Voici un été qui s’annonce bien… Il a fait très chaud ces derniers jours. Trop chaud peut être ? Car la chaleur peut expliquer bien des choses…
Le week end dernier, avec ma mère, nous n’en pouvions plus. Nous sommes allés nous baigner dans un petit lac, pas loin de chez nous. Ce lac se trouve dans une belle forêt isolée, très rafraîchissante, dans un cadre naturel vraiment paradisiaque. En plus, l’endroit est un peu secret, il n’y a jamais personne, ce qui est très agréable.
En arrivant au lac, ma mère déplia sa serviette de bain sur le sable et s’assit derrière moi. Puis elle commenca à se déshabiller.
Elle avait retiré sa culotte et cherchait son maillot de bain dans son sac. Mais elle ne le trouvait pas.
En l’entendant rouspéter, je me suis retourné vers elle. Machinalement, mon regard est alors descendu entre ses jambes. Je suis resté bouche bée : elle n’avait pas pris le temps de dissimuler son sexe et entre ses cuisses écartées, sa vulve était bien visible.
J’avais déjà vu ma mère nue, mais jamais de cette façon. Sa chatte poilue exhibée en pleine lumière, en toute impudeur.
Le temps que ma mère relève la tête, elle pu surprendre mon regard qui détaillait son intimité avec une curiosité insistante.
» hé bien mon chéri, tu en fais une tête ! »
Elle indiqua son sexe – C’est ça qui te gêne ?
Je ne répondis pas.
Elle resta quelques secondes dubitative, réfléchissant à la façon de réagir dans cette situation inédite. Elle était amusée de me voir ainsi troublé. Alors, au lieu de se cacher, comme une mère raisonnable l’aurait fait, elle écarta encore les jambes pour bien me laisser voir l’objet de mon émoi. Je suis resté ainsi quelques secondes, incapable de détacher mon regard de cette vulve fantastique. Ma mère de son côté se demandait si elle ne faisait pas une grosse bêtise. Mais la chaleur eu raison de ses remords.
Elle se leva alors, et avec un grand sourire, proposa :
– Tu sais quoi ? J’ai oublié mon maillot de bain. Il n’y a personne aujourd’hui, viens, on va se baigner tous nus !
Elle se dirigea vers le lac. Je la regardais rentrer dans l’eau, stupéfait mais admiratif de son beau corps de femme mûre, de ses belles grosses fesses bien pleines.
– Tu viens ? insista ma mère
A mon tour j’enlevais alors mon maillot de bain.
J’étais bien foutu. Je le savais, j’avais un sexe plus gros que la moyenne, bien épais et assez long. L’exhiber à mon tour face à ma mère ne me gênait pas.
La baignade fut délicieuse. La fraîcheur de l’eau nous faisait un bien fou. Nager nu était vraiment agréable. Nous étions complètement euphoriques.
Lorsque ma mère sortit de l’eau, je la suivais de près, ne perdant pas une miette de ses belles formes. Puis nous nous sommes allongés sur la berge, nus, l’un à coté de l’autre. J’étais bien. C’est là que je me suis rendu compte que l’eau, le soleil, le corps nu de ma mère, tout cela était très agréable et m’avait excité. Il m’était difficile de le cacher : mon sexe avait grossi. Ce n’était pas une grosse érection, mais assez pour que ma mère la remarque.
Elle souriait, un peu gênée de voir la tournure que prenaient les évènements. Mais elle aussi était excitée, je le sentais, à sa façon de me regarder tout en gardant les jambes écartées, évitant ainsi de se cacher, continuant d’exhiber avec provocation l’objet de mon désir.
Il fallait qu’à ce moment là un de nous deux décide de tout arrêter, se rhabiller, interrompre une situation qui menaçait de dégénérer. Mais nous étions tous les deux là, enivrés de nature. La beauté du lac, de la verdure environnante, nous avait fait perdre pied. Les immenses arbres autour du lac nous protégeaient, nous coupaient du monde. Il n’y avait que la nature, ma mère et moi, et…notre envie sexuelle.
Alors, ce fut ma mère qui prit l’initiative de me caresser. D’abord le torse, puis le ventre, puis elle descendit vers mon sexe. Elle le pris dans la main.
Comment décrire ce premier contact de sa douce main sur mon engin ? C’était somptueux. Instantanément, ma bite durcit encore, atteignant très vite son érection maximale.
