Nadia et moi Karim sommes mariés depuis 10 ans. J’ai beaucoup de chance car elle est très jolie : 28 ans, brune, les yeux clairs et des formes à donner envie à des hommes de tous les âges !
J’avais la chance d’avoir une femme magnifique : à chaque fois que nous étions ensemble lors de sorties, je voyais très bien qu’elle ne laissait pas les hommes indifférents, et quelque soit leur tranche d’âge. Elle était capable de séduire un petit jeune de vingt ans aussi bien qu’un homme mûr de 60 ans, et cela me plaisait énormément de savoir que ma femme était tant désirée.
Non seulement cela était gratifiant, mais je trouvais cela très excitant !!!
Moi, j’en ai 35 et nous formons un couple uni.
J’avais à l’époque un fantasme : l’offrir à un autre homme et assister à leurs ébats.
Au début de notre relation, alors que nous étions ensemble et qu’elle plaisait à quelqu’un, j’ai toujours évoqué cette idée à Nadia, mais elle s’y était systématiquement refusée !
Ces derniers temps, notre vie sexuelle était un peu monotone (rapports moins fréquents). Nous tenions toujours l’un à l’autre mais quelque chose avait changé. Sans doute la routine après plusieurs années de mariage.
Un jour, mon téléphone sonna. C’était Naji, un ancien collègue que j’avais perdu de vue depuis quelques années car il avait déménagé pour le travail et il était de passage dans la région.
Nous étions restés en contact par mail et par téléphone et on prenait des nouvelles l’un ou l’autre environ deux fois par an. Il m’a demandé s’il pouvait passer nous rendre visite un soir, j’étais enchanté. J’en discutais avec Nadia qui ne voyait aucune objection à sa venue.
Naji avait la cinquantaine, vieux garçon, les cheveux grisonnant avec une petite moustache, il était assez bien conservé pour son âge. Il ne m’avait jamais caché son attirance pour ma femme. Il s’était confié à moi et s’arrangeait pour faire, à chaque fois, de petites allusions auprès de ma femme quand on se voyait, avant qu’il ne déménage.
A la simple pensée de sa venue, je me suis dit qu’il pouvait se passer quelque chose, et j’étais déterminé à ce que les choses se débloquent, quitte à la jeter dans les bras de mon ami !
Le soir même, mon épouse et moi avons fait l’amour et avons évoqué l’hypothèse qu’elle couche avec Naji…
— Je sais que tu aimerais énormément, et je sais que, de son côté, il n’attend que cela. J’aurais déjà pu le faire plusieurs fois si je l’avais voulu quand il était encore dans la région… Il m’a déjà fait du rentre dedans en ta présence, et m’a même envoyé des mails à une époque pour m’attirer dans son lit, chose que j’ai toujours refusée.
Pour la première fois, elle ne répondit pas non, mais resta assez évasive…
— C’est vraiment ce que tu veux ? Me demanda-t-elle.
Je lui répondis que le simple fait d’y penser m’excitait beaucoup, mais la discussion s’arrêta là.
Naji est arrivé un samedi après midi, Nadia était absente. Nous sommes allés prendre un verre dans un bar, et très vite, la discussion se porta sur elle.
Je lui explique que notre vie sexuelle était calme en ce moment, que j’étais toujours fou d’elle, mais que sexuellement, j’avais envie d’autre chose, et de nouvelles expériences avec ma femme. Je lui avouais enfin que mon désir le plus intense était de la voir coucher avec un autre.
— Mais tu es fou, s’exclama Naji. Ta femme est magnifique ! Si j’étais toi, jamais ne la partagerai pour rien au monde ! Même dans mes rêves les plus fous, je ne pense pas qu’elle se donne à moi, même si je dois t’avouer que je l’ai plusieurs fois envisagé, et cela tu le sais….Et elle est au courant, et surtout qu’en pense-t-elle ?
