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Chaude soirée

Chaude soirée



Nous étions au cinéma, tranquilles pour une soirée en amoureux qui devait se terminer au restaurant. Un « classique » mais qui nous faisait tellement de bien car trop rare.

Alors nous voilà dans cette séance devant un film pas terrible. La programmation devait être pauvre car la salle était presque vide. Arrivés parmi les premiers nous nous étions installés dans les derniers rangs. Pourtant il a fallu que deux hommes s’installent à tes côtés. Comme toujours, alors que la salle déborde de places, les gêneurs viennent se coller à nous. Je me dis que c’est certainement dû à ta tenue. Particulièrement sexy, tu m’avais gâtée dans ta tenue, jupe très courte à volant, top léger noir posé sur tes seins libres, petites chaussures à talons. Le regard des hommes n’est jamais insensible quand tu te mets en valeur de la sorte. Film ennuyeux, toi sexy à mes côté, je ne fus pas très long à m’intéresser à tes jambes et ma main commence à se balader doucement sur tes cuisses. Je ne me fais pas trop pressant car je sais que la proximité des 2 jeunes hommes te gêne.

Mais j’étais loin d’imaginer, à ce moment là, la soirée que tu me réservais. Une soirée, sous forme de surprises, que tu avais minutieusement préparée de ton côté.

Ma première surprise fut de sentir ta main qui se posa sur ma cuisse, assez haut pour que je comprenne que ce n’était pas un hasard. Lentement ta main va et vient sur le haut de ma cuisse, allant frôler la bosse qui commençait à déformer mon pantalon. Je tourne la tête pour te regarder mais tu fais mine de m’ignorer faussement absorbée par ce film qui, pourtant sombrait dans la platitude et les clichés. « Joueuse ? » me suis-je dit. Par provocation, je retire ma main de ta cuisse et la pose sur l’accoudoir. Imperturbable, tu continues lentement pour remonter vers ma braguette, que tu commences à descendre. Perturbé, je me reprends tout de suite en me disant que tu bluffes. Tu cherches à m’exciter mais tu n’oseras pas tenir les promesses que me font tes mains.

Pourtant, tu ouvres complètement mon pantalon et, habillement tu retires mon sexe. Lentement tu commences une masturbation experte. Près à voir jusqu’où tu serais capable d’aller, je me laisse faire, me relâchant dans mon fauteuil, allant même jusqu’à profiter pleinement de ce bonheur surprenant. Tu continues toujours ton petit jeu pendant de longues minutes, un peu maladroit, ce qui n’est pas désagréable, car tu utilises ta main gauche. J’ai l’impression d’être seul… Seul ? Soudain, je redescends sur terre. Je me rappelle les deux gars qui sont à côté de nous. Se sont-ils aperçu de ton manège ? Aussi discrètement que je peux, je penche ma tête pour les observer. Secrètement, j’espérais qu’ils se soient aperçu de ce qui se tramait entre nous, pour te taquiner et aussi par « fierté » purement masculine, je les espérais jaloux.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir ta main droite qui prodiguait les mêmes caresses à ton voisin de droite. « Je rêve ! » pensai-je. Je me penche carrément sans retenue et je vois le troisième homme qui se masturbe pour ne pas rester de côté. Je ne peux croire ce que je vois. Les voilà qui me regardent tout sourire. Perturbé je te regarde qui me sourit. La situation m’échappe mais ce n’est pas pour me déplaire. Après tout, je ne vais pas bouder mon plaisir et puis j’ai toujours eu envie d’un peu de piment dans nos relations et comme je ne suis plus du tout maître du jeu, autant se laisser aller tranquillement.

Soucieux de te faire partager un peu de notre plaisir, j’avance ma main sous ta jupe pour rejoindre ton sexe, essayant de deviner au passage quel string tu portes. Et là, à nouveau, j’ai le souffle coupé en m’apercevant qu’il y a déjà une main qui s’occupe de toi. Sachant que les deux tiennes sont prises, je comprends vite que ton voisin m’avait devancé. J’essaie de croiser ton regard pour m’assurer que tu maîtrises bien la situation et que tu n’as pas besoin d’aide. Ta tête tombée sur le siège, tes dents qui mordent ta lèvre inférieure et ton souffle profond me répondent que tout va pour le mieux pour toi.

