Je m’appelle Mathilde je suis une femme de 35 ans, les cheveux châtains, des courbes qui ne laisse rien envier aux autres femmes. J’ai une poitrine assez conséquente et un fessier qui ne laisse pas les hommes indifférents. J’aime passer du temps à m’entretenir. Je suis marié depuis 10 ans avec un homme, et dans une situation de couple plutôt compliquée, bien qu’on s’aime toujours, mon homme part souvent à l’étranger pour son travail, nous nous voyons une semaine sur deux. J’ai une fille Johanna une jeune adolescente de 15 ans. Johanna est en pleine crise d’adolescence, des notes en baisses et des contacts peu fréquentables…
Voulant remédier à ce problème qui m’inquiétait, je décidai de contacter Alexandre mon jeune voisin. Alexandre est un jeune homme de 18 ans actuellement en terminale S, il n’a rien du jeune intello à lunette, il est plutôt sportif, charmant et surtout très intelligents. Bien différent des fréquentations que possède ma fille. Pourtant malgré son physique avantageux, Alexandre n’est pas un coureur bien trop attaché au travail. Je lui demandai donc s’il était possible qu’il vienne s’occuper de ma fille qui avait de gros problème en math. Après tout peut être serait-elle sous le charme et lui donnerait-il gout pour la matière. Alexandre était partant, nous conclûmes donc un premier rendez-vous, un vendredi après les cours. Mon mari étant absent du weekend, je n’avais rien de prévu.
Alexandre est arrivé pile à l’heure il était vraiment gentil, poli et attachant, j’ai appelé ma fille,
– « Vous aurez qu’à vous mettre dans le salon, elle va arriver. Tu dois partir à quelle heure ? »
– « ok pas de soucis, a vrai dire je n’ai rien à faire ce soir donc je peux rester autant que vous voudrez. »
Il lui faisait refaire ses exercices de math, bizarrement ma fille était intéressée par la matière, ou par le beau brun qui lui faisait le cours… Je voyais qu’elle ne le quittait pas des yeux. Quant à moi je regardais la scène de loin et tout comme ma fille je n’étais pas indifférente à son regard et surtout son sourire. Je ne sais pas pourquoi mais il avait quelque chose d’excitant, mais bon c’était quand même le fils des voisins et puis j’avais mon mari, je n’allai quand même pas fantasmer sur mon voisin.
Pendant ce temps j’eux envie d’un bain bien chaude, l’image de ce jeune homme me troublait, je n’arrêtais pas de penser à lui. Je montai donc à l’étage pour aller dans la salle de bain, je me déshabillai enlevant mon soutien-gorge qui emprisonnait ma poitrine. J’étais vraiment chaude je dois dire, mon homme ne m’avait pas fait l’amour depuis plus de deux semaines, rapidement mon minou commença à me titiller, des bouffées de chaleurs remontait de mon bas ventre. Je me massais les seins puis ma main se dirigea naturellement vers mon intimité, je me rendis compte que mon pubis était assez poilu je ne m’étais pas épilé depuis un bout de temps et mon vagin lubrifiait abondamment. Je commençais à insérer un doigt dans mon vagin, je sentais des grosses pulsions m’envahir, j’avais une forte envie de faire l’amour d’être prise par un homme. Quand soudain coupé dans mon élan j’entendis ma fille m’appelée,
– » maman on a finis ! »
Je regardai l’heure sa faisait déjà 2 heure. Je me suis dépêchée de me sécher et d’enfiler un débardeur et un leggin blanc, faute de temps j’oubliai complètement de mettre des sous-vêtements. Je suis descendu et vu que ma fille avait déjà rangé ses affaires, Alexandre lui était debout au milieu du salon le sourire au lèvre dès que son regard croisa le mien,
– « c’est bon on a fini, on a refait les deux chapitres pour mon contrôle, on a repris un rendez-vous pour vendredi prochain et j’ai oublié de te dire ce soir je dors chez une copine. »
Ma fille est vite montée dans sa chambre pour faire son sac, quant à moi je me suis retrouvé seule avec Alexandre,