Ma mère ne disait rien mais semblait complètement fascinée par mon organe. Pour bien le voir, elle s’était approchée tout près, à quelques centimètres tout juste, le détaillant avec curiosité et désir. Sa langue se posa sur l’orifice de mon urêtre, cette petite fente au bout de mon gland. Elle le lécha quelques secondes, puis elle ne résista pas plus longtemps à la tentation de prendre ma queue entièrement en bouche. Elle aspirait mon sexe tout au fond de sa gorge avec une habilité incroyable, le pompait tantôt avec fougue, tantôt avec plein de douces précautions.
Au bout d’un moment de ce traitement incroyable, elle se redressa, regarda autour d’elle. Nous étions toujours seuls. La chaleur était un bon alibi pour justifier notre égarement passager, notre capitulation face à la tentation de la chaire. Et puis dans cette nature généreuse, nous n’étions plus qu’un mâle et une femelle qui ont envie l’un de l’autre. Oublié, les convenances sociales, la peur de l’i****te. Nos sexes se réclamaient.
Alors ma mère passa au dessus de moi, et lascivement vint frotter son bas ventre contre ma queue.
Puis elle la fit pénétrer en elle.
Pour la première fois de ma vie je baisais ma mère.
En restant assise sur moi, elle imprima à son bassin des mouvements circulaires tout à fait délicieux. Je sentais mon pieux dressé en elle, tout au fond de son intérieur, comme si ma mère cherchait la position qui ferait pénétrer mon sexe le plus profondément en elle. Puis elle se mit à monter et descendre sur ma bite, la faisant presque ressortir pour la rentrer à nouveau avec délectation. Elle accéléra la cadence, montant et descendant sur ma queue à un rythme effréné, ses gros seins balottant dans tous les sens.
Les gémissements de plaisir qu’elle ne pouvait retenir étaient le signe de sa jouissance.
Au bout d’un moment de ce traitement délicieux, elle se leva et s’agenouilla sur sa serviette, me présentant son cul.
– Viens mon chéri, prends moi par derrière !
J’étais abasourdi par l’aplomb avec lequel elle me faisait cette proposition incroyablement osée.
Je me présentais cependant sans tarder derrière elle et la pénétrais à nouveau selon ses instructions.
Je regardais mon sexe énorme entrer dans ce vagin suintant de cyprine. C’était superbe… A mon tour je m’emportais, agrippais ma mère par les hanches, la tirais à moi, la repoussais et la tirais vers moi à nouveau avec une fougue incroyable. Je la défonçais littéralement, lui envoyais des coups de queue qui auraient démonté toute autre femme moins résistante, mon sexe dur comme du béton pénétrant jusqu’au plus profond de ses entrailles.
Puis ma mère se tourna à nouveau et c’est par devant que je me mis à la baiser, écartant à fond ses jambes, les levant pour aller encore plus loin, la défonçant à nouveau comme un diable.
Ce n’est qu’au bout d’une longue demi heure de positions diverses et variées que je sentis la jouissance impossible à retenir.
Je prévenais ma mère :
– Maman, j’en peux plus, je vais ….
Et j’éjaculais à l’intérieur d’elle dans un bonheur total.
Nous sommes restés un moment allongés nus l’un à côté de l’autre. Puis, sans un mot, ma mère se leva et alla se rincer dans l’eau du lac.
A la tête qu’elle fit en revenant vers moi, j’eu très peur. Je sentis le charme était en train de se briser. Le rêve était terminé, la réalité nous rattrapait. Nous avions commis une erreur irréparable, l’i****te entre une mère et son fils. Rien ne serait comme avant. C’était terrible.
Ma mère se rhabilla et me dit :
– Allez, viens on rentre.
Pendant tout le chemin jusqu’à la maison , elle ne m’adressa pas la parole.
M’en voulait elle ? J’étais désespéré et honteux. Pourtant c’est elle qui avait provoqué cette situation. J’eu peur que notre complicité soit définitivement compromise.
Une fois à la maison, ma mère débarassa son sac. Avec surprise elle en extraya un bas de maillot de bain.
– Ah mais en fait il est là ! Comment ca se fait que je l’ai pas trouvé tout à l’heure sur la plage ?…
Voilà un acte manqué qui en l’occurrence n’était pas sans conséquence ! Si ma mère l’avait trouvé à temps, ce maillot de bain, nous n’en saurions jamais arrivé là…
Mais loin de le regretter, elle me regarda avec un petit sourire en coin :
– Tu sais quoi ? En fait j’en ai pas tant besoin que ça de ce maillot …Demain, si on retourne se baigner, je ne le prendrai pas… La baignade était très agréable aujourd’hui. Et aussi le reste !
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