J’étais en Terminale et je déambulais sur l’avenue en rentrant chez moi quand un homme m’avait abordée et il m’avait brièvement parlé de faire de la vidéo tout en me glissant sa carte dans la main. Je n’y avais pas prêté attention et j’avais glissé la carte dans ma poche de veste et c’est en la prenant que ma mère l’a trouvée et quand je suis rentrée elle m’a dit que j’avais laissé une carte de visite dans ma veste et qu’elle l’avait posée sur la cheminée.
C’est à ce moment que je me suis rappelé cet incident et j’ai regardé la carte. Il n’y avait qu’un nom et un numéro de téléphone. Une fois dans ma chambre, j’ai appelé le numéro et j’ai reconnu la voix de l’homme qui m’avait abordée et il m’a dit qu’il est content que je me sois souvenue de lui. Je me souvenais très bien qu’il m’avait proposé de faire des vidéos mais j’ai fait l’idiote.
– Vous vouliez quoi ?
– Allons, m’a-t-il répondu, une fille aussi jolie que vois, ça doit bien s’en douter ?
– Si c’est du cul, je vous dis non tout de suite, lui ai-je répondu !
– Vous êtes majeure, a insisté le type ?
– De si peu !
– Vous pouvez toujours faire un bout d’essai, a-t-il ajouté ? Vous avez un petit copain ?
– Non !
– Et pourquoi ?
– Parce que les garçons de mon âge sont trop bêtes !
– Et les hommes plus âgés, a encore insisté le type ?
– Ils sont tous mariés !
– Vous vous masturbez ? Vous avez déjà fait l’amour, a-t-il encore insisté ?
Je ne voulais pas passer pour une idiote et lui avouer que si je me tripotais souvent, j’étais encore vierge.
– Vous aimez le sexe ?
Je lui ai avoué que oui mais je n’avais aucune idée de ce que je pourrais faire avec un homme. Quand je lui ai dit ça, le type a ri et il m’a dit que je pourrais apprendre beaucoup de choses.
– On se dit quand, a-t-il ajouté ? Mercredi prochain, vous êtes libre l’après-midi, vers deux heures ?
– Euh, oui !
– Je vous enverrai l’adresse à ce téléphone a-t-il ajouté puis il a raccroché. J’ai regardé mon téléphone tout en me disant que je suis vraiment conne. Ma mère m’a appelée pour venir dîner. Quand je suis revenue dans ma chambre, me me suis regardée dans le miroir de mon armoire. Le visage… J’ai fait des grimaces et je me suis dite que c’est vrai, que je peux être coquine puis j’ai regardé mes seins et je me suis dite qu’avec des petits seins comme ça, je n’ai aucune chance puis j’ai regardé ma vulve. Je m’étais tellement caressée toutes ces années, qu’elle n’avait plus rien à voir avec la vulve que j’avais lors de mes premières règles et elle ressemblait plus à la vulve d’une vieille pute. Je m’étais rasée il y avait quinze jours et ça commençait à repousser. J’ai passé le bout de mon index dans ma fente et je me suis dite que si j’avais la chance de rencontrer un type comme Rocco Siffredi, je deviendrai une vedette du porno.
J’ai sorti le plug anal que je cache au fond de mon armoire et je me suis masturbée avec puis je me le suis enfoncé dans l’anus pour finir la nuit. Le lendemain matin, j’étais décidée à faire de bout d’essai mais j’avais encore plusieurs jours à attendre. Le mercredi matin, j’ai enfin reçu le message. L’adresse n’était qu’à deux rues de chez moi et j’ai dit à ma mère que je vais faire un tour puis j’y suis allée. Mon cœur battait à cent à l’heure. J’ai poussé la porte. C’était un appartement vide, sans rien dedans et j’ai avancé dans le couloir puis j’ai découvert une grande pièce avec un appareil photo sur un pied et un projecteur et un lit.
Je me suis demandée ce que je fais là et j’ai fait une pirouette sur moi et j’allais repartir quand une femme a surgi de je ne sais où. Je lui ai dit bonjour.
– Ton prénom, c’est quoi, m’a-t-elle demandé ? Montre-moi aussi quelque chose qui prouve que tu es majeure !
J’ai sorti ma carte d’identité et elle l’a regardée.
– Ce n’est pas courant comme nom de famille, a ajouté la femme ! Si tu veut continuer dans le métier, il te faudra en changer !
C’est comme ça que je me suis appelée Mélina Riccordi. La femme s’est mise derrière la caméra et elle a allumé le spot puis elle m’a demandé de faire un striptease et j’ai fait ce que j’ai pu puis un type est arrivé. Ce n’était pas le même que l’autre fois et je lui ai fait une pipe, la première de ma vie et quand il me l’ai demandé, je l’ai branlé pour qu’il jouisse sur mes seins.
