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Photographe 1

Photographe 1



Un ami photographe m’envoie ces textes coquins et je voulais vous en faire profiter.

Je prends des photos en séquence rapide, avant que Martine ne bouge et que disparaisse l’expression et la pose que je cherche à capturer depuis plus de trente minutes. Ce n’est pas que Martine soit un mauvais sujet, loin de là. C’est simplement que l’éphémère instant qui créera la photo souhaitée passe vite, si vite, qu’il est primordial de ne pas le rater.

C’est la troisième fois que je travaille avec Martine. Je l’ai rencontrée en passant une annonce sur le net. Les deux premières fois, je l’avais engagé à titre personnel, mais cette fois il s’agit d’un contrat pour un client. Je ne suis pas ce qu’on appelle un photographe professionnel, mais je prends assez de contrats durant mes temps libres pour m’être créé une bonne réputation. Il m’arrive souvent d’engager des modèles pour mon propre plaisir et pour expérimenter différentes techniques.

Même si elle ne correspond pas aux critères de beauté habituels des mannequins, Martine est superbe. Alors que la plupart des mannequins qu’on voit défiler sur les podiums sont grandes et filiformes, sans courbes. Martine, au contraire, a des fesses rebondies et une poitrine forte, surtout sur un corps autrement si menu. Pour ce que nous devons faire aujourd’hui, elle est parfaite.

Elle est arrivée un peu plus tôt que prévu afin, me dit-elle :
« Je voudrais avoir le temps de discuter avec toi pour bien savoir ce que tu attends de moi. »
En arrivant, elle m’a embrassé sur les deux joues. Son sourire coquin m’a convaincu que j’avais fait le bon choix en pensant à elle. Martine est passée devant moi et mon regard n’a pu s’empêcher de descendre sur la courbe de ses reins et de glisser sur ses fesses enserrées dans un short en jeans ajusté.

Je crois qu’elle l’a remarqué mais ne s’en formalise pas. Après tout, je vais passer un bon moment à la regarder sous tous les angles à travers mon objectif. Bien installés dans les divans de cuir du salon, nous avons discuté des besoins de mon client.
« Voilà Martine ; ce client, veut une nouvelle campagne publicitaire pour sa gamme de de lingerie.

« Je lui ai proposé un concept plus glamour et sensuel que ce qu’on voit normalement. Comme il m’a demandé des exemples avant de prendre sa décision. Nous allons faire un shooting de présentation. S’il achète l’idée, nous devrons couvrir l’ensemble de la collection mais pour le moment, il s’agit d’une expérience. »
« Wahoo !! C’est génial ! » Répond Martine très emballée par ce concept.
Je reprends :
« Si nous décrochons le contrat, Tu auras 30% du contrat ce qui représentera une sommes très coquette. Ca sera ton premier shooting d’envergure. »
« Merci Alain d’avoir pensé à moi pour ce shooting ! » Me dit-elle en me sautant au coup.

Nous descendons au studio. Après avoir regardé avec moi le corset qu’elle allait devoir porter, Martine passa derrière un paravent pour l’enfiler.
Pendant que je préparais mon matériel et réglais mes lumières, je devinais la silhouette de ma vedette du jour.

Quelque chose ne va pas dans les photos que je prends. Après une heure et plusieurs changements de tenues, rien ne correspond à ce que j’ai en tête.

Je propose à Martine :
« Ca ne va pas comme je voudrais. Viens regarder les premiéres épreuves. Il faut qu’on trouve ce qui cloche. »
C’est elle qui identifie rapidement le problème.
« Oui, je vois. Je suis trop rigide et je dois me lâcher pour être désirable dans ces vêtements. »
Elle à raison et tout en jetant un coup d’œil sur sa poitrine je lui confirme :
« J’aurais dû le remarquer par moi-même. Mais comme c’est ton premier shooting un peu ôsé, je ne voulais pas te choquer. Comme tu es partante, ma chèrie, il n’y a pas trente -six solutions ; il va falloir jouer la coquine. »
Elle me regarde avec un sourire entendu et me dit :
« Ça n’est pas pour te déplaire, j’en suis sûre! »
Très pro, je lui réponds :
« Je te rappelle que si le client est content, tu vas toucher le pactole et tes photos seront sur tout les murs de la ville. »
« Oui, tu as raison mais n’empêche que tu vas quand même te rincer l’oeil ! », Lance-t-elle en s’éloignant vers le paravent.