– « Alors Alexandre j’espère que sa c’est bien passé. »
– « Oui elle comprend vite il n’y a pas de soucis. »
– « T’a cas monté à l’étage avec moi je vais te donner un billet. »
– « Oh non ce n’est pas la peine, je fais pas ça pour l’argent. »
– « Si j’insiste, tu le mérites. »
– « Bon ok merci vous êtes sympa et très ravissante ! »
Flatter par ce compliment, je vis que Alexandre lançait des regards discrets sur ma poitrine, je dois dire que cela me faisait de l’effet, je comprenais que je ne laissais pas ce jeune homme indifférent. En montant les escaliers je me rendis compte que mon débardeur était complètement mouillé, n’ayant pas mis de soutif, ma poitrine et surtout mes tétons toujours pointés se voyait parfaitement, j’ai vite compris ce qu’il trouvait ravissant. Une fois dans ma chambre je me suis baissé pour att****r mon sac à main, inconsciemment je me baissai bien devant lui offrant une vue parfaite de mon cul à Alexandre. Il devait bien ce rincé l’œil, quand je me suis retourné pour lui tendre le billet il était complètement ébahi par ce qu’il venait de voir. Je me suis senti gênée devant ce que je venais de faire mais le sourire de ce jeune me faisait rapidement oubliée cette gêne. Je regardai mon entre-jambe et vis une petite tache mouillée à travers mon leggins ma chatte était toujours humide et la scène que je vivais avec Alexandre n’arrangeait pas les choses. Alexandre me contemplait de la tête au pied, quel plaisir de se sentir admiré par un beau jeune homme, je pouvais voir une belle bosse se former au niveau de son pantalon. Il commençait à bander, quant à moi ma vulve était en feu, je sentais la cyprine qui m’inondait, j’étais excité, ce jeune me donnait des idées folles. Je pensai à mon mari, je ne voulais pas le tromper, mais quelque chose me poussait vers lui. J’avais besoin de me sentir femme quitte à me taper le fils des voisins. S’en était trop, je posai une nouvelle fois mon regard sur son entrejambe, la bosse avait doublé de volume. Je mourrais d’envie de voir ce qui se cachait derrière ce jean. Je me collai contre son corps, mis ses mains au tour de mes hanches et l’embrassa une première fois. Il était perdu il ne savait pas quoi faire,
– « Je t’excite ? »
– « Si vous savez à quel point, vous êtes magnifique. »
– « Alors détend toi, je vais faire de toi un homme. »
Je me doutais que c’était sa première fois, j’enleva donc son pull et son maillot, son torse était particulièrement musclé pour son âge. Je commençai à déboutonner son jeans tout en laissant ma bouche collée à la sienne, j’enleva mon débardeur puis mon leggins, j’étais nue et tremper, la cyprine coulait le long de ma cuisse. Alexandre me regarda avec envie et désir comme un lion affamé devant sa proie. J’avais des envies sauvages, bestiales je voulais réveiller le lion qui dormait en lui. Je me mis dos a lui puis me cambra pour qu’il puisse bien voir mon minou, je me suis doucement rapproche de lui pour frotter mon cul doucement contre lui. Je lui faisais subir une véritable torture. Je me suis agenouiller face à lui baissa son jeans. Un simple tissu séparait ma bouche de son pénis, ma chatte me brûlait toujours plus, un fleuve traversait mon entre jambe. Je le tirai vers mon lit pour pouvoir m’asseoir dessus, lui était droit comme un poteau, il était tendu ces mains commencèrent lentement à caresser mes cheveux, il était de plus en plus confiant et j’aimai ça. Je tirai donc sur l’élastique de son caleçon pour le baisser, un magnifique membre en est sorti, un pénis de 18 cm il était gros et imposant, j’étais totalement sous le charme de sa queue, l’odeur que s’échappait de sa bite m’excitait toujours plus, c’est couilles poilu et virile semblait bien pleine, le pauvre n’avait pas dû se vider depuis un bon bout de temps. Je le saisis avec main droite pour décalotter son gland et le masturber doucement à ce