– Alors, ai-je demandé ?
– On te rappellera, m’a répondu la femme !
J’ai commencé à désespérer mais quinze jours plus tard, on m’a rappelé. C’était à une autre adresse et j’y suis allée et on m’a expliqué que je ferai la petite amie qui fait l’amour la première fois avec son copain mais ce qu’on ne m’avait pas dit c’est que je devrais me servir de tous mes trous et la sodomie, je ne pensais pas que ce serait aussi pénible mais à la fin du tournage, ils m’ont dite que je men suis bien tiré.
Je n’ai jamais vu ce film-là mais j’en ai fait d’autres et j’ai fini par dire à ma mère que je vais faire un stage à Londres et c’est à partir de là que je suis devenue une vraie pro à mon niveau. Mélina Riccordi pouvait enfin faire l’amour avec des types à l’énorme bite. J’apprenais mon métier et j’ai fait des gang-bangs et des partouzes avec des femmes et j’ai aimé faire ça avec des femmes. C’était moins brutal et plus sensuel et je me suis mise à aimer les fists et je me suis mise avec Vanessa West. Je crois que j’étais amoureuse d’elle mais ce qu’elle préférait, c’était ses copines qu’elle invitait chez nous pour baiser.
Les hommes, on les avait sur le plateau. Un jour, on m’a proposé d’être enceinte et j’ai hésité et après ce jour-là, on m’a de moins en moins demandée pour tourner. Vanessa s’est débarrassée de moi et je suis rentré m’installer à Paris. J’ai trouvé un boulot dans une agence et j’y suis restée plusieurs années puis j’ai travaillé comme réceptionniste dans un hôtel. La direction avait l’air de m’y apprécier et les clients ne manquaient jamais de me draguer et on m’avait prévenue que si je veux baiser avec eux, je devrais faire ça en dehors de l’hôtel.
Je n’en avais jamais eu l’intention. Je suis restée dans la chaîne mais j’ai changé d’hôtel et j’en ai changé quasiment tous les ans. Je m’étais quand même fait des amies normales. Quand j’avais envie de baiser, c’était soi la masturbation, soit un type trouvé dans une boîte avec qui j’avais un coup rapide sans lendemain.
Un jour que j’étais venue voir mes parents, ma mère m’a parlé d’une ancienne copine à moi qu’elle avait croisée dans la rue avec ses enfants. Elle m’a aussi parlé des Copains d’Avant ou je ne sais plus quelle association d’anciens élèves et elle m’a conseillé d’y regarder avant de me demander si je ne serais pas lesbienne.
– Lesbienne, non merci, lui avais-je répondu ! C’est juste que je n’ai pas encore trouvé le bon numéro !
En fait, je me trouvais très bien seule et je n’avais pas envie d’avoir un mec qui me colle et qui me dit ce que je dois faire. Quant aux femmes, j’en avais connu beaucoup dans le métier, des plus jeunes que moi et des plus âgées et je me rappelle encore un extra que j’avais fait à Londres chez un nabab du moyen orient et je m’y étais trouvée la plus vieille parce que les autres n’étaient que des gamines attirées par le sexe et qui baisaient entre elles à tour de bras en attendant que les amis du nabab les choisissent. Quant à moi, mon rôle avait été de me faire prendre par trois types aux bites énormes devant ces gamines et les invités.
Ça ne m’avait pas dérangée parce que j’étais très bien ouverte. Il n’y avait pas une vidéo où on ne me prenait pas dans l’anus et j’étais bien rodée.
– Tu te souviens de Chloé Vergnes, m’a demandé ma mère ? Elle est sur le site !
Je lui ai demandé si elle m’a inscrite. C’était vrai. Je lui ai hurlé qu’elle aurait pu me demander mon avis. J’ai néanmoins regardé. En plus de Chloé, il y avait Samantha et Sylvette et Natacha et aussi des garçons que j’avais connus au lycée et il y avait surtout un message pour moi. Je l’ai ouvert.
« Salut ! Qu’est-ce que tu deviens ? J’espère que tu ne m’as pas oubliée ? » Suivait un mail. J’étais là pour huit jours. J’ai répondu. Un quart d’heure après, j’avais une réponse : « On peut se voir ? », me demandait Sarah. J’ai répondu que oui et elle m’a donné rendez-vous. J’y suis allée mais je ne m’attendais pas à trouver une femme en fauteuil roulant. Je l’ai embrassée sur les joues puis je lui ai demandé ce qu’il lui est arrivé. Elle m’a répondu que c’est rien, un virus, elle n’a plus de jambes. Tout en la poussant, je lui ai parlé. Je pensais que c’était une fille épatante, comme j’aurais voulu être et qui faisait tout le temps du sport. Finalement, je lui ai dit qu’elle préférait le sport aux garçons.
