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Beau-père

Beau-père



Je m’appelle Océane et j’ai vingt-quatre ans. J’ai épousé Sébastien il y a maintenant trois ans et je dois avouer que ce qui m’a charmé le plus chez lui dans un premier temps… c’est sa famille.

Je suis issue d’un milieu plutôt modeste et lorsque j’ai été présentée à ses parents, j’ai tout de suite été troublée par le regard assuré, à la fois chaleureux et intimidant de son père et par l’élégance racée de son épouse. Ils occupaient chacun d’importantes fonctions juridiques, descendant de longue lignée de ce que l’on appelait autrefois la noblesse de robe.

Si sa mère Marie-Françoise devait avoir environ l’âge de la mienne, peut-être quarante-cinq ans, bien que la comparaison soit difficile, il semblait par contre que son père qui s’appelait Hubert, était bien plus âgé que le mien et devait avoir facilement la soixantaine.

Outre son beau visage qui m’avait troublée dès notre première entrevue, malgré ou à cause de ses rides qui dessinaient de plaisants reliefs aux coins de sa bouche et de ses yeux, ou sur son front. J’avais été séduite par ses tempes grisonnantes qui accentuaient l’éclat d’un visage tanné au regard vif et pénétrant.

J’étais également sous le charme de ce bel homme athlétique à la superbe carrure qui devait visiblement entretenir sa forme et ses formes par la pratique régulière d’activités physiques. Le contraste était troublant avec son fils qui m’avait charmé sur d’autres plans, mais qui était plutôt mince et dont la beauté du visage avait des traits presque féminins.

À vrai dire il avait tous les attributs de ce que l’on appelle un « vieux beau », mais j’avoue que cette appellation qui m’évoque généralement la course effrénée et perdue d’un Don Juan sur le déclin avait, portée par lui, l’agrément délicieux de celui qui a pu attirer et séduire un nombre sans doute impressionnant de femmes… sans savoir combien d’entre elles avaient alors dû succomber…

Dans ce regard qui se posait sur moi avec insistance et audace je ne vis pas, comme habituellement chez les hommes trop sûrs d’eux, la marque du machisme et de la vanité.

Pour la première fois je me sentis conquise par l’attention d’un seul homme, malgré l’évidence pour moi, que j’étais probablement à ses yeux une proie parmi bien d’autres.

En vérité, je ne savais rien alors de son passé de séducteur, mais je m’empressais d’une façon détournée d’interroger Sébastien pour qu’il m’évoque les « expériences sentimentales » de son père.

Il m’avoua alors qu’autrefois celui-ci avait été un véritable coureur de jupons, et que cela avait perduré bien après son mariage. Il se sentait lui-même assez honteux de cette situation, même s’il avait appris plus tard, qu’une des raisons de ce comportement se trouvait dans le fait que sa femme était très peu portée sur le sexe.

Il avait souffert durant toute son enfance de cette situation, étant souvent le témoin malgré lui de façon plus où moins directe des infidélités de son père.

Ainsi, il savait que ce dernier ne perdait pas une occasion de forniquer avec les domestiques qui défilaient à la maison à une cadence plutôt insolite.

Plusieurs fois, il avait surpris dans la maison la voix un peu honteuse de ces jeunes femmes sous forme de chuchotements, mais aussi de rires et de soupirs dont il ne connaissait pas dans un premier temps la signification réelle.

Ce n’est qu’à un âge plus avancé, lorsque mon futur époux était tout juste étudiant, qu’il prit la fâcheuse habitude d’occuper son temps, au lieu de développer sa propre sexualité, de traquer et de récolter les moindres indices des forfaits de son paternel, jusqu’à les consigner dans un cahier.