Je vois que le deuxième est déjà arrivé au bout, s’affairant avec un bout de serviette en papier. Je sens que celui que tu tiens en main ne va pas tarder… En effet, je vois qu’il se libère répandant sa semence sur sa chemise noire. Avec un sourire, je ne peux m’empêcher de me dire, qu’il portera toute la soirée le témoignage de ton passage. Vite je reviens à moi, me disant que j’allais avoir le même souci que lui. Mais c’était sans compter sur ton sens pratique. Avec la main qui a libéré ton chanceux voisin, tu sors un mouchoir en papier de ton sac, juste à temps pour recueillir le fruit de tes caresses. Je suis aux anges, profitant du plaisir qui se répand dans mon corps. Emergeant quelques secondes plus tard, je m’aperçois que le film va se terminer bientôt. Soucieux de vouloir te faire jouir également, je me rends compte que ton voisin ne t’a pas « lâchée » et que ton corps commence à se tortiller sérieusement avant de se tendre en soubresauts violents. Décidément, ce jeune homme était plus attentionné que moi. Je mets çà sur le fait que j’ai été le plus surpris et le plus désarçonné.

Tu as juste le temps de réajuster tes vêtements avant que le générique de fin ne commence et que les lumières se rallument. Finalement je remercie intérieurement le réalisateur de ce navet, l’ennui nous a propulsé vers un bien meilleur scénario. Tu te lèves, att****s ton sac et pars en tournant le dos à tes voisins, sans leur accorder le moindre regard. Je ne peux m’empêcher de me demander si tu les as regardés seulement une fois. Dans le couloir qui nous mène dehors, je me retourne pour te parler, ne sachant pas vraiment par quoi commencer. Comme si tu t’y attendais, tu m’att****s par les épaules, me pousses vers le mur et pose tes lèvres sur les miennes pour t’en servir de bâillon. Je reçois un de ces baiser que j’apprécie tant, profond, long, fougueux. Du coin de l’œil je vois passer nos deux compères qui nous regardent tout sourire. A la fin du baiser, tu approches ta bouche de mon oreille dans laquelle tu glisses :

– Ce n’est que le début d’une soirée dont tu te souviendras… Simplement, tais-toi, ne parle pas, laisse toi faire. Sinon, la soirée s’achèvera normalement.

Comment refuser une telle invitation. Pourtant, même si mon cerveau se met en ébullition, je suis de m’imaginer la tournure que vont prendre les évènements et que tu m’emmènes vers ma plus déroutante aventure sexuelle vécue jusqu’à ce jour…

Tu prends ma main et tu m’entraînes dehors. Sans un mot, nous récupérons notre voiture et nous nous dirigeons vers le parking proche du restaurant que nous avions réservé. Je gare la voiture, la contourne pour t’ouvrir la porte, profitant de la sortie de tes longues jambes moulées par des bas noirs. Nous partons ensemble dans ce parking désert vers la sortie. Alors que ma main descendait de ta taille pour glisser vers tes fesses, tu t’arrêtes pour me dire que tu as oublié ton sac à main dans la voiture et me demander d’aller le chercher. Je fais donc demi tour pendant que je sens que tu continues ton chemin. Arrivé à la voiture, je prends ton sac vivement pour retourner au plus vite à tes côté, persuadé que la prochaine surprise sera pour bientôt. Pourtant du coin de l’œil, j’aperçois tout de même ton string rouge qui était caché sous ton sac. Donc le jeu continue. Je glisse ton string dans ma poche et referme la voiture. Je me dirige vers la cage d’escalier pour te rejoindre. J’ouvre la porte, je ne te vois pas devant l’ascenseur, qui ne semble pas utilisé. Je regarde les escaliers et j’aperçois ta silhouette sur le palier suivant, dans l’obscurité. Décidé à prendre tout de même une partie du jeu en main, je descends vers toi en prenant soin d’enclencher la minuterie.