— Oui, elle est au courant, lui répondis-je. Au départ, c’était un non catégorique, mais je pense d’après notre dernière discussion à ce sujet qu’elle est prête à franchir le pas, peu importe le partenaire.
Et je lui fais sentir que cet homme, ce serait certainement lui, sans lui dire ouvertement, mais je vois à son regard qu’il avait très bien compris où je voulais en venir.
— Tu sais très bien ce que je pense de ta femme, elle est splendide, désirable et elle m’a toujours attiré et tu le sais, me glissa Naji en guise de réponse.
Les choses avaient été dites à demi-mots mais il a tout de suite saisi le fond de ma pensée. Comme l’heure avançait, nous nous sommes dirigés vers la maison.
Quand nous sommes revenus, Nadia était rentrée. Elle commençait à préparer le repas pour le soir.
Elle accueillit Naji d’une manière très chaleureuse, en enserrant l’un de ses bras autour de son cou pour lui faire deux bises très appuyées. Naji accompagna ce geste de bienvenue en posant ses mains sur ses hanches.
— Contente de te revoir, lui lança-t-elle avec un grand sourire.
— Mais tout le plaisir est pour moi, lança Naji. Dommage que l’on ne se voie pas plus souvent, des accueils comme celui là, j’en réclamerai même si j’en avais tous les jours !
— C’est toi qui es parti si loin. Si tu étais plus près, on se verrait sans doute plus qu’une ou deux fois par an, lui lança-t-elle en me jetant un regard en coin.
Le jeu de séduction était lancé, Naji reprenait sa drague comme à chaque fois qu’on le voyait, même cette fois ma femme entrait dans son jeu, chose qu’elle n’avait jamais faite auparavant.
Puis, elle vint me donner un baiser langoureux dont elle avait le secret : « Tu vas bien mon amour ? Tu dois être heureux de revoir ton ami ? » Me demanda-t-elle avec une pointe d’ironie dans la voix.
Nous avons bu un premier verre en discutant, puis nous avons tous fait un peu de toilette. J’ai pris la salle de bain en premier et j’ai laissé Naji et Nadia quelques minutes, puis c’est mon copain qui a pris le relais dans la salle d’eau. Je reviens donc vers la cuisine pour discuter avec ma femme.
— Toujours le même celui là, il ne change pas ! Pensais-je tout haut.
— Il est toujours aussi dragueur en tous cas, mais c’est vrai qu’il semble en bonne forme, me répondit-elle.
De quoi avaient-ils pu parler ? Qu’avait-il dit à Nadia et que lui avait-elle répondu ? Il avait sûrement du lui faire du rentre dedans comme à son habitude…. Mais, je n’ai pas eu le temps de demander quoi que ce soit à ma femme que Naji faisait son retour dans la pièce.
Nous nous étions mis sur notre « 31 » pour un repas entre amis : chemise et pantalon costume pour les hommes. Ce fut au tour de ma femme d’aller se faire une beauté.
— A tout de suite ma chérie, lui dis-je. Comment vas-tu t’habiller ?
— Je vais faire honneur à notre invité, mon amour, ne t’inquiètes pas ! Nous lança-t-elle avec un petit sourire avant de disparaître dans le couloir.
Naji m’interrogea un peu gêné :
— Par rapport à notre conversation de tout à l’heure…Au sujet des envies que tu as à propos de Nadia ?
— Tu as carte blanche, lui répondis-je sans lui laisser le temps de finir sa phrase.
— Mais je ne voudrais pas que cela mette la mauvaise ambiance entre nous, je tiens beaucoup à vous, s’inquiéta Naji.
— Si tu veux tenter quelque chose, tu as mon feu vert, et si elle est d’accord, n’oublie pas que je suis responsable de cette initiative. Donc, je ne t’en voudrais pas, et elle non plus, car si elle accepte, c’est de son plein gré, lui répondis-je d’un ton sec et déterminé.