Il y avait, répertorié à chaque fois, une description de la proie, son âge (le plus souvent une jeune femme d’une vingtaine d’années, mais il eut aussi des partenaires bien plus âgées…), le lieu du forfait, et la description des indices qui lui parvenaient chaque fois qu’ils ne laissaient aucun doute sur la nature de l’activité accomplie. Cela pouvait aller de témoignages sonores qui parvenaient jusqu’à ses oreilles, de traces laissées sous la forme d’objets déplacés, défaits ou abandonnés et qui témoignaient d’autres abandons…

Si le père était un collectionneur de maîtresses particulièrement assidu, le fils n’en était pas moins assidu à en répertorier les prouesses.

« Et puis un jour je t’ai rencontré ! Et j’ai abandonné tout intérêt pour ce qui est des culbutes à répétition de mon père ! »

Il me dit cela avec air d’évidence qui me déstabilisa. Je me rendis compte ainsi que sans le savoir, un lien s’était établi entre son père et moi sous la forme d’une rupture qui semblait salutaire.

J’aurais dû m’en féliciter, mais curieusement, je ressentis comme une pointe de regret, comme s’il me manquait la suite d’une histoire dont j’espérais bien obtenir des éclaircissements.

— Et qu’est-ce que tu as fait du cahier ?

Il me répondit posément qu’il l’avait gardé dans un coin et je me rendis compte que je retenais un soupir de soulagement.

C’est, quelques jours plus tard, que je profitai d’une de ses absences pour mettre la main sur l’objet convoité. C’était un petit journal de format écolier, mais plutôt épais. Au hasard, j’en entrepris la lecture.

Samedi 18 mai :

Cela fait trois jours que nous avons engagé une nouvelle bonne qui s’appelle Noëmie et qui est plutôt jolie, avec son beau visage aux traits fins et sa silhouette aux rondeurs de jeune demoiselle. Ce qui ne gâte rien c’est que le costume que nous mettons à sa disposition lui va à ravir. Elle fait l’effet, avec son corsage blanc qui laisse deviner une poitrine généreuse, sa jupe mi-courte serrée à la taille et ses cheveux corbeaux tirés en arrière, d’une charmante soubrette telle qu’on pouvait en rencontrer dans les années 1900.

Comme cela m’arrive malheureusement souvent, j’étais moi-même tombé sous le charme de cette ravissante employée. Mais évidemment je n’étais pas le seul et j’étais quant à moi, bien trop timide pour dévoiler ne serait-ce que l’ombre de mes sentiments.

Mon père très rapidement, après une posture un peu froide et intimidante qu’il adoptait toujours à l’égard des gens de maison fraîchement arrivés, témoigna d’une conduite beaucoup plus chaleureuse vis-à-vis de la jolie Noëmie.

Je me rendis compte qu’il ne perdait pas une occasion de la rejoindre dans une quelconque pièce dès que ma mère était absente. Et je pus entendre à travers la cloison, des bribes de conversations qui, bien sûr, confirmaient ses intentions…

— Monsieur, s’il vous plaît, je vous en prie… Si Madame venait ?..
— Que peux-tu craindre ? Est-ce que je te fais peur ? Est-ce que je ne te plais pas ?
— Ce n’est pas cela monsieur… vous me plaisez beaucoup et vous le savez… mais j’ai un petit ami et vous êtes marié.
— Ils ne sauront rien de tout cela… et nous aurons juste passé du bon temps ensemble…
— Oh ! Je vous en prie !…

Et puis ce ne furent que de longs soupirs. Et des petits cris tout juste étouffés qui faisaient désormais plus penser à des encouragements qu’à des rebuffades.

Un jour par hasard en entrant dans la cuisine, je découvris mon père le cul à l’air et le pantalon à ses pieds en train de pilonner Noëmie dont la jupe était retroussée jusqu’à la taille et dont l’opulente poitrine s’écrasait contre la table. Tout cela s’opérait dans un silence religieux qui avait été à l’origine de ma surprise, mais le sourire radieux qui habillait les lèvres de la jeune femme, ainsi que le fait que ses yeux semblent s’évader comme en extase vers un ciel invisible apparemment radieux, ne laissaient aucun doute sur la profondeur de la jouissance à laquelle la « soubrette » se livrait corps et âme.