Tu es calée sur le mur, une jambe repliée qui prend appui dessus, le chemisier ouvert offrant à ma vue ta petite poitrine pointée sur moi. Je m’approche pour te prendre dans mes bras et t’embrasser tandis que mes mains s’empressent de parcourir ton corps et de s’attarder sur tes seins. La fougue nous envahit et nos baisers s’enflamment. Tes main descendent vers mon pantalon, l’ouvrent et libèrent mon sexe qui se trouve être au mieux de sa forme. Fermement tu m’obliges à me retourner et je me retrouve dos au mur. Tu t’agenouilles pour commencer à lécher mon pénis. Ta langue parcourt l’intégralité de mon sexe dressé et de mes testicules avec une lenteur calculée.

Quand la lumière s’éteint, tu tends ton bras pour enclencher à nouveau la minuterie. Tu n’as pas eu besoin de lever la tête, ton geste a été rapide et précis, comme s’il avait été calculé. Je suis intrigué, pourquoi tiens-tu à ce que la lumière soit allumée ? Le désir d’être surprise ? L’envie d’être vue de loin ? Ces pensées s’envolent rapidement car je suis ramené à la réalité par ta bouche experte qui englobe maintenant mon sexe. Je vois ta tête qui fait des va et viens sur mon sexe épilé comme tu l’aimes. Le désir montant, je laisse partir ma tête en arrière tandis que mes mains viennent caresser tes cheveux. C’est alors que je vois la caméra de surveillance qui est braquée dans notre direction. Incroyable, est-ce pour cela que tu tiens à ce que cet escalier soit allumé ? Je voudrais te poser la question mais je me rappelle à temps ton avertissement. Je ne dois pas parler. Le gardien du parking doit se régaler actuellement.

Mon souffle s’accélère trahissant le plaisir qui monte en moi. Pourtant tu stoppes ta fellation pour te redresser et nous rhabiller. Avec un clin d’œil, tu me dis souriante :

– Il faut que je te ménage pour te garder en forme…

Nous reprenons la descente vers la sortie. Arrivés devant la loge du gardien je te vois lui sourire et lui adresser un clin d’œil. Plus de doute, tu savais très bien ce que tu faisais. En face, l’étudiant qui était sûrement là pour un emploi d’été, est tout rouge et arrive difficilement à placer un : « c’était super ».

Nous voilà dans la rue, marchant côte à côte. Nous nous tenons par la taille, pour nous diriger vers le restaurant. Nous entrons dans ce restaurant hyper branché, à la déco très moderne dans des tons gris et métalliques. Seule couleur autorisée, le rouge. Je souris en repensant que c’est la couleur de ton string qui est toujours dans ma poche. Une fois installés à notre table, le serveur nous apporte immédiatement les deux coupes de champagne que tu lui as commandé. Pendant que nous consultons les cartes, nos pieds se rejoignent et jouent ensemble. Alors que tu me demandes ce que je désire prendre, je sors ton string pour le poser sur ton assiette. Je pensais te troubler un minimum, mais je te vois qui le saisi pour le ranger dans ton sac, tout en me regardant droit dans les yeux, sans manifester la moindre gêne.

Le repas se déroule presque normalement, compte tenu de l’état d’excitation qui me ronge. Bien entendu je ne peux manquer les regards masculins qui fusent dans la salle et qui scrutent avec insistances tes jambes offertes à tous sous cette table haute et moderne sans nappe. Serveurs, clients et même clientes, tous ont plongé leurs regards sur le haut de tes bas qui se révèle au fur et à mesure de tes croisements de jambes. Pour ma part, je profite de la déco qui comporte beaucoup de miroirs et de parties métalliques qui reflètent la salle,et donc nous, toi, tes jambes…

Mais en suivant le tien, de regard, je m’aperçois que tu fixes deux hommes dans mon dos (merci les miroirs…). Eux, bien entendu t’ont repérée, alternent coups d’œil et réflexions le sourire en coin. Il m’est facile d’imaginer la conversation de ces deux jeunes, en costume et cravate. L’un avec sa barbe blonde de deux jours, l’autre au sourire éclatant. Clairement deux « beaux gosses » et charmeurs. Je me tais, cette situation, bien qu’inédite, m’amuse, même si je suis toujours un peu sur mes gardes. Moi qui aime planifier, je suis déstabilisé par cette soirée d’improvisations (enfin je le pense) et par le fait que je ne mène pas la danse.