– De toute façon, j’ai toujours préféré les filles, m’a répondu Sarah !
– Tu es lesbienne, lui ai-je demandé ?
– Oui ! Ça te choque ?
– Non !
– Sans les jambes, ce n’est pas très pratique, a ajouté Sarah !
Je me suis soudain souvenue que dans une vidéo on m’avait fait baiser avec un cul-de-jatte et au bas de son ventre, il n’y avait plus que sa bite et ses couilles et la nature avait compensé l’absense des jambes en lui faisant une bite et des couilles énormes et j’avais pris mon pied.
Je lui ai encore demandé si elle a quelqu’un pour l’aider et elle avait ses parents. Je lui ai aussi demandé si elle voit toujours ses copines du lycée.
– Quelques-unes, m’a répondu Sarah !
C’est là qu’un couple nous a abordées.
– Hé ! Tu serais pas Mélina Riccordi ?
– Vous devez vous tromper, lui ai-je répondu !
– Si, c’est bien vous, a instité le type sous le regard amuse de son épouse ! Je vous ai vu prendre une énorme bite dans le trou du cul !
– Et faire la gouine, a ajouté la femme !
– Vous vous trompez, a fini par faire Sarah ! C’est mon infirmière !
Le couple est reparti en disant que la ressemblance est folle et nous avons continué notre promenade. J’ai ramené Sarah chez ses parents.
– Viens dimanche, a-t-elle ajouté ! Je les ai autorisés à prendre leur week-end !
Je lui ai répondu qu’ils le méritent sûrement puis elle est entrée chez elle et je suis rentrée chez moi. Je l’ai rappelée le soir même pour lui demander combien on sera et si je dois apporter quelques chose. Il y avait d’autres anciennes copines à elle et certaines à moi que j’avais perdues de vue. On s’est bien amusées mais on a surtout passé notre temps à nous raconter nos souvenirs puis les autres filles sont reparties et je suis restée seule avec Sarah et j’ai vu qu’elle voulait me demander quelque chose.
– J’ai vu presque toutes les vidéos que tu as tournées, m’a-t-elle dit soudain ! Tu tournes encore ?
C’était comme si la foudre m’était tombée dessus.
– Aide-moi, a ajouté Sarah, on va faire l’amour !
Je l’ai emmenée dans sa chambre et je l’ai aidée à se déshabiller. Elle m’a encore dit que je suis belle quand je fais l’amour puis elle m’a demandé si je peux lui faire rencontrer un acteur avec une grosse bite. Après lui avoir promis que j’essaierai, nous avons fait l’amour et elle m’a dit plusieurs fois que quand elle jouit, elle a l’impression d’avoir toujours ses jambes. Quant à moi, elle m’avait demandé de mettre ma croupe sur son visage et elle m’avait léchée et le trou du cul et la fente pour me faire jouir à mon tour.
En rentrant chez moi, je pensais à Luigi. Elle avait débuté comme mécano automobile et sa constitution lui avait valu de faire du porno et j’avais fait une vidéo avec lui. Ce qu’il avait en plus, c’était qu’il était tatoué de partout. J’avais su qu’il avait pris sa retraite d’acteur dans le nord de la France et qu’il avait acheté un garage ou une concession. J’ai fait des recherches. Je ne me souvenais pas de son nom de famille mais je suis tombée sur un Luigi Monelli, concessionnaire Mercedes. Je l’ai appelé et il m’a reconnu tout de suite.
– J’ai une grosse bite, m’a-t-il dit ensuite mais ton anus était toujours plus large !
Je lui ai expliqué pourquoi j’ai besoin de lui et il m’a écouté jusqu’au bout avant de me dire qu’il est marié.
– Ah, bon…
– Ce n’est pas grave, a-t-il ajouté ! Ma femme est un peu gouine aussi !
Je l’aimais bien parce qu’il avait gardé son accent italien. Nous nous sommes mis d’accord sur une date. J’ai appelé Sarah et je lui ai proposé de faire un journal ce jour-là et je suis allée la chercher chez ses parents. Ça s’est très bien passé avec Luigi et sa femme. J’ai baisé avec elle tout en gardant un œil sur les deux amants.
– Encule-moi, lui a demandé Sarah !
Luigi a fini par accepter et ça, je l’ai regardé. L’anus de Sarah n’était pas fait pour ça mais la bite est entrée quand même. Sarah pleurait et la bite entrait tout doucement puis elle est arrivée jusqu’au fond et Luigi a commencé à ramer, d’abord tout doucement puis de plus en plus vite.