Je feuilletai à nouveau de nombreuses pages, avant d’arriver à cette nouvelle aventure.

Vendredi 22 septembre :

Mes parents avaient invité voici quelques jours un couple d’avocats de leurs connaissances qui avaient à peu près le même âge qu’eux. Ils avaient une apparence aussi très classe et sans doute encore plus guindée et pour ne pas dire coincée que celle de mes parents.

L’épouse était presque une caricature de la femme à lunettes un peu stricte avec son petit chignon, si ce n’était cette opulente poitrine qu’il lui fallait dissimuler tant bien que mal sous un chemisier fermé très haut et paré d’un fin collier de perles.

C’est aujourd’hui même que je me suis rendu compte qu’il ne fallait pas toujours se fier aux apparences.

Cette fois-ci les bruits suspects venaient carrément de la chambre conjugale et je pouvais profiter d’une petite verrière qui surplombait un coin de la pièce pour vérifier l’intérêt et l’originalité du spectacle. Tout d’abord, l’avocate se complut à offrir à mon père les délices d’une somptueuse cravate de notaire, entre ses seins superbes aux larges aréoles brunes et aux tétines dressées.

Sans ses lunettes et le chignon défait, elle était presque méconnaissable. La crudité de ses propos m’auraient fait douter qu’il s’agissait bien de la même personne, sans quelques détails qui confirmèrent ma première impression.

 » Oh oui, branle-toi sur mes nichons, ils sont tout à toi… J’ai vu comme ça t’excitait l’autre soir de les reluquer à travers mes vêtements pendant tout le repas… T’étais pas gêné mon petit salopard de me désaper rien qu’avec ton regard et de me fixer dans les yeux comme si tu voulais me dire que c’était fait. Comme une évidence que je serais dans ton pieu aujourd’hui, pour me faire sauter comme une petite catin… et ça ne te gênait pas de me baiser du regard à côté de ta femme et de ton fils et alors que mon mari, ton ami François, était assis à côté de moi !… T’as gagné mon cochon ! »

C’était complètement surréaliste d’entendre cette femme qui était une vraie bourgeoise, jurer comme une poissonnière, tout en gardant ce timbre de voix un brin snob, que j’avais entendu durant tout le repas.

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises ! Quelques instants après, je la voyais à quatre pattes se faire posséder par mon père et ce qu’elle se mit à vociférer me renseigna sur un détail technique…

— Comme c’est bon ! Vas-y… Bourre-moi bien à fond !… J’aime te sentir dans mon cul !

Cette nouvelle scène me fascinait littéralement. Voir ainsi cette femme mariée et respectable se faire enculer avec une telle exaltation avec ses grosses tétines qui ballottaient sous elle et voir mon père derrière elle, arc-bouté, lui agrippant les hanches pour lui baiser le fondement avec une superbe énergie !…

Je n’ai pas lu tous les détails d’un récit qui devait se prolonger encore et laissait à penser que les ébats adultères de ces deux amants avaient duré un certain temps…

En feuilletant encore ce gros cahier qui devait bien faire deux cents pages et qui était presque entièrement rempli d’une écriture serrée, je réalisai l’ampleur des prouesses sexuelles accomplies par ce monsieur d’un abord si respectable et cérémonieux. Sans compter que bien des aventures avaient dû échapper aux investigations de mon cher mari, parce que le forfait ne s’était pas accompli dans le cadre strict de la maison.

D’ordinaire une telle attitude aurait provoqué ma défiance ou mon dégoût, mais c’est là que je me mis à réaliser que j’étais déjà sous le charme moi aussi, comme tant d’autres femmes avant moi.

Rien ne pouvait me raisonner et la lecture de ce cahier n’avait fait qu’attiser ma curiosité et mon désir à l’égard de cet homme dont j’étais la bru, la belle-fille. L’émoi physique que je ressentais, et cette volonté violente de me retrouver pour la première fois en tête-à-tête avec cet impressionnant personnage qui me vouvoyait, dans un rapport quasi filial, ne pouvait me tromper. Mes intentions n’étaient ni innocentes, ni honnêtes, mais je crus pendant plusieurs mois devoir y renoncer.