Toujours à profiter pleinement de l’émoi que tu as lancé dans la salle, je m’amuse aussi des regards courroucés des dames de notre entourage. Je continue une conversation banale avec toi, il faut bien le dire, je suis ailleurs.

Soudain, je vois l’un des deux types passer près de notre table, le « barbu ». Tu lui adresses un sourire alors qu’il passe devant moi et que je ne vois plus que son dos qui s’en va vers les toilettes. Je reviens brusquement à la réalité. Je ne peux m’empêcher de me dire quand dans un mauvais film porno, tu devrais te lever pour le suivre. J’en étais à ces pensées quand tu me glisses dans l’oreille :

– je reviens…

Tu te lèves et je te vois te diriger également vers les toilettes. Le souffle coupé je ne peux m’empêcher de détourner le regard. Est-ce possible ? Clairement, de multiples scénarii se bousculent dans ma tête tous aussi excitants que « choquants »… N’est-on pas allé un peu trop loin ? Je vois bien certains mecs autour de moi me fixer. Que pensent-ils ? Comme moi ? Je vois le second homme resté seul, savourer son café avec un sourire radieux. Que faire ? Est-ce prévu ? Cette soirée, tellement pleine de surprises, est-elle si improvisée que çà ? Je te connais et déjà je n’en reviens pas de ce que tu as fait ce soir, mais là, est-on toujours dans l’improvisation ? Sais-tu ce que tu fais ? Je me cherche, je me pose des questions, tout va vite, je suis excité, mais est-ce de l’excitation, n’y a t il pas une dose d’angoisse ? Tant pis ! Il faut que je me lève, que je joue le jeu et surtout que je sache.

Je me lève donc et rends aux toilettes également. Je vois des sourires amusés à côté de moi. Si tout le monde se met à penser comme moi, je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée que les toilettes risquent d’être exigües rapidement. J’ouvre la porte et entre dans le sas. Deux portes… Hommes ou Femmes ? Je pousse celle de gauches, celle des « mecs ». Personne, dans ces toilettes sombres à l’éclairage tamisé, moderne quoi… Le bruit de la chasse d’eau me fait sursauter et je me précipite sur les vasques afin de faire croire que je me lave les mains. Dans le miroir j’aperçois « l’homme à la barbe » qui sort et se colle à mes côtés pour se laver les mains également. Il me sourit, me lance un « bonsoir ». Je réponds en m’essuyant les mains. Lorsque je sors, il me lance :

– au fait, très jolie femme ! Félicitations.
– Merci, répondis-je tout doucement

A mon retour à la table je te vois assise, souriante. Je m’assois devant toi :

– çà va ? me demandes-tu.
– oui très bien… juste j’ai cru que tu continuais ton show en te rendant aux toilettes avec le type.
– oui ? Et çà t’aurais plu ?
– je ne sais pas… pas sûr…
– alors, même quand je ne fais rien, je te fais de l’effet
– oui, sauf que là, je ne suis pas sûr d’avoir été excité
– on le saura peut être une autre fois…
– je ne sais pas si je veux le savoir
– la peur ?
– pas la peur, le sentiment de ne plus être au centre de nos jeux
– héhé, tu ne maîtrises plus rien ?
– j’avoue ce soir, je rame un peu…
– et bien, laisse toi faire la soirée n’est pas encore finie
– je vais essayer.