Notre conversation s’interrompit alors que ma femme faisait son entrée dans la pièce.
Elle avait revêtu sa longue robe de soirée noire bien fendue sur le coté, à fines bretelles, légèrement décolletée qui lui moulait superbement le corps. Si bien qu’à chaque fois qu’elle la portait, elle ne pouvait pas mettre de soutien-gorge et portait un string pour éviter que les marques des sous-vêtements ne ressortent à travers la robe.
— Je vous plais ? Nous interrogea-t-elle.
— Tu es splendide, lui répondit Naji.
— Si je plais à notre invité, c’est bien là le principal, se contenta-t-elle de répondre.
Je vis les yeux de Naji se fixer sur sa poitrine généreuse (95c) et sur ses fesses rebondies dès qu’elle avait le dos tourné.
Après quelques verres d’apéritif, l’ambiance était déjà très détendue et plutôt festive.
Nous devions déjà en être à notre cinquième verre de whisky depuis que nous étions rentrés, et même elle nous suivait, et pourtant, elle n’avait pas trop l’habitude de boire.
Ma femme commençait à user ou plutôt à abuser de ses charmes envers notre invité qui n’en perdait pas une miette : elle s’était assise face à lui dans un fauteuil et n’hésitait pas à se pencher en prenant ou en posant son verre sur la table basse du salon afin de lui faire profiter de son décolleté, ou devrais-je dire de sa poitrine car elle n’avait pas de soutien gorge, ce qui dévoilait les formes rebondies de son 95C.
Elle s’amusait également à croiser les jambes en prenant soin de remonter sa robe assez haut pour que l’on puisse voir la naissance de ses bas.
Pour le coup, c’est elle qui jouait les allumeuses, et elle le faisait très bien, et sans que nous soyons revenus sur la conversation, ni même me demander mon avis.
J’avais tout de suite compris qu’elle voulait que quelque chose se passe. Et elle prenait les rênes, sans même m’en parler…
Elle demanda à Naji s’il avait quelqu’un en ce moment, et comme il n’avait personne, elle lui demanda si l’abstinence n’était pas trop dure pour lui.
— Pourquoi, tu as quelque chose à me proposer ? Demanda Naji amusé.
— Cela dépendra de toi, lui répondit-elle en lui souriant puis en me regardant droit dans les yeux.
Dès cet instant, j’ai compris tout de suite que les choses n’en resteraient pas là.
Elle qui était plutôt prude, et qui s’était toujours refusée à mes demandes, se transformait sous mes yeux en une cochonne prête à coucher avec mon ami.
Ils me regardèrent tous deux, et je fis un sourire.
Et même si je me posais des questions, il était trop tard pour reculer. Et si elle prenait goût à se donner à d’autres hommes, et si elle se donnait toute entière à un autre mais sans ma présence, voire le pire, si elle partait avec l’un de ses amants ? Mais j’étais tellement obnubilé par l’envie de la voir coucher avec un autre que je voulais que cela se fasse, quelque soit les risques !
J’étais partagé entre l’excitation, la peur, et la jalousie de voir ma femme dévoiler ses charmes, à quelqu’un que l’on connaissait très bien tous les deux. Mais quoiqu’il en soit, en ce qui concerne Nadia, il semblait que sa décision était prise, que je le veuille ou non !
Nous sommes passés au repas, et avons descendu à nous trois bouteilles de vin rouge. La belle commençait à être enivrée et nous, n’étions pas mieux.
Puis le repas se termina et nous étions tous trois aussi fatigués qu’ivres.
Ma femme continuait son jeu de séduction auprès de notre invité, je décidais de la laisser faire, étant donné qu’elle avait allumé la mèche depuis le début de la soirée.
— J’espère que tu as encore des forces ce soir mon chéri, j’ai de grosses envies ce soir !
— Ne t’inquiète pas, répondit Naji en rigolant. Si lui n’en a pas, moi je suis en pleine forme !