Notre rapport continuait en présence d’autres membres de la famille à être celui que l’on doit attendre d’une relation entre un beau-père et sa belle-fille.

* * *

Un jour, où Sébastien m’avait demandé de vérifier des comptes, et alors qu’il devait s’absenter une bonne partie de l’après-midi, je m’étais endormie sur son bureau sous l’effet de la fatigue. Ce n’est qu’après un moment, dont je n’étais pas en mesure de percevoir la durée, que j’ai senti sa main sur mon épaule. Je lui ai pris tendrement pour lui signifier que je sortais doucement de mon sommeil, mais c’est alors que j’ai réalisé que ce n’était pas sa main ! Elle était plus large et rugueuse et surtout, je perçus du bout des doigts le relief formé par de petites rides.

J’étais encore dans un demi-sommeil sur le point de sursauter, et en même temps la chaleur douce et déterminée de ce contact me rassura aussi rapidement qu’elle m’avait angoissée. J’étais sur le point de me relever ainsi tiraillée entre deux sentiments, quand j’entendis sa voix grave et apaisante…

— N’ouvrez pas les yeux ! C’est moi Hubert, vous n’avez rien à craindre…

Et ces simples mots me firent deviner qu’au contraire j’avais tout à craindre!… mais je me rendis compte que je ne faisais aucun mouvement de recul et que j’obéissais servilement à sa demande, et qu’en gardant les yeux fermés, je m’abandonnais langoureusement au contact de sa main.

Ce n’était plus un simple attouchement, c’était une caresse qui flattait mon épaule. Je me redressai lentement pour poser mes coudes contre l’écritoire et je me rendis compte instantanément que je lui offrais ainsi une plus grande liberté de gestes.

Je n’avais pas peur, j’étais dans un total sentiment d’abandon. Je me sentais heureuse, comme si ce moment, je l’avais attendu sans oser l’avouer et peut-être depuis cet instant où je l’avais rencontré pour la première fois…

Il fit glisser sa main délicatement jusqu’à frôler de ses doigts la base de mon cou. Il dut percevoir au toucher le frémissement qui parcourait mon corps sous l’effet de ce contact pour la première fois direct et espéré…

Ses doigts se mirent à jouer comme sur les cordes d’un instrument singulier, à la recherche de quelque trésor que je devinais pouvoir lui offrir par le spectacle, dévoilé à ses yeux, de mon décolleté. En effet de l’endroit où il était placé, derrière moi, il s’offrait à sa vue d’une façon impudique.

J’avais toujours les yeux fermés, mais je sentais, je ressentais son regard dénuder mon buste. C’était comme si sans esquisser le moindre geste, sous le seul effet d’un désir masculin violent, il avait jeté à bas mon corsage et mes sous-vêtements pour savourer le spectacle de ma poitrine menue, mais plus ferme que jamais.

Je sentais en effet mes seins réagir au contact maintenant de ses deux mains qui, en caresses circulaires, ne flattaient, pour l’instant, que la partie la plus haute de mon buste. Et puis il y eut le souffle chaud le long de mon oreille, sur laquelle bientôt il posa délicatement ses lèvres, m’offrant un subtil baiser qui à son tour me fit frémir et éveilla mon excitation.

Je me sentais plus que jamais femme et je n’avais plus qu’un désir… lui offrir ce qu’il voulait de moi !

C’est alors que sa bouche glissa de mon oreille jusqu’à ma nuque, et que je perçus le contact humide de sa langue contre mon cou. Ses mains avaient abandonné l’attouchement direct de ma peau, pour caresser, comme pour en révéler progressivement le relief, à travers l’étoffe, le galbe de mes seins.