– Encore ! Encore, s’est mise à hurler Sarah, pendant que je recommençais avec la femme de Luigi.
J’ai ramené Sarah le soir même chez ses parents et chaque fois que je viens la voir, c’est qu’elle est seule et nous faisons l’amour et je lui mets les doigts dans l’anus pour lui rappeler des bons souvenirs et je viens de m’apercevoir que ça fait deux ans que je n’ai pas baisé avec une bite et que ça ne me manque pas.
Après vous avoir avoué tout ça, je peux bien vous raconter une aventure que j’ai eue avec une de mes copines du lycée. Une prof m’avait appairée avec elle pour un devoir et nous avions enquêté dans toute la ville pour le boucler et nous étions restées copines et un jour que j’étais allée chez elle, sa mère nous a laissées seules pour aller faire des courses. Dans sa chambre, il y avait une photo d’elle avec ses cousins à la plage. Ils étaient tous en maillot de bain. Je regardais la photo et mon amie était derrière moi.
– Tu fais du topless, m’a-t-elle demandé ?
– Euh, oui, lui ai-je répondu ! Ma mère le fait bien !
– Tant que j’irai en vacances avec mes parents, ils ne voudront pas, m’a répondu la fille ! Elle est cool ta mère, a-t-elle ajouté ! Je l’ai vue au marché l’autre jour ! Elle a des gros seins !
Je lui ai répondu que ma mère pourrait faire la nourrice et on a ri.
– Je te montre mes seins si tu me montres les miens, a-t-elle ajouté !
– T’es sûre ?
– Fais-le, a-t-elle insisté !
J’ai soulevé mon sweat sous mon menton et j’ai sorti mes seins des bonnets de mon soutien-gorge en le remontant lui aussi sous mon menton. Elle a fait des billes avec ses yeux tellement je l’avais surprise.
– Tu croyais que je n’en était pas capable, ai-je ajouté ! Maintenant, à ton tour !
Elle l’a fait et j’ai vu ses petits seins pointus. Moi j’ai toujours eu les seins ronds de ma mère.
– Je te montre ma chatte et tu me montres la tienne, a ajouté ma copine !
Elle a retiré sa jupe. Elle n’était pas très poilus mais ses poils tiraient sur le roux et j’ai bien été obligée de lui montrer la mienne . En dehors des vacances, où je laissais mes poils repousser, je me rasais en cachette parce que je détestais être poilue. Elle avait une jolie fente toute délicate et moi j’avais déjà une grosse vulve de pute à force de me tripoter, ce qui faisait que mon clitoris n’arrêtait pas de pointer et mes grandes lèvres étaient beaucoup plus foncées que le reste de ma peau. Quant à mes petites lèvres, j’avais l’impression qu’elles partaient en lambeaux tant leur peau était fine et je tirais dessus sans arrêt pour les étirer.
Je peux les toucher, m’a demandé ma copine ?
– D’accord, mais je te touches aussi, lui ai-je répondu et debout, face à face, on s’est masturbées.
– Tu me fais jouir, n’a-t-elle pas tardé à m’avouer !
– Toi aussi, lui ai-je répondu ! Enfonce-les dans ma chatte !
C’était comme ça que parlaient les garçons du sexe des filles et nous trouvions ça plus excitant que de parler de notre minou ou de notre vulve.
– Ça vient ! T’arrêtes pas, m’a demandé ma copine !
– Toi non plus !
Nous avons joui presque en même temps.
– On s’embrasse, lui ai-je demandé ensuite ?
Elle m’a tendu ses lèvres et j’ai posé mes lèvres sur les siennes. C’était comme si de les rapprocher si près avait provoqué un éclair. J’ai mis ma langue et elle a mis la sienne et on s’est roulé une pelle comme on dis vulgairement.
– Vous êtes toujours là, a fait la voix de la mère de ma copine ?
Ça a été la panique. Nous nous sommes rhabillées mais il y avait cette odeur de plaisir sexuel dans la chambre. Nous avons fini par retrouver sa mère dans la cuisine.
– Vous faisiez quoi, nous a-t-elle demandé ?
– Rien, on lisait, lui a répondu sa fille !
– Vous faisiez pas des bêtises, a insisté la mère ?
J’ai répondu qu’il faut que je rentre sinon mes parents vont s’inquiéter. Le jour suivant, quand j’ai revu mon amie au lycée, elle m’a dit que sa mère ne veut plus qu’elle me fréquente. Je lui ai demandé si elle lui a dit ce qu’on avait fait mais elle m’a dit que non et c’était bientôt les vacances et je ne l’ai jamais revue.
FIN
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