Et nous voilà qui finissons notre repas presque comme si rien n’était. Malgré tout, deux pensées m’obsèdent, bizarrement : était-ce un hasard ou pas que tu te rendes aux toilettes à ce moment là ? A quoi pensent nos voisins qui continuent de nous épier du coin de l’œil ?

L’air frais à la sortie du restaurant me fait du bien. Nous commençons à marcher côte à côte. Je te tiens par la taille me demandant où se déroulera la suite. Quelques arrêts devant des portes d’immeubles nous permettent de nous embrasser fougueusement, de promener tant bien que mal nos mains entre nos vêtements. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre où tu veux m’emmener. Nous nous dirigeons vers la rue où dernièrement un sauna libertin s’est installé. Je t’avais montré le site Internet et tu n’avais pas eu l’air emballé par ma proposition de visite des lieux. Secrètement j’espère ne pas me tromper et je feins ne pas savoir où nous rendons. Au début de la rue prévue, je n’ai plus aucun doute. Je te regarde, guettant une faiblesse, une lueur d’inquiétude mais comme toujours dans ces moments là tu gardes une maîtrise de toi qui ne laisse jamais place à l’extériorisation d’une once de sentiment. Je sais que tu as peur, parce que je te connais. Mais toute autre personne ne pourrait le détecter.

Nous nous présentons à l’accueil. Tu règles et tu m’entraînes vers les vestiaires. Très vite nous nous déshabillons pour mettre nos serviettes autour de la taille. Je savoure le bonheur de libérer mon sexe à l’étroit depuis trop longtemps dans mon pantalon même s’il décrit une jolie bosse sous ma serviette. Je contemple tes petits seins, fièrement tendus offerts aux regards de tous quand nous sortons des vestiaires. Bizarrement, je me sens très à l’aise ici.

Nous faisons le tour des lieux, car une visite virtuelle du site ne nous a guère renseigné. Des cabines fermées, d’autres ouvertes, un glory hole, des salles de projections de films pornos, un sauna, un jacuzzi et un hammam. Au milieu de tout cela, un endroit attire mon regard et ma curiosité. Un coin sombre où il est difficile de savoir ce qu’il y a. Je me souviens que le site parlait d’un labyrinthe… Est-ce là ? Il nous faudra nous y rendre.

Nous commençons par une petite douche suivie d’un hammam. L’établissement est assez fréquenté, nous avons croisé plusieurs couples de tous âges mais aussi des hommes seuls qui semblaient avoir été très bien « sélectionnés » à l’entrée. Nous nous installons dans un coin, calés dans les bras l’un dans l’autre. Baisers, caresses occupent les minutes passées dans ce brouillard, chaud et très humide. Nos corps trempés s’ouvrent et nous offrons nos échanges sans pudeur. Nous percevons quelques gémissements proches mais la vue n’est pas aisée dans ce coin. Cela rajoute à la chaleur et à l’excitation. Ma main arrive entre tes cuisses et commence à caresser ton sexe. Mon index glisse rapidement sur ta fente et je peux immédiatement juger ton état d’excitation. J’ai l’impression de n’avoir jamais connu telle « inondation » chez toi… Je joue tranquillement promenant mes doigts, alternant entre ton clitoris et ton petit trou. Tu te laisses complètement aller, effondrée entre mes bras, te tordant de plaisir et ne pouvant empêcher un petit halètement. J’aime te voir t’abandonner au plaisir et pourtant je prends soin d’agir lentement et de ne pas déclencher d’orgasme trop rapide. J’aime reprendre les « choses en mains ». Ce jeu de mot me fait sourire. Ta bouche cherche la mienne. Je sais que tu es à la limite, que tu veux que je « t’achèves », mais je n’en fais rien… Me supplieras-tu ? Puis je me décide à prendre ma revanche :

