. J’étais un incompris et et les incompris, ça se masturbe et pour tout sexe, je regardais des bouquins de cul et je me masturbais.
Je me masturbais n’importe où quand l’envie m’en prenais et je m’étais masturbé au lycée et j’avais été surpris par des filles et parmi elle cette Laura, la fille de mon médecin de famille. J’en avais été paralysé, incapable de réagir et elle m’avait encouragé à continuer et à aller jusqu’au bout.
– Presqu’un mètre, m’avait-elle lancé quand j’avais éjaculé et ça avait fait rire ses copines.
Je ne leur en avais pas voulu parce qu’elles n’en avaient rien dit à personne. Du moins, personne ne m’avait parlé de mon exploit. J’avais quitté le lycée et j’étais entrée dans une usine pour un apprentissage. J’imaginais que Laura continuait ses études et un jour que ma mère m’avait accompagné chez le toubib, elle lui avait parlé de sa fille et cet imbécile avait célébré les louanges de sa fille qui réussissait tout ce qu’elle touchait.
– Fini pour moi, maintenant c’est pour mon fils ! Il a des petits problèmes, avait ajouté ma mère !
Le toubib avait voulu que je reste seul avec lui pour m’ausculter. Je lui avais expliqué que j’ai des rougeurs et il m’avait dit de lui montrer et j’avais retiré mon pantalon pour lui montrer ma bite. Il faut dire qu’en ce moment-là, je n’arrêtais pas de m’astiquer la bite et je jouissais trois ou quatre fois par jour.
Ma bite n’était qu’une plaie. Bien sûr, le toubib ne m’a posé qu’une seule question : est-ce que je me masturbe. Je ne pouvais pas le nier. Il m’a dit qu’à vingt ans, il serait temps que je me trouve une copine. Moi, je voulais bien. Il m’a donné de la crème et j’en ai mis et je me suis masturbé encore plus.
Comment j’ai dragué sa fille Laura ?
Le week-end, je trainais dans les bois tout en cherchant un endroit pour me branler et j’avais trouvé un petit coin sympa et j’ai commencé à m’astiquer. J’avais les genoux pliés et je me branlais fermement quand j’ai vu une silhouette blonde au travers des buissons. Que cherchait-elle ? Tout à coup, la fille a tiré sa petite culotte sur ses genoux et elle s’est accoupie puis elle s’est mise à pisser puis elle a chié et j’avais pensé qu’elle allait se relever mais non, la fille a commencé à s’astiquer. J’avais plusieurs fois espionné ma sœur qui aimait ça. Cette blonde changeait de main régulièrement ca elle était ambidextre. Tout à coup, elle s’est arrêté et elle a ouvert son chemisier et elle a sorti ses seins des bonnets de son soutif et elle a recommencé à se masturber tout en roulant ses mamelons entre ses doigts.
– Oh, putain, oh, putain, oh, putain, j’aime ça, gémissait-elle !
Des seins aussi gros, je n’en n’avais vu que chez ma grand-mère chez qui ils descendaient sur le ventre. La blonde tirait sur ses mamelons et elle continuait à se masturber et elle a fini par jouir et elle est restée sans bouger, une main sur le sein et l’autre main sur sa chatte.
– Oh, putain, qu’est-ce que c’est bon, a fait la fille qui a renfilé sa petite culotte et remis ses seins en place puis elle est venue vers moi sans le vouloir.
– C’est toi, m’a-t-elle dit quand elle m’a vu ! Tu m’as espionné ?
Je lui ai répondu que non mais elle a ajouté que si je raconte ça, elle est morte.
– Je te propose un marché !
J’étais resté la bite à l’air, à moitié molle, sans avoir pu me terminer.
Tu peux me baiser, a ajouté la fille du toubib car c’était elle. Sans attendre ma réponse, elle a relevé sa robe et abaissé sa culotte sur les chevilles puis elle s’est penchée en avant pour se raccrocher à un arbre. Au milieu de son buisson abondant, je pouvais voir son trou et j’ai enfoncé ma bite.
– Oh, putain, je te baise, lui ai-je crié !
Elle m’a répondu qu’elle trop ça.
– Tu me la mets bien profond, a-t-elle ajouté ! Si tu cherchais une salope, tu l’as trouvée !
J’ai continué à sortir et à baiser avec elle mais elle a fini par trouver un interne encore plus vicieux que moi.
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