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Ma patronne.

Ma patronne.



Je retrouvais Madame Mathilde, ma patronne (après notre épisode « cochons »), le lendemain au petit déjeuner.
Comme d’habitude, elle vaquait à ses taches ménagères. Le peignoir négligemment entrebâillé sur son corps pulpeux et confortable. Beau cul bien galbé, seins majestueux.
– Alors, bien dormi, mon petit,
– Oh oui, Madame Mathilde !
– Tu sais, Yves, vu l’état de nos « relations », en privé tu peux me tutoyer, et m’appeler par mon « petit nom » : Mati !
– Oui patronne ! Euh… Mati !
– Pas trop fatigué par ta journée d’hier ? Me fit-elle en me faisant un clin d’œil.
– Non non, même plutôt content !!!
– Moi aussi j’ai bien aimé !!! Tout ce que tu as fait… Pour la ferme … Et pour moi !
– Moi aussi j’ai aimé !
– Je te prépare une surprise pour ce soir… Mais avant… Au boulot…
Inutile de dire que durant toute ma journée de travail, les mots de Mathilde me firent cogiter… Que préparait cette quadragénaire au sang chaud ?
Le soir après ma dure journée de travail, je rentrais, et me dirigeais vers la salle de bains pour une douche bien méritée…
Bien savonné, bien rincé, je sortis de la douche pour m’essuyer. C’est à ce moment là que Mathilde fit son entrée dans la salle de bains… Seulement vêtue d’une nuisette noire transparent qui ne cachait pas grand-chose de son corps fait pour l’amour. A la vue de cette apparition mon sexe se mit au garde à vous. Mathilde me tendit une serviette, et la posant sur mes épaules, elle me frictionna le dos, puis me faisant face elle m’essuya le torse. Au travers du tissu, la sensation donnée par ses mains sur mon corps m’excitait. Mathilde se trouva face à mon sexe dressé.
– Alors mon petit, heureux de la surprise promise ce matin ?
– Comment dire le contraire.
– Oui c’est vrai, je vois que tu as l’air « intéressé ».
– …
– Après ce que nous avons vécu hier, aujourd’hui je vais bien m’occuper de toi. Viens suis moi dans ma chambre. Me dit-elle en empoignant ma queue et en me guidant vers sa chambre.
– …
– Voila c’est mon chez-moi !
Je devins rouge écarlate, et le fait qu’elle ait touché mon sexe en érection m’excitai encore plus ! Elle s’approcha doucement, m’embrassa sur le front, puis sur les joues. Ses seins face à moi, tandis que ma queue elle se dressait comme un obélisque vers son ventre distant de quelques centimètres seulement. Elle passa sa main autour de mon cou, et me caressa les épaules, ce qui continuait à m’exciter encore plus.
Je n’avais d’yeux que pour ces seins, là à portée de mes mains, n’attendant qu’une autorisation. Elle fit tomber son déshabillé…
– Alors tu n’avais jamais vu de femme nue ? Des petites copines ?
Je ne voulais pas lui avouer mes relations avec ma tante Mado et avec la grosse Gina ! Je me tus.
Elle posa sa main sur mon sexe en érection lequel sentant cette main douce repris encore de la vigueur. Et elle se mit à me branler doucement. Oh la la ! Encore deux ou trois caresses et j’explose ! Je ne pus que lui prendre les bras, ce en quoi elle ne me repoussa pas, puis je remontais mes mains en direction de ses épaules, et l’essayais de l’attirer vers moi pour lui rouler un patin.
— Tranquille! Pas de bêtises !
Ca alors : Pas de bêtises ! Elle en a de bonnes, et elle c’est quoi qu’elle fait ?
— Et toi tu n’en fais pas des bêtises ? Lui dis-je
— Moi je peux, et puis une fois que je t’aurais purgé tu seras plus calme !
Ainsi c’était ça elle voulait me faire jouir ! Je la pris dans mes bras. Elle tremblait. Ses lèvres ne se dérobèrent pas quand les miennes s’en approchèrent. Ma langue explora son palais. La sienne s’aventura dans le mien.
Elle se met alors à genoux devant moi, et pose sa main sur mon sexe bien au garde-à-vous , puis approche sa main pour me masturber. Un petit sourire en coin et elle approche sa bouche tout doucement, sort sa langue. Elle me jauge puis, d’un geste rapide de la tête, enfourne la moitié de mon sexe dans sa bouche et commence un va-et-vient rapide. Elle tète ma queue. Sa langue en profite pour appuyer sur mon bout sensible à chaque fois qu’elle tente de l’enfoncer au fond de sa gorge.