– à mon tour de te ménager pour te garder en forme…

Mes mains quittent ton sexe et repartent sur ton corps. Je sens bien tes protestations, mais je me refuse de céder. Au bout d’un certain temps (difficile de garder une notion du temps en ces lieux) je t’entraîne en dehors. Nous reprenons une douche, enlacés, ton corps continue à se lover contre le mien, réclamant sa jouissance. Je fais mine de l’ignorer, seule une bandaison presque douloureuse trahit mon extrême excitation. Nous reprenons nos serviettes et je t’entraîne entre les cabines en direction du labyrinthe. Nous passons devant plusieurs hommes seuls, plutôt pas mal, qui matent les couples autour d’eux. Nous passons devant une cabine ouverte où, me semble-t-il, au moins 5 personnes se mélangent. Nous arrivons devant la porte qui mène dans un couloir non éclairé. Tu hésites et t’arrêtes. Je te prends par la main et t’attire sèchement vers l’intérieur. Je te glisse à l’oreille :

– si tu veux jouir ce soir, ce sera là…

J’ai bien repéré que notre entrée a bien été remarquée par les hommes qui étaient adossés le long du couloir et devant lesquels nous étions passés. Après avoir contourné une cloison, nous voici complètement plongés dans le noir. Nous avançons à tâtons. J’adore ce moment d’inconnu total. Lentement nous progressons en suivant les cloisons qui tournent sans cesse. Subitement ma main arrive sur un corps. Je m’aperçois que toi aussi, tu as « buté » sur l’obstacle. Il s’agit d’un couple, elle accroupie taille une pipe magistrale à son homme plaqué contre le mur. Une main (celle de la dame je pense) remonte le long de ma jambe et me saisit le sexe. Je sursaute. Je sens tes mains qui saisissent la main de l’homme qui caressait ton sein pour l’éloigner. Je t’imite et décline l’invitation de cette dame.

Nous profitons d’une alcôve pour nous arrêter. Nous reprenons nos jeux de langues et de mains. Je pourrais caresser ton corps des heures sans m’arrêter. L’excitation du lieu ajoute beaucoup au plaisir. Lentement, je m’adosse à la cloison et je t’att**** par les épaules. Je colle ton dos contre mon ventre et mon sexe plus tendu que jamais. Je place tes mains derrière ta nuque comme pour offrir ton corps à l’obscurité. Je t’embrasse dans le coup et lentement, mes mains reprennent leur manège sur tes seins. Comme je me doutais, il ne fallut pas longtemps pour te sentir tressaillir. Une, ou plusieurs, nouvelle main s’étaient posées sur toi. Tu te renfermes et t’apprêtes à te retourner. Comme j’avais anticipé ta réaction, je te maintiens fermement en te serrant dans mes bras. Je te susurre :

– laisse-toi faire, essaie au moins.

Toujours tendue, tu cesses pourtant d’essayer de partir. Mes mains en rencontrent d’autres et j’estime qu’il y a deux autres personnes à nos côtés dans la pénombre. Décidément, les mecs par deux, cela aura été le thème de la soirée. Là c’est clair, tu te laisses aller. Tu gémis de plus en plus fort, ton souffle est très saccadé. J’essaie d’accéder à ton sexe mais mes doigts butent sur une tête. Un homme s’est mis à genoux pour te faire un cunnilingus. Il doit être doué car je m’aperçois que tu as passé une de tes jambes dans son dos. C’est une réelle compétition pour profiter de ton corps… Six mains et une langue, çà ne laisse pas beaucoup de place… Je décide de profiter de ma position pour descendre vers tes fesses. Très vite mon index et mon majeur, imbibés par ton excitation, s’attardent sur ta rondelle. Je sens bien que tu ne maîtrises plus rien. Tu te tords dans tous les sens comme si tu subissais trop de sollicitations, trop de plaisir. Je ne sais pas ce que font les deux autres hommes. Je décide de m’occuper de la partie qui m’est « allouée ». Un doigt puis deux pénètrent ton anus. Lentement j’imprime un va et vient. Tu commences à crier des « oui » déchirants. Je me demande combien de temps tu vas pouvoir encore tenir. Je continue mes mouvements, je sens que tu « t’ouvres », j’ai maintenant la place pour un troisième doigt. Tu te plaques contre moi. Tu anticipes mes mouvements pour profiter plus encore de la pénétration. Mes doigts se fraient un passage de plus en plus facile. Tu accélères toi-même le mouvement. Je ne peux m’empêcher de me demander ce qui à ce moment précis te donne le plus de plaisir… Mes doigts ? Sa langue ? Leurs mains ? Ou simplement un sublime mélange de tout.

