Sylviane – Masturbation parfumée.
Après un intermède très personnel dans mes histoires je reprend la narration de quelques épisodes coquins de mon existence. Et puis ce n’est pas parce que ma petite fille, devient comme sa mère que la vie doit s’arrêter.
Comme vous le savez, je suis disons coquine.. peut être nymphomane aussi, en un mot comme en cent je ferais presque n’importe quoi pour m’envoyer en l’air. En fait je recherche presque en permanence le frisson plus fort que l’autre. Ajoutez que je ne suis pas de celle qui disent je n’aime pas sans avoir goûté à la chose, croyez moi c’est une différence d’approche énorme, quand dans votre tête vous vous dites .. pourquoi pas.. certains le font.. Ça vous met parfois dans des situations étonnantes et extrêmes même dans certains cas. En ce qui concerne la masturbation je dois avoir essayé toutes les méthodes ou presque pour arriver au plaisir. Et de temps en temps un truc ou un autre me travers l’esprit.
Cette fois là rentrée plus tôt à la maison, émoustillée par un beau jeune garçon que je n’ai pas abordé car il était hélas accompagné. Je me retrouvais donc à la maison, avec si j’ose dire le minou qui fourmillait et pas mal d’idées coquines dans la tête. Je suis comme çà, une fois que je suis lancée, je dois arriver à prendre du plaisir sinon je me sens mal.
Je décide de prendre une douche, il faisait chaud. Autre petit travers que j’ai, je ne suis pas ennemie de me contempler dans la glace. Oh bien sur je me trouve des tas de défauts mais au bout du compte je ne suis pas si mal que çà et quand je suis excitée, j’aime mater mes atouts.. mes gros seins et mon minou. Je prends ma douche et naturellement je ne peux m’empêcher de me caresser un peu. Si bien que loin de me calmer la douche me mets dans tous mes états. Je ne me suis pas fait jouir avec la douchette car je l’ai fait assidûment pendant un temps au point que les autres sensations me paraissaient ternes sans saveur tant la masturbation hydraulique est riche en sensations. Mais n’oubliez pas que des doigts, des objets ne peuvent reproduire ce que procure tout ces petits jets. Alors une fois de temps en temps.. oui mais ne tombez pas dans le piège.. ou vous passerez votre vie a prendre des douches pour jouir. Attention j’avais atteint un stade compulsif.. certains jours c’était 8 ou 10 fois sous la douche dans la journée. Donc je me suis calmée.
Tout en prenant ma douche j’avise sur la tablette mon flacon de parfum, et jamais je ne l’avais ainsi considéré. Mon parfum d’est « J’adore » de Dior, pour ceux que cela intéresse si Marylin portait juste du Chanel V pour dormir, moi c’est uniquement du « J’adore » et rien d’autre aucun autre vêtement sauf si il fait vraiment froid.
Je regarde mon flacon, il est ouvert, le bouchon posé à côté cela fait tilt dans ma tête.. Je vois en ce flacon et ce bouchon.. une jouet qui pourrait calmer le feu de mon ventre.
Le flacon de 100ml est arrondi, un peu comme une bouteille de perrier il fait 4 ou 5 cm de diamètre peut être plus, le col doré se termine par une boule, imaginez un cône doré surmonté d’une boule de 3cm de diamètre . Dans mon esprit excité.. ce bouchon ferait un excellent plug pour mon anus, alors que le flacon serait là pour combler ma chatte.