Je proposais un digestif, chose que tout le monde accepta, et je décidais d’aller fumer une cigarette, et par rapport à ce qui était en train de se passer, il fallait que je me rafraîchisse un peu les idées. Je n’avais pas l’habitude de voir ma femme se comporter comme cela, et j’accusais un peu le coup, même si je bouillais d’’impatience d’assister à la suite.
J’en venais même à me demander si c’était la première fois qu’elle se comportait de la sorte, il lui arrivait de partir plusieurs jours en déplacement pour le travail avec certains de ses collègues. Comment pouvait-elle se comporter lors des soirées qu’ils organisaient entre eux ?
Pendant que je grillais ma cigarette, j’allais et venais autour de la maison, perdu dans la pénombre du soir.
Et je suis tombé devant un spectacle qui, je pense, restera longtemps gravé dans ma mémoire : mon meilleur ami était en train d’embrasser ma femme à pleine bouche en laissant ses main vagabonder sur son corps, s’attardant tantôt sur ses seins, puis sur ses fesses et son entre-jambes !
Elle semblait aimer çà, car elle se laissait faire et poussa le vice jusqu’à passer sa main sur la partie sensible de notre ami qui ne devait pas rester indifférent.
Je les voyais discuter entre deux baisers profonds, et me demandais ce qu’ils pouvaient se dire…Mon sentiment était mélangé entre le dégoût et l’excitation… Mon meilleur ami qui profitait ainsi de ma femme et elle qui se laissait tripoter de surcroît !
La peur que je ressentais, de la perdre, avait disparu, tout comme le dégoût et c’était désormais l’impatience et l’excitation d’assister à la suite des réjouissances qui avait pris le pas sur tout le reste.
Je rentrais donc par où j’étais sorti, ce qui laissait le temps de stopper leurs préliminaires. Je les retrouvais en pleine discussion, comme si rien ne s’était passé.
Seule la bosse sur le devant du pantalon de Naji laissait présager qu’il s’était passé quelque chose.
Mon épouse vient vers moi et m’embrasse tendrement, sans me parler de ce qui venait de se passer, en me susurrant un « je t’aime » hésitant au creux de l’oreille. Puis, ma femme s’absenta quelques minutes.
Naji vint vers moi et fit lui aussi comme si de rien n’était. Il m’a demandé si je voulais reprendre un verre avec lui en souvenir du bon vieux temps, invitation que j’acceptais volontiers.
Il m’a dit qu’il était très heureux de nous revoir depuis le temps que nous n’avions pas changé, même que nous nous étions épanouis, et que ma femme était toujours aussi splendide. La discussion s’arrêta quand elle fit son entrée dans la pièce.
Elle vint vers moi et me dit :
— Je crois que j’ai un peu trop bu ce soir, j’ai la tête qui tourne.
— On ne peut pas boire à deux, lui dit Naji, reprends donc un verre avec nous !
— Je ne voudrais pas contrarier notre invité, tu peux m’en resservir un mon chéri ?
Je ne la fis pas attendre. Une fois notre verre terminé, nous avons débarrassé un peu la table avant le dessert. Naji aida, et je décidais de me mettre un peu en retrait pour les laisser ensemble, histoire de voir ce qui allait se passer. Il s’approcha de ma femme et lui demanda:
— Alors, tu as de grosses envies ce soir ? C’est ton mari qui va être content, quelle chance il a, j’aimerais être à sa place !
— Laisse-le où il est, lui répondit-elle en me regardant fixement.
Naji me regarda également, je lui fis un signe d’approbation de la tête. Il enlaça Nadia et l’embrassa à pleine bouche. Il fit glisser les bretelles de la robe qui tomba à ses pieds, ce qui fit découvrir la superbe poitrine. Son 95C était offert à mon ami et je pense qu’il allait en profiter pleinement ce soir. Il s’empressa de la caresser et de lui mordiller les tétons qui se dressaient déjà de plaisir.