Soudain tu te cambres pour partir en convulsions de plaisir. Tu laisses échapper des râles et des petits cris à rendre jalouses toutes les femmes qui sont dans ce sauna. Tes frissons se prolongent, tu ne sembles pas capable de pouvoir reprendre ton souffle. Je sens ton pouls violent battre des records. Pourtant je ne veux pas te laisser de répit, par léger « sadisme » mais aussi parce que je n’en peux plus non plus. Je profite que tu as reposé tes deux pieds au sol pour te basculer vers l’avant. Je saisis tes fesses et je me prépare à te sodomiser. Lentement je profite du passage que j’ai commencé à préparer avec mes doigts. Je m’introduis délicatement dans ce passage étroit, mais c’est toi qui, pressée, te colle contre moi afin d’accélérer la pénétration. Tu gémis et tu commences à bouger tes hanches. Je me joins à ton va et vient. Je sens que le passage est prêt et les mouvements se font plus amples et plus brusques. Très vite, je me rends vite compte que tes gémissements sont comme étouffés. Pliée comme tu es j’en déduis qu’un des deux compères a la chance de gagner les faveur de ta bouche. Que fait le troisième ? J’avoue que sur le moment je m’en fous. Je sens mon sexe profiter pleinement de tes fesses. Le plaisir m’envahit, je sais que je peux craquer à tout moment. Pourtant je veux que cette sensation dure encore et encore. Mes râles se mêlent à tes gémissements, j’entends aussi le plaisir des deux autres. Tu as dû trouver le moyen de t’occuper du dernier. Pourtant, plus nous continuons, plus j’ai l’impression que le monde rétrécit autour de moi. Je n’entends plus, je perd la notion de se qui m’entoure je ne sens plus que tes fesses et mon bas ventre. Le reste n’existe plus. Nous continuons encore, mes coups de reins semblent à chaque fois plus forts. J’ai l’impression que je vais m’effondrer.

Enfin c’est la délivrance. Nous jouissons ensemble tous les deux. Je m’immobilise au creux de tes reins. Je ne bouge plus par épuisement mais aussi pour garder l’équilibre. J’ai l’impression d’avoir une crampe géante sur les deux jambes. L’expression « petite mort » prend tout son sens à ce moment. Tu te redresses pendant que je me retire. Tu te colles contre moi. Je te serre très fort dans mes bras. Nous ne parlons pas. Les deux hommes ont eu le savoir vivre de nous laisser entre nous. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé pour eux. J’apprécie qu’ils aient été à « notre disposition » et surtout à « la disposition » de ton plaisir. Lentement nous essayons de sortir du labyrinthe. Très vite nous retrouvons la lumière. Tu me souris, tu as l’air épanouie et rayonnante de bien être.

– çà va ?
– oui, très très bien
– çà t’a plu ?
– énormément…
– pas trop dur avec ces deux hommes
– non, j’avoue que la situation m’a excitée. Je ne pouvais me retenir. Heureusement qu’il avait une capote.
– content que cela t’a plu et que tu te sois lâchée et que tu sois resté à l’écoute de ton corps et de ton plaisir.
– franchement, je ne me pensais pas capable de çà
– moi non plus, je t’aime
– je t’aime

Nous retournons vers les douches, croisant à nouveau des hommes seuls. Lesquels nous avaient rejoint ? Pourrais-tu les reconnaître ? Est-ce vraiment important. Sous une douche bouillante, enlacés nous reprenons nos embrassades fougueuses, longtemps. Quel plaisir de nous retrouver après cette première pour notre couple. L’eau ruisselle sur nos corps pendant que nous profitons de ce dernier instant dans ce lieu qui nous a emmené si loin dans notre plaisir.

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