Je prend le flacon et son bouchon, je m’installe sur le lit. Dans mon tiroir le vibro à grosse tête Hitachi me sera utile. Nue sur mon lit, mon flacon dans les mains, je me regarde. Il n’y a pas à dire je ne suis pas si mal, je me met à lécher la boule de mon bouchon de parfum, je lèche le la prend dans ma bouche, je salive abondamment. Je laisse ma salive goutter sur mes seins. De longues traces humides coulent entre mes seins. Je soulève mon sein droit et le porte a ma bouche je me lèche le tétons qui durcit en me donnant de petits frissons. Puis je reviens au bouchon, il dégouline de salive. Je me couche sur le côté, sans perdre la vue dans la glace. Ma croupe bien ronde je l’écarte de ma main, mes fesses laissent maintenant voir mon anus sombre, je le fait s’ouvrir palpiter ce qui dévoile aussi le rose criard de ma chatte. Sans trembler sans hésitation, je pose la boule contre mon anus et je pousse du doigt, petite résistance puis le bouchon est avalé retenu par sa forme conique il ne disparaît pas totalement en moi. Quel délice de sentir mon cul non pas comblé mais investi par cet objet. Ma chatte est humide, je me met sur le dos. Mon plug improvisé je le sens bien. L’originalité m’excite.. Mes doigts fouilles ma chatte, je me pénètre gémissante, toute chaude du bout des doigts je sens au travers de ma chair, la boule dans mon conduit étroit. Maintenant le flacon est à l’orée de mon sexe, je suis toute mouillée. Même si la taille n’est pas anodine je pousse pour le faire entrer.. Il est avalé par ma chatte baveuse. Sa forme est telle qu’il disparaît presque entièrement je reste visible que le bouchon doré du vaporisateur. Je pousse il sors je le maintiens pour qu’il n’échappe pas à l’emprise de mon sexe. Je me vois dans la glace, salope à la peau constellée de taches luisante sur la poitrine, écartelée je m’offre à mes regards rêvant que ma glace soit une vitrine sur des milliers d’yeux qui me regardent, me désirent. Je suis parcourue de frissons, en jouant sur mes muscles pelviens le flacon entre et sors de ma chatte, je l’empêche de se sauver pour mieux goûter la sensation de pénétration quand il se niche contre ma matrice. Mon clitoris est gros, tendu décalotté. Il ne peut rester caché, c’est impossible. Et une fois sorti de sa cachette il faut lui donner son content de jouissance sinon il reste là gonflé attendant la secousse qui va le rendormir. J’allume le vibro et le pose contre ma chatte, la vibration amplifié par le verre du flacon me fait bondir.. Je me sens vite trempée, j’ai bien vu dans la glace ce petit jet doré qui c’est échappé à mouillé mes cuisses et le lit. Par petite touche j’agace tout mon corps.. Mes doigts pincent mes tétons qui se dressent. Clouée par mes fantasmes, le cul et le con remplis de mon flacon indécent. Je suis une chienne qui se donne, dans ma tête des images plus osées les unes que les autres se bousculent. Peuplées de sexe durs, de chattes trempée, de chaînes, de sévices insoutenables. Mon plaisir enfle, monte comme une inondation que rien ne peut retenir.
Je crie, je gémis… ça dure.. je fais durer.. Je retiens mon envie de mettre un point final dans une explosion de plaisir. Mais je la distille, goutte à goutte. Je me rends dingue à force de me refuser un orgasme imminent. Je me parles, me traite de tous les noms les plus orduriers que je puisse trouver. Dans ces moments là je me sens vraiment qu’une femelle en rut, une moins que rien et j’aime m’entend dire que je ne suis qu’une truie, une salope une pute.. Quand c’est une autre bouche qui me le dit c’est encore plus fort chaque mot me fait l’effet d’un coup de fouet, d’une brûlure de fer rouge. Et j’aime çà ne vous y trompez pas. Comme j’aime que mon partenaire me prenne par le col, me gifle et m’étrangle alors que je suis au bord du plaisir et suprême plaisir quand il ose cracher sur mon visage, mieux me demander d’ouvrir ma bouche qu’il souille de sa salive. Là je deviens une bête et je jouis comme jamais.
Mon flacon dans le con je mouille comme une folle et mon vibro sur le clito me fait crier, je palpite de tous mes orifices. Ça doit bien faire une heure que je me fais mariner. Je me vois maintenant en sueur dans la glace. Des taches sombres sur le drap montrent que j’ai lâché plus de liquide que je ne pensais. En fait chaque fois que je retiens mon orgasme, ma vessie est secouée de spasmes et je coule sur mon lit, mes cuisses mes fesses.. Mes tétons sont hypersensibles, à force de les pincer ils supporte a peine les effleurement de mes doigts.. Mes oreilles bourdonne, je suis comme dans du coton. Je suis toute tendue vers le spasme qui monte en moi. Je sens venir cette vague depuis le fond de mon ventre. Mon ventre se creuse je suis cassée en deux et soudain je me détends comme un arc, une main agrippe le drap l’autre presse le vibro contre ma chatte. J’explose.. le flacon est éjecté de ma chatte qui s’ouvre béante palpitante, je vois mon sexe rose totalement dilaté.. qui semble palpiter tandis que coule au confins de mes lèvres une crème blanche onctueuse qui file entre mes fesses. Tétanisée, secouée de spasmes je hurle je crie je jouis comme une folle. Le plaisir se prolonge, je ne le laisse pas filer je suis tendue à goûter toute mes sensations. Je pousse et mon plug quitte mon corps alors qu’une nouvelle vague de plaisir me fait tressaillir. Ce dernier tremblement me vide de ma substance, des mes substances … je me liquéfies littéralement.. Je ne peux ni ne veut me retenir.. Mon orgasme me foudroie totalement et je retombe presque évanouie sur le lit. C’était violent comme j’aime je ne suis plus bonne à rien, parcourue de tremblements. Ce n’est qu’en constatant l’heure à la pendule que je renonce à mettre ma main entre mes cuisses et à recommencer la ronde infernale. Pourtant l’envie est là revenant au galop.. Ce soir avec mon mari .. je lui raconterais ma séance il sera excité et on prendra du plaisir…
Sylviane.
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