moment précis je ne pensai plus à rien pas même à mon mari. J’ouvris ma bouche au maximum pour pouvoir le faire rentrer, il était si gros et si bon, ma langue glissait sur son gland. Je l’enfonçai au fond de ma bouche il tapait contre ma glotte et seulement la moitié de sa verge était rentrée, des filets de bave liait sa queue à ma bouche. Doucement je sentis la main d’Alexandre se plaquée contre l’arrière de ma tête, il commençait à prendre des initiatives, j’ôta donc mes doigts de sa verge pour le laisser baiser ma bouche. Il donnait de gros coup de rein dans ma bouche, ce jeune homme avait un véritable diamant brut dans le pantalon, je me redressai pour replonger ma langue dans sa bouche pour l’embrassée fougueusement. Ses mains attrapèrent mes fesses, il les serrait, il découvrait mon corps avec ses doigts je l’ai senti se balader sur le sillon de mes fesses et descendre vers mon minou ramassé de la cyprine. Il ramena ses doigts mouillés sous son nez pour renifler l’odeur de mon intimité puis les lécha,
– « T’aime ça mon grand ? »
– « J’adore ça, à mon tour de te déguster ! »
Je m’allongeai sur le dos dans mon lit les jambes bien écartés pour m’offrir à lui. Il s’allongea sur moi pour m’embrasser, je sentais sa queue mouillée par ma salive s’appuyer sur mon ventre. Il dévorait ma poitrine avec fougue manquant de s’étouffer entre mes seins puis descendit avec sa langue le long de mon ventre. Il était à la fois sauvage et sensuel, il arrivait à mon pubis particulièrement poilu,
– « J’espère que ça ne te gêne pas tous ces poils »
– « Au contraire ça m’excite, j’aime ça ! »
Il léchait mes poils continuant de descendre vers ma fleur, sa langue remonte de haut en bas sur ma vulve, il s’occupait de mon clito avec force et désir. Il me suçait tellement bien pour un débutant. Soudain j’entendis des bruits de pas dans le couloir,
– « Mince ma fille ! vite cache toi sous le lit »
Je me mis rapidement sous la couette faisant mine de dormir, ma fille ouvra la porte,
– « Bon j’y vais, a . »
– « Bonne soirée amuse toi bien. »
Elle ferma la porte, j’eus peur un instant les vêtements d’Alexandre était au pied de mon lit pourvu qu’elle n’est rien remarquée. J’attendis quelle descende les escaliers et quelle ferme la porte d’entrée pour dire Alexandre de sortir,
– « C’est bon elle est partie tu peux sortir. »
– « Mon dieu elle m’a fait flipper. »
– « Ne t’inquiète pas maintenant on est seule tu vas voir pouvoir me faire crier. »
Le jeune étalon avait légèrement perdu de sa vigueur à la suite de l’évènement, je m’empressai de le prendre en bouche et ni une ni deux il redevint dur comme fer. Alexandre s’allongea sur le dos et me dit :
– « Vas-y assis toi sur moi je vais te lécher comme jamais ! »
– « Tu me rends folle toi »
Je m’asseyais donc de face sur le visage d’Alexandre, plaçant mon sexe au niveau de sa bouche, il me tenait fermement par les seins et lécha chaque millimètre de peau de mon sexe, avalant entièrement tout le liquide que sécrétait mon vagin. Quel plaisir je ne tarda pas à sentir l’orgasme arriver j’allais jouir,
– « Alexandre je vais jouir, je…. OOHHHH …. HUMMM…OUI ! continues vas-y ! »
Mon vagin a expulsé de grosse giclé de cyprine droit dans le gosier d’Alexandre, il avalait mon liquide par grosse gorgée. Il s’asseyait appuyant son dos musclé sur la tête de lit, j’avais le bassin au-dessus du sien, je saisis son membre bien raide que je frottai contre ma toison pubienne, il aimait ça je le sentais. Je fis glissée sa queue à l’entrée de mon vagin puis doucement me laissai retomber dessus, il regardait son gros chibre disparaître en moi centimètre par centimètre. Je senti mon pubis toucher le sien, j’avais pu accueillir cette grosse matraque de chair du premier coup dans mon vagin, je mettais littéralement empalée sur le pieu de mon voisin. Je m’immobilisai un instant pour le garder prisonnier en moi,