C’est vrai que j’avais la chance d’avoir une femme très bien faite, rien que sa poitrine était un modèle du genre : forme ronde, ferme et rebondie, elle était parfaite pour moi.
Elle me regardait alors qu’elle déshabillait Naji : sa chemise fut presque arrachée et son pantalon fut vite arrivé au niveau des ses chevilles.
L’énorme bosse à travers le sous vêtement de mon ami laissait présager d’un joli engin avec lequel Nadia ne manquerait sûrement pas de s’amuser. D’ailleurs, elle marqua un temps d’arrêt, et commença par caresser ce paquet cadeau, avant d’en ôter l’emballage.
Je fus surpris par la taille du zob de Naji. Il était plutôt bien monté, mieux que moi en tous cas : une verge assez longue et grosse et un gland plutôt impressionnant.
Elle s’agenouilla et commença à le sucer comme une assoiffée. Elle ne l’avait jamais fait avec moi. Son regard semblait me défier et me dire : « C’est ce que tu voulais, maintenant tu l’as !!! ».
Elle le faisait de manière méthodique, alternant tantôt la douceur et une cadence effrénée. Je voyais sa langue jouer avec le gland de mon ami, avant de voir sa verge s’enfoncer complètement dans la bouche de ma femme.
Naji semblait vraiment apprécier le traitement qu’elle lui réservait : « Surtout ne t’arrête pas, l’implorait-il. Qu’est-ce que tu fais çà bien !!! ».
Tout en les regardant, je quittais moi aussi mes vêtements : une fois nu, j’allais m’asseoir dans le canapé qui se situait face à eux et je commençais à me masturber.
Puis Naji demanda à Nadia de se relever et la fît s’asseoir sur le plan de travail, les jambes écartées, sa chatte parfaitement épilée offerte à qui voudrait bien la prendre.
Il écarta son intimité avec ses doigts et joua quelques instants avec son clitoris, avant de s’agenouiller à son tour et de fouiller le plus profond de ses chairs avec sa langue. Ma femme commença à se tortiller et à gémir en me regardant.
Au bout de quelques instants, elle saisit Naji par les cheveux et le fit stopper net : Prends-moi, maintenant !
Elle se releva et le prit par la main pour l’emmener vers la table où nous avions mangé, et surtout pour se rapprocher de moi.
Elle prit appui sur ses avant bras et se positionna face à moi, en prenant soin de bien offrir sa croupe à son amant d’un soir. Je me délectais du spectacle en me masturbant. Naji se plaça derrière elle et la pénétra sans aucune forme de ménagement !
Ma femme s’étala sur la table sous la force des coups de reins : ses seins étaient comprimés sur la table, mais Naji lui demanda de se redresser légèrement et saisit sa poitrine à pleines mains tout en continuant de la défoncer. Tout deux semblaient prendre un plaisir immense, et ils semblaient surtout apprécier que je fasse le voyeur.
J’étais pleinement absorbé par ce spectacle que je souhaitais au plus profond de moi depuis des années, et le doute et la peur avaient maintenant complètement disparu. J’étais excité comme une puce !
Ma femme se faisait prendre sous mes yeux par l’homme qu’elle connaissait et qui aurait presque pu être son père ! Et vu son expression et ses gémissements, je peux vous assurer qu’elle aimait çà !
Ce tableau dura quelques minutes, puis Naji la retourna, dos contre la table, et se réintroduisit de nouveau. Il accéléra la cadence et je voyais les seins de ma femme ballotter sous l’action des coups de pilon que mon meilleur ami lui infligeait.
Ma femme se caressait la poitrine en gémissant de plaisir alors que son amant avait passé les jambes de ma femme sur ses épaules, histoire d’aller encore plus profond en elle.
Nadia prenait visiblement beaucoup de plaisir, elle avait tourné la tête vers moi et elle me lançait toujours ce même regard, tandis que Naji se faufilait au plus profond d’elle.