J’étais soudain fière de ma poitrine que je trouvais souvent trop discrète, et qui me semblait pour la première fois réagir de façon éloquente à une si tendre sollicitation. Je choisis ce moment pour me redresser davantage et plaquer mon dos contre le dossier de la chaise, de telle façon qu’il puisse découvrir désormais le haut de mon torse et la fine dentelle sombre et transparente de mon bustier. Celui-ci laissait deviner le contour de mes aréoles sombres et gonflées qui contrastaient avec la blancheur de la carnation de mes seins.

C’est alors qu’il se pencha plus en avant et fit basculer ma tête en arrière, me plaçant ainsi dans une posture de total abandon. Sa bouche ne tarda pas à se poser sur la mienne. Sa jolie bouche que je rêvais d’embrasser, prodiguait sur mes lèvres de savoureuses caresses, alors que ses mains flattaient les moindre recoins de mon visage, puis se mirent à effleurer mon cou, puis mes épaules.

Je me retrouvais dans une position totalement impudique comme si je faisais l’offrande de ma chair à cet homme qui restait un mystère pour moi. Je réalisais tout juste qu’il s’agissait du père de mon mari !

Mais ce que je découvrais surtout c’est que cette présence masculine si forte était en train de réaliser mes désirs les plus déraisonnables.

Je ne m’étais tout d’abord pas rendue compte, tant je me délectais d’avoir à me rendre corps et âme à sa seule volonté, que sa main gauche s’était glissée sous mon vêtement et qu’il était en train de palper mon sein avec sa paume un peu rugueuse. Dès que je le ressentis, ce contact un peu âpre et ô combien audacieux, me fit frémir ! Mon petit téton tenait presque entièrement dans sa main qui le massait maintenant avec énergie.

Il faisait rouler mon bout de sein sous ses doigts à l’instant même où sa langue s’introduisait dans ma bouche. Comme c’était bon de sentir un bout de sa chaleur me pénétrer maintenant. Sa langue léchant la mienne, ses lèvres se mettant à la sucer.

Puis ce fut au tour de mes lèvres d’être tétées par les siennes. Il me frottait la poitrine avec vigueur et éloigna son visage un instant…

— Est-ce que vous aimez ?

Bien sûr que j’aimais! Mais je ne savais plus même ce que je disais, et si c’était moi qui avait l’effronterie de lui répondre :

— Continuez, je vous en prie, continuez encore, j’ai tellement envie de vous faire plaisir… S’il vous plaît pincez-moi ! Pincez-moi les seins !

Je n’eus pas longtemps à attendre la réalisation de ma volonté. Il se mit à maltraiter mes bouts de seins avec application. Cette fois-ci les deux mains étaient plongées outrageusement dans mon corsage… Il poussa un peu plus loin son investigation en me massant d’une main le haut du ventre, tout en ne cessant pas de me peloter avec rage. Il eut du mal à forer de son gros doigt mon petit nombril, mais cette intrusion nouvelle eu le don de m’exciter encore davantage!

Je ne sais pas depuis combien de temps, mais je ressentis alors entre mes jambes, de par l’humidité et la chaleur que je discernais, combien j’étais envahie par le désir. Le désir, qu’il vienne au plus profond en moi…

D’une main habile et expérimentée, il dégrafa mon bustier et en fit glisser les bretelles, de telle sorte qu’en un instant je me trouvais torse nu ! Je ressentis une pointe de honte devant le spectacle qui devait s’offrir à lui, et notamment celui de mes seins dont la pointe érigée trahissait mon émoi.

Et puis je pus goûter contre le bas de mes reins, car il s’était accroupi, le doux contact de la proéminence calleuse de sa virilité qui se frottait déjà tout près de ma raie fessière. Il prit aussitôt ma main pour la guider vers son sexe. Et l’accompagna d’un mouvement explicite pour que je le caresse.