– « T’aime ça mon salaud ! »
– « J’croyais pas que vous étiez aussi profonde »
A vrai dire moi non plus je ne me savais pas comme ça, je n’avais connu que le pénis de mon mari qui n’était pas aussi imposant que le sien. Je mis mes pieds sur le lit les cuisses pliées pour pouvoir faire de long mouvement. Je remontai faisant ressortir le membre jusqu’à apercevoir son gland puis le renfonça d’un coup net et recommença inlassablement. De long et lent va et vient sur ce poteau de chair, il me faisait un bien fou, l’épaisseur de son pieu labourait ma paroi vaginale à chaque coup. Je pris un vilain plaisir à l’immobiliser au fond de moi pour frotter mon clito sur son pubis en donnant des coups de bassin, je sentais de nouveau les spasmes dans mon corps, je m’agitais dans tous les sens. Alexandre me pris dans ses bras et me serra fortement contre son torse musclé,
– « Allez vas-y je veux sentir t’a jouissance ! »
Une nouvelle fois j’explosa sur mon jeune amant, les muscles de mon vagin se contractèrent autour de son membre, je giclai une nouvelle fois purgeant mon corps de ces flots de cyprine. Les poils de son pubis et de ces bourses étaient trempées. Je me retirai et m’allongea à côté de lui pour reprendre mon souffle,
– « Toi c‘est sur tu vas faire des heureuses ! »
Il se mit sur moi pour m’embrasser, je sentais le poids de son corps sur moi, il caressait mes cheveux, plaçait sa tête dans mon cou humide de sueur pour le lécher. J’avais une folle envie de voir de quoi il était capable, je sentais qu’un mâle viril et puissant ce cachait en lui, je me mis donc à 4 pattes, devant Alexandre je pliai mon dos pour bien faire ressortir mon postérieur en chaleur,
– « Allez c’est à toi de prendre les rênes maintenant, prend moi sauvagement sois un homme ! »
– « Humm t’es vraiment coquine toi, je meurs d’envie d’être en toi. »
Alexandre se redressa fièrement derrière moi, le buste large et bien droit, je pouvais l’observer dans le miroir. Il prit d’un grand coup ma hanche gauche me faisant sursauter, je le vis saisir son pieu dans sa main droite et le présenter à mon vagin tout mouillé. Il rentra en moi d’un coup de bassin, me tenant virilement par les hanches il me donnait de fort coups de reins,
– « T’aime quand je m’occupe de ta chatte hein ! »
– « Oh oui j’adore continue !! Baise-moi fort j’aime ça !! »
– « Allez prends ma bite ! Prends la bien ! »
– « OOHHHH… HUMMM…. Continues t’arrêtes jamais ! »
Ma petite chatte en manque d’attention se faisait mal traité par ce gros gourdin, j’encaissais les assauts de son chibre, le jeune garçon timide avait laissé place à un jeune mâle puissant et vigoureux, quant à moi je prenais un plaisir inimaginable à me faire chevaucher par ce belle étalon. Le bout de son phallus tapait énergiquement dans le fond de ma chatte, il savait parfaitement quoi faire. Je pouvais voir dans le miroir son cul musclé se contracter à chaque fois que son pieu perforait ma croupe. D’un coup il saisit ma chevelure et la tira vers lui, il me dominait et j’aimais ça ! Il s’immobilisa en moi, je cru qu’il allait me livrer sa semence mais non, faut dire qu’il était endurant celui-là. Il sortit de moi et ce mis à me lécher de plus belle, je restai dans la même position celle de la femme soumise à son amant. Il présenta sa langue au niveau de mon anus, je sentais sa langue s’occuper de ma rondelle, je devinais rapidement ce qui lui trottait dans la tête, il avait bien décider de découvrir chaque parti de mon corps,
– « Non Alexandre, on ne peut pas faire ça t’es beaucoup trop gros pour moi. »
– « Détends-toi et laisse-toi faire. »
La vérité c’est que j’avais peur de ça, je ne mettais jamais faite sodomiser auparavant et j’ai toujours penser que ça faisait extrêmement mal. Pourtant les doux baiser qu’il faisait sur ma rondelle m’excitait, c’était la première fois qu’un homme s’occupait de cette partie de mon corps. Chacun de ses coups de langue me donnait envie de le sentir défricher cette partie intime, j’étais bien trop excité pour refuser une aussi belle queue au fond de mon cul,