Encore une fois, je ne peux m’empêcher de suivre du regard ses fesses qui se balancent devant mes yeux. La ligne de ses jambes fines et la courbure provocante de ses hanches me font bander. Malgré moi, je ne perds pas une miette du spectacle accidentel qu’elle m’offre ainsi par le reflet d’un miroir. Je la vois retirer la camisole, et libérer sa poitrine.

Elle repasse une autre tenue, coiffe ses cheveux avant de les nouer à l’aide d’un élastique. Puis, elle revient vers moi l’air moqueur, en exagérant sa démarche à la manière des mannequins lors de défilés. Je vois ses seins, libérés de leur étreinte, onduler légèrement sous mes yeux.

« Ça ira comme ça? » Demanda-t-elle d’un air faussement gamine.
« Wahoo ! Oui sans aucun problème ! » Dis-je en riant de son air faussement affecté.
Nous reprenons la séance. Je constate immédiatement que quelque chose a changé. Martine se fait plus joueuse, plus coquine, plus provocante.

Ses cheveux attachés libèrent ses épaules et dessinent une ligne très élégante. Jouant à prendre des poses suggestives, elle me lance des regards aguicheurs que je m’efforce de capturer avec mon objectif.
« On progresse ! Oui c’est ça sois très chienne oui c’est bien ! » Lui dis-je pour l’encourager.

« Maintenant, regarde-moi comme si j’étais ton copain et que tu veux l’allumer. »
Elle rigole en me tirant la langue et en meconfiant :
« J’en ai pas! »

Je capture cette image magnifique, de plus en plus content du débridage de mon model qui se lâche. Mû par une intuition, je décide de pousser encore plus loin le concept. Je lui demande :
« Met-toi totalement nue. Garde juste les bas. »
« Tu ne trouves pas que tu exagères? » Demande-t-elle, hésitante.
Je lui réponds :
« T’es si sexy que se serait dommage de t’arrêter là. Tu vas voir que le résultat va être à la hauteur. Fais moi confiance !»
Martine retire ses souliers, se met nue devant moi.

En penchant son buste vers l’avant, ses seins sont mis en valeur et je continue de shooter. Elle se redresse, passe ses souliers et me regarde rougissante. Son corps ainsi révélées est magnifique. Elle possède le mélange de candeur et de fragilité que je recherche pour ce projet.

Pour améliorer l’éclairage, je tamise les projecteurs principaux. Très vite, Martine se prend au jeu et commence à flirter avec la caméra. Je la fais se placer face à moi, les fesses sur le bord du tabouret, une jambe tendue et l’autre légèrement repliée, les bras et le buste penché vers l’avant. Elle prend une pose allumeuse en rapprochant ses épaules pour mettre sa poitrine en évidence, rapprochant les deux lobes et créant une zone d’ombre profonde où les yeux se perdent.

Je mitraille à toute vitesse et laisse faire mon modèle qui n’a plus besoin que je la dirige. Martine semble fatiguée de toutes ces émotions. Je lui propose :
« T’as bien travaillé. On va faire une pause.  De toute façon, j’ai en boîte toutes les photos dont j’ai besoin. »

J’offre à Martine un verre, puis celle-ci repart derrière le paravent enfiler les tenues de soirée.

Je l’observe, par le truchement du miroir. Elle prend son temps, s’admire devant le miroir, ajuste une bretelle sur ses seins, retouche son maquillage. Je n’en perds pas une miette. Elle revient vers moi, avec l’air déterminé. Je ne peux m’empêcher de la siffler en la voyant. L’ensemble est de dentelle laissant largement deviner sa plastique. Devant mon admiration, Martine tourne sur elle-même pour me montrer l’ensemble sous tous les angles.

Voulant demeurer concentré, je fais rapidement prendre plusieurs poses au modèle.
À genoux sur le fauteuil, le dos et les fesses vers moi en me regardant par-dessus l’épaule. Face à moi, jambes écartées et mains sur les cuisses. Debout sur le côté, un genoux sur l’appuie-bras et les épaules tournées vers moi. Couchée sur le fauteuil, jambes dans les airs, ses souliers à talon prolongeant l’axe de son entrejambe.