Je fus surprise de sentir le long de mes doigts le contact de sa peau fripée, et je réalisais qu’il avait déjà ouvert sa braguette pour libérer son membre. Ce dernier paraissait à la fois plus épais et plus long que celui de mon mari. Il m’apparut aussi dans ce frémissement de chair, cette palpitation chaude et visqueuse, comme un a****l fidèle, compagnon des jouissances à venir…

Je le sentis derrière moi se relever et prendre appui sur ses longues jambes bien fermes. J’étais à la fois effrayée et terriblement excitée par tout ce qui m’arrivait.

Je ressentis un frisson inattendu, lorsque le bout de sa verge décalottée vint se blottir au creux de ma nuque. C’était un contact qui me parut divin, mêlé de fraîcheur et de chaleur, d’âpreté et d’une humidité gluante à son extrémité qui trahissait, avec le fait qu’il bande d’une façon insolente, le désir qu’il avait pour moi.

En fait j’étais comme folle, et je ne pus m’empêcher de tourner la tête pour le regarder, pour m’assurer qu’il était bien là, blotti contre ma joue, tressaillant contre mon visage. Je ressentais à plein nez le violent fumet de son sexe, mélange d’urine, de transpiration et de sperme séché.

Tout cela était délicieusement immoral et obscène. Mais quand je pris son membre entre mes lèvres, je ne pus m’empêcher de penser à Sébastien, qui à cause de ses complexes ne parvenait jamais à bander dans ma bouche !

Comme c’était bon de sentir ce membre dur frotter l’intérieur de mes joues, mon palais, ma langue qui savourait goulûment cette sublime gourmandise !

Je le suçais religieusement, tournée vers lui désormais, en position de prière telle que l’aurait fait une bonne-sœur, devant l’objet de son adoration. Cet objet, je voulais l’engloutir et le flatter pendant de longues minutes. Mais ses mains puissantes qui caressaient maintenant mon petit cul bien ferme dont j’étais assez fière, me laissaient espérer d’autres pénétrations !

Il entreprit de caresser et de masser mon corps à moitié nu et qui semblait si frêle soudain entre ses mains épaisses. Pendant tout ce temps où je n’étais plus qu’un objet de plaisir sculpté à mains nues par cet artiste sensuel et si talentueux, je n’abandonnai pas mes caresses buccales pour la jouissance exclusive de mon beau créateur…

Mes mains n’étaient pas non plus inactives et j’adorais caresser ses bourses toutes fripées et masser ses boules si sensibles. Comme dans une plainte, il me demandait de continuer…

Au bout d’un moment il a glissé ses mains sous mes aisselles pour me relever doucement, de façon à ce que je sois également debout, face à lui. Il me dépassait de plus d’une tête, mais il approcha à nouveau son visage pour m’embrasser, ou plus exactement pour m’envelopper les lèvres de sa grande bouche terriblement sensuelle.

Il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses, releva ma jupe, et ses mains puissantes alors enlacèrent ma taille qui devait lui paraître bien fluette, pour me soulever du sol sans effort… Mes fesses nues bientôt se trouvèrent au contact du rebord métallique et froid du bureau de mon mari, et un violent frisson parcourut tout mon corps de mes orteils à la pointe des seins.

Tout cela était comme une danse, un rituel qu’il avait sans doute tant de fois répété avec d’autres que moi, mais à cet instant j’étais seule à être sienne !

Et ce qui était singulier à notre relation et ce qui je dois l’avouer désormais participait à la puissance de mon excitation, c’était la dimension honteuse, crapuleuse de cet adultère. J’étais sur le point de me faire baiser par le père de mon mari ! Et le trophée qu’ainsi je lui offrais, avait à n’en pas douter pour lui aussi une saveur particulière…

Quand il écarta mes jambes doucement pour que j’offre à sa vue le spectacle de ma chatte entièrement rasée et humide du désir que j’avais d’être pénétrée, je me laissai faire… De même lorsqu’il approcha son sexe imposant pour le frotter tout doucement au mien.

Il était en train de me masturber de son gland massif, et je ne pus longtemps soutenir son beau regard qui avait dû se mirer dans celui de nombreuses maîtresses conquises.

Ma tête bascula lorsqu’il me pénétra brusquement, et ma jouissance était déjà telle que j’en avais la chair de poule.