– « Oh et pis merde vas y met la moi, par contre sois doux s’il te plait. »
– « Ne t’inquiète pas, si jamais t’a mal tu me le dis et j’arrêterais »
Il commença par me doigter avec son majeur, puis lécha, il me réinséra ses doigts cette fois deux, mon anus commençait à se détendre mais ses doigts n’étaient rien comparés à ce qu’il avait entre les jambes. Je senti son gland arrivé au niveau de mon anus, quel stress il allait dépuceler mon anus, il commença à pousser, son gland réussi à me pénétrer, quelle douleur j’avais mal mais je ne dis rien car je voulais qu’il continue. Toujours aussi viril Alexandre me tenait cette fois ci par la nuque avec sa main ferme, l’idée de lui être soumise et sodomisée me plaisait. Il continuait de rentrer, je sentais chaque millimètre de queue me perforer, puis après de longue minute de souffrance je sentis ces bourses touchée ma chatte, il l’avait rentrée en entier, je n’imaginai même pas l’état de mon anus troué par cette bite la douleur se mélangeait au plaisir,
– « Putain j’ai mal !»
– « Tu veux que j’arrêtes ? »
– « Surtout pas ! Défonce-moi le cul !»
– « Oh oui j’aime quand tu parles comme ça petite chienne ! »
Il gifla d’un grand coup mon cul, et me mit de gros coup de bassin, il labourait mes intestins, mon anus me faisait un mal de chien ! Au fur et à mesure que je subissais ses assauts mon anus s’habitua la douleur laissa place au plaisir pur. Je n’étais plus Mathilde, j’étais une simple chienne, une salope et sa me faisait jouir, je jouissais alors que sa queue défonçait mon cul. Alexandre me dominait comme jamais il me soumettait, je sentis sa main m’attrapée par les cheveux pour me tirer et ramener mon buste à sa hauteur, ma tête se tourna pour que je puisse l’embrasser, bien que sa queue soit toujours au fond de mes intestins,
– « J’adore ce que tu me fais »
– « Je crois que je vais jouir, Mathilde »
– « Enfin !»
Je me m’enlevai de sa bite pour me tourner face à lui, je mis ma tête face à son sexe pour qu’il comprenne ce que je voulais, il saisit sa verge puis se masturba pour expulsé son foutre, il tenait fièrement son pénis, il était à bout de force,
– « OHH Mathilde …. Humm… »
Je le regardai droit dans les yeux, je voyais ses yeux se perdre, un premier jet de semence gicla en travers de mon visage, voulant le goûter je mis son gland entre mes lèvres, une deuxième puis une troisième grosse giclée remplissait ma bouche de son nectar crémeux. J’aspirais les dernières gouttes puis me redressa pour lui montrer ma bouche bien pleine et avala. Nous nous allongeâmes tous les deux sur le lit pris d’un fou rire, Alexandre se mit sur moi, essouffler le sourire aux lèvres,
– « Merci Mathilde. »
– « C’est moi qui te remercie, j’en avais besoin. »
Regardant l’heure, Alexandre se rendit compte qu’il devait rentrer chez lui et se rhabilla, moi toujours allongé dans le lit j’étais euphorique dans un état de plénitude totale le regardant enfiler ses vêtements, j’aurai bien aimé le gardé avec moi toute la nuit mais ce n’était pas possible. On se promit de se revoir et Alexandre quitta la maison. Quant à moi je parti reprendre un bain, une fois dans la salle de bain je me vis dans le miroir, les cheveux totalement ébouriffer, une trace de foutre sur le visage et surtout les orifices qui me faisait mal, j’étais totalement souillés. Je me tournai et écarta mes fesses pour voir l’état de ma rondelle encore dilatés. Je découvrais une nouvelle facette de moi-même et ça me plaisait. Quelle baise, j’étais heureuse, bizarrement je n’éprouvais aucun remord, j’étais bien décider à remettre ça….
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