L’éclairage que j’ai à nouveau changé crée des ombres qui lui donne une intensité palpable. Martine se prête au jeu, prenant des airs tantôt rieur, tantôt séducteur. Sa timidité, naturelle dans les circonstances, est rapidement disparue, faisant place à une ambiance chargée de sensualité. J’ai tôt fait d’avoir en main tout ce dont j’ai besoin.

« Merci Martine. Tu as été au top. Je pense que le client va adorer. On a terminé le shooting. Tu peux te rhabiller. »
Quasiment nue, avant d’aller se rhabiller, elle s’approche et insouciante, elle me demande :
« Je peux voir les rush ? »
Elle se penche auprès de moi pour voir les photos, me laissant profiter d’une vue indécente de ses seins. Elle déclare enthousiaste  :
« Wahooo ! Trop sexy ces photos ! Tu es un photographe génial ! »
Elle repart se changer et ondulant des hanches. A croire qu’elle le fait exprès pour m’allumer.

Tout à coup elle s’arrête et me demande, en se retournant : 
« Au fait, il est quelle heure? »
« Presque 23 heures ; pourquoi. »
« Ah! Merde! J’suis venue en bus et le dernier passait il y a quelques minutes! »
« Je suis vraiment désolé, la séance a été beaucoup plus longue que prévue. Tu veux que je te reconduise ? »
Elle s’approche totalement nue, maintenant sans pudeur, et me répond d’un ton de petite fille :
« Oui, ce serait gentil. Merci Alain. »
«  À moins que tu ne préfères rester cette nuit ici? »
« Je ne voudrais pas abuser. »
« Mais non c’est un vrai plaisir ma chérie. ? »
Ça ne m’est jamais arrivé avant. Mes relations avec les modèles sont toujours restées strictement professionnelles. Je la regarde dans sa beautée nue. J’ai une envie folle de serrer ses ses seins dans mes mains. 
« Qu’est-ce que tu bois? »
Un verre de bordeaux, s’il te plaît. »
« J’en ai au salon. Veux-tu prendre le temps de te rhabiller avant de monter? « 

Et tout en montant vers le salon, elle me répons d’un air candide en me souriant :
« Pourquoi faire ?  Je passe devant, pour que tu puisses te rincer l’œil en montant. »

Nous sommes assis au salon, à discuter en prenant un verre. Martine, toujours nue, s’est lovée au creux de mon bras et caresse doucement mon torse.

Elle me pose des questions sur ma vie :
« Comment se fait-il que tu vive seul dans une si grande maison ? Si tu veux mon avis, c’est du gaspillage pur et simple. Une maison comme ça est faite pour être remplie de monde. Présentement, on dirait une coquille vide.»
Elle est naturellement nue devant moi. Un feu crépite dans l’âtre. Je bande sans oser la toucher. Je lui explique :
« Tu sais, j’ai pris goût à un peu de solitude, un point d’ancrage dans ma vie bourdonnante. »
Sur un ton faussement vexée, elle me répond :
« Dis donc, si tu préfères j’appelle un taxi et je te laisse seul ! »

« Ne le prends pas sur ce ton ! Pas question! J’aime ma solitude mais cette nuit je te garde ici ! »
Sur ces mots, je me lance n’y tenant plus. Je pose mon verre et l’embrasse sur la bouche. Sa langue aussitôt se mêle à la mienne. Ma main caresse son dos, suivant la courbe de ses reins. Je sens subitement sa respiration s’accélérer. En réponse, sa main glisse sur mon pantalon, frôlant mon sexe de plus en plus à l’étroit. Martine d’un seul mouvement, lance une jambe par-dessus les miennes et se retrouve à califourchon sur moi. Mes mains glissent sur son dos et agrippent ses fesses. Ses seins sont au niveau de mon visage. Elle écrase sa poitrine contre ma bouche qui embrasse goulûment ses lobes.

Et, souriant de son air coquin qui me plaît tant, elle commence à onduler les hanches au-dessus de mon membre dressé. Ses seins sont ronds et fermes. Les mamelons pointent vers moi comme s’ils voulaient être croqués. Martine continue son va-et-vient sur les cuisses. Ma bouche et mes mains caressent fermement ses globes ainsi offerts. Celle-ci ondule de plus en plus vite sur mon sexe encore prisonnier, me faisant haleter pendant que ma bouche embrasse chaque sein en alternance. Mes mains courent sur son corps, caressant son dos, ses hanches, ses cuisses et son ventre.