Curieusement, quand me retourna pour me prendre en levrette, je me mis à penser à la jument de leur propriété que j’avais vue se faire saillir la semaine dernière par leur plus bel étalon. Je ne maîtrisais plus rien, et par sa seule force, il fit coulisser violemment son bassin entre mes cuisses, qui contrastaient sans doute par leur légèreté avec celles vigoureuses de ce bel athlète en pleine maturité.

Mon sexe était comblé, envahi, possédé au sens le plus fort par son membre énorme. Mais ce n’était rien face à ce qui m’attendait.

Il se retira brusquement de moi et présenta sa verge à l’entrée de mon anus. Pour la première fois, je voulus protester en essayant d’un geste malhabile de la main de détourner l’engin de cette nouvelle cible, et c’est alors qu’il me chuchota à l’oreille ces mots qui finirent par me soumettre à sa seule volonté:

 » Tu es ma plus belle conquête et la plus exquise par le lien familial qui me lie à toi, mais pour que notre étreinte soit accomplie et totalement consommée, il faut que tu me livres aussi ton charmant trou du cul !
— Je ne l’ai jamais fait à personne !
— Raison de plus pour m’offrir ainsi ce qu’il te reste de virginité ! »

Cette réponse évidente me laissa totalement désarmée, à tel point qu’au bout d’un instant c’est moi qui pris la décision soudaine de m’emparer de sa bite, pour la positionner résolument tout contre ma rondelle! Il n’eut pas à esquisser le moindre geste, et c’est moi qui en me redressant et en plaquant mon dos contre son torse, c’est moi seule qui vins empaler ma croupe contre son sexe triomphant.

J’étais devenue une cavalière consciencieuse et lubrique qui chevauchait gaillardement mon nouvel étalon sûrement étonné de mon attitude soudain si délurée, malgré la douleur puissante qui envahissait le tréfonds de mon postérieur !

J’ai dû à un moment perdre connaissance…

Lorsque je me suis réveillée encore nue et à l’abandon, affalée contre le cuir du sous-main du bureau de Sébastien, son père était quant à lui déjà tout habillé et se penchant vers moi me dit :

— Il va falloir apprendre à ne rien laisser paraître… et continuer à nous vouvoyer comme par le passé…

Il m’offrit son sourire le plus séduisant et un tendre baiser qui caressa tout juste mes lèvres. Je ne m’étais jamais sentie aussi femme !

Quand une heure plus tard mon mari, qui me semblait ce jour-là plus jeune encore que d’habitude, vint me rejoindre pour m’adresser à son tour un tendre baiser, je fus surprise de ne sentir aucune gêne.

C’était un peu comme si chacun de ces hommes, représentant les charmes de leur génération respective, devaient naturellement à leur tour combler mes désirs de femmes dont je n’avais pas saisi jusqu’ici l’étendue. En quelque sorte, j’étais prête à assumer ce rôle de maîtresse voluptueuse du père comme du fils… mais les évènements en décidèrent autrement.

Hubert prit à nouveau ses distances et de façon durable et bientôt je me sentais désespérée.

Au bout d’un certain temps, face à son indifférence, je me mis à penser que d’évidence une autre relation devait combler ses envies, et en même temps je ne trouvais aucun indice qui puisse étayer mes soupçons…

C’est alors que face à un tel mystère j’entrepris de chercher une réponse dans le gros cahier qui, je l’espérais, était resté à sa place !

Le cahier était bien là et je me mis à le feuilleter sans découvrir la trace de la moindre relation durable, mais au contraire une palette de « proies » d’une diversité que je n’avais pas imaginée…

C’est en feuilletant les ultimes pages, que je tombais sur cette dernière aventure écrite clairement de la main de mon mari :

Vendredi 2 novembre :

Pendant mon absence, il a possédé Océane sur mon bureau et j’ai appris qu’elle avait pris beaucoup de plaisir, notamment quand il est entré dans son cul !

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