– Oh, je vais jouir, Mati !
– Vas- y crache crache ! C’est bien…
– …
– Graisse moi le palais, envoie moi tout, salopiot !
– Voilà, ça y est je jouiiiiiis ! Ouiiii !
Mes couilles sont bien remplies et mon sperme se libère en giclées abondantes, elle avale sans broncher.
– Petit cochon, tu aimes ça, vicieux,
– Aaaah oui cochonne, tu es une bonne pipeuse !
– Maintenant que tu as joui, nous allons passer à autre chose. Me dit-elle en m’entrainant sur le lit.
On s’embrasse. D’abord, légèrement. Chacun picore la bouche de l’autre comme dans un jeu d’enfant, cherchant de plus en plus le contact avec ses lèvres. Puis nos langues commencent à chercher le contact de l’autre. Elle est habile et elle sait l’enrouler loin sur la mienne puis la retirer avec précipitation et attirer la mienne dans sa bouche.
Collé à elle, je sens son corps se réchauffer à mon contact. Mes mains que j’accroche d’abord à ses épaules, glissent vers ses hanches, un peu larges et légèrement évasées. Elle a une peau satinée, douce, souple, chaude. Et ma main abandonne le sein au bout raide pour descendre vers son ventre. Pour me montrer qu’elle attend mes caresses, elle se décolle doucement de moi en écartant légèrement les jambes.
Puis agenouillée entre mes cuisses elle s’empare de mon sexe, raide et déjà longuement excité.
Enfin elle retombe sur le dos… Et moi je me précipite sur ce corps si sexy ! … Je me suis retrouvé face à son ventre. Elle tend son bras vers mes jambes pour prendre ma queue pendante et la caresser… J’ai enduit mon index et mon majeur de salive puis j’ai commencé à la branler en lui frôlant d’abord la vulve avant de pénétrer plus avant dans son étui… Ca lui a arraché un gémissement presque a****l…
– Ah oui, caresse-moi comme ça, avec le bout des doigts, touche-moi là, ça me fait du bien!… Tu sens sous ton pouce mon bouton qui gonfle?… Masse-le, tourne autour… Vas-y encore, continue, ne t’arrête pas… Hum, hum, oui…
Je la masse comme elle le réclame… . Le jus qui s’échappe de son sexe par tous les côtés me rend fou… Je le regarde couler à chaque fois que mes doigts s’enfoncent pour pistonner son trou. Avec mon autre main, je lui lutine le clito.
Nous nous sommes rapidement retrouvés tête-bêche…
Elle gigote de plus en plus au fur et à mesure que mes attouchements se font plus précis.
Embouchant ma bite, ses doigts continuaient toujours à me masturber le manche et les couilles.
– Hmmm, hmmm… Elle est bonne ta pine mon petit!… Ohhh, la bonne sucette! Hmmm, tu sens ma langue? Ahhhh!…
Bien sûr que je la sentais! J’ai sorti mes doigts de son trou et j’ai plaqué ma bouche sur sa fente… J’ai aspiré son clitoris entre mes lèvres et l’ai caressé avec la langue…
– Oh, mon petit chéri, oui, fais-moi ça!.. Bouffes-moi la chatte si tu veux que je continue à te pomper… Vas-y, vas-y, lèches-moi la vulve, bois mon jus! Tète mon bouton!…
– …
– Tu me bouffes la moule! Oh, petit cochon, oui, mordilles-moi, mords mes lèvres, suces-les avec ta bouche! Aaaahhhh, vicieux, petit pervers! Ce que c’est bon! Attends, je vais encore te pomper la bite pour te remercier!
Elle est revenue sur ma queue et elle a englouti mon gland dans sa bouche. J’étais raide comme jamais. Mes couilles, qu’elle serrait dans sa main, étaient lourdes et tendues à craquer.
– – Ca suffit maintenant, je n’en peux plus! Il faut que tu me prennes, j’ai assez joué! Je veux que tu me fourres. Viens, viens, grimpe-moi dessus!
. J’étais au maximum de mon excitation. Je n’ai pas réfléchi et je suis allé me mettre entre ses jambes. Elle tirait sur mon sexe pour le faire entrer dans son trou. Son visage était déformé par le désir qu’elle avait de se faire baiser.
– Viens je te dis, prends-moi maintenant!.. Baise-moi bien à fond avec ton gros manche! Je veux te sentir dans moi mon chéri. Nique-moi, nique-moi tout de suite!…
J’ai poussé mes hanches en avant et j’ai fait entrer mon gland tout rouge dans la gaine de son sexe. C’était chaud et incroyablement humide.