Ses yeux se plissaient sous le plaisir entre deux gémissements. Naji, lui, avait complètement oublié ma présence et la défonçait littéralement.
Elle voulu changer de position et fit asseoir son amant sur une chaise. Elle lui tourna le dos, le chevaucha et vint s’empaler sur son gros zob juste face à moi.
De là où j’étais, j’avais une vue directe sur le zob de Naji qui écartait les chairs suintantes de l’intimité de ma chérie et qui allait et venait jusqu’au plus profond d’elle. La belle sautillait comme une diablesse sur le pieu de Naji qui lui malaxait les seins !
Trop excité, je m’approchais et présentais mon sexe devant la bouche de ma chérie pour qu’elle me fasse participer à leurs ébats, mais elle le repoussa : Non, laisse-nous, me dit-elle avec toujours ce même regard.
Elle s’était transformée en une vraie salope, comme jamais elle ne l’avait été avec moi !
Elle demanda à Naji d’arrêter son va-et-vient, puis elle me tourna le dos comme pour m’ignorer avant d’aller de nouveau chevaucher le zob de son amant, mais cette fois en lui faisant face. En même temps, elle caressait la nuque de Naji et se positionnait front contre front.
Elle sautait de plus belle en embrassant fougueusement Naji qui alternait entre baisers profonds et les succions des mamelons, car ce dernier ne la ménageait pas…Les coups de reins devenaient de plus en plus intenses.
— Pourquoi je n’ai pas accepté tes avances quand tu étais encore dans la région, lança-t-elle à Naji entre deux inspirations…On aurait pu en profiter pleinement à l’époque, car tu te débrouilles plutôt pas mal pour un vieux !
— Je me posais la même question, lui rétorqua Naji. Si j’avais su que tu étais aussi garce, j’aurai même forcé les choses, quitte à te contraindre, mais je pense qu’il n’aurait pas fallu te pousser beaucoup pour que j’arrive à mes fins. Il en a de la chance ton mari !
— Mon mari, gémit-elle, de qui parles-tu ? Il n’existe pas pour moi ce soir…Je ne suis pas mariée…Quelqu’un nous observe dans cette pièce mais je ne vois qu’un cocu qui prend son pied en te regardant profiter de sa femme !
Ils échangèrent un long baiser…
Mais quelle garce ! Le pire est qu’elle me plaisait énormément comme cela, jamais je n’aurais soupçonné qu’elle aurait le cran de franchir le cap, et tout cela devant moi ! Je tombais amoureux d’une autre femme ce soir, la femme prude avec laquelle j’étais officiellement marié n’existait plus, et je priais tous les saints du ciel pour que cette inconnue rencontrée par hasard reste avec moi et ne disparaisse pas après cette aventure !
Je n’aurai jamais pensé qu’elle pouvait avoir cette double personnalité !
Puis elle se tourna vers moi : Tu veux encore plus de spectacle ? Gémit-elle entre deux empalements sur le pieu de mon ami. Tu vas en avoir mon cocu !
Elle ordonna à Naji de se diriger vers le canapé. Il ne prit même pas soin de se retirer, et se leva de la chaise en soulevant ma femme et en restant en elle.
Elle restait accrochée à son cou comme un bébé au cou de sa mère et commençait à accuser le coup…. Le souffle court, le regard dans le vague, l’orgasme n’était plus loin.
— Allonge-toi sur le dos, me dit-elle dans un souffle.
Je m’exécutais…Puis elle demanda à Naji de la poser, et tout en titubant, elle vint se mettre à genoux au-dessus de moi, comme si elle voulait entamer un 69 avec son intimité ruisselante et dilatée au niveau de mon visage et la bouche à hauteur de mon sexe.
J’étais déjà heureux…Sauf que je compris rapidement ce qu’elle voulait faire.