Voulant reprendre un peu de contrôle, je me lève en soulevant Martine. Je l’installe à genoux sur le fauteuil. Elle se laisse faire, curieuse. J’ai une vue superbe de ses fesses.

Je glisse une main entre ses jambes et viens effleurer son sexe du bout d’un doigt, arrachant ainsi à Martine un frisson qui semble traverser son corps. Mon autre main caresse un sein ballant.

Je me renverse ensuite et passe la tête entre ses jambes. J’embrasse l’intérieur des cuisses, remontant lentement vers son sexe ouvert. Je prends mon temps, voulant faire durer le plaisir. D’une main, j’agace ses grandes lèvres.

Je caresse ses fesses et ses cuisses. De l’autre je pétri ses seins et pince ses tétons.

Martine a perdu toute retenue. Elle pousse des petits cris saccadés. Voir son excitation fait monter la mienne. Mon membre palpite dans mon pantalon. Je détache ma ceinture d’une main pour relâcher un peu de pression. Ma main revient sur ses fesses que je serre et pétris, un pouce venant parfois écarter ses lèvres pendant que ma langue décrit des arabesques sur son bouton rose.

L’excitation de Martine monte crescendo et je la sens perdre tout contrôle. Je sens la jouissance faire tendre son corps dans un râle silencieux qui semble suspendu dans le temps. Tout à coup, elle s’agenouille entre mes jambes sans un mot. Elle en agrippe les rebords de mon pantalon et tire vers le bas, me laissant mon boxer tendu devant elle. Souriante, elle caresse le tissu, effleurant mon sexe, avant de glisser une main sous le boxer et explorer mon sexe. Puis, elle tire vivement sur le boxer, libérant brutalement ma queue tendue comme un arc. Elle laisse échapper un « humm  » de satisfaction. D’une main, elle enserre mon membre, pendant que l’autre caresse mes testicules. Je ferme les yeux, renverse la tête en soupirant, pendant que sa main se fait plus active autour de ma tige. Puis, sentant probablement l’urgence, elle embouche ma queue et se met à me sucer divinement bien.

Tout en me suçant, elle me regarde l’air d’une lionne devant sa proie. Puis, remontant vers moi, je sens mon sexe glisser sur ses seins, dont elle effleure les pointes sur mon gland, avant de le faire passer entre les deux en ramenant les épaules pour augmenter l’effet de la caresse. Mon sexe glisse délicieusement entre ses globes.

Je me laisse faire. Martine mène la danse. Elle se redresse, se remet à califourchon sur moi et vient toucher l’entrée de son minou sur mon dard tendu. Les mains jointes derrière ma tête, je la regarde fiare. Elle descend son bassin d’un coup et fait entrer mon sexe entièrement en elle.

Mon sexe palpite, il est prêt à exploser. Elle imprime un lent mouvement de rotation du bassin, ondulant tout son corps. Les mains ébouriffant ses cheveux, le tronc dressé, les yeux fermés, elle semble toute à son plaisir. Sa respiration se fait plus rapide, saccadée, pendant que j’agrippe ses hanches pour guider son mouvement. Je regarde ses seins balancer devant mes yeux, son ventre qui se contracte à chaque rotation. Je sens mon plaisir monter en même temps que le sien. Elle se met à scander des :
« Oui ! Ho oui !! C’est booooon ! Ha ouiiiii ! »

J’accélère la cadence, en un va-et-vient effréné relâchant toute la tension accumulée. Je sens son corps tressaillir sous un orgasme alors que j’explose en elle.

Nous restons un long moment enlacés, à reprendre notre souffle, les yeux dans levague, un sourire sur les lèvres. Je la soulève ensuite lentement. La prenant dans mes bras, je la porte à ma chambre et l’étend sur les draps. Je me couche auprès d’elle et elle se love contre moi en me murmurant :
« Merci Alain. Tu m’a fait jouir comme jamais. »
Puis, elle sombre dans un profond sommeil. Je reste un temps à la regarder avant de m’endormir moi aussi.

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