– Bouge maintenant, défonce-moi avec ta grosse pine!… Ahhhh! Ahh h, ouiiii, comme ça, bien à fond dans mon trou!

– Saloope ! T’en veux de la bite ?
– Allez!… fourres-moi. Petit cochon, tu aimes ça, vicieux,
– …
– Viens, on va changer de position!… Laisse-moi faire!
Elle se redresse, se met à quatre pattes… Elle me présentait ses fesses… J’ai d’abord pensé qu’elle voulait que je l’encule… … Ses genoux sont largement écartés, ses reins creusés pour mieux se cambrer.
Je l’enconne… A fond…
– Mon Dieu ! Oh, mon Dieu !
– Ouais, vas-y !
– Oh, oui ! Oui ! Mets-la-moi ! Mets-la-moi ! Pine moi !
Plus je la baise fort et plus elle gigote, tortillant son cul dans tous les sens pour que je fouille tout le volume de son trou. Sa tête est écrasée contre l’oreiller et son crâne frotte contre la tête du lit. Elle tourne le visage sur le côté et je peux voir les grimaces de plaisir qui le déforment à chaque fois que je replonge mon membre en elle…
– T’en veux encore, hein ! Mati salope !
– Oh, oui ! Ooooh !
– Tiens tiens ! Prends ma bite !
– Oooh, oui ! Oui ! Vas-y !
– Tu la sens, là ?
– Oh ! Oh oui ! Oh oui !
– Qu’est-ce que tu mouilles ! Dis-le, que t’aimes ça ! Dis-le !
– Se faire biter par un jeunot ! Moi une vieille salope !
– …
– Oh ! Oh ! Qu’elle est grosse ! Oh ! Mon Dieu ! Ah, tu es au fond …
– Je crois que ça vient !
– Vas-y, plus vite maintenant… Aaaah! Je suis prête!…Je suis ouverte, tu sens comme je suis ouverte?… Allez! vas-y à fond!…
– C’est bon, hein, ma chérie ? C’est bon ?
– Oh oui ! Vas-y, mon cochon ! Mets-la-moi ! Mets-la-moi toute ! Aaaaah ! Ooooh ! Oh oui ! Je vais jouir ! Je vais jouiiiir !
– Oh, c’est bon ! Comme c’est boooon !
– Ouiiiii ! Ouiiiii ! Je jouiiiis !… s’écrit-elle.
La phrase se transforme en une longue plainte au moment où j’explose en longues et interminables giclées au fond de son vagin… Je m’affaisse sur elle et nous restons ainsi soudés, l’un à l’autre, plusieurs minutes tant la jouissance était intense.

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