A peine je sortais de mes pensées que je voyais le zob de Naji écarter sa vulve visqueuse et rougie par le plaisir qui recommençait à la pilonner de nouveau.
Ma femme, elle, se contentait de se faire prendre, et de temps à autre, elle frottait sa superbe poitrine sur mon ventre mais, en aucun cas, ne touchait à mon sexe. Je ne pouvais pas être aussi bien placé, la scène se déroulait à peine à quelques centimètres de mon visage.
— Branle-toi, m’ordonnait-elle. Tu aimes ce spectacle hein ? Balbutia-t-elle entre deux gémissements.
Je ne trouve pas les mots pour vous décrire ce que je ressentais en voyant de si prés le zob de mon ami sortir et entrer au plus profond de ma femme, alors que moi j’étais passif, et je restais là à me masturber devant ma femme se faisant prendre par un autre.
Je voyais tous les détails de son intimité : la couleur de sa chair écartelée, la mouille et la cyprine qui recouvrait la verge de mon ami et l’intimité de ma femme, le bruit de va-et-vient….
Je fus incapable de lui répondre, j’étais comme anesthésié par le spectacle et par son comportement !
Je sentais que Naji allait craquer, il commençait à pousser des râles ; quant à Nadia, elle avait posé sa joue sur ma jambe et me regardait me branler, en gémissant de plus belle.
Je sentais son 95C frotter sur mon bas ventre au même rythme que Naji. Ce dernier poussa un long soupir de plaisir quelques instants plus tard. Il se vida en elle, et elle l’accompagnait dans son orgasme.
Mais il ne se retira pas tout de suite et continua à aller et venir en elle pendant quelques instants.
Mon épouse était à bout de souffle comme si elle venait de courir le marathon, et restait la tête posée sur ma jambe en essayant de reprendre son souffle.
Naji se retira enfin pour laisser l’intimité écartelée et souillée par son foutre, et offerte à ma vue. Un long filet de sperme se dégagea du vagin et se mit à me couler sur le visage.
Je sentais que je n’allais pas tarder à craquer et j’implorais ma femme.
— Suce-moi ma chérie, je t’en prie, finis-moi !!!
— Tu veux que je te finisse ? Alors lèche-moi !
J’allais goûter au sperme de mon meilleur ami, et même si cette idée me rebutait au départ, j’avais trop envie de connaître les nouvelles capacités de chienne qu’elle avait développée.
Je prenais donc appui sur ses reins et avançais ma tête vers ses lèvres encore suintantes, et je commençais à la lécher avant d’insérer ma langue dans son intimité.
La saveur de ce jus qui venait des entrailles de ma chérie ne me dégoûtait pas, et je m’appliquais à lui donner encore un peu de plaisir tandis qu’elle commençait à me sucer.
Je comprenais mieux la réaction de Naji au début de leurs ébats, elle faisait cela divinement bien….De mon coté, je n’allais pas tarder à jouir, et après quelques allers et retours dans sa bouche et quelques savants coups de langues, elle finit de m’achever dans sa bouche et elle avala chaque giclée que ma verge avait libérée.
Exténués par notre folle aventure, nous sommes restés tous affalés quelques minutes dans le canapé.
Puis elle se releva, m’embrassa goulûment et me dit : « Merci pour ce moment mon chéri, mais cette nuit, je te laisse dormir sur le canapé. C’est Naji qui occupera mon lit…Car j’ai bien envie que l’on remette çà !!! ».
Elle se dirigea vers lui et l’embrassa tout aussi sensuellement qu’elle venait de le faire avec moi.
— On y va, demanda-t-elle à Naji en me regardant droit dans les yeux.
— Je te suis, lui répondit-il.
La porte se referma derrière eux, et je me suis endormi quelques minutes plus tard, le cœur battant encore la chamade et la tête pleine d’images et des questions sur ce qui venait de se passer.
Je fus réveillé dans la nuit par les cris de Nadia…Ils avaient recommencé !
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